Dans un communiqué en date du 19 décembre 2024, le ministre de la sécurité Mahamadou Sana à rappelé la nécessité de redoubler de vigilance en ces périodes de fêtes de fin d'année. Il a souligné que la baisse de vigilance occasionnée par les fêtes, constitue des moments propices d'actes terroristes. Il rassure les populations que les dispositifs de sécurité sont renforcés et les forces de défense et de sécurité préparées à faire face à toute éventualité.
Mahamadou Sana invite les populations à être sur leurs gardes, surtout au cours de la période allant du 20 décembre 2024 au 15 janvier 2025. Il a par ailleurs exhorté les citoyens à signaler toute activité, comportement, colis, chargement, ou véhicules suspects aux numéros verts suivants : 10 10 ; 16 ; 17 ; 199.
Lefaso.net
Dans sa politique de parvenir à l'auto-suffisance alimentaire et à la transformation structurelle de l'agriculture burkinabè par la valorisation des maillons de la chaîne, le gouvernement, à travers le ministère de l'Agriculture, des Ressources animales et Halieutiques, multiplie les initiatives. Désormais, il faut, à cet effet, compter avec les Journées nationales de l'agroécologie (JN-AE), dont la première édition se tient du 19 au 21 décembre 2024. La cérémonie officielle de lancement de cet événement s'est déroulée dans la matinée de ce jeudi 19 décembre 2024 à Ouagadougou.
Cette édition inaugurale, qui se tient sous le patronage du ministre d'État, ministre de l'Agriculture, des Ressources animales et Halieutiques, le commandant Ismaël Sombié, a pour thème : « Agroécologie et création d'emplois dans le contexte de l'Offensive agro-pastorale et halieutique, enjeux et perspectives ».
Les Journées nationales de l'agroécologie (JN-AE) se veulent une initiative de valorisation et de promotion de l'agroécologie, « une alternative crédible pour la durabilité des systèmes de production et un levier essentiel pour la création d'emplois et la sécurité alimentaire ».
Cadre d'échanges et de partage d'expériences entre acteurs, cette édition repose sur deux grands volets. Il s'agit des activités de communication (panels et conférences) avec des producteurs, des cadres de l'agriculture, des organisations et institutions de promotion de l'agroécologie, des chercheurs, des étudiants, des entrepreneurs dans l'agrosylvopastoral, etc.
... le poisson d'eau douce fumé de Koubri et des crevettes.L'exposition-vente est sans doute l'activité-phare de cette première édition des JN-AE. Elle met en exergue, divers produits de l'agroécologie (poissons d'eau douce, frais et fumés ; différentes gammes de jus naturels ; des produits locaux transformés et leurs dérivés ; du charbon vert ; des intrants et pesticides bio ; des engrais organiques ; du matériel agricole, etc.). On trouve également dans cet espace spécialement aménagé pour la circonstance, des services, organisations et institutions de promotion et d'accompagnement de l'agroécologie, ainsi que des spécialistes de pépinières et d'équipements adaptés à ces systèmes de production.
Fatoumata Ouarmé, gérante de l'entreprise Les Saveurs du Faso SARL, basée à Dédougou (à gauche) et Biba Banananzaro de l'Établissement La Grâce, également à Dédougou, présentent une gamme variée de produits alimentaires.Selon la conseillère technique du ministre d'Etat, ministre de l'Agriculture, des Ressources animales et halieutiques, Ivonne Rouamba, qu'elle a représenté à cette cérémonie d'ouverture des JN-AE, l'agroécologie s'inscrit dans la dynamique engagée pour la souveraineté alimentaire du Burkina à l'horizon 2025, mission première de l'offensive agro-pastorale et halieutique.
Coupure du ruban de l'exposition-vente avec la Conseillère technique Ivonne Rouamba.Situant les enjeux du sujet, la représentante du patron a relevé que le Burkina est désormais confronté à deux urgences, qui peuvent être perçues comme contradictoires : assurer sa souveraineté et sa sécurité alimentaires en produisant plus et lutter contre le dérèglement climatique en produisant différemment. C'est pour résoudre cette équation qu'est proposée l'agroécologie, qui permet d'engager l'agriculture vers de nouveaux modes de production plus vertueux et synonyme de croissance, motive Mme Rouamba.
