Le Conseil national de la transition (CNT) du Mali a adopté à une écrasante majorité (130 voix pour, 2 contre) l'abrogation de deux textes majeurs : la charte des partis politiques (loi n°05-047) et la loi portant statut de l'opposition politique (n°2015-007).
C'était le lundi 12 mai 2025, rapportent nos confrères de Studio Tamani. Cette décision, saluée par le ministre délégué en charge des réformes politiques Mamani Nassiré, vise à poser les bases d'un nouveau cadre juridique adapté aux aspirations de souveraineté du peuple malien.
Le président de la commission loi, Souleymane Dé, a tenu à rassurer que l'abrogation « ne remet pas en cause la démocratie ni le multipartisme », mais permet à l'État d'arrêter la délivrance des récépissés en attendant une nouvelle législation.
Pour rappel, cette réforme intervient dans un contexte marqué par la suspension des activités politiques décidée en avril dernier et les inquiétudes exprimées par le Barreau du Mali et des experts de l'ONU, qui alertent sur une possible dérive autoritaire et appellent au respect de l'État de droit.
Lefaso.net
Source : Studio Tamani
Rapportée par Justice Infos Burkina le mardi 12 mai 2025, l'affaire a été jugée dans la cité de Sya. Karim (nom d'emprunt), fonctionnaire résidant au secteur 24 de Bobo-Dioulasso, a été condamné par le tribunal de grande instance pour abus de confiance.
Il avait reçu 2 100 000 francs CFA de son frère Issouf pour acheter du maïs destiné à approvisionner le commerce de son épouse.
Mais au lieu d'honorer sa mission, Karim a utilisé l'argent pour « se soigner, réparer sa moto…, et jouer aux jeux de hasard », a-t-il avoué à la barre.
Le tribunal l'a condamné à 12 mois de prison avec sursis, à une amende de 500 000 francs CFA et à rembourser la totalité de la somme à son frère, sous peine de passer 6 mois derrière les barreaux.
Lefaso.net
Source : Justice Infos Burkina
À l’approche du premier tour de l’élection présidentielle, prévu dimanche 18 mai, la droite polonaise est en pleine tourmente. La montée en puissance d’un mouvement d’extrême droite divise les conservateurs et suscite un débat plus large sur l’avenir politique du pays.
The post En Pologne, une extrême droite en pleine ascension bouscule la droite traditionnelle à la veille du scrutin présidentiel appeared first on Euractiv FR.
Justice Infos Burkina a rapporté le dimanche 11 mai 2025 un procès insolite mais révélateur d'une fraude bien rodée. Zaki (nom d'emprunt), habitué des combines numériques, a comparu devant le tribunal correctionnel de Bobo-Dioulasso pour escroquerie aggravée.
Son stratagème : utiliser de faux messages mobile money pour "payer" ses repas, notamment du poisson braisé. Pris en flagrant délit après avoir trompé un vendeur avec un faux transfert de 10 000 francs CFA, il a été arrêté sur place.
Déjà condamné à Banfora pour des faits similaires, Zaki a écopé cette fois-ci de 8 ans de prison ferme, de 4 millions de francs CFA d'amende, avec révocation de ses anciens sursis. Face au tribunal, il a plaidé la faim. Mais le juge a vite tranché : « Quand on a faim, ce n'est pas du poisson braisé qu'on va chercher à manger ».
Lefaso.net
Source : Justice infos Burkina
Les grandes familles Kaboré, Wangrawa, Nana, Compaoré, Tapsoba, Tiendrébéogo, à Kokologho, Ouagadougou, Donsin, Bobo-Dioulasso, Côte d'Ivoire, France, USA, Canada, et ailleurs.
