You are here

Diplomacy & Defense Think Tank News

Subsahara-Migranten in Marokko: Hoffen auf Stabilität und Integration

Konrad Adenauer Stiftung - Fri, 28/10/2016 - 00:00
Immer mehr Subsahara-Migranten betrachten Marokko dauerhaft als möglichen neuen Lebensraum. Was sind ihre Erfahrungen? Und wie sehen ihre Zukunftsplanungen aus?

ICM Policy Paper: Women, Peace, and Security

European Peace Institute / News - Thu, 27/10/2016 - 19:21

Over the past two decades, an abundance of legal and policy frameworks in the multilateral system have focused on women’s security and empowerment. Women, however, continue to be poorly represented in formal peacemaking activities, and they suffer disproportionately from the indirect effects of conflict. The credibility of the multilateral system itself depends on progress in this area, due to compelling evidence that inclusive societies are more likely to be peaceful and stable.

On the sixteenth anniversary of Security Council Resolution 1325, this policy paper explores key challenges and developments related to women, peace, and security. This is the first in a series of fifteen policy papers produced by the Independent Commission on Multilateralism (ICM), a two-year project launched by IPI in September 2014 to identify how the multilateral system can be made more “fit for purpose” for twenty-first-century challenges.

Based on extensive consultations with representatives of states, various UN entities, and civil society, as well as subject-matter experts, this paper details recommendations laid out in the ICM’s final report, published in September 2016. To improve multilateral engagement on women, peace, and security, it recommends several major shifts:

  • Reimagine traditional approaches to peace and security, from conceptions of peace and security to the identification of key actors and the goals of peace processes.
  • Achieve a unified, holistic, and coherent approach to improve women’s security and participation, from shifts in social norms to improvements in education and increased women’s representation in politics and policymaking.
  • Build an inclusive and legitimate multilateral system that embraces the women, peace, and security agenda as key to its credibility and effectiveness.

For other IPI news, events, and publications about women, peace, and security, see here.

Download

La politique étrangère de François Hollande

IRIS - Thu, 27/10/2016 - 18:55

François Ernenwein est rédacteur en chef du quotidien La Croix. Il répond à nos questions à l’occasion de sa participation aux Géopolitiques de Nantes organisées les 30 septembre et 1er octobre 2016 par l’IRIS et le lieu unique avec le soutien de Nantes métropole :
– Quel bilan dressez-vous de la politique étrangère de François Hollande ?
– Quels sont les succès et les échecs de la diplomatie Hollande ?
– Quels défis attendent le futur président ?

Géo-économie du Maghreb

IRIS - Thu, 27/10/2016 - 14:57

Le dernier rapport de la Banque mondiale au sujet de la situation économique et sociale au Maghreb (à l’exception de la Mauritanie) tire un bilan qui en dit long sur le statu quo et le manque de perspectives en la matière : l’Algérie, la Libye, le Maroc et la Tunisie « ont en commun les mêmes grands défis socioéconomiques avec, au premier rang d’entre eux, les taux élevés du chômage chez les jeunes et la nécessité d’y remédier en développant le secteur privé pour créer des emplois plus nombreux et de meilleure qualité ». Les inégalités qui persistent représentent « un obstacle majeur à l’objectif visant à mettre fin à l’extrême pauvreté dans le monde d’ici 2030 ».

De fait, les pays maghrébins sont toujours en quête d’un modèle de développement. Leurs économies se trouvent dans une situation de dépendance extérieure, pour l’importation (agricole en particulier) comme pour l’exportation (en hydrocarbures). La succession et la combinaison de politiques étatistes et de politiques d’ajustements structurels (ou de libéralisation de l’économie) ont échoué à sortir ces pays d’un sous-développement indiqué par le faible niveau du PNB annuel par habitant.

Après les indépendances nationales, dans le contexte de la Guerre froide et de confrontation idéologique, les orientations politiques et économiques ont divergé : d’un côté, l’ouverture à l’économie de marché, aux investissements privés et à la société de consommation (cas de la monarchie marocaine) ; de l’autre, l’adhésion au modèle socialiste de révolution agraire et d’industrialisation de l’économie, sous la tutelle d’un État interventionniste (Algérie, mais aussi Tunisie et Libye).