Matériel agricoleCes premières JN-AE visent donc à, présente la conseillère technique, développer des synergies entre les acteurs de l'agroécologie au Burkina ; partager les résultats des bonnes pratiques agro-écologiques en termes de savoir-faire, de pratiques, d'intrants et de produits agro-écologiques ; identifier les freins à l'adoption de l'agroécologie et déterminer les conditions et les besoins d'accompagnements favorables à une mise à l'échelle réussie de l'agroécologie dans toutes les zones agro-climatiques du Burkina.
Ici, les discours d'ouverture avec des premières JN-AE, avec la Conseillère technique, Ivonne Rouamba (au milieu), avec à sa droite, le représentant du Secrétariat permanent des organisations non-gouvernementales (SPONG), Hervé Koné.« A travers ces journées, nous voulons montrer les impacts positifs, les effets de l'agroécologie sur notre environnement, et surtout sa contribution à la sécurité alimentaire, notamment par sa production agricole, halieutique et pastorale », soutient le correspondant national agroécologie du ministère de l'Agriculture, des Ressources animales et halieutiques, Adama Sawadogo, qui précise que l'agroécologie est une façon de produire, tout en préservant les ressources naturelles, l'environnement et la biodiversité.
Le représentant du Secrétariat permanent des Organisations non-gouvernementales (SPONG), Hervé Koné, partenaire à l'événement, salue les progrès notables enregistrés par le Burkina en matière d'agro-écologie.
Pour lui, l'adoption de la stratégie nationale de développement de l'agro-écologie 2023-2027, accompagnée de son plan triennal et l'offensive agro-pastorale 2023-2025, marquent une étape cruciale dans la quête d'une agriculture durable.
Le Burkina Faso, en adoptant l'agro-écologie prépare, au-delà des enjeux actuels, un avenir pour ses agriculteurs, tout en préservant les ressources naturelles pour les générations futures, convainc M. Koné.
C'est pourquoi rassure-t-il de la disponibilité de l'ensemble des organisations et associations de la société, à accompagner le ministère de l'Agriculture, des Ressources animales et Halieutiques et tous les acteurs engagés dans cette démarche.
Jusqu'au 21 décembre 2024, toutes ces activités s'ouvrent aux populations burkinabè, en particulier celles de la ville de Ouagadougou et environs. Pour les exposants, venus de l'ensemble du territoire national avec divers produits locaux de l'agroécologie, ces journées nationales sont une aubaine également en cette veille de fêtes de fin d'année. Pour cela, il suffit de se rendre au ministère de l'Agriculture, des Ressources animales et halieutiques, sis Ouaga 2 000, avenue Ousmane Sembène.
O.L
Lefaso.net
The RAF Typhoons, which were returning from the Advanced Tactical Leadership Course in the UAE, made a stop in Turkey for a ‘detailed inspection’ in the presence of top Turkish and British defense officials. The diplomatic push of the United Kingdom and Germany for Turkey to acquire the Eurofighter Typhoon is now moving from words […]
The post RAF Typhoons Visit Turkey’s Mürted Air Base as Ankara Pushes to Acquire the Fighters appeared first on The Aviationist.
Koubri, dans la région du Centre, abrite du 19 au 22 décembre 2024, l'atelier régional bilan et de capitalisation des résultats avec les partenaires et les parties prenantes du projet “Mobilité protégée en Afrique de l'Ouest” (MoProtAO). L'ouverture de la rencontre qui réunit des participants du Niger, du Sénégal, de la Côte d'Ivoire, de la Guinée et du Burkina Faso, a eu lieu ce jeudi 19 décembre 2024.
Le projet “Mobilité protégée en Afrique de l'Ouest” (MoProtAO) est le premier cycle d'une convention-programme initiée par Ecpat France et Ecpat Luxembourg grâce au soutien financier de Luxembourg Aid & Development et de l'Agence française de développement. Conçu et mis en œuvre dans six pays que sont la Côte d'Ivoire, la Guinée, le Niger, le Sénégal et le Burkina Faso et le Mali (le projet y a pris fin en 2023) sur une durée de trois ans (2021-2024), ce projet œuvre pour la protection des enfants en mobilité. Le projet ambitionne qu'à l'horizon 2030, les filles et les garçons concernés par la mobilité en Afrique de l'Ouest participent à leur protection et vivent dans des environnements sûrs et sécurisés à l'abri de traite et d'exploitation sexuelle.