Les familles alliées Ilboudo, Gnémé, Baras, King, Zoundi, Ouédraogo, Yanogo, Kabré, Nana, Toé, Kiemtore, Hollingsworth, Clark, Traoré, Cianelli, Gyengani, et Gnankambary,
Ses enfants et petits enfants :
Marie-Abib, Luc, Olivia, Wilson, Abigael, et Amine Bernard
ont la profonde douleur de vous annoncer le décès de leur bien-aimée épouse, mère, grand-mère, soeur, tante, et amie, Mme Kaboré née Wangrawa Thérèse, épouse de feu Kaboré Bernard, décès survenu le Mercredi 7 Mai 2025, à Ouagadougou..
“Jesus dit : Je suis la résurrection et la vie celui qui croit en moi même s' il meurt vivra” (Jean 11:25)
Le programme des obsèques est le suivant :
Jeudi 15 Mai 2025 :
07H00 : Levée du corps de la morgue du CHU de Bogodogo ex CMA SECTEUR 30, puis transfert au domicile de la défunte à Bobo Dioulasso.
19H30 : Veillée de prière au domicile de la défunte sis à Lafiabougou, (Route de Orodara est impraticable, suivre la route de Banfora).
Vendredi 16 Mai 2025 :
08H30 : Levée de la dépouille mortelle de la maison de la défunte.
09H00 : Messe/Absoute à la paroisse St Jean Paul II de Lafiabougou, suivie de l'enterrement au cimetière municipal de Bobo (en face du Camp Ouezzin Coulibaly).
La Commission a affirmé lundi 12 mai que la lettre envoyée par Stéphane Séjourné aux autorités tchèques ne constituait pas une demande de suspension du contrat nucléaire entre Prague et le sud-coréen KHNP. Pourtant, il y invite explicitement le ministre tchèque de l’Industrie à ne pas signer l’accord.
The post Nucléaire tchèque : des questions se posent sur la lettre du commissaire français appeared first on Euractiv FR.
En marge de la célébration du 80e anniversaire de la Grande victoire russe, le président du Faso, le capitaine Ibrahim Traoré, a rencontré, le samedi 10 mai 2025 en soirée, le personnel de l'ambassade du Burkina Faso à Moscou.
Saluant les efforts déjà fournis, le chef de l'État a félicité l'équipe diplomatique pour son engagement dans le renforcement des relations bilatérales avec la Russie et la valorisation de l'image du pays des hommes intègres.
« Véhiculez la bonne image du Burkina Faso à travers la promotion de nos valeurs », a-t-il lancé, appelant à une diplomatie fondée sur le patriotisme, l'intégrité et la fierté nationale.
Lefaso.net
Source : Présidence du Faso
The Colombian government’s response to the Venezuelan displacement crisis has largely been lauded for its efforts to support displaced persons by granting legal residency. However, this comes with challenges, as resources at the local level are strained. These challenges can be understood through the lens of social cohesion, which encompasses a sense of belonging, trust, the common good, shared values, identity and, at its core, inequality. By examining the case of Colombia, this research provides context-specific findings that potentially deepen our understanding of social cohesion in displacement contexts. In a very short period, Colombia has received more than 3 million displaced Venezuelans. The government of Colombia responded to this displacement with open-door policies that included large regularisation programmes. In response, Colombians have learnt to live with Venezeulans in relative harmony, despite the structural economic and social issues affecting the communities.
Looking to the future of developing greater social cohesion in the context of Venezuelan displacement in Colombia, the research points to four main themes. Investments in civic education and support with integration at the local level can help Venezuelans and host communities better understand one another’s social and economic realities in the present and future. This is key since Venezuelans struggle to understand the long-standing Colombian conflict and how the violence permeates the society and their communities. Engaging with local peacebuilding actors can help develop a shared understanding about violence in Colombia, both for Venezuelans and host communities. While xenophobia and discrimination have diminished over time, policy-makers should build on the local efforts that have helped tamp down xenophobia. Finally, the media has an important role in spreading xenophobic narratives about migrants harming social cohesion in the communities. These narratives can have a toxic effect on building social cohesion in host communities, and leaders need to push back against these messages.
