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UNITED KINGDOM : Sibylline

Intelligence Online - mer, 15/06/2016 - 00:00
Catégories: Defence`s Feeds

West Ham : Feghouli a choisi la Premier League

Afrik.com - mar, 14/06/2016 - 23:57
Catégories: Afrique

Kitiltják a londoni metróból az egészségtelen testképet hirdető reklámokat

Magyar Szó (Szerbia/Vajdaság) - mar, 14/06/2016 - 23:51

London polgármestere kitiltja a londoni metróból az egészségtelen testképet hirdető reklámokat.

Aplahoué : Un faux procureur appréhendé par la gendarmerie

24 Heures au Bénin - mar, 14/06/2016 - 23:49

La compagnie de gendarmerie d'Aplahoué a appréhendé à Azovè lors de son opération « coup de poing » de ces derniers jours, un individu spécialisé dans l'escroquerie et usage de faux, a appris ce mardi le correspondant local de l'ABP de source proche de la compagnie.

Selon le commandant de la compagnie d'Aplahoué, le capitaine Hounsou M. Fréjus Arnaud, le mis en cause, S. Gildas, a pour mode opératoire de se faire passer tantôt pour un magistrat, tantôt pour un greffier ou un procureur afin d'escroquer facilement les populations.

Sa dernière opération au cours de laquelle il a été pris est relative à une affaire de conflit domanial entre deux parties et dont le dossier est pendant devant la Cour suprême.

Toujours selon le commandant de compagnie, très habilement S. Gildas sous la présentation du procureur près la Cour suprême a rencontré séparément les deux parties et leur a promis ses services aux fins de les sortir d'affaire.

La providence n'étant toujours pas avec lui, il a été pris par les éléments du capitaine Hounsou sur les lieux où il devrait entrer en possession de l'obligation financière de la deuxième partie tout en ayant déjà réussi à empocher près de 500 mille francs auprès de la première partie.

Face à l'ampleur que ne cesse de prendre l'escroquerie dans le département du Couffo, le commandant de la compagnie de gendarmerie d'Aplahoué invite les populations de ce département à une franche et sincère collaboration avec les forces de sécurité et de l'ordre en leur fournissant des renseignements fiables et objectifs afin qu'elles mettent hors d'état de nuire ces vils individus.

Il faut préciser que le présumé S. Gildas sera présenté au procureur de la République près le tribunal de première instance de deuxième classe d'Aplahoué où il répondra de ses actes.

ABP/CBA/TB

Catégories: Afrique

Ban Ki Mun: összefogásra van szükség az erőszak, az idegengyűlölet és a kirekesztés jelentette kihívásokkal szemben

Magyar Szó (Szerbia/Vajdaság) - mar, 14/06/2016 - 23:40

Az erőszak, az idegengyűlölet és a kirekesztés jelentette kihívásokkal szemben összefogásra van szükség - hangsúlyozta Ban Ki Mun ENSZ-főtitkár Brüsszelben uniós vezetőkkel folytatott egy napos megbeszéléseit követően kedden.

Prolonged political crisis could erode Guinea Bissau’s development gains, UN envoy warns

UN News Centre - mar, 14/06/2016 - 23:39
The longer the political crisis continues in Guinea Bissau, the more likely the country could see setbacks to its development and economic gains, warned the head of the United Nations peacebuilding office there, urging the Security Council to pay greater attention to the situation.

Prolonged political crisis could erode Guinea Bissau’s development gains, UN envoy warns

UN News Centre - Africa - mar, 14/06/2016 - 23:39
The longer the political crisis continues in Guinea Bissau, the more likely the country could see setbacks to its development and economic gains, warned the head of the United Nations peacebuilding office there, urging the Security Council to pay greater attention to the situation.
Catégories: Africa

Le gouvernement interpellé sur la gestion des 16 milliards mis à disposition par la BOAD

24 Heures au Bénin - mar, 14/06/2016 - 23:35

La BOAD a financé à heuteur de 16 milliards le système d'alimentation en eau potable à Parakou Parakou. Mais pour le moment le populations continuent de souffrir du manque d'eau et de ces conséquences non seulement sur la santé mais aussi sur les activités. De ce fait, une question orale avec débat vient d'être posée par certains députés au gouvernement. (lire la question orale)

QUESTIONS ORALES AVEC DEBAT ADRESSEES AU GOUVERNEMENT ( Ministre des Finances)
OBJET : SECOND ACCORD DE FINANCEMENT DU PROGRAMME "PARAKOU EAU 2045"

