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Diplomacy & Defense Think Tank News

21/01/16 : Petit-déjeuner de la science et de l’innovation sur le thème : « Principe d’innovation versus principe de précaution »

Fondapol / Général - Tue, 12/01/2016 - 09:52

La Fondation pour l’innovation politique souhaite relayer le prochain petit-déjeuner de la science et de l’innovation, qui aura lieu le jeudi 21 janvier 2016 de 8h30 à 10h à l’Hôtel de l’Industrie, 4 place Saint-Germain-des-Prés, Paris 6e.

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Erwan Le Noan – L’Opinion – Pourquoi la droite se prépare à des défaites de long terme

Fondapol / Général - Tue, 12/01/2016 - 09:51

Article de Erwan Le Noan, paru dans L'Opinion, le 6 janvier 2016. Selon l'auteur : « Quand l’horizon concurrentiel est bouché, l’une des meilleures stratégies reste l’innovation radicale, la disruption politique qui permet de créer son propre marché en proposant une solution nouvelle ».

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Das selbstständige Kind

Konrad Adenauer Stiftung - Tue, 12/01/2016 - 00:00
Das Bild vom Kind und die Kindererziehung wurden über Jahrhunderte angepasst an gesellschaftliche Entwicklungen: Das Leitbild des angepassten und braven Kindes ist heute aus der Mode gekommen. Die heutige partnerschaftliche Erziehung berücksichtigt die Interessen und Bedürfnisse des Kindes. Das aktuelle Kinderbild spiegelt sich nicht nur in der Kindererziehung und im Wandel der Kindheit wider. Die Publikation spannt den Bogen über die Bildungspläne in den Kitas, die unterschiedlichen Ausprägungen in den unterschiedlichen Kulturen und Schichten bis hin zum Kindeswohl und den Medien.

La nouvelle pensée de M. Gorbatchev en politique étrangère : Utopie ou pragmatisme ?

Centre Thucydide - Mon, 11/01/2016 - 22:42

Dans son discours aux Nations Unies le 7 décembre 1988, Mikhaïl Gorbatchev exprimait le souhait que “[les] efforts conjoints [des Nations Unies] visant à mettre fin à l'ère des guerres, des confrontations et des conflits régionaux, des actes d'agression contre la nature, de la terreur de la faim et de la pauvreté et du terrorisme politique, soient à la hauteur de nos espérances”. Voilà une phrase emblématique de la “Nouvelle Pensée Politique”, qui donna le ton de la politique étrangère de M. Gorbatchev. On a souvent rejeté sur cette base théorique la responsabilité de la chute de l'URSS, à tel point qu'A. Tsygankov qualifie la “Nouvelle Pensée” de “naive et déconnectée des considérations de puissance.” Elle a pourtant été conçue comme un projet ambitieux pour l'URSS et pour le monde : comment évaluer la part de pragmatisme et la part d'idéalisme dans la “Nouvelle Pensée Politique” de Gorbachev ? Afin de répondre à cette question nous détaillerons tout d'abord rapidement le contenu de cette pensée politique, puis nous analyserons sa dimension pragmatique. Enfin nous verrons comment, en pratique, sa dimension idéaliste a pris le dessus.

RDV sur BFM Business à 18h30

Institut Montaigne - Mon, 11/01/2016 - 17:36
Date: Mardi 12 Janvier 2016Description: Laurent Bigorgne, directeur de l'Institut Montaigne sera sur BFM Business et BFM TV pour présenter le rapport Décentralisation : sortons de la confusion.Résumé: 

l’expansion.l’express.fr- L’ubérisation, un drame pour l’emploi ?

Fondapol / Général - Mon, 11/01/2016 - 13:18

Article paru sur le site lexpansion.lexpress.fr le 5 janvier 2016, dans lequel Vincent Champain, président de l'Observatoire du long terme, Marc-Arthur Gauthey, membre de OuiShare
et Robin Rivaton, économiste pour la Fondation pour l'innovation politique décryptent les effets de l'ubérisation sur l'emploi.

