Après deux ans à la tête de la Force d’Action Navale, le vice-amiral d’escadre Philippe Coindreau a passé la barre au vice-amiral d’escadre Denis Béraud, qui devient le onzième commandant de la FAN. Quant à l’amiral Coindreau, il prend le poste de sous-chef d’état-major « Performance » auprès du chef d’état-major des armées à Paris.
Le mardi 1er septembre 2015, le vice-amiral d’escadre Denis Béraud a pris officiellement le commandement de la Force d’Action Navale (FAN). Il succède au VAE Philippe Coindreau qui dirigeait la FAN depuis le 1er septembre 2013. Denis Béraud était depuis le 2 septembre 2013, le Chef d’État-Major (CEM) de la force d’action navale.
Comme le veut la tradition, l’ancien ALFAN a passé en revue à bord d’une yole, les bâtiments présents à quai, alors que la frégate Courbet effectuait un salut de 17 coups de canon. Puis il a été rejoint par son successeur, passant à son tour les bâtiments en revue avant de se faire rendre les honneurs.
La force d’action navale regroupe l’ensemble de la flotte de surface française qui regroupe 95 bâtiments de surface (dont 41 basés à Brest, 30 à Toulon et 17 Outre-mer), trois groupes de plongeurs démineurs (Méditerranée, Atlantique et Manche – mer du Nord), la flottille amphibie constituée des engins de débarquement employés notamment à partir des BPC, ainsi que le Commandement français de la Force Aéromaritime français de Réaction Rapide (COMFRMARFOR), la Cellule de Plongée Humaine et Intervention Sous la Mer (CEPHISMER), le Centre Opérationnel Météo-Océanographique (COMETOC) et le Centre de support à la Cyber Défense. ALFAN commande, par ailleurs, la Force aéronavale nucléaire (FANU).
Avec un effectif de 12 000 marins, dont 9 600 embarqués, l’amiral commandant la Force d’Action Navale (ALFAN) a pour objectif de mettre à tout moment et en toutes zones, les moyens navals sous son commandement. Ce sont en permanence 30 bâtiments qui sont déployés simultanément, en mission de lutte contre les trafics illicites, contre le terrorisme, en lutte contre la piraterie, en surveillance des approches maritimes, ou encore en mission de police des pêches.
La Force d’Action Navale compte un état-major basé à Toulon et deux antennes implantées à Brest et à Cherbourg.
Le vice-amiral d’escadre Denis Beraud est né à Toulon le 27 janvier 1960. Admis à l’école navale en 1979, il est affecté successivement à l’issue de la Jeanne d’Arc, en tant qu’officier en second, sur le patrouilleur Épée, basé à Mayotte, sur le Bâtiment de Soutien Santé (BSS) Rance, au large du Liban, puis de nouveau comme officier en second sur le Bâtiment Hydrographique (BH) Espérance en Atlantique.
Breveté de l’école de spécialité transmissions en 1985, il embarque sur l’Escorteur d’Escadre (EE) Duperré, puis sur la frégate De Grasse comme chef du service transmissions et officier de manœuvre. Il effectue alors une mission de six mois dans le golfe Persique à la fin du conflit Iran/Irak.
En 1989, il rallie le bureau transmissions de l’état-major du commandant en chef pour l’Atlantique, puis est muté en 1991 sur le porte-avions Clémenceau, qui participe à l’opération BALBUZARD en ex-Yougoslavie.
Il est nommé au commandement du chasseur de mines tripartite Lyre d’août 1993 à février 1995, à bord duquel il participe à de nombreux exercices nationaux et multilatéraux entre l’Espagne et la Grèce ainsi qu’à plusieurs neutralisations d’engins explosifs des deux derniers conflits mondiaux.
Il est promu capitaine de frégate le 1er mai 1995.
En septembre 1995, il rejoint le Collège Interarmées de Défense. Puis assume pendant deux ans la fonction de commandant en second de la frégate de lutte anti-sous-marine Dupleix.
