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Diplomacy & Defense Think Tank News

Pourquoi utiliser un OBD2 ?

RMES - sam, 14/07/2018 - 14:16

Depuis plusieurs années, les OBD2 sont une obligation lorsque vous achetez une voiture dans plusieurs pays. Ces appareils de diagnostic intégrés du véhicule, sont d’une utilité méconnus par plusieurs détenteurs qui n’en font pas du tout usage.

Cet état de choses pose un problème, car le bien-fondé de l’utilisation de ces dispositifs est vraiment capital.  Pour cela, il importe de savoir les raisons pour lesquelles  chaque propriétaire de véhicule devrait utiliser un OBD2.

Réduire la pollution

De part et d’autre sur la planète bleue, les populations souffrent les martyrs en raison du réchauffement climatique. Selon plusieurs chercheurs, ce phénomène est dû en grande partie à l’émission de gaz polluant un peu partout dans le monde. Des gaz qui émanent pour la plupart des industries, des grosses machines, mais aussi de chaque véhicule, mis en marche quelque part dans le monde. 

Ces émissions minimes lorsque le moteur de la voiture fonctionne bien, s’accentuent dès que ce dernier a un souci technique, comme la vidange par exemple. De quoi causer plus de problèmes à l’environnement. Pour éviter cela, l’utilisation de l’OBD2 est d’une nécessité importante. En effet, cet équipement permet un suivi en temps réel du statut de votre véhicule en général, mais surtout du moteur. Cela vous amène à savoir ce qui doit être fait, à tel ou tel moment, et à prendre les mesures idoines, afin de résoudre les problèmes. Il y va du bien-être de tous, et du bon fonctionnement de votre moyen de déplacement.

Des autos réparations

En utilisant le dispositif OBD2, vous pourrez détecter un certain nombre de problèmes sur votre voiture, vous-même, à la maison. L’intérêt qui réside en cela est que pour des problèmes de moindres importances, vous aurez la possibilité de vous convertir en mécanicien de circonstance, pour faire les réparations.

Ainsi, vous serez épargné des pertes de temps inutiles au garage du mécanicien pour réparer des choses, que vous auriez pu régler vous-même à la maison. En plus, il faut reconnaître que cela vous permet de faire quelques économies, car qui dit visite au mécanicien, dit paiement pour la prestation de services.

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Comment fixer un support mural tv sur du placo ba13 ?

RMES - sam, 14/07/2018 - 13:42

Le placo est un matériau fréquemment utilisé dans la construction de maison en raison de son coût moins élevé, de sa praticité et de son confort. La plupart des salons de bâtisses modestes sont en placo.

Une des faiblesses du placo réside dans sa solidité, il est pratique pour la construction mais ne supporte de lourdes charges. Néanmoins, il existe des moyens efficaces d’y fixer des charges relativement lourdes comme une télé par exemple. C’est ce que nous allons vous aidez à faire dans  cet article.

Les outils de travail

Le plus important lorsque vous voulez installer un support tv mural sur du placo, c’est de vous assurer que vous disposez de tout le matériel nécessaire. Ce matériel vous permettra d’être plus efficace et plus précis dans la réalisation de votre tâche. C’est pour cela d’ailleurs que nous le présentons en premier dans cet article.

En réalité, en bon bricoleur, certes vous devrez disposer constamment d’une boîte à outil suffisamment complète. Néanmoins, vous devriez vérifier dans le cas présent si vous avez une perceuse ou une perforeuse, un tournevis cruciforme, un petit marteau, un mètre, une nivelle, un crayon, des chevilles adéquates et une clé à fourche.

Pour un support fixe

Il est plus facile d’installer un support mural tv fixe sur du placo en raison du fait que le poids de la télé n’exerce pas une très grande pression sur le mur. Ici, il vous faut des chevilles de type molly, qui est très pratique et solide.

Vous aurez à fixer la plaquette du support dans le dos de la télé à l’aide du tournevis et de la clé à fourche. Ensuite, il faudra fixer le support au mur en prenant les mesures grâce au mètre, au crayon et à la nivelle puis à perforer le mur aux endroits identifiés afin d’y poser les chevilles.

Une fois que le support est sur le mur et que sa plaquette est dans le dos de la télé, vous pouvez les imbriquer. Vous venez d’installer votre support tv mural fixe sur du placo.

à Voir aussi : Quelle marque choisir entre Samsung et Asus ?