Dans les années 1980 et 1990, la libéralisation et la privatisation de l’économie ont produit de la croissance et des richesses, mais mal réparties (corruption et népotisme obligent). Malgré l’émergence de classes moyennes à la fin des années 1980, le libre-échange n’est pas synonyme de développement pour des pays maghrébins marqués par de fortes inégalités sociales et territoriales, et un chômage massif de la jeunesse urbaine et diplômée qui peine à trouver sa place sur le marché du travail et dans la société.

Aujourd’hui, les conclusions générales de la Banque mondiale sont claires et tiennent en trois points : l’extrême pauvreté régresse dans l’ensemble du Maghreb, mais de larges pans de la population risquent de retomber dans la pauvreté, tandis que le chômage, particulièrement élevé chez les jeunes, reste un défi de taille. Au-delà de ce panorama global, le rapport de la Banque mondiale apporte quelques analyses plus fines. Le niveau de pauvreté et de chômage diffère selon l’âge, le sexe et les territoires.

Ainsi, l’Algérie subit très fortement la baisse des prix pétroliers. Les capacités de redistribution sociale de l’Etat sont mises à l’épreuve dans un contexte déjà socialement tendu, avec 10% de la population – soit 4 millions de personnes – qui vivent dans une situation de précarité et risquent de basculer sous le seuil de pauvreté. Une réalité qui renvoie aussi aux disparités territoriales que connaît le pays : « La pauvreté est deux fois plus répandue dans le Sahara, et trois fois plus élevée que la moyenne nationale dans la région des steppes ».

En Libye, la situation plus alarmante compte tenu des conséquences de l’insécurité et de l’instabilité politique sur la production pétrolière, quasi-unique source de revenus du pays. Ce pays potentiellement riche voit une frange de plus en plus importante de sa population côtoyer la pauvreté : avec 435 000 personnes déplacées et 1,3 million d’habitants en situation d’insécurité alimentaire, la Banque mondiale souligne que « plus d’un tiers de la population aurait besoin d’une aide humanitaire ».

Si la croissance économique au Maroc a permis d’enregistrer un recul du taux de pauvreté (de 8,9% en 2007 à 4,2% en 2014), le taux de chômage reste élevé chez les jeunes urbains (38,8%) et les inégalités demeurent criantes dans ce pays où 19% de la population rurale vit encore dans la pauvreté ou risque d’y basculer.

Enfin, en Tunisie, les projections de la Banque mondiale indiquent que la pauvreté a augmenté à la suite de la révolution de 2011, avant de revenir, en 2012, à son niveau précédent. Le taux de pauvreté extrême a stagné à 1,9 % sur la période 2013-2016, mais le rapport indique une légère baisse de la pauvreté modérée (passée de 8,3 % en 2013 à 7,9 % en 2015). Reste que le chômage continue d’atteindre des niveaux préoccupants, avec 22% chez les femmes et 31,8% chez les jeunes (31,2% chez les jeunes diplômés).

Dans le contexte de ralentissement de l’économie mondiale, la faiblesse persistante des prix du pétrole, l’escalade des tensions internes et régionales, les perspectives de reprise de la croissance à brève échéance sont peu encourageantes. Les Etats sont-ils pour autant condamnés à la passivité ? Pour que la jeunesse maghrébine retrouve espoir dans son avenir, les Etats n’ont d’autres solutions que faciliter l’égalité d’accès aux opportunités économiques.

Chine : un 6e plénum du Comité central du PCC décisif pour le pays et ses dirigeants ?

IRIS - Thu, 27/10/2016 - 12:38

Les réunions du Comité central du Parti communiste chinois débouchent-elles sur des décisions importantes ? Comment fonctionnent les plénums et quels sont les enjeux du sixième qui a cours cette semaine ?

Le principe de ces réunions est double. Il s’agit tout d’abord d’identifier les personnes qui seront amenées à exercer un rôle important au sein du Parti communiste chinois dans les années à venir. Les réunions du Comité central sont donc l’objet de jeux de pouvoirs, parfois de chaises musicales où chacun essaye de trouver sa place, de faire entendre sa voix et d’obtenir des postes à échelle nationale.

