When Donald Trump picked JD Vance as his running mate, he whiffed. Overconfident in victory, he doubled down on the MAGA base. Has Kamala Harris now made the same mistake in choosing the sixty-year-old Minnesota Governor Tim Walz, a hero to the progressive wing of the Democratic party who popularized the term “weird” to describe Trump and co.?
Pundits such as Jonathan Chait are fretting that Harris missed an opportunity to move to the center. “What the selection does,” he wrote, “is forfeit her best opportunity to send a message that she is a moderate.” But there are good reasons to suspect that Walz, whose hard-hitting, no-nonsense, straight-talking speaking style has turned him into a social media sensation, might be able to compensate for some of Harris’ weaknesses in attracting voters in the Midwest.
Walz, who was born in 1964, grew up in Nebraska. After moving to Minnesota in the 1990s, he taught social studies at Mankato West High School and coached the football team, which won several championships. Walz has served in the National Guard for several decades and went on to push for veterans’ benefits. He has also served multiple terms in Congress, where he voted against intervening in Syria in 2013. He has also called for a “working” ceasefire in the Gaza war and should be able to bring many of those who voted “uncommitted” back into the Democratic fold. Choosing Pennsylvania Governor Josh Shapiro, by contrast, would have ensured that Harris had inflamed the disputes among Democrats surrounding Israel and the Gaza war.
Walz can speak effectively about the social issues that are proving to be an albatross around the Trump campaign’s neck—specifically, the issue of IVF. As Vance’s unbridled statements about women are being unearthed on what seems like almost a daily basis, Walz will surely focus on his own family’s experiences. He and his wife, Gwen, tried to have a child for seven years before fertility treatments finally succeeded. “It’s not by chance that we named our daughter Hope,” Walz has said. Vance voted against a Senate bill to protect IVF, prompting Walz to declare on MSNBC, “I don’t need him to tell me about my family. I don’t need him to tell me about my wife’s healthcare and her reproductive rights.” The only thing he and Vance apparently have in common is a taste for Diet Mountain Dew. Perhaps the loser of the election can send the winner a case of it.
No doubt Walz will be pummeled for the rioting that took place in May 2020 in the Twin Cities after the murder of George Floyd. The Trump campaign is licking its chops at the thought of depicting Harris and Walz as radicals who are unfit, if not incapable, of governing America. The rap on Walz is that when the Black Lives Matter riots took place, he froze, failing to send in the National Guard in a timely fashion to end the looting and violence. Walz needs to provide a clear and compelling account of why he waited three days to dispatch the National Guard—the best way to do that is probably by highlighting his own service in it. If he debates JD Vance, Trump’s running mate, this episode is sure to be a major line of attack.
Still, even as Walz and Vance joust, it’s reasonable to wonder whether any of it will really matter. Speaking at the National Association of Black Journalists convention last week, Trump himself responded to a question about Vance by observing, “Historically, the vice-president—in terms of the election—does not have any impact. I mean, virtually no impact.” It’s not clear that it will be any different in 2024 than in the past.
Jacob Heilbrunn is editor of The National Interest and is a nonresident senior fellow at the Atlantic Council’s Eurasia Center. He has written on both foreign and domestic issues for numerous publications, including The New York Times, The Washington Post, The Wall Street Journal, Financial Times, Foreign Affairs, Reuters, Washington Monthly, and The Weekly Standard. He has also written for German publications such as Cicero, Frankfurter Allgemeine Zeitung, and Der Tagesspiegel. In 2008, his book They Knew They Were Right: the Rise of the Neocons was published by Doubleday. It was named one of the one hundred notable books of the year by The New York Times. He is the author of America Last: The Right’s Century-Long Romance with Foreign Dictators.
Image: Rebekah Zemansky / Shutterstock.com.
Le ministre des sports, de la jeunesse et de l'emploi, Boubakar Savadogo, a procédé ce 6 août 2024, au lancement des épreuves théoriques pour l'obtention du Brevet professionnel de technicien (BPT), au centre de formation professionnelle et de référence de Ziniaré. Les épreuves vont se dérouler du 6 au 13 août 2024, dans deux chefs-lieux de régions que sont Bobo-Dioulasso et Ziniaré. Pour la session 2024, ce sont au total 780 candidats qui ont été enregistrés.
Il est environ 7h, lorsque le ministre des sports, de la jeunesse et de l'emploi, Boubakar Savadogo, déchire l'enveloppe contenant le premier sujet auquel seront soumis les 38 candidats du jury 1, qui composent pour le BPT du métier de pâtissier. L'épreuve à traiter sur deux heures, porte sur les sciences appliquées à l'hygiène, à l'alimentation et aux équipements. Après avoir dispatché les sujets aux candidats, Boubakar Savadogo leur a souhaité bonne chance, tout en les exhortant à la concentration dans le traitement du sujet.
Boubakar Savadogo a distribué les épreuves aux candidatsLes candidats qui, pour la plupart, affichaient une certaine sérénité, se disent confiants quant à l'issue des épreuves. Jean Kagambega, candidat, confie avoir trouvé le premier sujet à sa portée. « Tout se passe bien dans l'ensemble, nous avons appris nos leçons et nous espérons des résultats positifs. Nous avons déjà franchi la phase pratique au cours de laquelle nous avons appris à faire des cakes, des génoises, des langues de chat, etc. La matière que nous venons de découvrir, nous pouvons dire qu'elle est abordable et nous espérons vraiment sortir gagnants », a-t-il laissé entendre.
Le ministre des sports, de la jeunesse et de l'emploi, a prodigué des conseils aux candidats avant le début de la compositionLe lancement de cette épreuve par le premier responsable du département de la jeunesse et de l'emploi, marque le top départ de la composition des épreuves théoriques pour l'obtention du Brevet professionnel de technicien. Il faut noter que les épreuves pratiques ont déjà été administrées. Les 780 candidats sont répartis dans douze jurys, pour la certification dans treize métiers. Ce sont agent de ligne télécom, électromécanicien, chef de chantier, câbleur des installations domestiques et industrielles, développeur d'application, électronicien de maintenance, technicien de maintenance automobile, métreur vérificateur, monteur/dépanneur des équipements de froid industriel et climatisation centralisée, technicien en réseau et maintenance informatique, installateur des systèmes solaires photovoltaïques, pâtissier et opérateur de machines-outils.
Jean Kagambega, candidat, espère tirer son épingle du jeuA en croire le ministre Boubakar Savadogo, ces examens sont organisés pour non seulement mettre l'accent sur l'apprentissage des métiers mais aussi pour permettre à l'économie nationale de disposer de main d'œuvre qualifiée. « Beaucoup de jeunes ont des diplômes mais ont des difficultés à s'insérer professionnellement. Pourtant, notre économie a besoin de beaucoup de main d'œuvre qualifiée pour pouvoir prendre son envol. C'est dans ce cadre que ces certifications sont organisées », a-t-il expliqué.
Ils sont au total 38 candidats à la quête du brevet professionnel de technicien du métier de pâtissier au jury 1Boubakar Savadogo a laissé entendre que son département ministériel va s'atteler à faire évoluer le nombre de métiers disposant de certification. « Nous avons déjà entamé un répertoire de métiers dans différents secteurs économiques. Nous avons pu identifier 15 secteurs économiques prioritaires et nous sommes en train d'élaborer ce répertoire. Dans le secteur de l'artisanat par exemple, ce sont plus de 300 métiers qui ont été répertoriés et le décret va bientôt passer avec notre collègue du ministère de l'Artisanat. Il y a également les métiers du sport qui sont presque finalisés. Nous allons ensuite nous intéresser aux métiers de la télécommunication, du numérique, de l'agriculture, de l'élevage et ainsi de suite », a-t-il fait savoir. Le but de la manœuvre, est de permettre aux jeunes d'apprendre et d'exercer des métiers, et non d'engranger seulement des diplômes.
La proclamation des résultats du BPT est prévue pour le 13 août 2024.
Armelle Ouédraogo
Lefaso.net
Ce mardi 6 août 2024 se tient à Ouagadougou, un forum national sur la santé sexuelle et reproductive des adolescent-e-s et des jeunes sous le thème : « Enjeux de l'éducation à la vie familiale et les croyances, les pratiques socioculturelles et les tabous qui affectent la santé sexuelle et reproductive des adolescent-e-s et des jeunes ». Ce forum se tient dans le cadre de la mise en œuvre des projets « Ado Avance Ensemble » et Stream 2 : « Youth in Action »
Selon l'enquête démographique et de santé de l'année 2020, 12% des adolescentes de 15 à 19 ans sont déjà mères ou enceintes de leur premier enfant. Le taux de prévalence contraceptive moderne chez les jeunes femmes de 15 à 24 ans n'est que de 21%. Et selon une enquête menée au cours de l'année 2021 par l'ABBEF, seulement 30% des adolescent-e-s et jeunes de 15 à 24 ans ont des connaissances adéquates en matière de santé sexuelle et reproductive et le taux de prévalence des infections sexuellement transmissibles chez les jeunes de 15 à 24 ans atteint 6%.
