1/ Schutz der Schengen Außengrenzen
Gewährleistung der Kontrolle der grünen Außengrenze gemäß des Schengen Borders Code und der Frontex-Verordnung (HU-SRB, HU-CRO): ca. 270 Mio. € im Jahr 2015, das entspricht 0,2 % des ungarischen BIP. Nur 1 % dieser Summe wurde von der EU kofinanziert, hier die im Stabilitäts- und Wachstumspakt vorgesehenen Flexibilität anzuwenden war nicht möglich)
Grenzpolizisten: 102 in Slowenien, 31 in Mazedonien und 30 in Serbien, Angebot für Bulgarien
Angebot über 85 Grenzpolizisten für Frontex in Griechenland und 3 Beamte (einschl. Fahrzeugen) für das EASO
2/ Ursachenbekämpfung
fast 1.000 Soldaten dienen in NATO-, UN- und EU-Missionen, mehrheitlich in Krisenregionen oder an Transportrouten
125 Soldaten sind im Irak im Einsatz (globale Koalition gegen ISIS) * 106 Soldaten sind im Einsatz in Afghanistan (NATO Resolute Support)
Teilnahme an anderen Missionen mit 2 bis 10 Soldaten und Beamten: EUNAVFORMED Sophia; EUTM Mali etc.
3/ Humanitäre Hilfe
Beteiligung am EU-Türkei Paket I bis 2019: 14,6 Mio. € frontloading, davon 2016 bereits 10 Mio. € (statt der vorgesehenen 4,3 Mio.)
Syria Recovery Trust Fund: bilaterales Angebot 3.000.000 € + 200.000 €
Africa Emergency Trust Fund: 700.000 €
Krankenhausprojekt in der Kriegszone: 5.000.000 € (Syria Pledging Conference) * World Food Programme: 377.000 € (eingezahlt)
andere UN und internationale Programme: ca. 1.200.000 € (z.B.: Peace Oasis youth center in Jordanien);
1.000 Betten für Griechenland
bilaterale Sachleistungen für Serbien, Mazedonien und Slowenien: 1.906.500 €
(+ 350.000 € humanitäre Hilfe für die Ukraine)
BOTSCHAFT VON UNGARN IN BERLIN·MARDI 24 MAI 2016
Stand: 24. Mai 2016
Quellen
Mexico was the first Latin American country to sign a partnership agreement with the EU (in 1997). The EU-Mexico Economic Partnership, Political Coordination and Cooperation Agreement, entered into force in 2000 and has considerably strengthened bilateral relations.
Longtemps opposée à ce principe, la Banque centrale du Nigeria a indiqué ce mardi son intention d'introduire un taux de change plus flexible pour la devise nationale le naira, qui est aujourd'hui arrimé au dollar américain. Les modalités de ce nouveau régime de change devaient être dévoilées dans les prochains jours.
Cet article Nigeria : la Banque centrale va introduire un régime de change plus flexible est apparu en premier sur JeuneAfrique.com.
Sous réserve des ratifications par ses membres de l’accord signé le 19 mai, le Monténégro devrait officiellement devenir le 29e membre de l’OTAN, à peine dix ans après son indépendance. Bien qu’un contingent monténégrin participe de façon volontaire à la mission de l’OTAN en Afghanistan, l’invitation faite au petit Etat balkanique (650.000 habitants) n’a pas vraiment de rapport avec les capacités militaires d’une armée comptant au total 2000 hommes. Elle prend en revanche tout son sens du point de vue de l’OTAN à trois niveaux.
D’abord, à l’échelle du Monténégro, on s’attend à ce que cette intégration, comprise en parallèle du processus d’intégration européenne, pousse le pays à se réformer non seulement militairement mais aussi au niveau de l’Etat de droit. La petite taille du Monténégro lui permet de passer à travers les gouttes malgré des dirigeants politiques (le Premier ministre Milo Djukanovic est au pouvoir depuis 25 ans) notoirement impliqués dans des affaires très obscures.
Ensuite, on estime que l’intégration des pays des Balkans au sein de l’OTAN réduit d’autant la possibilité d’un nouveau conflit dans la région. C’est tout le sens des appels du pied de l’organisation en direction de la Serbie, qui participe au programme de partenariat pour la paix mais n’envisage pas d’intégrer l’OTAN, moins de 20 ans après avoir été la cible de ses bombardements. Bien qu’un conflit soit aujourd’hui très improbable, on regarde avec inquiétude la Croatie se réarmer sous l’égide de l’OTAN pendant que la Serbie se fournit en armements du côté de la Russie afin de maintenir un équilibre des forces.
Enfin, cette intégration permet à l’OTAN de faire savoir qu’elle est toujours active et utile, un message à peine voilé envoyé à la Russie. Dans le contexte post-Ukraine dans lequel la Russie a eu recours à la force comme en Géorgie pour geler son étranger proche, chaque camp est pris dans un dilemme de sécurité. La Russie voit tout élargissement de l’OTAN comme une menace directe d’autant plus insupportable qu’elle méconnaît les promesses qui lui avaient été faites en 1991. De son côté, les membres de l’OTAN de l’Est de l’Europe comme la Pologne, la Roumanie et les pays baltes, sont de plus en plus inquiets de l’attitude belliqueuse de Moscou. L’activation récente d’une base de lancement de missiles en Roumanie doit se comprendre dans ce contexte.
La Russie a qualifié l’intégration du Monténégro dans l’OTAN de « provocation ». Le Monténégro et la Russie entretiennent en effet des relations très étroites tant les capitaux russes ont inondé la sublime côte monténégrine. Un tiers des sociétés enregistrées au Monténégro sont détenues par des capitaux russes, en particulier dans l’immobilier et le tourisme. Toutefois, il est fort probable que la réaction russe se contente d’être verbale puisque le Monténégro ne représente pas un enjeu vital pour Moscou, ni politiquement, ni économiquement, ni géographiquement. Au surplus, son principal atout dans les Balkans n’est pas tant le Monténégro que la Serbie.
Pour finir, du côté du Monténégro, l’intégration dans l’OTAN ne va pas de soi auprès de l’opinion publique. Les partis serbes pro-russes ont mené une intense campagne à la fois contre ce rapprochement, puis pour l’organisation d’un référendum sur la question, alors que les sondages montrent une opinion très divisée. L’inamovible Premier ministre Milo Djukanovic n’entend pas céder à cette requête et considère que les élections générales d’octobre prochain feront office de référendum. A condition qu’elles soient libres et sincères, ce qui est loin d’être garanti.