Pour un support inclinable ou orientable

C’est un peu plus compliqué de fixer un support mural inclinable ou orientable sur du placo compte tenu de la pression qu’exerce la poids de la télé sur le placo qui déjà, n’est pas très résistant comme un mur ne brique.

Ainsi, nous allons choisir un type particulier de chevilles qui puisse fixer solidement la télé au mur et le maintenir solidement puisque si votre télé arrivait à se détacher et à tomber, vous n’y récupérerez pas grand-chose.

Nous vous conseillons les chevilles alligator qui sont assez solides et faciles à insérer dans le mur.

Ce type de chevilles est constitué d’une barre métallique qu’il faut insérer de l’autre côté du mur et l’attacher ensuite grâce à un boulon.

à Voir aussi : wikipedia

Quelques précautions

Lorsque vous auriez posé votre support tv mural et que la télé y serait fixé, vous ne pourrez plus facilement connecter les câbles de branchement. C’est pour cela qu’il est conseillé de brancher tous les câbles avant d’installer la télé sur son support mural.

Si vous voulez un support tv mural orientable, je vous conseille celui-ci : https://mon-support-mural-tv.fr/test-et-avis-du-support-mural-invision-hdtv-e/

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Chronique politique : L’agriculture, condition de la condition humaine

Fondapol / Général - sam, 14/07/2018 - 12:23

Faisant suite à la chronique de Sébastien Denaja la semaine dernière, Dis-Leur ! Publie la chronique de Dominique Reynié – professeur des Universités à Sciences Po, directeur général de la Fondation pour l’innovation politique (www.fondapol.org). Dernier ouvrage paru : « Où va la démocratie ? » (*). Il y a quelques milliers d’années, entre le Tigre et l’Euphrate, l’agriculture est advenue. […]

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Niedersachsen: "Wie tickt das Land?"

Konrad Adenauer Stiftung - sam, 14/07/2018 - 00:00
In der 2. Folge unserer wöchentlichen Videoreihe spricht Christoph Bors über Wirtschaft und Landwirtschaft, Digitalisierung sowie den demographischen Wandel.

Sommet de l’OTAN : de réelles avancées face aux menaces américaines ?

IRIS - ven, 13/07/2018 - 17:51

Dans un contexte marqué par les menaces américaines vis-à-vis de l’Europe, le sommet de l’Organisation du traité de l’Atlantique Nord (OTAN) s’est achevé hier soir à Bruxelles. Si la rencontre s’est terminée sur une note positive avec le renforcement des dépenses militaires de la part des Européens, il n’en demeure pas moins que ces derniers souhaitent se doter d’une plus forte autonomie stratégique en matière de défense afin d’affirmer une posture indépendante sur la scène internationale. L’analyse de Jean-Pierre Maulny, directeur adjoint de l’IRIS.

Dans quel contexte se tenait ce sommet de l’OTAN ? Quels en étaient les enjeux ?

Le sommet de l’OTAN a été précédé d’une très forte pression de la part du président des États-Unis, Donald Trump, afin que les membres de l’Alliance atlantique augmentent leurs dépenses en matière de défense, demande appuyée par des lettres envoyées à certains pays européens, dont l’Allemagne et le Royaume-Uni avant la tenue de la rencontre. Dans la perspective des Midterms, Donald Trump souhaite ainsi démontrer que les Européens lui obéissent.

À l’issue de ce sommet de l’Alliance atlantique, Donald Trump s’est dit « très satisfait » des résultats obtenus, ayant reçu des engagements de la part des partenaires européens à porter à 2% du PIB leurs dépenses en matière de défense. Toutefois, ces promesses ne changeront rien pour les prochaines années. Ces engagements ont déjà été pris lors du sommet de l’OTAN de 2014, et s’ils augmentent bien leur budget de défense, les États le font de manière souveraine et en fonction de leurs capacités budgétaires. Dans le cas de Berlin grandement ciblé par les critiques de Donald Trump, passer de 1,3 à 2% du PIB équivaut à une augmentation de 25 milliards d’euros du budget de la défense allemande ; on comprend aisément que cela ne va pas se faire du jour au lendemain. Donald Trump devait certainement communiquer sur ce succès vis-à-vis de son électorat sur le thème « on ne paiera plus pour les autres » ; pour les Européens, il était d’autant plus aisé de lui donner satisfaction qu’ils ne suivront pas le diktat de Donald Trump dans les semaines qui viennent. C’est donc un double jeu de dupes.