Le forum réunit aussi bien des jeunes, que des leaders coutumiers et religieux, des responsables d'organisations de jeunes, des leaders d'opinions et des représentants des ministères concernés par la question de la santé sexuelle et reproductive des jeunes.Ces chiffres comme le souligne Saïbou Kaboré, président du Conseil d'administration de l'ABBEF, « témoignent de l'urgence d'une action collective et concertée pour améliorer l'éducation à la vie familiale et l'accès des jeunes aux services de santé sexuelle et reproductive ». Et c'est ce à quoi répond ce forum organisé par l'ABBEF dans le cadre de la mise en œuvre des activités des projets Ado Avance Ensemble et Youth in Action financés par l'Union européenne à travers Rutgers International et IPPF. L'objectif du projet Ado Avance Ensemble est de permettre aux adolescent-e-s vulnérables (10-19 ans) d'exercer pleinement leurs droits sexuels et reproductifs dans des sociétés qui répondent mieux à leurs besoins en la matière. Le programme Stream 2 : Youth in Action, est lui, destiné à accroître la participation et la collaboration d'organisations et de réseaux progressistes de la jeunesse, ainsi que de représentants de jeunes dans toute leur diversité, en particulier ceux en marge de la société.
Saïbou Kaboré, président du Conseil d'administration de l'ABBEF souligne que ce forum est l'occasion de discuter du faible accès aux services de santé sexuelle et reproductive, des croyances, pratiques culturelles et tabous qui affectent la santé sexuelle des adolescent-e-s et des jeunes.Ce forum qui réunit des jeunes, des leaders d'opinion, des leaders coutumiers et religieux, des parents, des représentants des ministères de la Santé, de la Jeunesse, de l'Education, de l'Action humanitaire, sera l'occasion de discuter du faible accès aux services de santé sexuelle et reproductive, des croyances, pratiques culturelles et tabous qui affectent la santé sexuelle des adolescent-e-s et des jeunes. « Les tabous sont pesants sur la santé sexuelle et reproductive des jeunes. Nous savons tous qu'il y a des pratiques qui freinent l'épanouissement des jeunes, il y a l'information qui est souvent difficile à donner suivant les cultures, d'autres ne sont souvent pas vérifiées, ce sont des préjugés. Et comme on le dit, les préjugés, il faut les déconstruire », a laissé entendre le président du Conseil d'administration de l'ABBEF, Saïbou Kaboré.
Photo de famille.Le forum sera donc le lieu d'identifier les pratiques socioculturelles qui affectent la santé des adolescent-e-s ainsi que leurs comportements et prise de décision en matière de santé sexuelle et reproductive, de susciter le débat autour de ces questions et de proposer des pistes de solutions. Le forum permettra également d'identifier les préoccupations et les besoins spécifiques des adolescent-e-s et jeunes en matière de santé sexuelle et reproductive, de faire l'état des lieux de l'Éducation à la vie familiale (EVF) au Burkina Faso, d'identifier les obstacles liés à la dissémination de l'EVF, de faire un aperçu de l'impact de l'EVF au niveau éducatif et au niveau communautaire et de faire un plaidoyer national pour l'insertion des thématiques de l'EVF dans les curricula. « Nous ouvrirons des débats constructifs, identifierons les besoins spécifiques des jeunes et travaillerons ensemble pour déterminer le rôle de chaque acteur dans l'amélioration de la santé sexuelle et reproductive des adolescent-e-s et des jeunes. Notre objectif est de garantir à chaque jeune l'accès à une éducation à la vie familiale et à des services de santé adaptés à leurs besoins », déclaré M. Kaboré.
Dr Albert Hien souhaite l'insertion du module sur l'éducation à la vie familiale dans les curricula nationaux afin de donner aux jeunes, les connaissances et les outils nécessaires pour prendre des décisions éclairées et responsables concernant leur santé et leur vie.Dr Albert Hien, représentant la directrice de la santé de la famille, a salué la tenue de ce forum sur la santé sexuelle et reproductive des jeunes. Il a indiqué que ce forum se veut une plateforme pour plaider en faveur de l'intégration ou de l'insertion des thématiques de l'éducation à la vie familiale dans les curricula nationaux. Une telle intégration, dit-il, « permettra de sensibiliser et d'éduquer les adolescents et les jeunes dès le jeune âge, leur offrant ainsi les connaissances et les outils nécessaires pour prendre des décisions éclairées et responsables concernant leur santé et leur vie ».
Justine Bonkoungou
Lefaso.net
(Ouagadougou, 6 août 2024). Le Président du Faso, le Capitaine Ibrahim TRAORE a présidé ce mardi matin, la cérémonie de montée des couleurs au palais présidentiel de Koulouba. A l'occasion, il a invité le personnel de la Présidence du Faso à s'investir davantage et à œuvrer, chacun dans son domaine, pour l'avènement d'une indépendance réelle de notre pays.
Cette montée des couleurs intervient deux jours après la célébration de l'avènement de la Révolution d'août 1983 qui a permis, aux fils et filles du Burkina Faso, d'amorcer la marche vers une indépendance réelle. Pour le Chef de l'Etat, les changements notables intervenus le 4 août 1984 (changements du nom du pays de Haute-Volta à Burkina Faso, de l'hymne national, du drapeau et des armoiries) ont été un signal fort de la quête d'une souveraineté totale. « C'était un espoir de pouvoir donner un souffle nouveau à notre pays », a souligné le Chef de l'Etat.
Evoquant le 5 août 1960, date de la proclamation de l'indépendance de notre pays, le Président du Faso a exhorté le personnel de l'Institution et l'ensemble des Burkinabè à contribuer à l'avènement d'un Burkina Faso réellement indépendant. « Je souhaite que chacun puisse travailler et faire en sorte que l'année prochaine à cette même période, nous puissions célébrer l'indépendance réelle que nous sommes en train de nous battre aujourd'hui pour acquérir », a-t-il indiqué. Pour y parvenir, le Capitaine Ibrahim TRAORE invite à plus d'engagement et de sacrifice car, dit-il, « l'indépendance ne se donne pas, ça s'arrache ».
Le Chef de l'Etat s'est également exprimé sur les rumeurs de tentatives de déstabilisation véhiculées depuis quelques semaines. « Les informations sont réelles », a confirmé le Président du Faso qui dit être bien conscient que de tels projets ne cesseront pas au regard de la lutte actuelle menée pour la libération du pays. Ces projets de déstabilisation procèdent non seulement d'une guerre communicationnelle alimentée par la désinformation mais aussi d'une guerre économique en passant par des plans d'assassinats ciblés et d'attaques lâches au sein des FDS et des acteurs de la veille citoyenne.
« Nous avons suivi effectivement le déroulement de leur plan et l'assaut final devrait avoir lieu à travers un recrutement d'agents à l'intérieur de nos rangs. Nous avons contenu la situation », a soutenu le Capitaine Ibrahim TRAORE. Selon lui, certaines personnes ont été arrêtées dans cette affaire de subversion et de projets d'attaques. Parmi elles se trouvent des FDS en complicité avérée avec des terroristes et des officiers qui manipulent depuis l'extérieur.
Mettant en garde les auteurs et commanditaires de ces projets de déstabilisation, le Capitaine Ibrahim TRAORE a invité le peuple burkinabè à la sérénité. « Nous maîtrisons la situation. Nous n'allons pas hésiter un seul instant à agir comme il le faut pour l'intérêt supérieur du Burkina Faso », a-t-il martelé.
Direction de la Communication de la Présidence du Faso
En fin de visite au Burkina Faso, première étape de sa tournée au Sahel, le secrétaire général de la Fédération internationale des sociétés de la Croix-Rouge et du Croissant-Rouge (FICR), Jagan Chapagain, a accordé, dans la soirée du vendredi 2 août 2024 à Ouagadougou, une interview exclusive à votre journal en ligne Lefaso.net. Dans cette interview, il fait le point de sa visite. Lisez-plutôt !
Lefaso.net : Vous entamez une tournée au Sahel en commençant par le Burkina Faso, dans quel cadre se situe cette visite ?
Jagan Chapagain : Effectivement, je suis en tournée au Sahel, une région qui fait face à de multiples défis qui nécessitent une attention particulière. J'ai démarré ma mission au Burkina Faso, afin de voir les activités menées par la Croix-Rouge burkinabè et comment la Fédération internationale des sociétés de la Croix-Rouge et du Croissant-Rouge (FICR) collabore avec elle pour répondre aux défis humanitaires qui se posent dans le pays. Au cours de ma visite, j'ai eu l'opportunité de rencontrer certaines autorités gouvernementales, dont le Premier ministre, avec qui nous avons discuté des défis humanitaires dans la région et dans le pays, et des perspectives que nous avons au niveau de notre réseau sur ces questions. Cette rencontre m'a également offert l'occasion de leur réaffirmer notre engagement à renforcer le partenariat que nous avons avec la Croix-Rouge burkinabè afin de répondre plus efficacement aux défis humanitaires dans le pays.
Justement concernant votre rencontre avec les autorités gouvernementales, de quels sujets avez-vous discutés avec elles ?
Comme j'ai eu à le mentionner, avec les autorités, nous avons eu à parler de la situation humanitaire et le travail que mène la Croix-Rouge burkinabè dans le pays. C'était aussi l'occasion pour moi de réaffirmer mon engagement et celle de mon organisation auprès des autorités, à soutenir les efforts inlassables de la Croix-Rouge burkinabè, qui d'ailleurs se focalisent strictement à répondre aux besoins humanitaires des communautés. Mais au-delà de ces aspects, nous avons eu l'occasion d'aborder aussi les questions sanitaires et c'est d'ailleurs dans ce cadre que s'est située ma visite au centre d'appel d'urgence du CORUS, mis en place par le ministère de la Santé et appuyé par la Croix-Rouge burkinabè. Nous avons échangé sur divers autres sujets. Entre autres, nous avons eu à discuter des chocs climatiques et comment ils affectent la vie des communautés, en fragilisant leurs moyens d'existence.
