Thursday 21 April 2016
Justus Lipsius building - Brussels
11.00
Arrival of the President of Indonesia Joko Widodo
Welcome by the President of the European Council Donald Tusk
(VIP entrance, level 02 - photo/TV opportunity)
Access to the VIP entrance (level 02) for the photo opportunity will be granted to all journalists holding an EU Council 6-month badge.
Journalists without the above badge must send a request by e-mail to press.centre@consilium.europa.eu - deadline Tuesday 19 April at 18.00.
Donnerstag, 21. April 2016
11.00 Treffen mit dem Präsidenten Indonesiens Joko Widodo (Fototermin)
Freitag, 22. April 2016
11.00 Treffen mit dem Präsidenten Mosambiks Filipe Nyusi (Fototermin)
Samstag, 23. April 2016
Besuch in der Türkei
Im Anschluss an die am 18. März erzielte politische Einigung zwischen der EU und der Türkei reist der Präsident des Europäischen Rates Donald Tusk am Samstag, den 23. April nach Gaziantep (Türkei). An der Reise nehmen auch die deutsche Bundeskanzlerin Angela Merkel und der Erste Vizepräsident der EU-Kommission Frans Timmermans teil.
Ein so weitreichendes Projekt wie die Eurasische Wirtschaftsunion (EWU) kann sich selbst in autoritären Staaten nicht ohne breite Zustimmung in der Bevölkerung entwickeln. Um diese Unterstützung zu mobilisieren und nationalistischen Tendenzen vorzubeugen, haben die Regierungen ausgiebig für das Projekt geworben und Hoffnungen geweckt. Aktuelle Meinungsumfragen ergeben vor allem in Kasachstan (80 Prozent) und Kirgistan (86 Prozent) ausgesprochen hohe Zustimmungswerte. Das ist erstaunlich, weil das erste Jahr der EWU in den Augen vieler Beobachter ein Fehlstart war. Der postsowjetische Raum leidet derzeit an einer tiefgreifenden Wirtschaftskrise, deren Ursachen freilich nicht in der EWU liegen. Statt die Krise abzumildern, brachte die Integration mit Russland aber weitere Probleme mit sich, insbesondere für Kasachstan. Die Wirtschaftsunion verspricht zudem keinen kurzfristigen Ausweg aus der Misere. Kritik kommt auch von Expert/innen und Politiker/innen aus den EWU-Mitgliedstaaten. Warum aber steht die Bevölkerung dennoch offenbar fast vorbehaltlos hinter dem Integrationsprojekt?
2016. április 21., csütörtök
11.00 Találkozó Joko Widodo indonéz elnökkel (hivatalos sajtófotó-alkalom)
2016. április 22., péntek
11.00 Találkozó Filipe Nyusi mozambiki elnökkel (hivatalos sajtófotó-alkalom)
2016. április 23., szombat
Látogatás Törökországban
Az EU és Törökország között március 18-án létrejött politikai megállapodást követően Donald Tusk, az Európai Tanács elnöke április 23-án, szombaton a törökországi Gaziantepbe látogat. A látogatáson Angela Merkel német szövetségi kancellár és Frans Timmermans, az Európai Bizottság első alelnöke is részt vesz.
Cette recension d’ouvrages est issue de Politique étrangère (1/2016). Aline Leboeuf propose une analyse de l’ouvrage de Christophe Boisbouvier, Hollande l’Africain (La Découverte, 2015, 224 pages).
François Hollande prône la « doctrine par l’exemple » dans la mise en œuvre de sa politique africaine. Serait-ce un mélange d’héritages réinterprétés, entre Mitterrand et Jospin, d’équilibrisme ad hoc, de principes revus à l’aune de la Realpolitik ? Pour comprendre ce président finalement fort « normal » au regard de ses prédécesseurs, Christophe Boisbouvier revient sur son parcours africain, de ses premiers faits d’armes sous Mitterrand jusqu’à ses difficultés récentes à se démarquer de partenaires africains fort mal élus.
On apprend ainsi que, au cabinet du secrétaire d’État porte-parole du gouvernement, Hollande défend l’intervention Manta au Tchad. En 1996, il contribue aux efforts du cabinet Mignard pour renégocier en faveur du Tchad son contrat avec Exxon-Shell-Elf. Surtout, représentant du PS auprès de l’Internationale socialiste, il se constitue un premier réseau africain qui, comme son stage de l’ENA en Algérie en 1978, détermine plus sa vision de l’Afrique que ses rares voyages en Somalie et au Sénégal. Sa première vraie décision en matière de politique africaine consiste à soutenir Gbagbo jusqu’en octobre 2004.
Mais l’intérêt du livre ne réside pas d’abord dans ces anecdotes – qui prouvent que, même pour un politique français sans grand intérêt pour l’Afrique, il est difficile de ne jamais s’y confronter. Non, ce qui fascine dans ce livre c’est de voir comment l’Afrique rattrape même ceux qui ne s’y intéressent pas, et comment il est difficile de repenser et renouveler la politique africaine de la France, même ou surtout quand on est un homme « neuf » qui voit dans l’Afrique un espace « où il n’y a que des coups à prendre ».
Hollande est élu sans autre politique africaine que : « mettre fin à la Françafrique », aux interventions militaires, aux réseaux et aux relations privilégiées avec des dictateurs. Trois ans après, la France est intervenue au Mali et en Centrafrique. Les réseaux et les intermédiaires n’ont plus officiellement droit de cité, réduisant ainsi le risque de privatisation de la politique africaine de la France. Mais, comme le montre l’auteur, de nouveaux réseaux ou intermédiaires ont pris une importance nouvelle, comme l’Internationale socialiste ou certains avocats, communicants, consultants, ou même compagnies de service de sécurité et de défense proches du président ou de ses ministres. Enfin, alors que le Burkina Faso avait été intelligemment valorisé par Paris pour affirmer la fin du soutien aux présidents tentés de faire sauter le verrou constitutionnel des deux mandats, cet engagement de principe de Hollande a vite été mis de côté au profit d’une approche moins engagée, voire complice, des régimes en place, surtout quand la question du changement constitutionnel ne s’y pose plus. Quand Le Drian explique à l’auteur qu’il « flirte mais […] ne couche pas », n’entend-on pas un résumé efficace de cette relation compliquée entre la France de Hollande et ses partenaires africains, auxquels il faut bien payer les services rendus ?
Ainsi lorsque Juppé raillait l’opposition socialiste en lui reprochant de faire « un mauvais copier-coller de la droite », il posait une vraie question : comment faire une autre politique africaine, quand l’obsession reste la « grandeur de la France », cette idée mitterrandienne que « sans l’Afrique il n’y aura pas d’Histoire de France au xxie siècle » ? Christophe Boisbouvier ne répond pas à cette question, mais donne de nombreuses clés pour y réfléchir.
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One year after, we look back on how the EU migration crisis unfolded through 2015, and how the EU developed its response. This is the "inside story", as told by key witnesses from the Council of the EU and the European Commission. It is an attempt to explain the complexities of one of the biggest crises the EU is experiencing. It covers 9 months of crisis in 2015, and is available in 24 EU languages.
A Kormány döntése alapján tovább bővül azoknak az MFB Pontoknak a száma, amelyeken keresztül a Széchenyi 2020 Program keretében elérhető visszatérítendő uniós forrásokra pályázhatnak a hazai vállalkozások.