Depuis quelques années, le système d'alimentation en Eau Potable de la commune de Parakou est complètement dégradé avec une retenue totalement envasée de sorte que le barrage d'Okpara n'arrive plus à couvrir les besoins de la commune et de ses environs. Cette déficience se justifie par le fait que les derniers travaux entrepris sur le barrage remontent à plus de quarante (40) ans. Ainsi, plus de deux cent mille (200 000) âmes sont confrontées à toutes sortes de problèmes relatifs à la pénurie d'eau potable.
C'est dans ce contexte que le Gouvernement béninois avait initié le programme "Parakou Eau 2045". D'un coût global de seize milliards (16000 000 000) de francs CFA ; avec l'implication de la Banque Ouest Africaine de Développement (BOAD) et de la partie néerlandaise, ledit projet est destiné à régler efficacement et définitivement tous les problèmes relatifs à la pénurie d'eau dans la commune de Parakou et de ses environs.
Dans ce sens, en juin 2015, le premier accord de financement de huit milliards (8 000 000 000) de francs CFA par la Banque Ouest Africaine de Développement (BOAD) a été ratifié par l'Assemblée Nationale.
Logiquement, le second accord de financement de huit milliards (8 000 000 000) de francs CFA aussi par la même institution ayant pris en charge la totalité du financement du projet devrait suivre depuis quelques temps étant donné que ce financement a été approuvé par le Conseil d'Administration de la BOAD en décembre dernier. Depuis près d'un an, la situation n'a fait que connaître apparemment une
stabilité. Cette situation est à l'origine de nombreuses suspicions donnant libre cours à toutes formes d'interprétation et d'imagination de la part des détracteurs de l'actuel Gouvernement dont les efforts et la méthode sont pourtant très appréciés par divers acteurs. Pendant ce temps, les nombreuses difficultés auxquelles les populations sont exposées pour raison de pénurie d'eau persistent de plus en plus,
aggravant ainsi la situation.
Face à une situation aussi sensible et préoccupante, relative à la santé d'une frange importante des populations du Bénin, certaines interrogations trouvent tout leur sens et doivent être clairement posées :
• Quelle est la situation réelle du programme "Parakou Eau 2015" ?
• Qu'est-ce qui est prévu pour le compte du programme "Parakou Eau
2015" dans le budget général de l'Etat exercice 2016 ?
• Quelles sont les raisons pour lesquelles le second accord de financement de huit milliards (8 000 000 000) de francs CFA par la Banque Ouest Africaine de Développement (BOAD) n'est pas encore signé jusqu'à ce jour alors que le Conseil d'Administration de la BOAD a approuvé ledit financement en décembre dernier ?
• Quelles sont les mesures que le Gouvernement entend prendre pour
donner satisfaction aux populations concernées par ce problème de pénurie d'eau potable dans la commune de Parakou et environs et leur garantir une bonne santé au cas où les problème perdurerait.

Catégories: Afrique

Quand un gouvernement cafouille, c’est Bruxelles qui plonge

Bruxelles2 - mar, 14/06/2016 - 23:27

Descendre l’escalator pour inaugurer le nouveau « connecteur » de l’aéroport de Zaventem était plus facile que de gérer les attentats (crédit : PM Belge)

(BRUXELLES2) Le gouvernement belge comme la région de Bruxelles s’échinent aujourd’hui à essayer de redorer l’image de Bruxelles, de la Belgique, pour attirer touristes et hommes d’affaires dans la belge capitale… Autant dire que c’est une mission difficile. On peut aimer Bruxelles, son atmosphère, ses habitants… force est de reconnaître que durant plusieurs six mois, de novembre à avril, certains responsables politiques avec des décisions hasardeuses, dignes d’un certain amateurisme politique, ont beaucoup plus fait pour écorner son image qu’aucun attentat. Tels de savants pompiers pyromanes, ils ont, à plusieurs reprises, jeté de l’huile sur le feu, au lieu d’utiliser les extincteurs. Pire, ils sont tombés tête avant dans le piège tendu par les terroristes.