La question des jeunes a été également au cœur de nos discussions, notamment la question de leur engagement dans les questions humanitaires et comment, nous pouvons mieux les renforcer afin qu'ils soient de véritables agents de changement ; ils peuvent constituer une force pour contribuer à mieux répondre aux besoins humanitaires qui se posent dans le pays. Et le dernier point que nous avons eu à évoquer, c'est la question des personnes déplacées internes et comment la Croix rouge burkinabè travaille à apporter son soutien à ces personnes.
A l'instar des autres pays du Sahel, le Burkina est confronté à plusieurs catastrophes, notamment les inondations, l'insécurité alimentaire, les vagues de chaleur, le changement climatique, etc. Qu'est-ce que votre organisation fait et comment elle soutient la Croix-Rouge burkinabè dans la réduction des vulnérabilités ?
Notre mode opératoire partout dans le monde, c'est de travailler avec les sociétés nationales de la Croix-Rouge et du Croissant-Rouge. Ici au Burkina, nous travaillons avec la Croix-Rouge burkinabè. Donc, nous n'imposons rien et notre rôle auprès des sociétés nationales, c'est d'apporter notre soutien à leurs programmes, à travers notamment des appuis techniques et financiers. Nous leur apportons également notre expertise qui leur permet de mieux répondre aux défis qui se posent au niveau global et dans leur contexte, et de mettre en place des programmes qui répondraient, au mieux, aux besoins des communautés.
On sait que votre organisation fait déjà beaucoup pour le Burkina Faso, mais les défis restent énormes. Est-ce qu'en termes de soutien, vous prévoyez d'augmenter le portefeuille ?
Bien sûr, nous allons mettre à l'échelle l'appui que nous apportons à la Croix-Rouge burkinabè, afin qu'elle puisse être en mesure de faire face aux besoins qui changent et qui évoluent et de pouvoir répondre rapidement et efficacement à des situations de catastrophes qui se posent dans le pays. Et pour cela, nous avons des mécanismes en la matière.
A titre d'exemple nous avons le DREF (le fonds d'urgence pour les réponses aux catastrophes) mais au-delà de cela, nous avons d'autres mécanismes, comme par exemple ceux liés au climat et à l'action anticipatoire qui visent à donner des moyens aux sociétés nationales afin qu'elles mettent en place des mesures visant à réduire l'impact des catastrophes et de s'attaquer à la racine, aux problèmes issus du changement climatique. L'autre point important, c'est notre engagement indéfectible à renforcer tous ces paquets pour développer les sociétés nationales, y compris la Croix-Rouge burkinabè.
Après avoir discuté avec les acteurs et constaté de visu les activités, quelle appréciation faites-vous du travail qui est fait sur place ?
Je suis impressionné par le travail effectué par la Croix-Rouge burkinabè. Il y a des secteurs qui ont particulièrement retenu mon attention, notamment son ancrage communautaire, mais également cette facilité à pouvoir s'engager avec les communautés pour définir ensemble des programmes et solutionner des situations, en mettant l'accent sur la résilience et l'autonomisation. Un autre fait important, c'est cette volonté à pouvoir travailler avec la jeunesse sur des questions humanitaires. Je salue ici, l'énergie et l'altruisme des volontaires et des jeunes qui sont des éléments clés de succès mais également le niveau d'intégrité de la société nationale qui permet de faciliter le travail de plaidoyer et de la mobilisation des ressources.
Quelles sont les perspectives de la Fédération internationale des sociétés de la Croix-Rouge et du Croissant-Rouge (FICR) au Burkina Faso au regard du contexte actuel ?
D'un côté, il y a les besoins humanitaires qui sont là et qui sont de plus en plus croissants et de l'autre côté, nous avons la Croix-Rouge burkinabè. Notre rôle en tant que Fédération, c'est de renforcer notre soutien à la société nationale afin qu'elle puisse faire plus et mieux par rapport à ces besoins humanitaires qui évoluent et de l'aider à bâtir des communautés plus fortes et plus résilientes. C'est à ce niveau que nous allons mettre l'accent.
Quel dernier mot avez-vous à l'endroit des populations burkinabè ?
J'ai un message particulier à adresser à la jeunesse, parce que nous vivons dans un contexte difficile, et face aux difficultés de la vie, elle peut perdre espoir. Et malheureusement, les difficultés ne peuvent pas manquer, c'est pourquoi j'aimerais inviter les jeunes, à transformer les difficultés auxquelles, ils sont confrontés, en opportunités, afin d'en tirer le meilleur parti, en essayant de mettre en avant des valeurs comme l'intégrité, l'engagement, la détermination, et la confiance en soi
Interview réalisée par Yvette Zongo
Lefaso.net
Dans le jargon du droit, l'information judiciaire renvoie à l'enquête menée par le juge d'instruction pour déterminer l'existence ou non d'une infraction, à travers la collecte des preuves, la recherche des personnes passibles de poursuites ou toute autre personne dont l'intervention peut conduire à la manifestation de la vérité. La diffusion de l'information judiciaire dans le cadre de la presse renvoie, elle, à l'ensemble des informations liées au procès pénal, transmises par les hommes de média à la population.
Cet exercice requiert beaucoup d'exigences car la diffusion de certaines informations peut mettre à mal la manifestation de la vérité. La publicité des débats, la communication à travers des communiqués, les conférences de presse, les avis de recherche, les interviews, etc. sont autant de canaux par lequel le journaliste peut obtenir l'information judiciaire. Et pour une bonne couverture médiatique, celui-ci se doit de respecter certaines règles en la matière.
La présomption d'innocence
Avant qu'un jugement ne soit rendu, toute personne poursuivie pour des faits, peu importe leur gravité, est présumée innocente. Ainsi, la clameur publique, l'horribilité des faits ou même la conviction personnelle du journaliste sur la culpabilité d'une personne dans le cadre d'une affaire, ne doivent aucunement l'emporter sur la présomption d'innocence. Cela pour dire que dans ses écrits, le professionnel de l'information se doit de respecter ce principe et ne jamais présenter les personnes poursuivies comme des criminels. « Lorsque celles-ci font l'objet d'un mandat d'arrêt, d'une arrestation ou de procédures judiciaires formelles, les journalistes peuvent les identifier, mais ils veilleront à ne pas les présenter comme des criminels. En l'absence de mandat d'arrêt ou de procédures judiciaires, les journalistes feront preuve de prudence avant de dévoiler l'identité de personnes soupçonnées, à moins que les soupçons ne soient le résultat d'un travail journalistique rigoureux visant à mettre au grand jour des actes répréhensibles », a laissé entendre Boureima Sawadogo, procureur du Faso, près le Tribunal de grande instance de Koudougou.
Les faits sont sacrés
Les faits dans le procès pénal renvoient à ce qui conduit les parties devant le juge. Ils ne doivent ni être tronqués, ni faire l'objet de modification de la part du journaliste. « Ils doivent être repris fidèlement dans leur contexte de sorte à être compréhensibles, sans en exagérer ou en diminuer la portée », précise Boureima Sawadogo. Toujours selon le professionnel, une rumeur ne doit faire l'objet d'une publication que si elle émane d'une source crédible, si elle est significative et utile pour comprendre un évènement. « Une rumeur n'est rien d'autre qu'une rumeur. Et dans le domaine judiciaire, la publication d'une rumeur est à proscrire, sauf dans le cas où elle est confirmée souvent par une personne habilitée à se prononcer sur la question, et surtout, quand elle a un intérêt pour la compréhension d'une affaire que le journaliste suit. Autrement, il faut totalement s'en abstenir. S'il s'agit d'une information publiée ou diffusée par un autre média, le journaliste doit identifier la source du média dans ses écrits. Il ne faut pas faire de plagiat », a conseillé le procureur.
Le journaliste devrait aussi respecter la vie privée des individusL'anonymat pour les suspects ou les accusés
Le suspect désigne la personne sur laquelle pèsent des suspicions sur la participation ou la commission d'une infraction. L'accusé quant à lui, désigne l'individu contre qui le juge d'instruction a retenu des charges dans le cadre d'un crime (infraction punie d'un emprisonnement de plus de 10 ans), aux fins d'être jugé par la chambre criminelle de la Cour d'appel.
Dans certaines affaires, il n'est pas rare de voir que le journaliste nomme expressément le suspect ou l'accusé. Ce qui est de l'avis du magistrat, maladroit. « Pour ce qui est des victimes, sauf exception, les journalistes peuvent dévoiler leurs noms, lorsqu'elles sont victimes d'accidents et d'actes criminels. C'est une information d'intérêt public. Cette divulgation est particulièrement importante quand la victime est un personnage public, ou quand les faits rapportés peuvent avoir des conséquences sur les responsabilités sociales ou les mandats publics des individus en cause. Quant aux victimes de délits sexuels et leurs proches, les journalistes doivent s'abstenir de les identifier, sauf dans des circonstances exceptionnelles », a ajouté Boureima Sawadogo.
Effectuer un devoir de suite
Après une décision rendue en première instance, le dossier ne s'arrête pas là. Il est possible que l'une des parties fasse appel de la décision. Et après l'arrêt rendu par la Cour d'appel, la Cour de cassation peut encore être saisie par l'une des parties, si elle s'estime insatisfaite, afin que l'affaire soit à nouveau jugée (cela sans compter les renvois à la Cour d'appel). Il arrive que certaines affaires soient couvertes par les journalistes, seulement au premier degré. Et selon le professionnel du droit, cette manière de couvrir les affaires, bien que non négligeable, ne permet pas à la population de savoir la vérité. « Lorsqu'un média a couvert une affaire où des individus ont été incriminés et traduits devant la justice, il doit suivre, dans la mesure du possible, le dossier jusqu'à son terme, et en faire connaître le dénouement à son public », a-t-il recommandé.