Quant aux menaces de désengagement américain, elles ont également certainement pour objectif d’obtenir des contreparties de la part des pays européens d’un maintien de la garantie de sécurité américaine. Cela peut concerner l’équilibre des échanges commerciaux, mais également les équipements de défense. Il est probable que Donald Trump se satisferait d’un engagement des pays européens à acheter davantage du matériel américain et non du matériel européen, comme ils en ont l’intention actuellement.

À l’heure où les États-Unis déconstruisent toutes tentatives de politique multilatérale, et face à une Russie isolée, la protection américaine est-elle toujours souhaitée par les États européens ?

Un certain nombre d’États européens souhaitent absolument la garantie de sécurité américaine. Ce sont majoritairement des pays qui craignent la résurgence de la menace russe, soit les pays baltes, la Pologne, la Norvège, la Suède (non-membre de l’OTAN) et le Royaume-Uni. Ils estiment que les capacités militaires des pays européens sont insuffisantes pour contrer une hypothétique action russe qui pourrait prendre la forme d’une guerre hybride, notamment dans les pays baltes.

Concernant les autres pays européens, un double-sentiment est communément partagé. Ils sont tentés de considérer qu’ils ont besoin de la garantie de sécurité des États-Unis, mais qu’au vu de la situation, il est nécessaire qu’ils s’organisent eux-mêmes et se dotent d’une autonomie stratégique afin de ne plus être dépendants de Washington et des menaces de Donald Trump. C’est notamment la position de l’Allemagne et de la France.

Quant au Royaume-Uni, il est dans la pire des positions, car Theresa May essaie de conserver, dans le cadre de la négociation sur le Brexit, la proximité la plus grande possible avec l’Union européenne en matière de défense, tout en souhaitant raviver la relation spéciale avec les États-Unis. Donald Trump vient de montrer son opposition à ce schéma et demande aux Britanniques de choisir clairement leur camp, ce qui est peu ou prou la même position que celle de la Commission européenne.

Selon la ministre des Armées, Florence Parly, « l’Europe de la défense nécessite une culture stratégique commune ». Une approche collective et globale d’une défense européenne s’impose progressivement.  Comment celle-ci est-elle en train de se construire ? Avec quels succès et quelles difficultés ?

Depuis quelques années, il y a une tentative de relance de l’Europe de la défense, avec une accélération des initiatives depuis le Brexit, appuyée sur l’idée de la nécessité de ressouder les États européens. Montrer aux citoyens que l’Union européenne peut leur offrir de la sécurité serait un des moyens de provoquer l’adhésion de l’opinion publique face à l’idée européenne. Tout cela se traduit et doit se traduire par des initiatives qui visent à ce que les Européens s’organisent mieux, de manière à développer leur capacité militaire et à mener des opérations conjointes.

Le développement des capacités militaires est organisé dans le cadre de la Coopération structurée permanente (CSP) qui permet aux Européens d’envisager le développement de leurs capacités militaires dans un cadre collectif. Il y a également le Fonds européen de défense, initié par la Commission européenne, qui va pour la première fois depuis 1957 financer la défense dans un cadre communautaire et inciter les Européens à développer leurs armements en commun. Enfin, pour ce qui est des opérations, c’est l’Initiative européenne d’intervention (IEI), lancée par le président Emmanuel Macron, qui doit permettre de développer une culture stratégique au niveau européen afin de conduire des opérations communes. Cette initiative a la particularité de se situer en dehors de l’UE – le Royaume-Uni a été associé à l’IEI -, tout en étant complémentaire aux projets de l’UE.

Ces nombreux projets visent à doter l’UE d’une plus grande autonomie stratégique afin de limiter la dépendance envers les États-Unis. Mais ces initiatives renforcent l’OTAN, puisqu’elles consolident les capacités militaires des États membres de l’Alliance atlantique. Cela inquiète toutefois Washington, car cela permet aux Européens de développer progressivement leur propre indépendance militaire.