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« Mohicans » – 3 questions à Denis Robert

IRIS - Mon, 11/01/2016 - 11:06

Journaliste d’investigation à Libération, écrivain, réalisateur de documentaires et spécialiste de la lutte contre la criminalité financière, Denis Robert est aussi romancier et plasticien. Il répond à mes questions à l’occasion de la parution de son dernier ouvrage « Mohicans : connaissez-vous Charlie ? », aux éditions Julliard.

Votre livre est un hommage émouvant à Choron et Cavanna, les créateurs du Charlie Hebdo. En quoi ont-ils été novateurs, voire révolutionnaires, pour la presse ?

Ils étaient libres. Et les hommes libres capables d’écrire, de créer et de dessiner, ça ne court pas les rues.

Ils ont inventé un art qu’on dit « bête et méchant », mais qui était en réalité intelligent et gentil. Seuls les cuistres et les sots ne l’ont pas compris. Et ne le comprennent toujours pas. Ces hommes, c’était la bonté même.

Cavanna était l’ange tutélaire et inquiet de ce « bordel créatif » qu’était Hara-Kiri d’abord, Charlie Hebdo ensuite. Et Choron, une sorte de diable bienveillant. Sans Choron, cette aventure de presse n’aurait jamais existé et duré aussi longtemps. C’était lui l’éditeur, le producteur. Il allait chercher de l’argent partout pour que les dessinateurs et les chroniqueurs soient payés. Il avait également prévu le désastre à venir avec l’arrivée de Philippe Val. Il est le seul à avoir refusé le marché qu’on lui proposait. Cavanna le dit d’ailleurs avec beaucoup de désespoir: « Choron avait vu juste, on n’aurait jamais dû y aller ». Sans Cavanna, rien n’aurait été possible éditorialement. L’inventeur de la formule magique c’est lui. Mais Cavanna avait besoin de Choron pour créer et faire émerger tous ces talents.

Ça n’existe nulle part ailleurs un ange et un diable qui s’aiment autant et qui sont capables de générer une telle armée de guerriers : Reiser, Topor, Willem, Fred, Delfeil, Wolin, Fournier et tous les autres. Ces gars-là, toute l’équipe des débuts, de 1960 à 1982, étaient des guerriers magnifiques, libres, indépendants des pouvoirs, ne cherchant ni les honneurs, ni l’argent ou la postérité. On est tous leurs enfants, même ceux qui ne le savent pas encore. Ils ont tellement lutté contre la censure. Ils ont décadenassé la société française sous De Gaulle, Pompidou, Giscard. Finalement Mitterrand les a tués. Il subsiste pourtant une fibre bête et méchante. Ceux qui savent se reconnaîtront.

Et pourtant ils se sont querellés, séparés, tout en conservant une estime réciproque : comment expliquez-vous cela ?

J’ai passé du temps avec les deux. Moins avec Choron qu’avec Cavanna. Mais avoir bu des coups ou dîner avec Choron permet de sentir l’homme. Choron était l’ami de Lefred qui lui-même était mon ami. Il a fini sa vie dans la Meuse, pas très loin de chez moi, et venait souvent à Nancy. Cavanna, j’ai fait ce film avec lui, passé du temps en tête à tête à l’interroger, à l’écouter.
C’étaient des types généreux. Ils avaient conscience du temps qui leur restait sur Terre. Ils étaient revenus de presque tout : le pouvoir, l’argent, l’amour, la mort, le cancer, la politique, la connerie, Parkinson. Et ils étaient conscients de leur liberté, de leur différence, des trains qu’ils avaient manqués. Ils avaient un ego moins développé qu’on ne l’imagine. Ils s’engueulaient. Comme des frères. Mieux que des frères parce qu’ils n’avaient pas de parents en commun.