L'instruction est secrète
L'article 240-1 du code de procédure pénale dispose que : « Sauf dans les cas où la loi en dispose autrement et sans préjudice des droits de la défense, la procédure au cours de l'enquête et de l'instruction est secrète. Toute personne qui concourt à cette procédure est tenue au secret professionnel dans les conditions et sous les peines prévues par les dispositions du code pénal relatives aux révélations de secrets ». Cela pour dire que même si le journaliste a des informations au sujet de l'instruction et de l'enquête d'une affaire, il devrait se garder de les divulguer. « Il est interdit de divulguer les éléments contenus dans le dossier d'enquête, d'instruction et les pièces y afférentes ! Cette manière de faire vise à préserver la réputation et l'honneur de la personne mise en cause et donc la présomption d'innocence. Elle garantit aussi le respect de la présomption d'innocence. Les professionnels de la communication ne sont pas toujours personnellement tenus à la violation du secret de l'instruction, mais peuvent cependant être complices de ceux qui y sont tenus », a révélé le professionnel du droit.
Le respect de la personne humaine
Les journalistes, dans leurs écrits, peuvent faire mention de caractéristiques comme la race, la religion, l'orientation sexuelle, le handicap, etc. lorsqu'elles sont pertinentes. « Mais ils doivent en même temps être sensibles à la portée de leurs reportages », a insisté Boureima Sawadogo, avant de poursuivre en ces termes : « ils (parlant des journalistes), doivent éviter les généralisations qui accablent des groupes minoritaires, les propos incendiaires, les allusions non pertinentes à des caractéristiques individuelles, les préjugés et les angles de couverture systématiquement défavorables qui pourraient attiser la discrimination. Ils seront particulièrement attentifs à ce qui pourrait provoquer des réactions racistes, sexistes, homophobes, etc. »
Erwan Compaoré
Lefaso.net
Hierbine Aïcha Palé défend les droits de l'enfant et de la femme au Burkina Faso. Son parcours, de l'université au monde de l'entrepreneuriat, en passant par son travail de formatrice en droits humains, témoigne de son dévouement à créer un environnement protecteur et épanouissant pour les enfants et les femmes. Fondatrice du Cabinet Human Rights Consulting, elle partage avec nous son engagement, les défis rencontrés et les espoirs pour l'avenir des droits de l'enfant et de la femme au Burkina Faso.
Lefaso.net : Comment êtes-vous arrivée dans le domaine des droits de l'enfant et de la femme et depuis combien de temps êtes-vous dans ce domaine ?
Hierbine Aïcha Palé : J'ai commencé à m'intéresser au bien-être de l'enfant très jeune. Je dirais que j'ai toujours été dans ce domaine. J'ai commencé à en faire un métier de manière formelle à partir de l'année 2017. Par conséquent, lorsque j'ai eu la chance de commencer mes études en faculté de droit, le premier cours qui m'a captivé a été le cours de droit des personnes et de la famille, communément appelé (DPF). Je me suis sentie dans mon « élément » comme on le dit souvent. J'ai commencé à faire des recherches pour mieux comprendre un certain nombre de choses. Plus je faisais des recherches plus j'étais convaincue de mon choix.
Je travaille pour les droits de l'enfant et de la femme parce que je sens que c'est ce pour quoi je suis sur terre, donner du sourire à ces enfants qui n'en ont plus et/ou qui n'en ont pas. Tous les projets qui me viennent à l'esprit depuis très jeune sont fortement liés à l'enfant. Chaque être humain étant sur la terre pour accomplir un but bien précis, j'ai la forte conviction que mon but est de donner le sourire aux enfants qui en ont besoin.
Pour ce qui est des droits des femmes, je travaille pour leur épanouissement et leur bien-être, par ricochet au travail de protection des enfants. En effet, selon moi on ne peut pas travailler efficacement pour la cause des enfants en écartant les femmes.
Ce sont elles qui donnent la vie, ce sont elles qui restent le plus en présence des enfants, que ce soit à la maison et/ou à l'école. Par conséquent, ce sont elles qui sont supposées, de par cette proximité, transmettre plus de valeurs aux enfants qui sont à coup sûr le présent et l'avenir d'un pays voire d'un continent. Alors, pour avoir des citoyens du monde, il faut un travail préalable et ce travail passe aussi bien par l'accompagnement des enfants que par celui des femmes.
Quelles sont les difficultés que vous rencontrez ?
Comme dans chaque domaine d'activité, il y a toujours des défis à relever. Les deux plus grands défis que je rencontre, c'est d'avoir de bonnes personnes avec qui collaborer. Des personnes qui ont vraiment la passion de ce que je fais. En plus, il y a la question des partenaires techniques et financiers pour la réalisation de certains projets. Ce n'est pas évident de tout faire à fonds propres.
Depuis que vous êtes dans le domaine, avez-vous constaté des changements positifs ?
Il y a des changements certes, même s'il reste beaucoup de choses à accomplir. Sans aucune exagération, les personnes qui sont très proches de moi sont vraiment impactées positivement et lorsque je regarde en arrière, il y a énormément de changements dans leur manière d'accompagner leurs enfants. Pour ce qui est du reste, le changement viendra sans doute après plusieurs activités publiques.
Quels changements ou améliorations aimeriez-vous voir dans les politiques de protection de l'enfance et de la femme ?
Dans les politiques de protection de l'enfant, j'aimerais vraiment voir l'application de la loi 013/2007/AN portant Loi d'orientation de l'éducation au Burkina Faso, notamment son article 4 qui rend l'enseignement de base obligatoire pour tous les enfants de six ans à seize ans. Pour ce qui est de la femme, je serai ravie de voir des textes de lois qui protègent véritablement les femmes sur les lieux de travail contre tout type de harcèlement et de violence. Il y a énormément d'abus que des femmes subissent en silence dans les entreprises. Je parle des choses que j'ai vues. J'ai un projet en la matière et des partenaires techniques et financiers seront les bienvenus pour m'accompagner dans sa réalisation.
Comment voyez-vous l'avenir des droits de l'enfant ? Y a-t-il des tendances ou des évolutions que vous jugez importantes ?
J'aimerais bien que dans des années à venir, la question des droits de l'enfant ne soit pas vue comme une question qui ne concerne que l'Occident par un grand nombre de personnes. Car comme j'aime le dire, l'enfant est un être humain à part entière et ce qui est bien pour la protection des adultes est également bien pour lui. Mais au regard de son innocence, il est d'une grande nécessité de lui accorder des droits spécifiques afin de mieux veiller sur lui dans sa croissance vers l'âge adulte.
Vu votre engagement professionnel, est-ce qu'il y a une influence sur votre vie personnelle ?
Mon engagement professionnel influence véritablement ma vie personnelle, c'est sûr. Je me surprends parfois en train de poursuivre des parents en circulation pour leur prodiguer des conseils instinctivement face à leur attitude vis-à-vis des enfants ou en présence des enfants assis derrière leurs moyens de déplacement.
Vous êtes à la tête du Cabinet Human Rights Consulting, pouvez-vous nous en dire plus ?
Le Cabinet Human Rights Consulting (CHRC) a été créé en 2017. C'est la conviction de la présence d'un besoin qui m'a amené à le créer. Il a pour mission de promouvoir et défendre les droits de l'enfant. Œuvrer au bien-être psychologique des enfants.
La première difficulté à laquelle j'ai été confrontée était la malhonnêteté de certaines personnes que j'ai rencontrées sur le chemin. Elles sont venues en loups déguisés en agneaux afin d'avoir gain de cause. En plus, il y a la difficulté de trouver une personne avec qui travailler en synergie. Une personne qui épousera l'idée maîtresse et qui acceptera de travailler véritablement pour l'accomplissement des projets/initiatives. Pour terminer sur ce point, il n'est pas aisé de trouver des partenaires techniques et financiers pour la mise en œuvre de certaines initiatives.
Quels sont les projets ou initiatives entrepris dont vous êtes particulièrement fière ?
Je suis particulièrement fière de deux principales choses. La première chose concerne la création et l'animation de mon blog, notamment le choix des thématiques que j'aborde. J'ai abordé des thématiques sur le blog et quelques temps après, des décisions ont été prises par les autorités du pays. Je ne saurais dire que ces décisions ont un lien avec le contenu de mes écrits, mais ça fait plaisir de savoir que je suis en avance sur le temps comme aime me le dire un de mes amis. [ Cliquez ici pour lire l'intégralité ]
Hanifa Koussoubé
Lefaso.net
Szerző: Goodwill Consulting
Közzétéve: 2024-08-06
Kategória: Konferenciák
Hamarosan érkezik az innovációs pályázat! Online konferenciaCsatlakozzon hozzánk, hogy felfedezzük együtt a hamarosan érkező innovációs pályázati lehetőséget! Ismerje meg hogyan tudja fejleszteni vállalkozását a KKV-k innovációs képességét támogató felhívás segítségével!
Mit érdemes tudni a pályázatról? Milyen feltételekkel lesz igényelhető a támogatás? Mire kell figyelni a szükséges tanácsadásnál?Online konferenciánkon megtudhatja!
Időpont2024. augusztus 27. 10:00
HelyszínZoom konferenciaterem
Online
Megosztjuk szaktudásunkat és információinkat a sikeres pályázat elkészítése érdekében.
Tapasztalt szakértőkCégünk 20 éve foglalkozik a pályázatírással és széleskörű tapasztalattal rendelkezik a területen.
Interaktív formátumA konferencia interaktív formátumban zajlik, így a résztvevőknek lehetősége nyílik kérdéseket feltenni és megvitatni az előadott témákat.
Amiről biztosan hallani fog…Mindenről, amit a pályázat kapcsán tudnia szükséges!