Pakistan : un scrutin sous haute surveillance

IRIS - ven, 13/07/2018 - 16:00

À quelques jours d’un scrutin législatif national (le 25 juillet), la fièvre électorale gagne peu à peu le ‘’pays des purs’’, cette volatile pièce du puzzle asiatique où la démocratie peine toujours[1] à prendre l’ascendance sur l’autorité des généraux, ces omnipotents hommes en uniforme traditionnellement moins concernés par le développement économique national et la stabilité intérieure que l’actualité du voisin indien. Une pathologie indo-centrée dommageable pour le quotidien et le futur des 205 millions d’habitants de ce pays en développement exposé à un spectre de maux plus rédhibitoires les uns que les autres : terrorisme multiforme (islamiste radical, sectaire, autonomiste[2] ou antiétatique), gouvernance passable – une faiblesse par ailleurs répandue dans la région… -, État de droit ténu, zones de non-droit au pluriel (cf. agences tribales de la frontière pakistano-afghane ; quartiers entiers de Karachi), pléiade d’entités politico-religieuses radicales ayant pignon sur rue (dont nombre figurent sur la liste des organisations terroristes…), prééminence de la loi martiale sur la lettre (civile) de la Constitution, crise énergétique[3] et coupures de courant permanentes, incidences diverses de l’interminable conflit afghan sur le territoire pakistanais ; et l’on en passe.

Les dernières nouvelles en provenance du ‘front électoral’ et du théâtre judiciaire donnent aisément le ton du rendez-vous politique à venir : le 8 juillet, la Cour suprême mentionne la possible implication de l’ancien Président Asif Ali Zardari (2008-2013 ; Pakistan People Party) – le veuf de l’ancienne emblématique Première ministre Benazir Bhutto[4] – dans une (nouvelle) affaire de corruption et de blanchiment d’argent ; un coup direct porté aux chances de succès (déjà fort minces…) du PPP, placé par les sondages en net retrait de ses deux principaux challengers du moment, le Mouvement du Pakistan pour la Justice (PTI) de l’ancienne star nationale de cricket Imran Khan, et la Ligue musulmane du Pakistan (PML-N) de l’ancien 1er ministre Nawaz Sharif.

Ce dernier se trouve lui-même directement concerné par l’actualité politique du moment ; mais pas dans la position rêvée à l’avant-veille d’un scrutin national. Débarqué précipitamment de ses fonctions de chef de gouvernement – pour la 3e fois… –  un an plus tôt et déjà condamné à l’inéligibilité à vie, l’homme fort et industriel prospère du Punjab a été jugé par contumace la semaine passée (6 juillet) par une cour anti-corruption à une peine de prison de 10 ans (assortie d’une amende de dix millions de dollars), pour avoir dissimulé la propriété de divers biens immobiliers de standing dans la capitale britannique, mise en lumière plus tôt par les révélations des Panama Papers. La presse pakistanaise du 11 juillet rapporte le souhait du ‘’Lion du Punjab’’ de regagner le territoire national ces prochains jours pour répondre devant la justice des faits qui lui sont reprochés ; une hardiesse qui pourrait directement le mener en prison, nonobstant l’accueil et le soutien enfiévré de ses millions de sympathisants.

Si près de la convocation de l’électorat devant les urnes, la concomitance des révélations et des deux condamnations associées ne doit naturellement rien au hasard. Cette configuration guère anodine servirait a priori les intérêts de la très influente caste des généraux – sur laquelle les responsables politiques disposent de fort peu de prises… -, notoirement hostile à l’ADN démocratique de la PML-N et du PPP. Mais également ceux de la 3e formation politique représentée dans les enceintes parlementaires nationales, le Mouvement du Pakistan pour la Justice du très médiatique Imran Khan, dont on dit du côté d’Islamabad et de Lahore qu’il serait en des termes bien plus « chaleureux » avec la haute hiérarchie militaire. Celle-ci verrait bien cette icône sportive assumer les fonctions de chef de gouvernement (PTI) et ainsi rompre l’habitude de confier la gestion des affaires nationales à la PML-N du clan Sharif ou au PPP de la dynastie Bhutto ; surtout si le nouveau venu s’avère à l’écoute des souhaits et valide sa feuille de route auprès de l’omnipotente Pakistan army

Du Punjab au Sindh, de Peshawar à Quetta, la population pakistanaise observe le jeu des différents acteurs, jauge les chances de chacun à mesure qu’approche le jour du scrutin. Un exercice sous haute surveillance : plus de 350 000 hommes seront déployés pour maintenir l’ordre et prévenir d’éventuelles velléités de violence ; de la part du Tehreek-e-Taliban Pakistan (TTP) par exemple, la ‘branche pakistanaise’ de l’insurrection radicale talibane, dont les actions terroristes sur le territoire national sont responsables ces dernières années d’un bilan humain considérable. L’attentat-suicide meurtrier (20 victimes) perpétré par ces derniers à Peshawar (nord-ouest du pays) en matinée du 11 juillet en atteste tragiquement.

