Avianóba mindig szívesen tér vissza az ember, olyan évszakban is, amikor még nem járt itt. Egyrészt ott van a sok jó, éles fotózás emléke (1999, 2011), másrészt meg mégiscsak térségünk legkomolyabb légibázisáról van szó, melyen még mindig egy épkézláb repülőezred állomásozik.
Itt a képek többségére a háttér ráüt egy törölhetetlen helyszínpecsétet: háttérben a Monte Cavallo és a jellegzetes átjátszóadók.
Triple Nickel raj felszállásra készül, nem gyenge 42 perces földi idővel.
Földi úton a Sniper konténer.
Az iskolakörön lévő géppár témából vannak szerencsésebben elsültek...
...itt a térköz annyira kicsire sikeredett, hogy a kísérőnek át is kellett startolnia.
A Roveredo in Piano és Budoia közötti út fölött, a szinte 100 százalékban használt 05 fájnelen. A konfiguráció légiharcos: egy pótos a törzs alatt, gyakorlók a szárnyak alatt, különben "tiszta"...azaz ahogy élesben USAF soha.
Utánlövés féklaprészlettel.
Nemcsak a helyi F-16-osok dolgoznak (ottjártamkor 6+12 sor), hanem egy-egy vendég is beesik Avianóba. Itt egy ramsteini C-130J-30...
...illetve a szomszédos Istranából egy AMX.
Pillantás a Piancavallóba vezető útról. A két helyi századnak a beton ellentétes oldalán lévő fedezékeiben napnyugta után is folyik a reputáni tevékenység, a gépek még nincsenek behúzva, noha éjszakai repülésre nem kerül sor.
A Regina hotel Piancavallo síterepén. 1999-ben itt szálltak meg a spangdahlemi SEAD-pilóták. Például Jeff "L-Ron" Hubbard, akit húsvét napján annyira megizzasztott a kraljevói 450. lérak ezred pár Nyevája, hogy hazafelé harci sérülés ellenőrzést kért rajparancsnokától. Nem találtak lyukat, de a rádió "felforrt".
Az avianói és környékbeli hotelek, éttermek valóságos kincsesbányái a repülős relikviáknak. Itt egy 1999-ben a Code One OAF-különkiadásában megjelent festmény (GBU-10-eseket dob szoros kötelékben NVG-s repülés közben az 510. századparancsnoki gép) reprója az Oliva hotel folyosóján...
...ugyanott egy kevéssé ismert, hadszíntéri repülésirányító rendszer (Ground Theater Air Control System, GTACS roppanti igényes ábrázolása Army katonákkal, műholdas/tropo kommunikációs rendszerekkel, és AN/TPS-70-75 lokátorral, valamint harcba induló A-10-esekkel.
Zord
La révolution de palais se poursuit chez les socialistes hongrois du MSzP. La nouvelle direction, issue du congrès de juin dernier, a décidé de tenter de rallier les partis de gauche au principe d’une primaire commune, d’ici les élections législatives prévues au printemps 2018. Selon des sources internes citées par Index.hu, le principal parti d’opposition a envoyé une invitation en ce sens à plusieurs organisations de gauche : Ensemble (Együtt, social-libéral), Dialogue (Párbeszéd, écologiste), MoMa (libéral) et à la Coalition démocratique (DK) du dissident socialiste Ferenc Gyurcsány. Le petit parti LMP, le Parti libéral (MLP) et le Parti de gauche (Balpárt) n’ont pas été destinataires de l’offre de rassemblement, en raison notamment du veto de DK et de désaccords stratégiques majeurs.
Les « sept conditions » du MSzPLe bureau politique du MSzP a néanmoins émis sept critères pour opérer le rassemblement de la gauche autour d’une primaire. Les principales exigences des socialistes portent sur la formulation d’un accord politique minimal – situé quelque part entre un programme commun et un accord technique de coalition -, l’organisation de primaires dans toutes les circonscriptions du pays pour départager les candidats à la députation élus au scrutin majoritaire, ou encore l’acceptation des résultats par tous les partis engagés dans ce processus de désignation.
Petite révolution de palais chez les socialistes hongrois
Le MSzP a laissé en suspens la question sensible de la tête de liste nationale, c’est-à-dire du candidat commun au poste de Premier ministre. La formation socialiste a néanmoins indiqué ses préférences pour un vote le même jour que les désignations par circonscription. Tous les partis seraient mis à contribution pour financer l’opération et répartir les coûts d’impression et de développement informatique. Le choix du calendrier reste également ouvert, même s’il reste assez peu de temps pour mettre en place un tel dispositif. Avec un vote organisé vraisemblablement à l’automne 2017, les détails techniques devront sans doute être réglés d’ici l’été prochain.
Une rupture dans l’histoire de la gauche hongroiseSi la primaire de la gauche hongroise se concrétisait, ce serait là une opération inédite dans l’histoire politique hongroise, dont il est encore difficile de mesurer les implications. Issue en juin dernier des rangs du parti Dialogue par la voix de Gergely Karácsony, cette proposition est perçue comme une façon de sortir par le haut de l’impasse dans laquelle est plongée actuellement la gauche hongroise. Fragmentée comme jamais auparavant, ses lignes de fracture, allant de l’héritage communiste à la politique néolibérale qui a prédominé entre 2002 et 2010, sont régulièrement ravivées par la compétition intense que se livrent les appareils dans l’opposition à Viktor Orbán.
Jusqu’à présent, cette situation a largement profité au Fidesz, dont la popularité continue de croître, malgré l’échec du référendum d’octobre dernier. L’organisation d’une primaire de gauche dans tout le pays permettra aux partis progressistes de retrouver la route des villages et des petites villes dont ils ont été chassés peu à peu ces dix dernières années, par le parti de Viktor Orbán et par le Jobbik (extrême-droite). Elle permettra également de répondre à une critique récurrente de la droite quant au manque de renouvellement de la classe dirigeante du MSzP et de DK, dont une partie a commencé à militer pour le parti communiste à la fin des années 1980. Alors que le seul vivier de la gauche réside du côté des abstentionnistes, l’organisation d’une primaire commune à ces cinq partis, aura au moins la vertu de clarifier le paysage politique.