• Kényelmesen, otthonából, munkahelyéről elérhető;
• kérdezési lehetőség az előadótól;
• ha nem tud az élő vetítésen részt venni, a felvételt bármikor visszanézheti.
Felkeltette figyelmét a konferencia?Akkor is érdemes jelentkeznie, ha az időpont nem megfelelő, hiszen a felvételt minden regisztrált számára elküldik!
L'ambassade du Brésil à Ouagadougou a le plaisir d'informer que les candidatures pour le Programme d'Etudiant-Convention - Premier Cycle d'Enseignement Supérieur (PEC-G) pour l'année académique 2025 seront ouvertes du 22 Juillet au 23 Août 2024.
Le gouvernement de la République Fédérative du Brésil a lancé l'offre de places gratuites dans les Universités et les Institutions d'enseignement supérieur du Brésil à travers son Programme d'Etudiant-Convention - Premier Cycle d'Enseignement Supérieur (PEC-G) pour l'année académique 2025.
Bien que les places soient gratuites, les moyens de subsistance, l'hébergement, ainsi que le billet d'avion sont à la charge du responsable financier de l'étudiant.
1- Qui peut participer ?
– Être ressortissant d'un pays participant au PEC-G
– Vivre hors du Brésil
– Ne pas être brésilien ou avoir un père ou une mère brésilienne
– Ne pas avoir de visa ou de permis de séjour pour le Brésil, à l'exception d'un visa touristique
– Être âgé d'au moins 18 ans à la date de candidature
– Avoir terminé ses études secondaires en dehors du Brésil
Remarque : les candidats qui terminent leurs études secondaires doivent présenter le certificat d'achèvement (BAC) au moment de leur inscription à l'établissement d'enseignement supérieur brésilien, s'ils sont sélectionnés.
– Avoir une moyenne générale du secondaire/lycée égale ou supérieure à 60% (12 de moyenne)
– Se conformer aux exigences linguistiques en portugais
– Avoir un ou plusieurs responsables financiers capables de démontrer leur capacité à envoyer des ressources pour les frais de subsistances du candidat au Brésil. Les montants mensuels promis par le(s) tuteur(s) financier(s) doivent s'élever à au moins 300,00 USD (trois cents dollars américains). Le revenu mensuel net de chaque tuteur financier doit être au moins trois fois supérieur au montant mensuel promis au candidat. Une exception est faite dans le cas où le tuteur financier est classé comme personne morale de droit public. Dans ce cas il est exempté de fournir une preuve de revenu.
– S'engager à retourner dans votre pays après l'obtention de votre diplôme
2- Exigences linguistiques en portugais
Si vous n'avez pas suivi de cours de portugais en tant que langue officielle à l'école secondaire et que vous ne possédez pas les documents qui prouvent que vous parlez Portugais, vous devez :
– Avoir une moyenne générale en Français d'au moins 60 % (12 de moyenne), et
– S'inscrire au PEC-PLE en plus du PEC-G.
Dans le cadre du PEC-PLE, vous passerez votre première année au Brésil à suivre un cours gratuit de langue portugaise et de culture brésilienne afin d'obtenir le certificat Celpe-Bras. Une fois le certificat obtenu, vous pouvez commencer votre cursus au PEC-G.
3- Documents requis pour s'inscrire
1. Original et copie du certificat de fin d'études secondaires (BAC) ou d'un document équivalent.
2. L'original et une copie de votre relevé de notes indiquant les matières que vous avez étudiées et les notes que vous avez obtenues dans toutes les classes de l'enseignement secondaire (Seconde, Première, Terminale).
3. L'original et une copie de votre acte de naissance ou de votre carte d'identité.
4. L'original et une copie de l'acte de naissance ou de la carte d'identité de votre mère.
5. Original et copie de l'acte de naissance ou de la pièce d'identité de votre père.
6. Certificat médical original de santé physique et mentale, délivré en 2024.
Remarque : le certificat doit indiquer si vous souffrez d'une maladie chronique ou si vous suivez un traitement médical.
7. L'original de la/des clause(s) de responsabilité financière (TRF) en portugais, complétée(s), signée(s) et datée(s).
8. Preuve(s) de revenus de la (des) personne(s) responsable(s) des finances, attestant de sa (leur) capacité à envoyer les montants promis.
9. L'original du formulaire d'engagement d'inscription (TCI), en portugais, rempli et signé par le demandeur.
Note importante
1- Pour avoir tous les détails concernant cette offre, notamment les étapes à suivre pour postuler et les liens vers les documents TRF et TCI, veuillez suivre ce lien https://www.dropbox.com/scl/fi/ccihe5eg3ai7tz7ch0zrm/PEC-G-2025-CONDITIONS-DE-PARTICIPATION.pdf?e=2&fbclid=IwY2xjawEZtBZleHRuA2FlbQIxMAABHfPK8tC2mpKomiwpwUb2QbUkbxVDEIsctwQe70_g83BjYR1zPU55-B3BCA_aem_7cRAWmmpqRAx31VFA6PBCQ&rlkey=vf6f3si908co6f9nea8t1nqcj&st=etjl0ju4&dl=0
2- Tous les jours de 10h à 11h30, les portes de l'ambassade seront ouvertes pour accueillir les étudiants intéressés, afin de leur fournir les informations nécessaires et également recevoir leurs dossiers de candidature.
3- Contactez-nous par mail : brasemb.uagadugu@itamaraty.gov.br
The 36th Fighter Squadron will be part of a year-long test to optimize combat capability and training effectiveness with a larger number of F-16 aircraft assigned to the “Super Squadron”. The U.S. Seventh Air Force, [...]
The post Osan and Kunsan Air Bases Join Forces To Create “Super Squadron” With 31 F-16s appeared first on The Aviationist.
Summary and Key Points: The U.S. must prepare for the possibility that Russia successfully deploys nuclear-armed anti-satellite weapons, which could destabilize global security and disrupt conventional military operations reliant on satellites.
-While arms control efforts are crucial, the U.S. should also focus on ensuring its military can operate in a "denied space" environment. This includes wargaming scenarios where satellites are compromised and training to maintain strike capabilities without satellite support.
-Such preparations would reinforce deterrence and ensure varied response options to any potential nuclear aggression in space.
Why the U.S. Must Prepare for a World with Nuclear Anti-Satellite WeaponsIn February, it was revealed that Russia has been developing a nuclear-armed anti-satellite weapon. The Biden administration's response has focused mainly on arms control efforts aimed at preventing Russia from acquiring a space-based nuclear weapon in the first place. These efforts are important, but they are also insufficient. Steps must be taken now to prepare for the possibility that diplomacy fails. Nuclear anti-satellite weapons have the potential to fundamentally alter existing nuclear paradigms, creating a much more destabilizing environment than exists today. The U.S. must take action now to ensure it is ready to deal with the challenges posed by nuclear weapons in space. By preparing now, before nukes are put in orbit, the U.S. can better work to prevent such a day from ever happening at all.
U.S. deterrence strategy has long centered on its ability to tailor both conventional and nuclear response options to a wide range of different contingencies, as well as deliberate ambiguity surrounding when it would use nuclear weapons. Both these concepts would be thrown out the window if a nuclear anti-satellite weapon were detonated today. While the exact capabilities of Russia's space weapon are unknown, it is likely to pose as much a threat to its own satellites as it is those of the United States.
In May, then-Assistant Secretary of Defense for Space Policy John Plumb testified that Russia's weapon would be "indiscriminate," and "pose a threat to all satellites operated by countries and companies around the globe." The U.S. would therefore likely be left without the ability to retaliate against Russia in space if it detonated its weapon. The only option would be to strike targets on the ground. At present, conventional U.S. forces rely heavily on access to satellite-provided GPS, intelligence, and communications. A conventional strike in this environment would be extremely difficult, if not impossible, to carry out. A nuclear strike would be more feasible (though also challenging). A serious conversation should address whether a surface nuclear strike would be an appropriate response to a nuclear attack that does not directly kill people on Earth.
However, it is still critical that the president retain a variety of options to respond to the use of such a weapon. Thus, central to deterrence in a world of nuclear anti-satellite weapons will be the ability of conventional military forces to operate without access to satellites.
If satellites went down in the aftermath of the detonation of a nuclear space weapon, the ability of long-range strike fighter aircraft and bombers to carry out non-nuclear surface attacks against enemy targets would be crucial to maintaining the option of a conventional response to such an action. There have been some efforts to improve the ability of U.S. forces to fight in an environment without access to space, but these have been limited compared to activities aimed at maintaining such access. The latter efforts are important, but they will likely not be options once a nuclear anti-satellite weapon goes off.
The Navy and Air Force, with support from the Space Force, should wargame different "denied space" contingencies aimed at learning how to operate in an environment without access to satellites. The lessons from these wargames should then be applied and continued in actual live military exercises. These exercises would be aimed both at training pilots, aircrews, and commanders to conduct operations in a denied space environment but would also demonstrate to Russia and other potential U.S. adversaries that it will always have the option of retaliating with varying degrees of force to any type of nuclear aggression.
The U.S. should continue pursuing arms control efforts aimed at preventing the proliferation of nuclear weapons in space. However, it must also be prepared for the possibility that these efforts fail. By preparing conventional strike fighter assets to conduct operations in a denied space environment, the U.S. will be adequately ready for a world where nuclear weapons are orbiting the Earth.
About the AuthorLuke Widenhouse is a research assistant at the Yorktown Institute and rising senior at St. John’s College in Annapolis, MD.
This article was first published by RealClearDefense.
Video footage emerged online shows a Russian pilot filming himself after ejecting from his stricken combat jet, visible in the distance spiraling out of control and in flames. A video recently emerged online, taken by [...]