Diverses capitales régionales – au premier rang desquelles New Delhi, Kaboul et Pékin – prêtent une attention particulière à ce rendez-vous électoral animant le voisin pakistanais. Dans la première citée, les autorités indiennes espèrent profiter d’une possible alternance politique à Islamabad pour sortir de l’impasse et engager avec le futur 1er ministre pakistanais un chapitre bilatéral moins heurté, plus constructif. Une perspective qui aurait pour conséquences heureuses d’abaisser le niveau de tension dans la volatile région disputée du Cachemire – au plus haut depuis deux étés –, de réduire la volumétrie et l’intensité des incidents entre forces armées respectives à la frontière séparant les parties du Cachemire administrées par New Delhi (l’État du Jammu-et-Cachemire) et par Islamabad (Azad Kashmir), enfin, de réduire l’action sur le sol indien de diverses organisations terroristes (Lashkar-e-Toiba, Jaish-e-Mohamed) elles aussi impliquées dans une kyrielle d’attaques et de tragédies humaines.

Du côté de Kaboul, l’identité du futur chef de gouvernement du voisin oriental – autant que ses desseins à l’égard de l’exsangue et éreintée République afghane – importe également beaucoup, tant la population que  les autorités qui escomptent ici encore une politique pakistanaise plus assistante qu’ingérante, plus généreuse que pernicieuse, alors que les forces de sécurité afghanes composent (après déjà dix-sept années de conflit…) de plus en plus difficilement avec une insurrection talibane qui elle ne semble guère sur le point de rompre, et dont on ne présente plus les liens historiques avec les services de renseignements pakistanais, dont la redoutée InterServices Intelligence (ISI).

Bien entendu, les dossiers indien et afghan du prochain chef de gouvernement pakistanais – sensibles au plus haut point pour tout dépositaire de l’autorité, qu’il soit civil ou militaire – ne sauraient, quelle que soit l’identité du 21e Premier ministre (depuis 1947), relever de sa seule analyse ou compétence ; l’influente et peu conciliante caste des généraux aura comme de coutume (depuis le premier coup d’État militaire en 1958…) le premier et le dernier mot sur ces sujets de politique extérieure.

Enfin, la plus lointaine Amérique porte également un intérêt particulier aux enjeux électoraux de ‘’l’allié’’ pakistanais ; ce, quand bien même les rapports entre Washington et Islamabad se seraient très sensiblement refroidis depuis l’entrée en fonction du Président Trump, décidé à laisser moins de latitude que ses prédécesseurs aux autorités (civiles et militaires) de ce pays d’Asie méridionale, convaincu de la nécessité de ne plus aveuglement poursuivre une généreuse assistance militaire alors même que des talibans pakistanais (TTP) viennent à frapper régulièrement des cibles civiles et militaires, afghanes et étrangères (OTAN ; États-Unis), sur le sol afghan.

———————————————–

[1] 71 ans après le départ de la couronne britannique et la naissance de la République du Pakistan.

[2] Au Baloutchistan notamment.

[3] Nonobstant l’existence de réserves de gaz naturel et d’un potentiel hydroélectrique conséquents.

[4] Assassinée voilà une douzaine d’années dans un attentat perpétré à Rawalpindi (banlieue de la capitale Islamabad), dans des circonstances toujours entourées de flou…

Classement mondial des universités : comment combler le retard français. Entretien avec Clarisse Berthezène

Institut Montaigne - ven, 13/07/2018 - 15:35

Le septième classement des meilleures universités du monde, établi par le cabinet Quacquarelli Symonds (QS), n’identifie que trois universités françaises parmi les 100 premières, les universités anglo-américaines occupant le haut du classement. Que faut-il retenir du QS World University Rankings 2019 ? Quelles leçons en tirer pour voir la France mieux classée…

Lituania, Letonia y Estonia y la consolidación euroatlántica regional del Báltico

Real Instituto Elcano - ven, 13/07/2018 - 13:41
Rafael José de Espona. ARI 89/2018 - 13/7/2018

La región del Báltico se ha ido consolidando sobre la base de la cohesión geoestratégica de Lituania, Letonia y Estonia y su decidida pertenencia a la UE y la OTAN.