Les participants viennent du Niger, du Sénégal, de la Côte d'Ivoire, de la Guinée et du Burkina Faso.Alors que le projet arrive à son terme, les parties prenantes et les partenaires sont réunis pour faire le bilan et capitaliser les résultats engrangés. Trois jours durant, les participants feront un bilan général de l'exécution du projet de 2021 à 2024 et analyseront les difficultés rencontrées, ainsi que les solutions utilisées pour en venir à bout. Ce sera aussi le lieu de capitaliser les leçons apprises, les bonnes pratiques et les résultats des principaux changements réalisés durant ces trois années et d'échanger sur les grandes orientations du deuxième cycle du projet en cours de validation et qui devrait débuter en 2025.
Des résultats encourageants
À en croire Sami Patrice Palm, directeur Afrique de l'Ouest d'Ecpat France et Ecpat Luxembourg, en trois années de mise en œuvre sur le terrain, le projet MoProtAO a engrangé des résultats satisfaisants, Il a rappelé que le premier cycle du projet a été expérimental, l'occasion pour les organisations de mise en œuvre dans les différents pays, d'apprendre à travailler ensemble pour la protection des enfants depuis les zones de départ jusqu'aux zones d'arrivée en passant par les zones de transit. « La traite des enfants est visible par ses manifestations, mais la question de l'exploitation sexuelle des enfants est plutôt sournoise. Donc à travers ce projet, nous mettons en place des dispositifs qui consistent à former les enfants eux-mêmes, pour qu'ils soient conscients de ces risques et qu'ils développent des réflexes pour pouvoir s'auto-protéger et protéger leurs pairs. Ensuite, nous renforçons les mécanismes communautaires, dans toutes les localités, tout le long des chemins de mobilité. Nous renforçons également les mécanismes institutionnels de prise en charge de telle sorte que lorsqu'un enfant est concerné par l'une de ces situations qu'ils puissent savoir aller vers ces structures et obtenir la prise en charge qui sied, qui est adaptée et qui est respectueuse de ses droits. C'est ce que nous avons essayé de tisser comme filets de protection sur tous les principaux chemins de mobilité que ce soit à l'intérieur des différents pays et de façon transfrontalière pour faire en sorte qu'un enfant qui quitte le pays et qui est dans une situation de mobilité, lorsqu'il est confronté à un risque, qu'on sente qu'il y a tout un réseau qui est en branle pour pouvoir le prendre en charge », explique M. Palm.
Sami Patrice Palm, directeur Afrique de l'Ouest d'Ecpat France et Ecpat Luxembourg se dit satisfait des résultats engrangés par le projet.Ces résultats n'ont pas été atteints sans difficultés. La crise sécuritaire et humanitaire dans certains pays comme le Burkina Faso a favorisé la mobilité des enfants, alors qu'ils n'y étaient pas préparés. Ils se sont retrouvés sur les routes sans documents d'état civil et sans aucune connaissance des mécanismes de protection. Mais grâce aux enfants déjà formés par le projet, certains des enfants en mobilité ont été outillés sur les mécanismes d'autoprotection et les recours qui existent. « Certains de ces enfants ont eu la chance d'être en contact avec les ressources du projet. Les enfants champions qui ont été formés dans les localités ont mené des séances d'autoprotection qui ont pu aider ces enfants-là à être sensibilisés et à pouvoir avoir accès à des services de qualité de prise en charge. Mais il y a aussi d'autres enfants qui n'ont pas eu cette chance et qui sont toujours dans les parcours de mobilité, fortement exposés. Tout le défi, c'est de faire en sorte que notre expérience de ces trois années, puisse être portée à l'échelle pour que tous les enfants, où qu'ils soient, lorsqu'ils sont dans le contexte de la mobilité, qu'ils soient en contact avec des ressources qui peuvent les aider à se protéger », a indiqué M. Sami Patrice Palm.