Le principe de l’effet de souffle

Le principe d’un acte terroriste « classique » est, en effet, d’avoir un impact en deux temps. Tout d’abord, l’acte lui même, brutal, sanglant, conçu pour surprendre et faire mal, mais qui reste limité en soi comparé à un acte de bombardement ou de guerre (1). Ensuite, l’effet de souffle qui se prolonge plus ou moins longtemps, dont l’intensité n’est pas identique, mais dont les effets peuvent être tout aussi graves à terme que l’acte lui-même, entraînant un déséquilibre notable. C’est ce qui s’est passé en Belgique. La prise de mesures sidératives, hors du commun, a abouti à cette désorganisation économique, et contribué à cet effet de souffle. Si la Belgique n’est pas tombée, c’est d’abord grâce à sa population, à sa résilience naturelle, à son tissu économique plutôt qu’à des décisions d’un gouvernement au bord de la panique…

1ère erreur : le lockdown après les attentats de Paris en novembre

Après les attentats du 13 novembre au Bataclan et au Stade de France, le risque sur Bruxelles est avéré. Les auteurs des attentats sont des « Bruxellois ». Il faut les rechercher activement. Faute d’autres moyens disponibles, en termes de forces de police, la décision est prise de geler toute l’activité sur Bruxelles. Normalement, cette mesure ne dure pas plus de 12 ou 24 heures, le temps de s’adapter. Ici, elle dure 5 jours. Ce lockdown — mesure extraordinaire qu’aucun pays en Europe n’a pris suite à des attentats directs — produira ensuite des effets en chaîne qu’il sera difficile de rattraper. La baisse d’attractivité touristique qui frappe Bruxelles ensuite et qu’elle subit toujours en est la conséquence directe. (Lire : La gestion de crises du lockdown de Bruxelles : une improvisation totale et surréaliste).

2e erreur : le déploiement des militaires dans la rue, en nombre, et de la façon la plus voyante qu’il soit

Dans la foulée de ce lockdown, se déploient dans la ville des militaires, armés jusqu’aux dents (avec des armes pas tout à fait adaptées à utiliser en zone de haute densité), se déplaçant à bord de véhicules totalement inappropriés en zone urbaine, qu’on verrait davantage en Irak ou en Afghanistan, alors que le risque est vraiment « mineur » (on n’a pas affaire à des engins explosifs improvisés placés à tous les carrefours) mais à de bonnes vieilles bombes à l’explosif voire aux tirs à la Kalachnikov. Même à Paris, en France, où cependant on adore montrer les muscles, la politique gouvernementale a été beaucoup « plus modérée, préférant faire circuler jusqu’à leurs points de patrouille les militaires dans des véhicules « blancs » plutôt qu’en gros half tracks. Ce déploiement en force n’empêchera pas la suite…

3e erreur : le blocage des transports après les attentats du 22 mars à Bruxelles

Là encore on déploie les militaires en nombre et dans le désordre. Tout le métro est fermé durant plusieurs jours. Et on rouvre au compte-goutte les stations avec force contrôles aux entrées si drastiques qu’ils rendent la vie impossible à tous les quidams. Mesure tout à fait exceptionnelle. Pour avoir vécu une telle situation après l’attentat du RER Saint Michel, le 25 juillet 1995, je n’ai pas souvenir d’un tel « arrêt ». Au contraire (2).

En fait de contrôle, ceux-ci tournent court, quelques jours plus tard. Les militaires ne contrôlent rien. Et d’ailleurs ils n’en ont pas le pouvoir (article à suivre). Vous pouvez rentrer dans le métro avec un sac à dos bien chargé sans aucune interception… Les militaires prennent un repos (mérité) avec un sandwich… Il n’y a tout simplement personne pour les relever. L’aéroport de Bruxelles national (Zaventem) fermé durant plusieurs jours le temps de se relever et réparer les dégâts rouvre dans un grand sentiment de bazar. Là encore les contrôles drastiques sont finalement allégés devant la levée de boucliers des autorités économiques notamment. Pas vraiment le genre de mesures qui instaure le respect. Il faudra quasiment un mois pour que l’aéroport revienne à la normale.

4e erreur : le temps des dérapages non contrôlés

Non content de cette improvisation totale, le gouvernement sombre très vite dans une régression infantile du type : « c’est pas moi c’est lui ». Il n’y a même plus besoin d’opposition pour semer le fil de la discorde. C’est de l’intérieur que provient la polémique. Le gouvernement estime qu’il avait donné l’ordre à la STIB (les transports en commun bruxellois) de fermer le métro. La STIB assure n’avoir jamais reçu l’ordre à temps. Une polémique plutôt stérile quand on sait que cela n’aurait pas forcément permis d’éviter les attentats et des victimes (lire : Attentats de Bruxelles : fallait-il arrêter le métro ? Une question théorique). Ensuite on vilipende un (pauvre) policier fédéral en poste en Turquie et l’accuse nommément d’avoir fait un loupé dans ses dossiers. C’est du rarement vu et relativement injuste. Le rôle d’un ministre est d’assumer, même les errements de ses subordonnés (à supposer qu’il y en ait eu en l’occurrence). L’irruption de hooligans néo-nazis sur la place de la Bourse, le 27 mars, en plein hommage aux victimes (lire le Huffington Post) achèvera de démontrer une certaine incapacité du gouvernement à assurer un minimum d’ordre.