Le deuxième objet principal des réunions du Comité central constitue à définir des orientations qui devront ensuite être validées par le gouvernement. Les domaines abordés sont nombreux. Ceux-ci s’étendent de la politique intérieure et internationale à la politique économique et sociale en passant par la politique de défense.

Dans le contexte actuel, le Comité central se penchera sur les moyens d’assurer la continuité de la politique exercée par Xi Jinping depuis son arrivée au pouvoir en mars 2013. Cette politique se base sur deux axes : la lutte contre la corruption et le développement du phénomène dit « one belt, one road », c’est-à-dire de l’ouverture de la Chine dans le financement des infrastructures à travers le monde. Ainsi, les discussions porteront probablement sur les bilans de ces deux initiatives et des orientations nouvelles à leur donner. Le sixième plenum sera également une occasion de constater si le pouvoir de Xi Jinping est consolidé, ce qui sera probablement le cas, et de déterminer l’éventuelle existence et la nature des oppositions au septième président de la République populaire de Chine.

Les réunions du Comité central aboutissent parfois sur l’apparition de nouveaux slogans tels que l’« émergence pacifique de la Chine » ou le « soft power chinois ». Ces slogans sont essentiels et laissent entrevoir la manière dont la Chine se positionnera et s’autoproclamera sur la scène internationale.

L’ère Xi Jinping est marquée par une importante croisade anti-corruption. Le sujet sera probablement abordé durant le sixième plénum du Comité central. Des nouvelles mesures sont-elles susceptibles d’y être adoptées ? Quelle est la réalité de la corruption en Chine ?

La corruption est très présente en Chine mais elle est en voie de réduction. A son arrivée au pouvoir, Xi Jinping a fait de la lutte contre la corruption sa marque de fabrique, les autorités ont fortement investi dans ce domaine et obtiennent des résultats. L’objectif pour l’Etat parti est de recrédibiliser le pouvoir central ainsi que de rétablir son lien avec la population en prenant comme adversaire les échelons intermédiaires où les degrés de corruption sont, en général, élevés. En ce sens, les discours du pouvoir contiennent une rhétorique populiste, qui n’est pas sans rappeler la période du début de la révolution culturelle.

Cette purge a également pour but de renforcer le pouvoir de Xi Jinping en éliminant les cadres gênants. Des proches de Jiang Zemin (au pouvoir entre 1993 et 2003) ont notamment été inquiétés tandis que le clan de Xi Jinping n’est jamais éclaboussé par la vague de l’anti-corruption. Cette situation laisse clairement entrevoir un règlement de compte sous fond de lutte contre la corruption. Ses résultats concrets doivent donc être analysés avec prudence.

Dans le cadre des discussions, plusieurs mesures pourraient être prises comme l’obligation pour les principaux membres du parti de déclarer leur patrimoine. Cette idée peut cependant laisser perplexe quant à l’exhaustivité des documents qui seraient fournis dans le cadre de cette mesure. Xi Jinping accepterait-il de fournir tous les éléments concernant son propre patrimoine ? On peut en douter. Au final, la croisade s’apparente plus à un renforcement du pouvoir qu’à une véritable campagne anti-corruption.

Quelle que soit sa nature, la croisade anti-corruption comporte des risques et le gouvernement chinois pourrait être dépassé par l’engouement qu’elle suscite, de la même manière que la révolution culturelle avait pris de court les dirigeants chinois, contraints, à un moment donné, de suivre la révolution plutôt que de l’orchestrer. La Chine vit actuellement dans un climat d’hostilité de la population à l’égard des cadres corrompus. Le pouvoir central a contribué à alimenter cette hostilité et il est possible d’imaginer un effet boule de neige qui dépasserait les simples règlements de comptes souhaités initialement.

A la lumière de ces éléments, je pense que le Comité central débouchera plus probablement sur une volonté de réaliser un « effort de transparence » tout en annonçant la fin de la campagne anti-corruption. Xi Jinping est parvenu à éliminer ses détracteurs et à imposer son clan. Dès lors, il est souhaitable pour lui de ne pas pousser l’expérience trop loin. Sera-t-il possible d’arrêter la croisade anti-corruption ? Quelles seront les conséquences de la purge sur l’Etat parti ? Ces questions méritent d’être posées.