Leur brouille est directement liée à la reprise en main du titre par Philippe Val en 1992. Choron en tant que directeur de publication l’avait déposé. Mais comme il était interdit de gestion, il avait utilisé un prête-nom. Philippe Val et son avocat Richard Malka ont vite compris l’intérêt qu’il y avait à ressortir un journal sous l’étiquette Charlie Hebdo. Mais Choron résistait. Cavanna ne parvenant pas à le convaincre de rejoindre l’équipe qui se constituait autour de Val et de Cabu, a accepté l’idée de faire un procès à Choron sur la paternité du titre. On entre alors là dans une histoire tumultueuse que je raconte dans le livre. Et qui est en définitive la saga d’une spoliation et d’un détournement.

Choron va perdre ses procès, sur la base de témoignages dont on sait aujourd’hui qu’ils étaient en partie faux. Mais Cavanna va perdre à long terme son journal. Puisque Val, avec l’appui de Malka, va progressivement et habilement l’évincer de son journal. C’est très triste. Cavanna, au soir de sa vie, en était malheureux. Il me le dit face caméra : « Je me suis fait avoir, j’aurais dû écouter Choron. C’est lui qui avait raison contre tout le monde… » Ces procès ont cassé quelque chose entre eux, mais l’affection, l’amour qu’ils se portaient est, je crois, resté intact. Choron ne disait pas de mal de Cavanna. Et Cavanna non plus. Ils se sont fait avoir par des types plus malins qu’eux. Et sans talent.

Val et Malka ont usé et abusé du génie de Cavanna et de Choron et de tous les autres pour faire un journal différent qui a lentement dérivé et est devenu, selon l’aveu même de Cavanna, un mauvais canard politique, avec des petits dessins pas terribles. Ils y sont allés franco. Ils sont à l’image de l’époque. Ce sont des hommes de réseau, de pouvoir, ambitieux. Et ils ont gagné la partie. Ils la gagnent tous les jours. Les suites médiatiques et politiques de l’attentat de janvier ont été – de ce point de vue – une sorte de point d’orgue. On les a vus partout s’approprier la mémoire de Charlie. C’est sûrement ce qui m’a réveillé et décidé à écrire ce livre qui est bien autre chose que la seule narration d’une aventure de presse. Je le vis et je l’ai écrit comme un drame shakespearien. Une histoire française pleine d’amour, de colère, de passion, de fantômes et de trahisons. Je suis arrivé tard dans cette histoire avec un regard extérieur. Mais mon livre et le film existent maintenant, malgré les pressions, les tentatives nombreuses d’étouffement, les menaces de procès. Tout cela sort aux forceps. Ce qui me rend heureux c’est de voir que, loin des medias mainstream, le public, les lecteurs s’en emparent. Et que ce savoir se diffuse largement. Au grand damne des usurpateurs.

Pourquoi êtes-vous si dur avec Philippe Val et Richard Malka, qui se présentent pourtant comme les héritiers de Choron et Cavanna et les représentants de Charlie Hebdo ?

Le Charlie Hebdo de 1992 était une copie quasi conforme – quasiment la même équipe et les mêmes dessins – de La Grosse Bertha, un hebdomadaire satirique qui vendait alors environ 15 000 exemplaires par semaine. Val a changé l’étiquette, a appelé ça Charlie Hebdo et le journal s’est vendu à 150 000. Là commence l’arnaque. S’ils avaient respecté l’esprit des créateurs, cela ne poserait pas de problème. Ils ont dilapidé cet héritage, se sont enrichis sur cet héritage. Et ont détourné son sens profond. Charlie Hebdo était un journal boussole pour la gauche et l’écologie. Ils ont gardé la boussole mais ont truqué le mécanisme. Le public et les lecteurs se sont fait avoir sans rien savoir de ce qui se passait en coulisse. C’est un peu comme dans ces familles où après avoir piqué sa pension, sa maison et ses chaussettes, on cache le vieux père à l’hospice en attendant qu’il crève. Mais que surtout ça se fasse dans le silence, maintenant que tout est réglé et qu’on est en haut de l’affiche. Ben voilà, je brise ce silence. Et je ne suis pas dur. Je me trouve très gentil.

Mathieu Terrier : Chiites et sunnites : paix impossible ?