Dr Stephanie López Villamil is an independent consultant.
The Colombian government’s response to the Venezuelan displacement crisis has largely been lauded for its efforts to support displaced persons by granting legal residency. However, this comes with challenges, as resources at the local level are strained. These challenges can be understood through the lens of social cohesion, which encompasses a sense of belonging, trust, the common good, shared values, identity and, at its core, inequality. By examining the case of Colombia, this research provides context-specific findings that potentially deepen our understanding of social cohesion in displacement contexts. In a very short period, Colombia has received more than 3 million displaced Venezuelans. The government of Colombia responded to this displacement with open-door policies that included large regularisation programmes. In response, Colombians have learnt to live with Venezeulans in relative harmony, despite the structural economic and social issues affecting the communities.
Looking to the future of developing greater social cohesion in the context of Venezuelan displacement in Colombia, the research points to four main themes. Investments in civic education and support with integration at the local level can help Venezuelans and host communities better understand one another’s social and economic realities in the present and future. This is key since Venezuelans struggle to understand the long-standing Colombian conflict and how the violence permeates the society and their communities. Engaging with local peacebuilding actors can help develop a shared understanding about violence in Colombia, both for Venezuelans and host communities. While xenophobia and discrimination have diminished over time, policy-makers should build on the local efforts that have helped tamp down xenophobia. Finally, the media has an important role in spreading xenophobic narratives about migrants harming social cohesion in the communities. These narratives can have a toxic effect on building social cohesion in host communities, and leaders need to push back against these messages.
Dr Stephanie López Villamil is an independent consultant.
The Colombian government’s response to the Venezuelan displacement crisis has largely been lauded for its efforts to support displaced persons by granting legal residency. However, this comes with challenges, as resources at the local level are strained. These challenges can be understood through the lens of social cohesion, which encompasses a sense of belonging, trust, the common good, shared values, identity and, at its core, inequality. By examining the case of Colombia, this research provides context-specific findings that potentially deepen our understanding of social cohesion in displacement contexts. In a very short period, Colombia has received more than 3 million displaced Venezuelans. The government of Colombia responded to this displacement with open-door policies that included large regularisation programmes. In response, Colombians have learnt to live with Venezeulans in relative harmony, despite the structural economic and social issues affecting the communities.
Looking to the future of developing greater social cohesion in the context of Venezuelan displacement in Colombia, the research points to four main themes. Investments in civic education and support with integration at the local level can help Venezuelans and host communities better understand one another’s social and economic realities in the present and future. This is key since Venezuelans struggle to understand the long-standing Colombian conflict and how the violence permeates the society and their communities. Engaging with local peacebuilding actors can help develop a shared understanding about violence in Colombia, both for Venezuelans and host communities. While xenophobia and discrimination have diminished over time, policy-makers should build on the local efforts that have helped tamp down xenophobia. Finally, the media has an important role in spreading xenophobic narratives about migrants harming social cohesion in the communities. These narratives can have a toxic effect on building social cohesion in host communities, and leaders need to push back against these messages.
Dr Stephanie López Villamil is an independent consultant.
Les parents des dizaines de jeunes décédés mi-mars dans le dramatique incendie de la discothèque Pulse à Kočani continuent de descendre dans la rue pour faire entendre leur quête de justice. Soutenus par de nombreux Macédoniens, ces proches dénoncent un « système » criminel rongé par la corruption.
- Articles / Osservatorio Balcani e Caucaso, Macédoine du Nord, Société, PolitiqueLes parents des dizaines de jeunes décédés mi-mars dans le dramatique incendie de la discothèque Pulse à Kočani continuent de descendre dans la rue pour faire entendre leur quête de justice. Soutenus par de nombreux Macédoniens, ces proches dénoncent un « système » criminel rongé par la corruption.
- Articles / Osservatorio Balcani e Caucaso, Macédoine du Nord, Société, Politique