Cette réunion se tient dans un contexte de ralentissement économique pour la Chine, avec un taux de croissance qui a fortement diminué ces dernières années (14,2% en 2007, 6,9% en 2015). Comment se porte l’économie chinoise aujourd’hui ? Sa situation est-elle susceptible de remettre en cause la position de certains dirigeants chinois ?

La Chine est entrée, depuis quatre ans, dans un cycle de ralentissement de sa croissance économique. Les résultats de 2016 ne dépasseront pas ceux de 2015 (6,9%). Les dirigeants chinois ont conscience du problème et ne nient pas publiquement son existence. De plus, de la prospérité de la croissance dépend aussi celle du parti. En effet, il a été, ces 35 dernières années, le principal acteur de la croissance chinoise. Si celle-ci se porte moins bien, le Parti communiste chinois détient une part de responsabilité. Ses dirigeants veulent donc éviter que ce cycle de ralentissement ne s’inscrive dans la durée et qu’il ne génère des conséquences politiques.

Les solutions chinoises s’effectuent sur le plan interne et international. En interne, des mesures ont été mises en place dès 2008, alors que la crise internationale n’avait pas encore eu d’impact sur la Chine. Ces mesures visaient à augmenter les conditions de vie et les salaires des Chinois afin de relancer la consommation interne. Dans cette optique, les décisions prises, ces huit dernières années, portent leur fruit. La Chine parvient à faire émerger une classe moyenne, réduire l’extrême pauvreté et à maintenir un niveau de croissance qui, à défaut d’être bon, reste correct.

Sur la scène internationale, les mesures chinoises sont beaucoup plus ambitieuses. Si la Chine se situe actuellement dans un cycle de ralentissement de sa croissance, elle dispose d’importantes ressources en devises. Ces ressources seront mises au profit de vastes investissements à l’étranger, notamment dans les infrastructures et dans les pays émergents. Initié au début des années 2000, ce processus s’est accéléré ces dix dernières années. L’arrivée de Xi Jinping a également donné une impulsion nouvelle au mouvement. Le « one belt, one road » ne se limite pas aujourd’hui seulement à la consolidation d’infrastructures autour des routes de la soie terrestres et maritimes. Les investissements s’effectuent, aujourd’hui, dans le monde entier.

L’objectif de cette démarche est tout aussi bien d’accroître l’influence et le prestige chinois à l’international, que de pérenniser sa croissance en renforçant les voies commerciales à l’international et celles d’approvisionnement en ressources énergétiques. L’objectif est aussi d’accroître la consommation des pays en développement en édifiant des infrastructures et en créant des emplois afin que les locaux consomment des produits chinois.

La crise économique est finalement perçue comme une opportunité pour les Chinois de modifier leur modèle, de globaliser leur économie et d’asseoir leur influence sur le monde. La Chine est, en ce sens, passée à la vitesse supérieure. Les réunions du Comité central du Parti communiste chinois devront cependant trouver des réponses aux enjeux de cette nouvelle politique. Dans quelle mesure la Chine peut-elle accélérer le mouvement ? Quelles sont ses capacités réelles ? Les enjeux seront aussi ceux des implications liées à la volonté chinoise d’être de plus en plus présente sur les marchés internationaux en Afrique, Amérique latine, Moyen-Orient, Asie du Sud-Est où elle est très présente, ainsi qu’en Europe où elle multiplie les investissements.

Regional Training of Trainers and Institutionalization Workshop held for Northern Luzon

Hanns-Seidel-Stiftung - Thu, 27/10/2016 - 06:44
Regional Training of Trainers and Institutionalization Workshop held for Northern Luzon

Peace Agreements, Power-Sharing, and Political Transitions: Women’s Roles in Colombia, Syria, Yemen and Beyond

European Peace Institute / News - Wed, 26/10/2016 - 21:05

On Wednesday, October 26th, IPI together with UN Women cohosted a policy forum on the influence of women’s participation in peace processes—from negotiations to peace agreements, power-sharing arrangements, and throughout political transitions. Speakers discussed the challenges, opportunities, and prospects for improved gender representation in ongoing peace processes in Colombia, Syria, Yemen, and elsewhere.

