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Why Putin is finally dethroning Obama

Pravda.ru / Russia - Tue, 06/10/2015 - 11:43
The American government could obey senile and risible senator McCain and wage Third World War in Ukraine, in Syria, in a campus... But is it not that simple. The autumn of 2015: the decline of the United States becomes obvious with the Russian intervention in Syria, after four years of blood and chaos
Categories: Russia & CIS

« L’Algérie face aux changements »

Politique étrangère (IFRI) - Tue, 06/10/2015 - 10:21

Le journal La Croix a publié le 2 octobre dernier un article de Jean-Christophe Ploquin, consacré au dossier du numéro d’automne de Politique étrangère (3/2015) : « L’Algérie, nouvelle force régionale ? ».

« L’Algérie va-t-elle écrire une nouvelle page de son histoire ? Ce pays pivot du Maghreb va devoir négocier des changements majeurs dans les années à venir. Politiquement, la succession du président Abdelaziz Bouteflika, âgé de 78 ans et qui en est à son 5e mandat, devra être négociée. Économiquement, la rente pétrolière n’est plus garantie avec l’effondrement des prix des hydrocarbures. Diplomatiquement, le splendide non-alignement du pays, cultivé depuis l’indépendance, devient difficile face aux périls qui s’accumulent aux frontières.

Ce sont ces nombreux défis qu’examinent quatre auteurs dans le dossier consacré à l’Algérie par la revue Politique étrangère. Tous pressentent d’inéluctables évolutions mais s’interrogent sur la capacité du pays à les appréhender. »

Pour lire l’article de Jean-Christophe Ploquin dans son intégralité, cliquez ici.

5/10/15 : Intervention de Julien Gonzalez lors du colloque « Les français à l’étranger, un atout pour la France » organisé par Hélène Conway-Mouret, sénatrice représentant les Français établis hors de France

Fondapol / Général - Tue, 06/10/2015 - 09:41

Julien Gonzalez, auteur pour la Fondation pour l’innovation politique de la note Trop d’émigrés ? Regards sur ceux qui partent de France, est intervenu le lundi 5 octobre lors du colloque « Les français à l'étranger, un atout pour la France ».

Cet article 5/10/15 : Intervention de Julien Gonzalez lors du colloque « Les français à l’étranger, un atout pour la France » organisé par Hélène Conway-Mouret, sénatrice représentant les Français établis hors de France est apparu en premier sur Fondapol.

Baroness Neville-Jones: 'Data owners are not keeping up with sophisticated cyber crime'

DefenceIQ - Tue, 06/10/2015 - 06:00
Former Minister of State for Security and Counter Terrorism, Rt Hon Baroness Neville-Jones DCMG, will be chairing the Cyber Defence and Network Security conference in January. Ahead of the event, in an exclusive interview with Defence IQ she discusses government-level cyber security v
Categories: Defence`s Feeds

The future role of the submarine

DefenceIQ - Tue, 06/10/2015 - 06:00
Not since the Cold War has the world seen such a widespread interest and effort to build (or rebuild) submarine fleets. With littoral operations attracting more military activity and discussions over anti-access/area-denial (A2/AD) becoming more urgent, there appears to be a common bel
Categories: Defence`s Feeds

Mexico needs ‘the latest in high-tech intelligence and equipment’

DefenceIQ - Tue, 06/10/2015 - 06:00
Founder and President of the International Organization for Security and Intelligence (IOSI), Johan Obdola has over 25 years of experience in security and law enforcement at both a national and international level. His experience includes time spent as an intelligence officer,
Categories: Defence`s Feeds

Michel Onfray ou les dérives d'un antilibéral anti-européen

Coulisses de Bruxelles - Tue, 06/10/2015 - 00:11

Le 8 décembre 2006, je publiais dans Libération l’article qui suit, article critiquant une tribune de Michel Onfray parue dans le même journal. Cet article était une version plus courte d’un billet publié sur mon blog. A l’époque, Onfray était encore une vache sacrée de la gauche et de la gauche de la gauche: je voulais montrer tout ce que cette pensée nourrie d’antilibéralisme et d’europhobie avait de moisie et de réactionnaire. Neuf ans plus tard, ce texte que je républie ici, à l’occasion d’une «une» de Libération consacrée à ces nouveaux réac, annonçait déjà la dérive d’un «penseur» qui, désormais, se situe bien à la droite de De Gaulle... Michel Onfray, mais aussi Jacques Sapir ou encore Eric Zemmour, font la démonstration que le souverainisme, celui du «non» à la Constitution européenne, qu’il soit de gauche ou de droite, conduit presque inéluctablement au compagnonnage avec le FN. Le naufrage d’une certaine élite intellectuelle française (qui dénonce pourtant l’élitisme...) empêtrée dans ses contradictions et ses erreurs d’analyse.