Fondapol / Général - Mon, 11/01/2016 - 10:57

Il est devenu urgent de comprendre la scission interne à l’islam, son origine et sa nature. Cette séparation remonte aux fondations de l’islam : la succession contestée du Prophète et les guerres civiles successives ont déterminé l’émergence d’une majorité, plus tard appelée sunnite, et de minorités chiites.

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Discriminations au travail : la recrue ?

Institut Montaigne - Mon, 11/01/2016 - 09:54
Date de parution: Vendredi 08 Janvier 2016Auteur: Amandine CailholNom de l'editeur: LibérationImage de l'editeur: Description: Selon un testing réalisé en 2013 et 2014 par l’économiste Marie-Anne Valfort (publié en octobre par l’Institut Montaigne), un candidat perçu comme musulman pratiquant a deux fois moins de chances d’être convoqué en entretien d’embauche qu’un catholique pratiquant (10,4 % contre 20,8 %). L’écart est encore plus grand pour les hommes (4,7 % contre 17,9 %). Selon l’auteure, ces inégalités pourraient avoir grimpé depuis «les attentats de janvier et de novembre, ainsi que l’assassinat d’un employeur par son salarié à Saint-Quentin-Fallavier. Des actes qui ont sans doute contribué à renforcer la tendance des recruteurs à assimiler les candidats musulmans à l’extrémisme religieux».Type de parution: L'institut est citéType de média: WebLien: http://www.liberation.fr/france/2016/01/08/discriminations-au-travail-la-recrue_1425224