The post Russian Pilot Films Aftermath Of Ejection From His Damaged Flanker Fighter Jet appeared first on The Aviationist.
(Ouagadougou, 06 août 2024). Le Président de la République de Sierra Leone, Julius Maada BIO effectue, demain mercredi 7 août 2024, une visite de travail et d'amitié de 24 heures au Burkina Faso.
Au cours de cette première visite dans notre pays, le Président Julius Maada BIO échangera avec son homologue burkinabè, le Capitaine Ibrahim TRAORE sur la coopération bilatérale entre les deux pays.
Au Palais de Koulouba, les deux Chefs d'Etat auront une séance de travail élargie à leurs délégations, suivie d'un tête-à-tête entre les deux Hommes d'Etats autour des questions d'intérêts communs et des sujets liés à l'unité africaine face aux aspirations des peuples africains à une véritable souveraineté.
La visite sera aussi une occasion pour les deux Chefs d'Etat d'examiner les voies et moyens de renforcer l'axe Ouagadougou-Freetown.
Direction de la communication de la Présidence du Faso
Joseph Rouamba a été élu par consensus par ses pairs pour présider le Conseil régional du patronat burkinabè de la région du Centre-sud. L'élection a eu lieu ce mardi 6 août 2024 à Manga, chef-lieu de la région du Centre-sud. Il va diriger l'institution régionale durant cinq années. Son bureau compte huit membres.
Cette élection marque une étape importante dans la décentralisation du Conseil national du patronat burkinabè dans les régions administratives. Le conseil veut ainsi être plus près de tous les acteurs du secteur privé du pays.
Le président du Conseil régional du patronat du Centre-sud Joseph Rouamba veut, au cours de son mandat, créer plus d'emplois pour les jeunes de sa région. « Nous allons aller chercher des partenaires pour venir investir dans différents secteurs d'activités dans notre région. Nous allons développer les secteurs de l'élevage, de l'agriculture et de la transformation. Nous allons créer des groupements pour permettre aux gens de se mettre ensemble pour travailler », a indiqué le président du Conseil régional du patronat.
Le président du Conseil régional du patronat burkinabè, Joseph Rouamba invite les acteurs du secteur privé de sa région à travailler main dans la main pour le développement de leur localitéMonsieur Rouamba a invité l'ensemble des acteurs du secteur privé de sa région à travailler main dans la main pour le développement de leur localité.
« Le patronat travaille avec tout le monde. Que ce soit avec les petits entrepreneurs ou les grands entrepreneurs. Nous demandons à tous de s'unir pour travailler afin que les petites entreprises deviennent de grandes entreprises », a-t-il invité.
Selon lui, dans son bureau, sont représentées toutes les trois provinces de la région : le Bazèga, le Nahouri, le Zoundwéogo. Ce, pour bien mener les activités et impliquer l'ensemble des acteurs de la région.
« Le Conseil régional du patronat burkinabè est l'un des organes du dispositif institutionnel du Conseil national du patronat. Il assure la représentation, l'expression et l'influence des opérateurs économiques de sa région administrative. Sa mise en place vient en implémentation du premier axe stratégique du plan de mandature du président Idrissa Nassa, notamment la redynamisation et l'autonomisation du Conseil national du patronat burkinabè par le renforcement des capacités humaines, techniques et financières pour le rendre plus performant, efficace et utile à ses membres et à la communauté des affaires. La décentralisation du Conseil national du patronat vise à rapprocher davantage le patronat de ses membres en vue de répondre à leurs préoccupations spécifiques », a notifié Mohamed Compaoré, vice-président chargé des relations extérieures et de la coopération du Conseil national.
Mohamed Compaoré, vice-président chargé des relations extérieures et de la coopération du Conseil national du patronatLe Conseil national du patronat burkinabè est l'organisation faîtière des associations et groupements professionnels du secteur privé. Il a été créé en 1974. La faîtière a pour mission de représenter et de défendre les intérêts matériels, moraux et professionnels de ses membres auprès des pouvoirs publics, des partenaires au développement et des organisations syndicales, a rappelé M. Compaoré.
Il a souligné que le Conseil national du patronat burkinabè accompagne ses membres en matière d'information, de dialogue social, de négociation sociale, de plaidoyer et de renforcement des capacités.
Le patronat compte 85 groupements et associations professionnelles regroupant plus de 70 000 membres de base, actifs dans tous les secteurs d'activités de l'économie du pays.
Rama Diallo
Lefaso.net
« Je suis la résurrection et la vie. Celui qui croit en moi, même s'il meurt, vivra ; quiconque vit et croit en moi ne mourra jamais »
Le Larlé Naaba Tigré,
Le Naaba Kangré de Koubri, chef de Canton de Koubri,
Le Wedbila Naaba,
Le Kouanda Naaba,
Les grandes familles TIENDREBEOGO, SOURWEIMA, SANFO, OUEDRAOGO, à Larlé, Kossodo, Dabaré , Monemtenga
Les enfants :
Annie, Ghislain, Carine, Regis, Denise
Les petits enfants :
Alex, Charbel, Ashley, Bryan, Alexandra, Paul, Lauryne, Liva, Leslie, Yanis, Lucie, Yohan
Les familles alliées :
Le Ouidi Naaba, Sourgou Naaba, Compaoré, Gasbéogo, Barry, Guigma, Zongo, Tiemtoré, Ouédraogo, Zoungrana , Somé , Yéni, Yaguibou, Combary à Koubri, Canada, Bobo Dioullasso , Manga, Dano, Nonbili, Centrafrique
ont la profonde douleur de vous annoncer le décès de leur épouse, mère, grand-mère, sœur
MARIE THERESE DESIREE TIENDREBEOGO / COMPAORE
Secrétaire de Direction à la retraite à l'UNICEF survenu le 05 Août 2024 à 5h du matin à l'hôpital SHIPHRA à l'âge de 71 ans.
Une veillée de prière aura lieu le mercredi 07 août 2024 à 20h30mn au domicile familial sis à Larlé.
L'absoute aura lieu le jeudi 8 août 2024 à 8h00mn à l'église notre DAME DU ROSAIRE DE KOLOGH – NAABA suivi de l'inhumation à 11h au domicile familial.
Union de Prières
PROGRAMME DES OBSEQUES
Mercredi 07 août 2024
16h00 : Levée du corps à la Morgue de l'Hôpital Yalgado
20h30 : Veillée de prière au Domicile familial
Jeudi 08 août 2024
8h00 : Absoute à l'Eglise notre Dame du Rosaire de Kologh-Naaba
11h : Inhumation au Domicile familial
La Direction générale du trésor et de la comptabilité publique tient, du 6 au 9 août 2024, à Ouagadougou, sa 25e conférence annuelle des agents comptables des Établissements publics de l'État (CACEPE). Pendant 96 heures, il sera question d'échanger sur les problématiques relatives à la gestion des archives des Agences comptables des Établissements publics de l'État (EPE).
Cela fait 25 ans que se tient la CACEPE au Burkina Faso. Ces conférences annuelles des agents comptables des EPE sont devenues un espace incontournable de débats et d'échanges sur les problématiques relatives à l'amélioration de la gouvernance économique et financière des EPE. Il réunit chaque année des comptables principaux en deniers et valeurs autour de thèmes en relation avec leurs préoccupations quotidiennes.
Pour cette session, les agents comptables des EPE sont appelés à réfléchir sur le thème suivant : « La gestion des archives des Agences comptables des Établissements publics de l'État : état des lieux ». Pour le directeur général de la comptabilité publique, Bruno Bamouni, les archives constituent un outil d'aide à la gouvernance administrative si bien que la gestion financière et comptable des EPE n'échappe pas à cet état de fait. « Ces archives sont aujourd'hui confrontées à un enjeu majeur qui exige que l'on réfléchisse, d'une part, à la gestion de l'existant, conditionné par la croissance exponentielle de la production des documents administratifs et comptables, et d'autre part, sur la question de la constitution des fonds d'archives pour les besoins de conservation de l'information financière et de contrôle », a déclaré le DG du trésor et de la comptabilité publique.
Pour le DGTCP, ce thème répond à des exigences du momentIl s'est donc réjoui que ce thème soit retenu pour faire l'objet d'un débat général car, la réflexion qui sera menée permettra de mieux cerner tous les risques liés à la production et à la conservation des archives dans les postes comptables des EPE. « Je voudrais donc souligner l'intérêt majeur du thème dont les conclusions des échanges y relatifs contribueront à booster significativement les performances des Agences comptables. La qualité des échanges et de leurs conclusions exige des comptables principaux en deniers et valeurs une participation active et constructive à la présente conférence », a-t-il exhorté.
Pendant 96 heures, les agents comptables devront faire des propositions qui amélioreront leur performanceDe la performance des agents comptables des EPE
Selon le conseiller technique du ministre en charge de l'économie, Souleymane Nabolé, le choix du thème démontre leur attachement et leur intérêt manifeste à trouver des solutions en rapport avec les défis qui sont les leurs par une réflexion profonde dans le but de réaliser efficacement la mission à eux confiée. « Vous démontrez, particulièrement, que vous tenez à bien jouer votre partition dans ce défi combien exaltant de la gestion publique en général et de la gestion des deniers publics en particulier, afin de vous rapprocher, sinon de vous conformer aux critères de performance édictés par l'administration du Trésor public », a-t-il évalué.