L’appel lancé lundi, dans Libération, par Michel Onfray pour que la «gauche antilibérale», celle du non à la Constitution européenne, s’unisse et ne présente qu’un seul candidat ­ et non six ! ­ à l’élection présidentielle, est l’aveu d’un échec. Autant il est facile de s’opposer, autant il est difficile de construire et de proposer une alternative crédible.

On savait déjà que le non était divers, puisqu’il agrégeait l’extrême gauche, une partie de la gauche de gouvernement, la droite souverainiste et l’extrême droite. On sait désormais que le «non de gauche» est irréductible : tous Français, tous «antilibéraux», tous à la gauche de la gauche, mais tous incapables de s’entendre. On comprend le désespoir d’Onfray. Il est en tout cas certain qu’avec de tels leaders, l’Europe, avec ce que cela suppose de compromis, parfois douloureux, ne se serait jamais construite. Car, pour parvenir à bâtir pierre par pierre cette Union de bientôt vingt-sept Etats membres, il a fallu mettre d’accord des pays qui se sont fait la guerre durant des siècles, dont l’histoire est multiséculaire, les cultures éloignées, les langues diverses et les systèmes juridiques profondément différents. Et cela fait cinquante ans que cela fonctionne. Les leaders du non ont beaucoup à apprendre de l’Europe et de sa culture du compromis.

Au-delà de cet appel au «rassemblement», le texte d’Onfray mérite une attention particulière. Sa lecture est riche d’enseignements sur les ressorts du non à la Constitution européenne. Cet article est terrifiant par ce qu’il révèle du désordre idéologique d’une partie de la gauche radicale. D’Europe, il n’est guère question : Onfray reconnaît lui-même que le non de gauche s’explique par un rejet des «couleuvres du socialisme gouvernemental». Pour lui, «la gauche se mettait en position de constituer enfin une identité nouvelle loin du libéralisme des rejetons mitterrandiens et du stalinisme des déçus de l’Est». On est très loin de l’Europe. «L’écologie, le féminisme, la République, la laïcité, la nation, les régions, les minorités, l’antiracisme, la province, le peuple»... On est là dans le seul cadre de l’Etat-nation. Pour Onfray, la gauche «qui a voté non à cette Constitution rédigée par le président Giscard d’Estaing» (c’est inexact, mais ça permet de souligner son travers «libéral»), «c’est celle que nous avons le devoir de construire». Voilà, c’est dit : le référendum n’était pas une affaire européenne, c’était une affaire nationale, un levier pour bâtir une autre gauche et, à terme, une nouvelle communauté nationale.

Ses détestations et ses préférences sont fascinantes. Mitterrand est définitivement «vichyste» et haïssable, mais le communisme lavé de ses crimes. Plus loin, il rend hommage à la Révolution française, pas à celle de 1789, à celle de 1793 et à ses «valeurs démocratiques». 1793, c’est effectivement la Constitution la plus démocratique jamais adoptée en France, mais elle ne fut jamais appliquée, Robespierre et ses amis l’ayant remisée au placard pour proclamer la Terreur. 1793, c’est aussi la nation en armes assiégée par une Europe qui rejette la Révolution française. La référence n’est pas anodine dans le débat constitutionnel. Il est vrai que la démocratie, selon Onfray, a un sens particulier. Il propose que les prétendants de la gauche radicale se réunissent autour d’une table et votent entre eux pour désigner leur porte-drapeau ! Pas question d’un vote citoyen comme l’ont osé les socialistes, mais une réunion à huis clos d’un bureau politique autoproclamé.