Weltkrisen, Weltsichten, Wegscheiden

Bonn, 11.01.2016. 2015 – Was für ein Jahr! Ebola, Ukraine, Syrien, Irak, islamistischer Terror, endlose Flüchtlingstrecks, neue Wärmerekorde im Erdsystem. 2015 steht aber auch für: das Klimaabkommen von Paris, die Einigung auf globale Entwicklungsziele im Sommer in New York, das Abkommen mit dem Iran zur Einhegung des Nuklearkonflikts. Der gemeinsame Nenner: Grenzüberschreitende, globale Interdependenzen führen dazu, dass nationaler Wohlstand und Sicherheit nicht mehr zu haben sind, wenn internationale Unsicherheit vorherrscht. Dieser einfache Zusammenhang wird seit langem diskutiert, von Jahr zu Jahr wird er spür- und greifbarer. Ursachen gibt es viele, doch vier Krisenverstärker stehen im Zentrum: Erstens sind Armut sowie Ungleichheit und Ausgrenzung der Nährboden für Apathie, Resignation, Gewalt, Gesellschaftzerfall, Flucht. Dies gilt im Irak, im Jemen, in Eritrea, in Myanmar, in Pakistan und Indien, in den USA, im belgischen Molenbeek oder den Randbezirken von Paris gleichermaßen. Bis die Apathie in Gewalt umschlägt, wird dieser Zusammenhang oft ignoriert. Zweitens müssen wir in der kommenden Generation lernen, Wohlstand in den Grenzen des Erdsystems zu organisieren und Entwicklung von Ressourcenverbrauch und Emissionen vollständig zu entkoppeln. Ansonsten drohen globale Verteilungskonflikte, neue Armutswellen und Fluchtbewegungen, die die aktuellen Wanderungsströme bei weitem übersteigen werden. Der Klimavertrag von Paris und die in New York verabschiedeten globalen Nachhaltigkeitsziele symbolisieren, dass die Staaten diese Herausforderungen zumindest verstanden haben. Drittens bedroht der transnationale islamistische Terror die globale Sicherheit. Vergleichbar mit Faschismus und Stalinismus ist dies eine weitere totalitäre Bewegung, die Menschen mobilisiert, indem sie Identifikation anbietet und radikale Gegenwelten schafft. Viertens formiert sich als Reaktion auf reale und vermeintliche Schattenseiten der Globalisierung eine auf die Mitte der Gesellschaft abzielende „Internationale“ autoritärer Nationalisten, Xenophoben, Zäunebauer und Vereinfacher. Le Pen, Orban, die neue polnische Regierung, Pegida sowie Seelenverwandte wie Putin und Trump bedrohen Freiheit, Toleranz und internationale Zusammenarbeit. Die vier Krisenverstärker sind einfach zu beschreiben, aber nur schwer zu entschärfen. Doch Elemente eines Globalisierungskompasses, der zentrale Orientierungen bietet, um die globalen Herausforderungen einzubetten, lassen sich skizzieren. Ohne einen Quantensprung globaler Kooperation und die Eindämmung von Nationalismen drohen Krisenjahrzehnte und Verwerfungen in der zunehmend enger vernetzten Weltgesellschaft. Wo immer möglich, sollten daher grenzüberschreitende und globale Netzwerke von zivilgesellschaftlichen Akteuren, Wissenschaftlern, Kulturschaffenden und Städten gestärkt werden. Sie bilden den vielschichtigen Humus, aus dem eine globale Kooperationskultur entstehen kann. Zudem braucht der Weltklimavertrag von Paris jetzt Rückenwind. Deutschland und Europa sollten Dekarbonisierungsallianzen voranbringen, die solche Länder massiv unterstützen, die besonders ambitionierte Klimaschutzanstrengungen unternehmen. Europa sollte darüber hinaus  eine große Kraftanstrengung mobilisieren, um mit moderaten Kräften des Islams, tragfähige Zukunftsszenarien einer Nachbarschaftspolitik zu entwerfen. Zu lange hat Europa die Prägekraft und die internen Spannungsfelder des Islams ignoriert und darauf gesetzt, dass ökonomischer Fortschritt dazu führt, dass islamisch geprägte Gesellschaften „werden wie wir“. Selbst in Deutschland, mit seinen etwa vier Millionen Muslimen, liegt das Wissen über Sunniten, Schiiten und Kernelemente der islamischen Kulturen nahe am Nullpunkt. Integration und Kooperation mit islamisch geprägten Gruppen und Gesellschaften setzt jedoch wechselseitiges Wissen über Gemeinsamkeiten und Unterschiede voraus. Weil dies fehlt, haben sich nur die Extreme beider Seiten angenähert, die auf Ausgrenzung, Feindseligkeit, Intoleranz setzen. Politik lebt auch von Symbolen und Signalen. Die Europäische Union und ihre Mitgliedsstaaten sollten ein Zeichen gegen nationale Restaurationen und Abschottung sowie für globale Kooperation setzen und bis 2018 die Investitionen in die Internationale Zusammenarbeit von derzeit gut 0,42 % des Bruttosozialproduktes (BSP) auf die lange versprochenen 0,7 %erhöhen. Dies käme einem „Investitionsprogramm für globale Entwicklung und europäische Stabilität“ in der Größenordnung von etwa 40 Mrd. Euro gleich – 80 Euro pro EU-Bürger. Es geht aber nicht nur um Geld, sondern vor allem um ein politisches Ausrufezeichen für eine politische Weichenstellung. Das Signal aus Europa wäre: Wir haben verstanden – globale Krisenbekämpfung, Investitionen in die weltweite Wohlfahrt und europäische Entwicklung gehören unmittelbar zusammen. Weltweite Kooperation ist Friedenspolitik und schützt vor sicherheitsgefährdendem Nationalismus. Europa übernimmt Mitverantwortung für den Schutz der globalen Gemeinschaftgüter. Möglicherweise müsste das globale Kooperationssignal zunächst ohne Unterstützungen aus Ungarn und Polen angestoßen werden. Wahrscheinlich hätten die Trumps, Le Pens und Putins nur Häme für eine solche Initiative übrig. Doch große politische Weichenstellungen verlangen Kraftanstrengungen und Weitsicht. Europa – wir schaffen das!

Dr Thanos Dokos writes in Kathimerini on perspectives for Greek foreign policy in 2016, 02/01/2016

ELIAMEP - Mon, 11/01/2016 - 08:46

You can read here the article on perspectives for Greek foreign policy in 2016, which was written by Director General of ELIAMEP Dr Thanos Dokos. This commentary was published in the Greek daily Kathimerini on 2 January 2016.