Les participants ont posé pour la postérité.Au Niger également, le projet a engrangé des résultats satisfaisants, comme l'a souligné Moustapha Kadoum, chef du projet “Mobilité protégée en Afrique de l'Ouest” (MoProtAO) au Niger. Il a rappelé que la rencontre de Koubri permettra d'échanger sur les grandes orientations du deuxième cycle du projet en cours de validation et qui devrait débuter en 2025, et dont il a hâte de démarrer la mise en œuvre dans son pays.
Justine Bonkoungou
Lefaso.net
L'Agence Burkinabè de Normalisation, de la Métrologie et de la Qualité (ABNORM) a effectué du 12 au 19 décembre 2024, des sorties inopinées dans des boulangeries dans 6 régions du pays. L'information est rapportée par le service de communication de l'institution. Ce sont au total 37 boulangeries qui ont été contrôlées dans les villes de Fada N'Gourma, Tenkodogo, Pouytenga, Ouagadougou, Dano, Houndé, Boromo, Diébougou, Gaoua et Orodara.
Des pesées des baguettes de pains produites par les boulangeries contrôlées ont été effectuées par les techniciens de l'ABNORM. A l'issue des pesées, 10 des 37 boulangeries contrôlées ont été mises sous scellé, pour non respect du poids du pain.
L'ABNORM entend multiplier ses opérations de contrôles sur l'étendue du territoire national pour le bien du consommateur burkinabè. Elle invite par ailleurs les populations à prendre attache avec ses services techniques pour dénoncer tout cas de tromperie sur la qualité et la quantité des produits alimentaires et non alimentaires vendus sur la place du marché.
Source : ABNORM-BF
There is a short window for President Trump and Congress to reassert U.S. competitiveness on artificial intelligence (AI) and undercut China’s strategy before it cements its economic and geopolitical influence for a generation to come. Beijing and Washington are already in an AI race with the highest stakes for our economic and national security. Thankfully, innovation is in America’s strong suit. Open-source AI is how the United States can compete with China in both cost and capability. President Trump and his national security team, led by Rep. Mike Waltz (R-FL) and Senator Marco Rubio (R-FL), can embrace the competitive advantages of open innovation so that America will unquestionably win the AI contest with Beijing.
China is on pace to spend more than $1.4 trillion by 2030 in its strategy to become the world leader in AI and other emergent technologies. Additionally, it is releasing AI models that are already competitive with the best American models. In November, the Chinese company Alibaba released its latest AI model, “Qwen,” which beat the best U.S. models in several performance benchmarks. According to CNBC, Alibaba’s models have been downloaded 40 million times since their initial release last year.
Open sourcing is an explicit part of China’s Global AI Governance Initiative. If China is allowed to set global AI standards, the CCP’s long history of censorship will be exported around the world. In one concerning example, Chinese generative AI chatbots censor topics by refusing to respond to questions about Tiananmen Square or falsely claiming that Taiwan is part of China.
Recent administrations have tried and failed to keep advanced chips needed to develop powerful AI out of the hands of Chinese companies. Still, a committed adversary like China will always seek advantage where possible. Chinese companies have reportedly used U.S. cloud providers to get around bans on accessing chips and are hiring AI teams in the United States, in part to access these chips within our borders and evade controls.
There are four core elements to a successful open-source AI strategy that President Trump and Congress can implement.
First, the Trump administration should encourage federal agencies and the public sector to adopt freely available open-source models in their AI tools and products, or at least not prefer proprietary or closed models over open-source ones.
Second, America must be prepared to push back on other countries that are seeking to punish American innovation through restrictions that would target U.S. models while protecting their domestic ones.
Third, Congress must step up by pre-empting any state laws with federal policies or legislation so that the United States doesn’t end up with a patchwork of incompatible state laws that limit American innovation. This would stop future harmful, anti-innovation bills, like California’s SB1047, which was fortunately vetoed this Fall before it could be enacted.
Fourth and finally, leaders in Washington should avoid placing export controls on generative AI, which would prevent U.S. companies from releasing open-source models.
U.S. restrictions on open-source models will only disadvantage the United States and its allies while doing nothing to slow China’s momentum. Access to the latest AI developments and models is critical for our national security. The U.S. military and Intelligence Community are already using U.S. open-source AI to gain tactical and strategic decision advantages. Large language models can identify patterns within source intelligence reporting, accelerate the speed and accuracy of battlefield decisions, and expose terrorist financing or identify cyber vulnerabilities before attacks happen. Slowing down our advances in this technology is not an option.