Le représentant du ministre a invité les participants à des recommandations concrètesCe thème, a indiqué M. Nabolé, se justifie par le fait que les comptables des EPE ont besoin d'un meilleur accompagnement de la part de leur structure de tutelle. Son développement permettra de questionner l'état des lieux et les perspectives, en vue de faire des propositions à même de permettre aux agents comptables d'être plus performants dans l'exercice des missions à eux confiées, foi du conseiller technique du ministre. En rappel, le thème de la 24e édition de la CACEPE a porté sur « La présentation des états financiers des EPE selon le nouveau corpus juridique ».
Obissa Juste Mien
Lefaso.net
Africa Global Logistics (AGL) Burkina Faso a offert le vendredi 02 août 2024, 1000 codes d'accès à sa bibliothèque numérique aux étudiants de trois universités publiques et privées. Ces établissements d'enseignement supérieurs composés de l'université de l'Unité africaine (ex IAM), de l'université Thomas Sankara et de l'Institut burkinabè des arts et métiers (IBAM) sont des partenaires de AGL Burkina.
Ces codes d'abonnement offerts par AGL seront utilisés pendant l'année académique 2024-2025. A travers ce geste significatif, le groupe veut participer à la formation de la jeunesse africaine en général et des étudiants burkinabè en particulier. AGL Burkina attend donc une utilisation massive et effective de cette bibliothèque numérique par les étudiants. « Nous avons coutume de dire que les Africains ne lisent pas beaucoup et c'est un défi à relever. Au niveau du Burkina, l'un de nos axes stratégiques d'intervention, c'est la digitalisation. Et cette bibliothèque numérique entre dans le cadre de cet axe », a laissé entendre Joachim Touwendé Ouédraogo, directeur des ressources humaines d'Africa Global Logistics Burkina Faso.
Les étudiants se réjouissent de voir que la bibliothèque numérique peut être utilisée sans connexion internetLes responsables et représentants des trois universités bénéficiaires n'ont pas manqué de remercier AGL pour ces abonnements qui viennent renforcer les connaissances des étudiants. « Nous remercions AGL d'avoir offert l'opportunité à nos étudiants d'accroître leurs connaissances. Nous sommes dans le système Licence-master-doctorat (LMD) où l'évaluation du cours se fait en termes de crédit. Et si par exemple un crédit équivaut à 20 heures de cours, il y a 8 heures de travail personnel à faire par l'étudiant. Ce dernier doit chercher à se documenter parce que le professeur ne donne que la partie visible de l'iceberg. La bibliothèque permet alors de mieux comprendre le cours » a indiqué le directeur général de l'université de l'Unité africaine, Alioune Benga.
Alioune Benga, Directeur général de l'université de l'Unité africaine s'est réjoui que AGL ait pensé à ses étudiantsA en croire le Dr Gilbert Bayili, directeur général de l'Institut burkinabè des arts et métiers (IBAM), ces accès permettront à ses étudiants de développer leur savoir et d'être les meilleurs. Il se réjouit par ailleurs de ce partenariat important qui lie son institut au groupe AGL.
Ce don va aussi profiter à l'université publique Thomas Sankara. « L'université Thomas Sankara a une particularité, c'est qu'elle prend en compte les centres universitaires de Dori et de Tenkodogo. Et le fait de recevoir ces codes de la bibliothèque numérique permet aux étudiants de Ouagadougou et surtout à ceux des provinces d'améliorer leurs connaissances », a renchéri Romuald Kinda, représentant du président de l'université Thomas Sankara.
Du côté des étudiants, c'est un sentiment de gratitude et de reconnaissance pour le choix porté en leurs personnes. Selon Yasmine Ouattara et Mariam Nagabila, respectivement étudiantes de l'UA et de l'IBAM, cet accès va faciliter leurs recherches dans tous les modules. « Surtout que ça ne fonctionne pas avec la connexion, c'est une application très utile », a fait savoir l'étudiante en deuxième année de Banque et Finance, Mariam Nagabila. Yasmine Ouattara quant à elle a expliqué qu'elle a un grand besoin de cette plateforme pour faire la rédaction de son mémoire de fin de cycle.
Romuald Kinda, représentant du président l'université Thomas Sankara, reçoit les codes d'accès à la bibliothèque numérique de AGLCette bibliothèque numérique du nom de YouScribe, en plus de fonctionner hors connexion, a l'avantage d'être facile à utiliser. Elle offre un accès à plus d'un million de références et est disponible en 17 langues.
Farida Thiombiano
Lefaso.net
Le personnel de l’Université des sciences de l’information et de la communication (UNISIC), ex-IFASIC, a accordé, mardi 6 août, 24 heures au comité Kambayi Bwatshia de dégager les bureaux de cet établissement public.
La finale de la quatrième édition de la compétition de basketball ‘'Entente handibasket africain'', réservée aux personnes vivant avec un handicap s'est déroulée dans l'après-midi de ce lundi 5 août 2024 à Ouagadougou. L'Association burkinabè des sports adaptés (ABUSA), structure organisatrice de ce tournoi s'est largement imposée en finale par 30-6 devant Handicap solidaire Burkina (HSB). En marge de cette finale, Africa Global Logistics, partenaire officiel de ce tournoi, a fait don de fauteuils roulants à l'association ABUSA afin d'encourager le sport pour tous et soutenir l'épanouissement des personnes en situation de handicap.
La finale de cette quatrième édition de ‘'Entente handibasket africain'', placée sous le signe de la résilience, a mis aux prises l'Association burkinabè des sports adaptés (ABUSA) et Handicap solidaire Burkina (HSB). Une finale qui s'est déroulée en sens unique en faveur d'ABUSA qui s'est nettement imposée par 30 contre 6 pour HSB. C'est le quatrième sacre en quatre éditions pour ABUSA qui règne sans partage dans cette compétition.
Cette édition 2024 s'est déroulée sur le thème : « Le handisport, facteur de cohésion et de participation des personnes handicapées de l'AES ». Vainqueur de ce tournoi, ABUSA repart avec la somme de 30 000 FCFA et HSB, l'équipe finaliste malheureuse se console avec la somme de 20 000 FCFA.
Pour Dofinita Éric Séni, président de l'ABUSA, l'objectif visé à travers cette édition, « c'est vraiment faire la promotion du handisport en général et la promotion du basket en fauteuil roulant en particulier. Nous sommes à notre quatrième édition et le thème de cette année nous rappelle que l'AES est une dynamique qui est là et nous pensons que le développement doit aussi se faire avec nous les personnes vivant avec un handicap. C'est une plaidoirie que nous faisons à l'endroit des autorités, les inviter à tenir compte des personnes handicapées dans tout ce qu'elles vont faire dans le cadre de cette alliance ».
L'équipe HSB, finaliste malheureuseTout en se réjouissant de l'organisation de cette quatrième édition malgré les difficultés notamment financières, Dofinita Éric Séni a invité les autorités notamment les autorités sportives à œuvrer davantage pour le développement du handisport.
En marge de cette finale, Africa Global Logistics, partenaire officiel de cette compétition, a fait don de fauteuils roulants à l'association ABUSA afin d'encourager le sport pour tous et soutenir l'épanouissement des personnes en situation de handicap. Cette initiative vise à promouvoir la solidarité, encourager la pratique du sport pour tous, comme facteur de cohésion sociale et gage de santé, et à favoriser également la mobilité des personnes blessées pendant la guerre, afin de leur garantir une meilleure prise en charge sociale.
Vue des cinq fauteuils offerts à ABUSA par AGL Burkina FasoAinsi, pour la deuxième fois, AGL Burkina Faso soutient la pratique du sport au sein de cette communauté, dans le but d'accompagner l'éclosion de talents et de soutenir l'épanouissement des personnes en situation de handicap. Cet événement est aussi l'occasion pour l'entreprise, de réaffirmer son engagement en faveur de la promotion des valeurs du sport, comme facteur de cohésion sociale et de paix.
« Handibasket représente pour nous des valeurs de solidarité, de persévérance, de combativité et d'excellence chez des personnes à mobilité réduite, qui sont ainsi, capables d'aller jusqu'au bout de leurs rêves. Ces valeurs mises en exergue par le sport sont partagées par AGL Burkina Faso qui s'engage au quotidien en faveur du bien-être des populations. », a déclaré Seydou DIAKITE, directeur général pays d'AGL Burkina Faso dans un communiqué de presse parvenu à notre rédaction.
Un match largement remporté par ABUSA en rose par 30 contre 6 pour HSB en vertA travers les activités sportives, AGL Burkina Faso souhaite contribuer également à la bonne santé des populations en évitant des maladies liées à la sédentarité. « Ce don, c'est pour soutenir le sport en général et particulièrement le sport adapté. Cela entre aussi en droite ligne de nos valeurs dont l'une d'elles est la passion. On trouve que ceux qui sont dans ces conditions et qui arrivent à viser haut, ce sont des gens qui ont de la passion. Raison pour laquelle, nous n'avons pas hésité à soutenir l'ABUSA pour que ces membres puissent en bénéficier notamment les blessés de guerre », a ajouté Touwendé Joachim Ouédraogo, directeur des ressources humaines d'AGL, représentant le directeur général pays d'AGL Burkina Faso à cette finale.
La valeur du don n'a pas été dévoilée car selon Touwendé Joachim Ouédraogo, « c'est le geste qui compte », laissant entendre que les prochaines éditions seront mieux en terme de soutien.