La défense de l'Europe avant l'Europe de la défense

Fondation Robert Schuman / Publication - Mon, 11/01/2016 - 01:00
Revenir à la méthode Schuman "Une tâche européenne constructive et valable, consiste sans doute à assurer la défense collective contre toute agression possible. Comme la paix, la sécurité est devenue indivisible". Robert Schuman [1] C'est peu dire que l'Europe fait face à un...

Elections, Election présidentielle au Portugal le 24 janvier

Fondation Robert Schuman / Actualités - Mon, 11/01/2016 - 01:00
9,7 millions de Portugais sont appelés aux urnes le 24 janvier pour désigner le successeur d'Anibal Cavaco Silva (Parti social-démocrate, PSD), qui ne peut pas briguer un 3e mandat. Si aucun des 10 candidats en lice n'obtient la majorité absolue lors du 1er tour de scrutin le 24 janvier, un 2e tour sera organisé le 14 février. Selon la dernière enquête réalisée par Eurosondagem, Marcelo Rebelo de Sousa (PSD) pourrait s'imposer dès le 1er tour avec 52,5% des suffrages.

Fondation, L'Europe et ses doutes

Fondation Robert Schuman / Actualités - Mon, 11/01/2016 - 01:00
Devant la montée des menaces sécuritaires, Jean Dominique Giuliani, président de la Fondation, s'interroge, dans un éditorial publié sur son site, sur les raisons des doutes dont fait l'objet la construction européenne.

Fondation, Analyse du résultat des élections espagnoles

Fondation Robert Schuman / Actualités - Mon, 11/01/2016 - 01:00
La Fondation Robert Schuman co-organise le 13 janvier avec la Hanns Seidel Stiftung une conférence à Bruxelles sur les enseignements des élections espagnoles et notamment leurs conséquences pour l'Europe. Inscription gratuite mais obligatoire.

Fondation, Prix franco-allemand du journalisme 2016

Fondation Robert Schuman / Actualités - Mon, 11/01/2016 - 01:00
L'appel à candidatures pour le Prix Franco-Allemand du Journalisme (PFAJ) 2016 est ouvert jusqu'au 1er mars dans les catégories Vidéo, Audio, Ecrit, Multimédia et pour la meilleure contribution "Jeunes Talents".

Fondation, Publication de la 3ème édition de l'Atlas de l'Union européenne

Fondation Robert Schuman / Actualités - Mon, 11/01/2016 - 01:00
La troisième édition de l'Atlas de l'Union européenne vient de paraître en versions papier et numérique. L'ouvrage présente l'Union, ses institutions, ses 28 États membres et - nouveauté - leurs territoires d'Outre-mer. A commander pour tout savoir sur l'Europe.

Fondation, Etude sur l'état de droit

Fondation Robert Schuman / Actualités - Mon, 11/01/2016 - 01:00
L'État de droit constitue l'une des valeurs fondamentales sur lesquelles repose l'Union européenne, selon l'article 2 du Traité de l'Union. Alors que plusieurs pays adoptent des mesures contestées qui obligent la Commission à se saisir du dossier, la Lettre vous propose de relire l'étude de la Fondation parue sur ce sujet en mai 2015.

Migrations, L'Allemagne a accueilli 1,1 million de demandeurs d'asile en 2015

Fondation Robert Schuman / Actualités - Mon, 11/01/2016 - 01:00
L'Allemagne a accueilli 1,1 million de demandeurs d'asile en 2015 selon les chiffres pibliés le 6 janvier par l'Office fédéral des migrations et des réfugiés (BAMF).

Migrations, Rétablissement de contrôles aux frontières

Fondation Robert Schuman / Actualités - Mon, 11/01/2016 - 01:00
La Suède exige depuis le 4 janvier une pièce d'identité pour franchir le pont de l'Öresund. Le Danemark a aussi instauré le 4 janvier des contrôles à ses frontières avec l'Allemagne. Le 6 janvier, les ministres allemand, suédois et danois de l'immigration se sont entretenus avec le commissaire européen en charge de l'asile, Dimitris Avramopoulos, afin de coordonner un retour à la normale au plus vite.

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