Instead, the United States should focus on holding off China’s AI advancements by restricting its access to the chips and computing power needed to train AI models. An AI researcher noted that China’s latest models show that it has the raw data and talent to train large models, but it will need more specialized technology and chips to solidify its lead at the top.
To win the tech race, America must lead in both open and closed-source AI models. Each approach has its unique advantages, but to beat China, we need to foster both. Some argue that closed models are more secure, but that’s not the case. Every year, China steals more than $500 billion in trade and tech secrets from the United States, and well-resourced states like China can easily gain access to closed-source models.
“Closed” doesn’t mean secure, and proprietary AI models could easily end up in Chinese hands through IP theft, insider attacks, or other means. Open-source AI has several benefits for the United States and our allies because it makes us more competitive in the global economy through open-source models, making AI technology more accessible—especially for smaller developers and researchers who are challenging the status quo.
Open source also fosters economic growth because it drives competition, spurs homegrown innovation, and increases consumer choice. Open source can also make products safer because more eyes can mean fewer faults: a wide community is providing ongoing feedback and scrutiny, which isn’t possible when a company makes their AI proprietary through selling access.
As history has demonstrated, open-source technology typically becomes the global standard over the closed alternative. AI will be no different. The AI standard that emerges will become embedded in the financial, e-commerce, infrastructure, manufacturing, and communications systems of the future. The domains and industries AI affects are too consequential for the United States to ever fall behind an adversary, including China. The incoming Trump administration is positioned to ensure the United States leads on this front for decades to come.
Alexander B. Gray served as deputy assistant to the president and chief of staff of the White House National Security Council (2019-21) and special assistant to the president for the defense industrial base (2017-18).
Image: Billion Photos / Shutterstock.com.
Pour le compte du ministère de l'Industrie, du Commerce et de l'Artisanat, le conseil des ministres du 18 décembre 2024 a adopté deux rapports portant approbation des statuts particuliers de la Chambre de commerce et d'industrie du Burkina Faso (CCI-BF) et dissolution de la Chambre consulaire de la CCI-BF. L'objectif est d'orienter la gestion des ressources de la Chambre de commerce et d'industrie vers le développement du commerce, de l'industrie et des services, a expliqué le ministre Serge Gnaniodem Poda.
Le gouvernement a adopté, le 18 décembre 2024, cinq décrets visant à parachever la structuration du secteur des mines au Burkina. Ces décrets portent, entre autres, sur les activités de coulée, de pesée et de contrôle de la quantité et de la qualité de l'or et des autres substances précieuses, la constitution des réserves d'or au Burkina ; l'indemnisation des personnes victimes de préjudices au niveau de l'exploitation minière. Le ministre des Mines, Yacouba Zabré Gouba, donne des explications.
Sur 3 000 camions tactiques Unimog, de conception allemande, qu’elle a reçus il y a maintenant plus de soixante ans, l’armée argentine [Ejército Argentino] n’en disposerait plus que de 1 300. Mais, au regard de leur ancienneté, elle a l’intention de les remplacer très prochainement. D’où l’appel à propositions qu’elle a lancé en juin dernier,...
Cet article En quête d’un nouveau camion tactique, l’armée argentine s’intéresse au VLRA du français Arquus est apparu en premier sur Zone Militaire.
Au total, 275 jeunes, parmi lesquels des criminels arrêtés lors des opérations ciblées de la police et des volontaires, sont confiés par le gouvernement provincial du Haut-Katanga Service national. Ils ont embarqué mercredi 18 décembre de Lubumbashi à destination de Kaniama Kasese, dans le Haut-Lomami.
Selon le commandant du Service national, général-major Jean-Pierre Kasongo, il s’agit de la troisième vague en une année pour la seule province du Haut-Katanga.
Over the last 20 years, America has failed in both war and peace. The world is on fire and is waiting for President Donald Trump to fulfill his promise to bring about a ceasefire in the war and, ultimately, broker a peace agreement. The war in Ukraine presents itself as both a challenge to Trump and, for the first time since the end of the Korean War, an opportunity for America to win the war by winning the peace.