Muté en 1998 comme officier de manœuvre à bord du porte-avions Foch, il participe pendant cinq mois à l’opération TRIDENT au large du Kosovo.
Il commande ensuite la frégate Courbet, de septembre 1999 à janvier 2001, participant notamment à la mission KHOR ANGAR de défense de la république de Djibouti, à l’exercice « Cooperative Partner 2000 », dans la partie occidentale de la mer Noire et la région près de la ville d’Odessa, partenariat pour la paix au sein duquel il assure le commandement d’un groupe multinational de cinq frégates, puis au premier stage d’entraînement intensif d’un navire français au sein du « Flag officer sea training » à Plymouth.
Breveté atomicien en 2001 et promu le 1er septembre de la même année, capitaine de vaisseau, il exerce de l’été 2001 à l’été 2002, les fonctions de chef de la division « emploi des forces aéronavales » du Commandant de la zone maritime Méditerranée. Il y met en place, à la suite des attentats du 11 septembre, le dispositif de contrôle des navires marchands à destination des ports du sud de la France.
En juillet 2002, il est désigné comme commandant en second du porte-avions Charles de Gaulle, à bord duquel il participe à la mission AGAPANTHE en Océan Indien, pendant le premier semestre 2004. Il rallie, à l’issue, Paris en tant qu’auditeur du Centre des Hautes Études Militaires (CHEM) et de l’Institut des Hautes Études de Défense Nationale (IHEDN).
Le 5 août 2005, le capitaine de vaisseau Béraud prend le commandement du porte-avions Charles de Gaulle. Pendant ces deux années de commandement, il effectue deux missions opérationnelles en Océan Indien, en soutien aux forces de la coalition engagées en Afghanistan dans le cadre de la FIAS (Force Internationale d’assistance à la Sécurité), au cours desquelles le groupe aérien embarqué effectue plus de 2 000 heures de vols opérationnels.
De 2007 à 2010, il est affecté à l’état-major de la Marine comme Officier de Cohérence d’Armée – Marine (OCA–Marine). A ce titre, il participe à la rédaction du Livre Blanc de 2008 sur la défense et la sécurité nationale, ainsi qu’aux travaux de RGPP et de loi de programmation militaire 2009-2014.
De 2010 à 2013, promu contre-amiral, il exerce les fonctions d’adjoint territorial auprès du « commandant de la zone, la région et l’arrondissement maritime Méditerranée et préfet maritime de la Méditerranée » et, à compter du 1er janvier 2011, de premier commandant de la base de défense de Toulon, la plus importante de France.
Promu vice-amiral en 2013, il est nommé à compter du 1er septembre de la même année, chef d’état-major de la Force d’action navale qui regroupe tous les bâtiments de surface de la marine.
Par décret du 14 juillet 2014, il est nommé sous-chef d’état-major « soutiens et finances » de l’état-major de la marine à compter du 1er septembre 2014.
Il est élevé aux rangs et appellation de vice-amiral d’escadre le 1er septembre 2015, date à laquelle il a pris le commandement de la Force d’action navale.
Le vice-amiral d’escadre Denis Béraud est commandeur de la légion d’honneur, officier de l’ordre national du mérite et du mérite maritime, titulaire de la médaille commémorative de France avec agrafes ex-Yougoslavie et Afghanistan, de la médaille d’outre-mer avec agrafes Liban et Ormuz et de la médaille de l’OTAN avec agrafes ex-Yougoslavie et Kosovo.
Il est marié et père de quatre enfants.