Plus inquiétant encore : si la gauche radicale doit s’organiser, c’est pour promouvoir ses valeurs, en particulier «restaurer le sens de l’intérêt général et du bien public». Le mot «restaurer» est important et revient quelques lignes plus loin : il faut imposer la «restauration d’un service public», dit Onfray. S’il faut restaurer et non instaurer, cela veut dire que, dans le passé, les choses ont mieux fonctionné. Il faut donc remonter dans le temps pour retrouver cet âge d’or. Onfray nous livre la clef de sa nostalgie en stigmatisant le «libéralisme que droite et gauche incarnent en se succédant au pouvoir depuis Pompidou». Donc le libéralisme a corrompu la société française à la mort de Pompidou, en 1974. Cette France aux valeurs restaurées, celle du «bien public», celle de la communauté nationale revivifiée serait donc celle des Trente Glorieuses, celle de «l’Etat UDR» triomphant, celle qui a débouché sur Mai 68 ? Le voilà donc, cet «avant», cette nostalgie qui fouaille Onfray. De Gaulle et Pompidou, c’était avant la corruption par l’Europe, cette Europe «inventée» par le libéral VGE et le «vichyste» Mitterrand, celle du Marché unique.

Cette nostalgie passéiste, cette affirmation que la communauté nationale a été corrompue par l’Europe libérale, cette pensée enfermée dans le cadre national, ces références constantes au peuple (il parle de «gens modestes») supposé plus pur que les «élites», voilà un cocktail pour le moins détonant de la part de quelqu’un qui prétend incarner un renouveau de la gauche radicale.

Categories: Union européenne

Study - Workshop: Dual use export controls - PE 535.000 - Committee on Civil Liberties, Justice and Home Affairs - Subcommittee on Security and Defence - Committee on Industry, Research and Energy - Committee on Legal Affairs - Subcommittee on Human...

Although EU Regulation 428/2009 setting up a Community regime for the control of exports, transfer, brokering and transit of dual-use items system is in line with the main export control regimes and is seen as a model for others to follow, there are a number of ways in which the regulation could be enhanced and refined. Part One outlines the current state of play, purpose and implementation of the current regulation. In Part Two, against the backdrop of the European Commission's reform proposal, the effectiveness of the EU's dual-use export controls regime is explored further with regard to its potential contribution to international, national and human security, as well as their impact on EU economic and trade interests. The study concludes that the system’s effectiveness could be improved in a number of ways, but that this requires an effort to mobilise political will at different levels and across different institutions within the EU and its Member States, and to enhance human resources, cooperation and capacity-building. The European Parliament should also give consideration on a regular basis to issues relating to the scope and implementation of the regulation, in order to ensure that the objectives continue to be achieved.
Source : © European Union, 2015 - EP
Categories: Europäische Union

Study - Workshop: Dual use export controls - PE 535.000 - Committee on Civil Liberties, Justice and Home Affairs - Subcommittee on Security and Defence - Committee on Industry, Research and Energy - Committee on Legal Affairs - Subcommittee on Human...

Although EU Regulation 428/2009 setting up a Community regime for the control of exports, transfer, brokering and transit of dual-use items system is in line with the main export control regimes and is seen as a model for others to follow, there are a number of ways in which the regulation could be enhanced and refined. Part One outlines the current state of play, purpose and implementation of the current regulation. In Part Two, against the backdrop of the European Commission's reform proposal, the effectiveness of the EU's dual-use export controls regime is explored further with regard to its potential contribution to international, national and human security, as well as their impact on EU economic and trade interests. The study concludes that the system’s effectiveness could be improved in a number of ways, but that this requires an effort to mobilise political will at different levels and across different institutions within the EU and its Member States, and to enhance human resources, cooperation and capacity-building. The European Parliament should also give consideration on a regular basis to issues relating to the scope and implementation of the regulation, in order to ensure that the objectives continue to be achieved.
Source : © European Union, 2015 - EP

Putin's brilliant political moves create the new Middle East

Pravda.ru / Russia - Mon, 05/10/2015 - 21:07
Putin has had contacts with Erdogan, Netanyahu and other leaders of the region. Now we can see the result of those meetings. He has virtually created a core in the Middle East: from Syria to Kurdistan, to Iraq and then to Iran, to China. This brilliant political combination has created a completely new role for the Russian Federation in the world
Categories: Russia & CIS

L'Atlas qui montre le monde vu.... d'ailleurs

Blog Secret Défense - Mon, 05/10/2015 - 19:02
Pascal Boniface et Hubert Védrine publient leur Atlas du monde global
Categories: Défense

Professor Theodore Couloumbis writes on the Greek crisis in the Sunday edition of Kathimerini, 04/10/2015

ELIAMEP - Mon, 05/10/2015 - 15:02

You can read here the article on the Greek crisis written by Professor Emeritus and Member of the Board of Trustees of ELIAMEP Theodore Couloumbis. This commentary was published on 4 October 2015 in the Sunday edition of Kathimerini. The content is available in Greek.

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