To envision a successful future, we must look to learn from the past. The reconstruction of Japan after World War II, the reconstruction of South Korea after the conflict on the Korean Peninsula, and the reconstruction of Germany provide lessons and perspectives to draw upon. All three nations experienced economic and security renewals, which not only had national benefits but also enhanced the United States in terms of both economics and security.
This same opportunity exists today for the people of Ukraine and for the United States. The coming Ukraine economic miracle and recovery will reshape the Eurasian continent. Ukraine will become a lighthouse for innovation, resilience, and future-oriented development. Nothing brings two nations together more than strong commercial ties. Economic entanglement between the United States and Ukraine will bring prosperity to both.
Critical mineral security and development will be a cornerstone of this success. Fast-tracking the extraction and processing of Ukraine’s vast mineral resources is key. Securing the multi-trillion dollars of critical minerals in Ukraine is a vital national interest of the United States.
Civil nuclear power will provide stable, clean energy for the reindustrialization of Ukraine. Robust capacity is needed to drive the coming economic renaissance. Energy security is foundational to sovereignty and success.
Likewise, land restoration is essential. Unexploded ordnance and other ground contamination must be mitigated. Ukraine has always been the breadbasket of the world. Along with Europe, much of the African continent relies on Ukraine’s agricultural resilience and success. Clean-up will put people to work quickly and kick-start agricultural development.
Redesigning the defense industrial base with an eye to implementing new battlefield technologies and proven legacy systems is crucial to Ukraine’s security. A holistic integration of command, control, communications, computer systems, manufacturing, and innovation will create a “live” and responsive system to face all adversaries and new technologies.
World-class data systems will be needed to shoulder the incoming needs. This includes robust fiber rings, server capacity, and AI infrastructure. This should be built at overcapacity and leverage new technologies to provide all stakeholders with scalable information systems.
There is an incredible opportunity for the United States and Ukraine to develop, test, and deploy revolutionary AI infrastructure. Small modular reactors, providing nuclear-powered data centers, offer a new physics-based approach versus legacy server design. That, combined with the aforementioned data network capacity, will yield game-changing results.
A Silicon Valley-type citadel of innovation will be another key driver. This means harnessing the deep intellectual capacity of the Ukrainian people as world leaders in technological innovation.
Restructuring government for economic success, security success, and a secure and resilient democracy will be key to achieving all of these long-term goals.
Lastly, the story of Ukraine must be told, including why Ukraine matters and why a strong partnership with the United States matters. The values of the Ukrainian people mirror our own, and their resilience can provide hope and vision, not just for their people but for our nation as well.
David Ayer is a writer, director, and producer whose films include Fury, End of Watch, and Beekeeper. A former Navy Submariner, David has an abiding interest in global messaging and fresh ways to tell stories.
RDML (Ret.) Michael Hewitt, U.S. Navy, is co-founder and CEO of IP3 Corporation and CEO of Allied Nuclear Partners. IP3 creates thriving, peaceful environments in critical world markets through the development of sustainable energy and security infrastructure via public/private initiatives and industry-led partnerships.
Image: Seneline / Shutterstock.com
La mortalité infantile est passée de 97 cas à un peu moins de 80 pour 1 000 naissances entre 2015 et 2020, en RDC.
Ces chiffres sont contenus dans le rapport sur les ODD et les enfants en RDC, présenté mardi 17 décembre, à Kinshasa par le ministère du Plan, avec l’appui de l’UNICEF.
Et parmi ces progrès, le secrétaire général au Plan, Daniel Epembe, a noté la réduction de la mortalité infantile :
Soupçonné d’avoir coupé les câbles sous-marins de télécommunications Arelion et C-Lion1, le cargo chinois Yi Peng est immobilisé depuis maintenant un mois dans le détroit de Cattégat, à la limite des eaux territoriales du Danemark [soit à un peu plus de 12 nautiques de la côte], tout en étant étroitement surveillé par des navires danois...
Cet article Le français Thales va coordonner un projet européen visant à protéger les infrastructures maritimes critiques est apparu en premier sur Zone Militaire.
La situation sécuritaire sur toute l’étendue territoire de Fizi reste relativement calme, a indiqué mercredi 18 décembre son administrateur, Samy Kalonji. Il appelle les habitants qui avaient fui les hostilités de pouvoir regagner leurs villages.