Women’s participation can have a strong positive influence on the success of peace processes and the conclusion and durability of peace agreements, as the 2015 Global Study and High-Level Review of Resolution 1325 both documented. Women’s impact on peace processes is not limited to gender equality. There is a growing need for women’s involvement in technical areas related to peace agreements, such as power-sharing, security arrangements and transitional justice.

At this event, panelists shared their contributions on the importance of women’s participation in mediation and peace processes. They shared findings that move beyond the peace table to examine when and how women are included in power-sharing arrangements and throughout long-term political transitions. For example, in cases where neither the peace agreement nor the subsequent electoral framework provided for the inclusion of women, gender representation in parliament remains unusually low.

Drawing on direct experiences advising in various peace processes, panelists also reflect on how to broaden participation and how to influence the gatekeepers who pose obstacles to women’s inclusion.

Opening Remarks:
Purna Sen, Director of the Policy Division, UN Women

Speakers:
Thania Paffenholz, Director of the Inclusive Peace and Transition Initiative, Graduate Institute of International and Development Studies in Geneva
Christine Bell, Professor of Constitutional Law and Assistant Principal (Global Justice), University of Edinburgh
Virginia Bouvier, Senior Advisor for Peace Processes at the United States Institute of Peace and Adjunct Professor at the School of Foreign Service, Georgetown University (Via Video)

Moderator:
Andrea Ó Súilleabháin, Senior Policy Analyst, IPI

Primaire de la droite et du centre : Qui seront les électeurs ?

Fondapol / Général - Wed, 26/10/2016 - 20:14

Mardi 15 novembre de 19h à 20h30 A la Maison des Polytechniciens, 12 rue de Poitiers Paris 7ème Primaire de la droite et du centre, attention aux sondages d’intentions de vote ! Une partie de ceux qui déclarent une intention de vote n’iront pas voter… À quelques jours du premier tour de la primaire de […]

Cet article Primaire de la droite et du centre : Qui seront les électeurs ? est apparu en premier sur Fondapol.

L’agriculture face aux enjeux climatiques

IRIS - Wed, 26/10/2016 - 15:31

Sébastien Abis est chercheur associé à l’IRIS depuis 2013, spécialisé sur les enjeux stratégiques de l’espace euro-méditerranéen, de l’agriculture, de l’alimentation et du commerce de céréales. Il répond à nos questions à l’occasion de la sortie de son ouvrage “Agriculture et climat : Du blé par tous les temps” (IRIS éditions, Max Milo) qu’il a co-écrit avec Mohammed Sadiki :
– En quoi la culture du blé est-elle nécessaire pour répondre aux besoins alimentaires mondiaux et au défi climatique ?
– Que doit faire la France pour rester compétitive dans ses exportations de blé ?
– En Afrique du Nord et au Proche-Orient, la diminution des quantités d’eau et la dégradation du climat peuvent-elles générer des tensions d’ordre géopolitique ?

Eddy Fougier et Jérôme Fourquet – Le Front national en campagnes. Les agriculteurs et le vote FN.

Fondapol / Général - Wed, 26/10/2016 - 14:58

Le vote des agriculteurs lors de l’élection présidentielle de 2017 devrait être scruté de près car on observe depuis le début des années 2000 une montée notable de la popularité des idées du Front national au sein du monde agricole. En 2017, Marine Le Pen pourrait donc y effectuer une nouvelle percée spectaculaire. Or le […]

Cet article Eddy Fougier et Jérôme Fourquet – Le Front national en campagnes. Les agriculteurs et le vote FN. est apparu en premier sur Fondapol.

Échos d’une jeunesse engagée

Fondapol / Général - Wed, 26/10/2016 - 14:52

– En librairie depuis le 24 octobre 2016 – Notre jeunesse, aujourd’hui en perte de repères, ne peut plus être simple spectatrice des mutations du monde qui l’entoure. Nous, jeunes, devons être acteurs de l’avenir qui se dessine. Pour cette raison, nous avons décidé ensemble d’élaborer cet ouvrage participatif dans la perspective de cette année […]

Cet article Échos d’une jeunesse engagée est apparu en premier sur Fondapol.

Pages