5e erreur : l’oubli d’une règle de base

En cas d’acte terroriste, ce qui importe est de très vite faire repartir la vie normalement, comme d’habitude, même si le coeur n’y est pas et les plaies béantes, de vivre comme d’habitude et surtout de ne pas céder à la panique. C’est un principe de base qu’ont adopté toutes les villes frappées par le terrorisme. A Paris 1986, 1995 et 2016, à Madrid 2004, à Londres 2005, tous ont suivi peu ou prou ce même modèle. Parfois en renforçant à l’extrême les mesures de sécurité (type état d’urgence), ils ont toujours veillé à laisser tous les transports publics, commerces et lieux publics ouverts et en « fluidifiant » les mouvements de population. Bruxelles a échappé à cette « règle non écrite ». Elle en paie le prix…

Une succession d’erreurs qui se paie

Une telle succession d’erreurs se paie cash sur la situation économique. Il ne faut pas espérer que cette ambiance délétère ne produise pas d’effets. La Grand Place et alentours était quasi déserte durant le mois de mai, là où elle est bondée d’habitude. Le gouvernement belge dirigé par Charles Michel a commis, en l’espèce, un péché d’orgueil, trop de confiance en soi, une impréparation notoire au plan politique et une méconnaissance de l’esprit de la lutte contre le  terrorisme.

Depuis les attentats du musée juif de Bruxelles en mai 2014, les autorités belges savent qu’elles sont une cible. L’auteur de l’acte n’est pas tout à fait un « loup » isolé comme cela a pu être interprété… La neutralisation de la cellule de Verviers en janvier 2015, est un nouveau signal. Tous les spécialistes le savent désormais. Bruxelles sera, un moment visé. Les seules questions sont : quand, où et comment. Ne pas avoir tiré de ces alertes les conséquences en termes d’organisation gouvernementale, de méthode de gestion de crises est assez incompréhensible…

(Nicolas Gros-Verheyde)

(1) Les attentats de New York en 2001 sont une exception dans ce caractère « limité ». L’acte de terrorisme, selon moi, doit être distingué clairement de l’acte de guerre même s’ils se superposent parfois et que les responsables politiques se plaisent à les confondre.

(2) Le trafic du RER sera rétabli dès le lendemain. Regarder le journal de France 2 du 26 juillet 1995 (source INA)

Catégories: Défense

No, Paris Will Never Be the New London

Foreign Policy - mar, 14/06/2016 - 23:23
With Brexit looming, France, Germany, and other European financial centers are rolling out the red carpet for London’s banks and trading houses. It’s a fool’s errand.

Thanks to This Startup, Mongolia’s Nomads Can Finally Get Their Mail

Foreign Policy - mar, 14/06/2016 - 23:10
Mongolia's postal service is abandoning house numbers and street names and will instead be using three-word addresses.

South Korea Receives Four New ‘Submarine Killer’ Helicopters

TheDiplomat - mar, 14/06/2016 - 23:03
The Republic of Korea Navy will operationally deploy the new aircraft by the middle of 2017.

EULEX Kosovo rempile pour 2 ans de plus

Bruxelles2 - mar, 14/06/2016 - 22:55
(B2) Le Conseil de l'UE a étendu, ce mardi (14 juin), le mandat de la mission européenne déployée au Kosovo pour renforcer l'Etat de droit (EULEX) de deux années supplémentaires jusqu'au 14 juin 2018. Cette prolongation intervient alors que la mission a entamé un decrescendo notable, afin de transférer une partie de ses activités soit […]
Catégories: Défense

Az alkoholtilalom önmagában nem oldja meg a szurkolói erőszak problémáját

Magyar Szó (Szerbia/Vajdaság) - mar, 14/06/2016 - 22:52

Petke Zsolt addiktológus szerint az alkoholtilalom önmagában nem oldja meg a szurkolói erőszak problémáját a franciaországi labdarúgó Európa-bajnokságon, de segít kontrollálni a helyzetet.

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