2014 novemberében a Beregszászi Mozgáskorlátozottak Sport és Egészségjavító Klubja Társadalmi Szervezet (BeregSEK) kezdeményezésére – a Beregszászi Polgármesteri Hivatal, támogatásával – Beregszászi Amatőr Asztalitenisz Vándorkupa néven útnak indult az első hivatalos városi asztalitenisz-verseny. Az eseménysorozattal a szervezők és támogatóik olyan célokat fogalmaztak meg, mint a sportág népszerűsítése, a sportkapcsolatok ápolása, az egészséges életmódra való nevelés, a fiatalok sporttudásának felmérése, fejlesztése, valamint a kuparendszerű asztalitenisz-verseny gyakorlása. Ennek eredményképpen az asztalitenisz-mozgalom széles körű terjedését, a sportágat kedvelők számának növekedését és az eddigieknél is nagyobb támogatási hajlandóságot vártak a szervezők. Sajnálatos tény, hogy a nagy múltú városi labdarúgás, kézilabda és táblajátékok mellett az asztalitenisz Beregszászban „mostohagyermek”.
Mindezek ellenére a közel egy éven át tartó versenysorozat (a lehetőségekhez képest) szervezett formában, a Nemzetközi Asztalitenisz Szövetség (ITTF) által megfogalmazott és elfogadott szabályrendszer betartásával, színvonalasan zajlott le.
A versenysorozatot 11 állomásosra tervezték, és egészen a múlt hét végéig (augusztus 29.), azaz a 10. fordulóig kellett várni, hogy a beregszászi amatőr asztaliteniszezők vándorkupája Sóhaj Sándor személyében gazdára találjon. A bajnoki cím birtokosának öt, a végletekig kiélezett – sérülésektől sem mentes – versenyen kellett diadalmaskodnia ahhoz, hogy győztesként emelhesse magasba a serleget. Legnagyobb riválisa, Tóth József (Csonkapapi) 3 győzelmet, míg Kardos Zoltán (Kígyós) és Ruszlan Bobics (Munkács) 1-1 győzelmet tudhat magáénak.
A 10. forduló – az összes többihez hasonlóan – szép játékot és szoros küzdelmeket hozott, az eredmények az alábbiak szerint alakultak: 1. hely – Sóhaj Sándor; 2. hely – Tóth József; 3. hely – Mihail Szolosenko.
A szervezők a teljesítmény-ranglista pontszámítását motivációs megfontolásból több helyen is megváltoztatták. Egyik ilyen, hogy minden regisztrált versenyző a fordulókban gyűjtött pontjaihoz annyi plusz egységet kapott, ahányban részt vett. Így voltak olyanok is, akiknek a versenyek alatt megszerzett pontjaihoz +10 egységet írhattak jóvá, pozitívan befolyásolva ezzel helyezésüket az összesített ratingben.
A kupasorozat befejeztével a pontszámítás nincs lezárva. Minden, a BeregSEK által minősített megyei, járási és városi (városnapi) versenyen elért eredmény beszámít, így a rating-pontok (a helyezéseknek megfelelő egység átszámításával) tovább gyűjthetők.
Az utolsó fordulót követően az összesített lista az alábbiak szerint módosult:
1. hely: Sóhaj Sándor – 296 pont;
2. hely: Tóth József – 249 pont;
3. hely: Mihail Szolosenko – 188 pont;
4. hely: Répási István – 133 pont;
5. hely: Fóris József – 131 pont;
6. hely: Halász Zoltán – 123 pont;
7. hely: Kota István – 99 pont;
8. hely: Nagy Viktória – 76 pont;
9. hely: Kardos Zoltán – 62 pont;
10. hely: Nyiscsák Attila – 56 pont.
A versenybírák egyöntetű véleménye szerint a kupasorozat alatt legtöbbet fejlődő játékos Nyiscsák Attila volt, aki kiemelkedő teljesítményéért és küzdeni akarásáért a BeregSEK és a Beregszászi Polgármesteri Hivatal különdíjában részesült.