Recevant ce don, l'Association burkinabè des sports adaptés (ABUSA) a décidé de remettre ces fauteuils à son tour, au Centre médical des armées notamment au profit des soldats blessés en opération. « Nous apprécions positivement ce don. Nous profitons pour remercier AGL qui dans le cadre de sa responsabilité sociale nous a offert cinq fauteuils roulants multimodaux. Ce sont des fauteuils que la personne par exemple en ville, peut utiliser en tant que tricycle et arriver à la maison, elle peut démonter et ça devient fauteuil roulant. Ce sont des fauteuils que nous allons remettre à nos frères et sœurs qui sont blessés au front. Nous avons eu à faire une visite au Centre médical des armées et nous avons vu qu'il y avait beaucoup à faire. C'est pour ça, nous avons demandé à notre partenaire AGL de nous accompagner avec ces fauteuils », a indiqué Dofinita Éric Séni, président d'ABUSA.
Dofinita Éric Séni, président de l'association ABUSAPour rappel, AGL est présente au Burkina Faso dans le transport et la logistique. L'entreprise emploie aujourd'hui plus de 400 collaborateurs burkinabè et génère plus de 350 emplois indirects à travers notamment ses agences à Ouagadougou et Bobo-Dioulasso. Elle développe des partenariats avec des établissements d'enseignement supérieur, à l'instar de l'Institut africain de management (IAM), l'Institut burkinabè des arts et métiers (IBAM), le Centre de promotion de l'apprentissage des métiers (CPAM), le Centre de formation professionnelle emplois et métiers (CFPEM). AGL Burkina Faso mène également des actions de solidarité au bénéfice des populations en partenariat avec des ONG, notamment l'aide à la scolarisation et à la réinsertion sociale des jeunes et la sensibilisation à la préservation de l'environnement.
Mamadou ZONGO
Lefaso.net
Summary and Key Points - What will a 7th Generation Fighter Do in the Sky?: The future of military aviation is focused on evolutionary advancements rather than revolutionary leaps. The B-21 Raider builds on the B-2 Spirit's successes, and sixth-generation fighters are advancing current technologies.
-The concept of aircraft "generations" was popularized as a marketing tool by Lockheed Martin with the F-35.
-While the seventh generation isn't yet defined, it may feature autonomous capabilities, advanced materials, and multinational collaboration. However, such advancements could be decades away, possibly emerging in the 2070s or later.
What Will the 7th Generation Fighter Jet Look Like?The future is always around the corner, so we can always expect something new. Sometimes it will be small steps forward, while other times, it will be great leaps ahead. With military hardware, we've really reached a point where most of the advances are evolutionary, building on past successes and proven features rather than revolutionary – which could take designers in an entirely new direction.
Such is the case with the B-21 Raider, which is now in development. It is mainly building on the successes of the B-2 Spirit, and both feature a flying wing design. Likewise, most sixth-generation fighter designs have focused on what worked with fifth-generation aircraft and have taken it much further.
The question then is what we can expect with the "next-generation" beyond what is already in the prototype stage? Yet, even aviation experts can only ponder what we could expect to see.
"To be honest, I've not really heard anyone even mention 7th generation," explained Gareth Jennings, aviation editor at Janes, told me months back.
"Most 'Tier 2' nations that are building aircraft – Turkey, South Korea, etc. – are building their own fifth-generation jets, while Tier 1 nations (US, UK [and partners], France [and partners]) are looking at sixth generation. 7th Generation isn't really 'a thing' as yet," added Jennings. "That said; it is possible to look at the progression of previous generations and extrapolate that forward to take an educated stab at what might be features in a 7th generation jet."
However, Jennings further continued that even our concept of the generations of such wasn't set in stone. In fact, until the development of today's most modern fighters, there was no talk of a particular aircraft falling into a particular generation.
"It's important to first note that 'generations' don't really exist – they have only come into being as a way of classifying aircraft since Lockheed Martin used the term 'fifth-generation' to describe its F-35, and all older aircraft were kind of backfilled into what previous generation they were determined to best fit – so the F-4 became a third-generation aircraft, and the Eurofighter a fourth generation aircraft, etc.," said Jennings. "Lockheed Martin will readily admit that it was a marketing gimmick to make their product stand out, but it has stuck and is now in widespread use."
The Road to 7th Generation: Generations DescribedEven though the designations were actually only retroactively created, the U.S. Air Force has since broken down the respective capabilities of the generational designations:
*First-Generation: Jet propulsion
*Second-Generation: Swept wings, range-finding radar, and infrared-guided missiles
*Third-Generation: Supersonic flight, pulse radar, and missiles that can engage opponents from beyond visual range
*Fourth-Generation: High levels of agility, some degree of sensor fusion, pulse-doppler radar, reduced radar signature, fly-by-wire, look down/shoot down missiles, and more.
"So the thing about generations is that each new generation focuses on a number of key performance attributes while retaining the key performance attributes that defined the generations before it," Jennings suggested. "As an example, the third-generation F-4 Phantom retained the supersonic speed that largely defined the previous generation, but added to that advanced (for its day) mission computing and guided missiles."
In addition, the fourth-generation aircraft then took all of this and added fly-by-wire and advanced avionics, whilst the fifth-generation took all of this and added stealth, sensor fusion, and supercruise, Jennings noted.
"The sixth-generation will take this and add capabilities that haven't yet been publicly defined, but which are understood to include flexible payloads; an adaptable airframe; long-range sensing; analytics and computing; laser directed-energy weapons; advanced materials; intelligent maintenance; dynamically reconfigurable architecture; cyber protection; manned-unmanned teaming (MUM-T); trusted artificial intelligence (AI) reasoning; airspace integration; hypersonic-propulsion technologies; space technologies; and a future 'wearable' cockpit," he further explained. "Added to these technological attributes, the sixth-generation is designed to be affordable and to utilize futuristic manufacturing processes and methods."
Other Hardware Leaps ForwardIt is also important to note that aircraft have been unique in that they have been so steadily upgraded over the past 80 years. By contrast, the United States military is still fielding its M1 Abrams, a "third-generation" main battle tank (MBT). Two factors need to be considered, however. First, it was indeed a revolutionary leap forward, rather than evolutionary – and thus it may have reached a level of armored perfection, at least until some new technology is developed.
Second, and more importantly, the M1 Abrams has been steadily improved in a way that fighter aircraft generally aren't. However, the Cold War-era B-52 Stratofortress remains a capable bomber that will remain in service even as the aforementioned B-21 Raider comes into service. By the time the B-52 is finally retired, it could have served for nearly 100 years – and few military platforms have seen such longevity. This has been made possible due to the improvements it has received.
Jet fighters, which have increasingly become multirole aircraft, have continued to evolve – and will continue to do so. That explains why the 70-year-old B-52 and 50-year-old M1 Abrams tank remain in service, while efforts are already underway to replace the fifth-generation F-22 Raptor, which only entered service in 2005!
About the 7th Generation AircraftAll that said, it is likely that some in the aerospace sector are thinking well beyond the currently-in-development aircraft to what can come next. The question becomes what could the next generation actually look like. We need only look to other technological developments in our civilian world today to see what the next great leap forward could bring.
"With the advent of the Metaverse, 3D metal printing, and the increasing capabilities of realistic simulation, our ability to create new weapons, including fighters quickly, is advancing significantly," explained technology analyst Rob Enderle of the Enderle Group.
"At the same time, autonomous technology is becoming more viable, and the concept of human digital twins is creating the opportunity for a next-generation fighter not limited by human frailties," Enderle told this reporter. "While it often takes a war to force a legacy process, like aircraft creation, to adjust to the speed of current technology, there is no reason why the next generation of high-performance fighters couldn't be created in months rather than years, and be configured to be flown by a digital twin of a top gun pilot."
The 7th generation fighter thus may not be decades in development and could be a response, even a reaction, to what the sixth-generation may offer.
"It can reasonably be supposed that the 7th generation will again take all of these facets, and add some as yet undefined/unknown technological capabilities that will define it as being different and more advanced than all that have gone before it," said Jennings. "What these will be is hard to say, as anything we can now imagine as being a viable and desirable technology and capability is already being addressed in the sixth-generation, and it's hard to imagine what hasn't yet been conceptualized or invented. My personal feeling, however, is that by the time we start to get to thinking about the 7th generation, the technology will be there to remove the pilot altogether and for the platform to be fully unmanned (not just remotely piloted, but autonomous in its own right). The issues, however, won't be technological, but will be more ethical, moral, and/or even legal as to the extent society is comfortable with the idea of such capabilities being developed and deployed."
However, what is also likely is that multinational efforts may be required to design, develop and, most importantly, produce the next generation.
"In terms of programmatics, as with the fourth, fifth and sixth generation, it is likely that any 7th generation program will be an effort in multinational collaboration (in the West at least), due largely to the costs involved in such an undertaking, as well as the need for common requirements, and to maximize the exports that will help pay for it," Jennings added.
While Enderle suggested the time gaps could come down, Jennings isn't as confident. It is true that technology is rapidly increasing, which can allow for materials to be printed – advancing prototyping and even production – while computer-aided design (CAD) can also speed the development; yet, the cost will remain a factor.
"For timelines, the gap between each generation has progressively lengthened as technologies have become more complex (at the same time as becoming more stable – the big jumps we saw in aviation technology and innovation at the dawn of the jet age are now much more incremental), while development, manufacturing, procurement, operating, and sustainment costs have risen to the extent that most nations would prefer to continue to use older aircraft which they can upgrade at a quicker pace and lower cost to keep pace with (most of) their peers and near-peers," he noted.
"As such, I wouldn't expect 7th generation to enter the discourse until probably the 2070s or even later."
About the Author: Peter SuciuPeter Suciu is a Michigan-based writer who has contributed to more than four dozen magazines, newspapers, and websites. He regularly writes about military hardware, firearms history, cybersecurity, and international affairs. Peter is also a Contributing Writer for Forbes. You can follow him on Twitter: @PeterSuciu.
All images are Creative Commons.
This piece has been updated extensively since its first publication.