A győzteseknek járó elismeréseket Prodán János főszervező, illetve Fekete László, a Beregszászi Polgármesteri Hivatal Közoktatási, Ifjúsági és Sportfőosztályának vezetője adta át. Prodán János köszönetét fejezte ki Répási István főbírónak, versenyzőnek, Kota István bírónak, versenyzőnek és mindazoknak, akik valamilyen formában hozzájárultak a verseny lebonyolításához.
A hosszú és fárasztó fordulóra való tekintettel a szervezőbizottság úgy döntött, hogy az összesített teljesítmény-ranglista további helyezettjei és különdíjasai a nekik járó okleveleket és kupákat szeptember 25-én (pénteken), az európai kultúra napja rendezvénysorozat keretein belül megrendezésre kerülő Beregszászi Asztalitenisz Open gálatorna eredményhirdetésén vehetik át.
A BeregSEK vezetői azon reményüknek adtak hangot, hogy a versenyekre való felkészülést továbbra is a Beregszászi 10. Sz. Középiskola sportcsarnokában folytathatják. Ennek megfelelően, a továbbiakban is keddenként és csütörtökönként tartanának foglalkozásokat.
A szervezők külön köszönetet mondanak a versenyzőknek, akik minden körülmények között igazi sportolókhoz méltó magatartást tanúsítottak, továbbá azért, hogy jelenlétükkel támogatták a sportrendezvényt.
A versenysorozat támogatásában és szervezésében aktív szerepet vállalt Babják Zoltán, Beregszász polgármestere. A verseny médiapartnerei voltak: a Pulzus FM 92.1, a Beregi Hírlap, a Kárpátinfo, a Kárpáti Igaz Szó és a Beregszász hetilap. A szervezők köszönik az edzések és a versenyek színvonalas lebonyolításához nyújtott támogatást Veres Péternek, a Beregszászi 10. Sz. Középiskola igazgatójának.
Répási István
Depuis le 1er septembre, la Gendarmerie nationale a une nouvelle « identité visuelle » après avoir remplacé son logo qui commençait à dater. Le nouveau, très stylisé, se veut le « symbole d’une institution moderne et en mouvement ». Il est assorti d’une signature, déjà en vogue dans les années 1990 : « Une force humaine ». La grenade « bois de […]
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Magyarország kijevi külképviseletének hathatós segítségével idén nyáron megállapodás született a Földművelésügyi Minisztérium (FM) és az ukrán Agrárpolitikai és Élelmiszerügyi Minisztérium között arról, hogy a Kárpátaljai területen végrehajtják a rókaveszettség-felszámolási programot.
Az FM tájékoztatása szerint a megállapodással az érintett kárpátaljai és magyarországi területek mindinkább védetté válnak a járványos betegséggel szemben.
A közlemény emlékeztet: a veszettség mind emberben, mind állatban halálos kimenetelű agy- és gerincvelő-gyulladást okoz. Mivel a tünetek jelentkezése után a betegséget gyógykezelni nem lehet, egyedüli védekezési mód a megelőzés, azaz a vakcinázás, amely a Kárpátalján élők védelmét is garantálja.
Ukrajnában a veszettség az elmúlt években – több száz háziállat és vadon élő állat halála mellett – emberi haláleseteket is okozott. Ezért kiemelt jelentőséggel bír, hogy már az ukrán országhatárokon belül sikerüljön megállítani a veszettség vírus terjedését – áll a közleményben. Így a kárpátaljai lakosság mellett Magyarország, illetve az Európai Unió területének védettsége is biztosítható.
A veszettség-felszámolási programban az Európai Unió is részt vállal. Társfinanszírozás keretében támogatja a vírus elleni vakcinák beszerzését, valamint annak kézi és repülőgépes kihelyezését Kárpátalján és a magyar határ mentén kijelölt, mintegy 10 ezer négyzetkilométeres területen.
A mostani megállapodás az idei vakcinázási kampányra vonatkozik, de várhatóan a következő évben is folytatódik, amire az Európai Unió társfinanszírozása is lehetőséget nyújt – olvasható a tárca tájékoztatásában.
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