Lituania, Letonia y Estonia y la consolidación euroatlántica regional del Báltico

Real Instituto Elcano - ven, 13/07/2018 - 13:41
ARI 89/2018 - 13/7/2018
Rafael José de Espona

La región del Báltico se ha ido consolidando sobre la base de la cohesión geoestratégica de Lituania, Letonia y Estonia y su decidida pertenencia a la UE y la OTAN.

Quels sont les différentes catégories de siège auto?

RMES - ven, 13/07/2018 - 12:32

Depuis la mise sur pied de la nouvelle norme ECE R129 avec fixation Isofix, les marques se démènent pour offrir le meilleur à la clientèle. C’est à qui fabriquera le meilleur  siège auto ou à qui sera la plus appréciée par les parents. La règlementation est si stricte que chaque année, des organismes spécialisés se donnent la mission de commanditer des crash-tests. Cette comparaison donne beaucoup de poids à la sécurité qu’offre le siège auto. Lisez notre comparatif des différents groupes de sièges auto ! Si vous désirez les meilleurs de chaque groupe, alors rendez-vous ici.

La généralité

Les sièges auto sont subdivisés en cinq groupes : le groupe 0, le groupe 0+, le groupe 1, le groupe 2, le groupe 3. Notre classification fournira l’information nécessaire sur les deux meilleurs sièges auto dans chaque catégorie.

Les groupes 0 et 0+

Le Cybex Aton M et le Britax Römer Baby-Safe Isize sont notre coup de cœur pour cette catégorie.

Le premier est conçu avec un design démontable, qui accompagne votre bout de chou jusqu’à ses dix-huit mois. Il possède aussi un coussin détachable, que vous pouvez ajuster à tout moment pour lui assurer plein confort même dans la position couchée.

Idan de GB, pourvu avec sa coque offre 86% de sécurité à votre enfant.

Le groupe 1

Il est fait pour les enfants de 9 à 18 kilogrammes. Britax Römer revient avec Versafix aux sangles réglables. Quant à l’Izi Confort X3 BeSafe, il ne propose pas de réglages mais reste très confortable et sécurisant avec des positions multiples offertes pour arranger les appuis à l’arrière.

Le groupe 2

Du Recaro en Numéro 1 pour les sièges auto du groupe 2. Le groupe 2 regroupe nos trésors qui ont passé les 18 kg et se retrouvent maintenant dans la tranche 15-25 ans. Milano de chez Recaro s’adapte très vite à votre véhicule. Cependant chez Graco, le Junior Maxi évolue avec l’enfant à cause de ses repose-bras réglables.

Le groupe 3

Dans ce groupe, nous avons préféré aux autres sièges auto le Kiddy CruiserFix 3 qui a obtenu 70% comme estimation de sécurité et encore du Recaro Zero 1 Isize. Ce dernier est très facile à installer.

Voilà clôturé notre mini-comparatif des meilleurs sièges auto, vous n’avez maintenant plus qu’à faire votre choix !

 

Plus de lecture ? Venez voir notre article sur les coffres forts.

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Nato-Gipfel in Brüssel: Eine Bewertung: Trumps Schatten über der NATO

Hanns-Seidel-Stiftung - ven, 13/07/2018 - 07:48
Anstatt sich wie geplant den vielfältigen aktuellen und künftigen sicherheitspolitischen Herausforderungen widmen zu können, wurde die Agenda des gestern zu Ende gegangenen Gipfeltreffens der Staats- und Regierungschefs der NATO in Brüssel von der leidigen Lastenteilungs-Kontroverse zwischen US-Präsident Donald Trump und seinen europäischen Allianzpartnern überlagert. Unser Experte für Außen- und Sicherheitspolitik und Leiter der HSS-Akademie für Politik und Zeitgeschehen, Prof. Reinhard Meier-Walser, beleuchtet die Situation.

Think Tank Report 3/2018: Den Funken überspringen lassen

Konrad Adenauer Stiftung - ven, 13/07/2018 - 00:00
Der neue Think Tank Report liefert Einblicke in die Agenda internationaler Think-Tanks. Diesmal mit den Themen: Zukunft der Mobilität, Big Data und Blockchain.

Otan ou Europe, « ils ne veulent pas payer » : mais d’où vient le mal allemand ?

IRIS - jeu, 12/07/2018 - 16:59

Les Allemands plus que réticents à ce que leur pays augmente ses dépenses militaires pour qu’elles atteignent les 2% du PIB exigé par l’Otan. L’explication est autant historique que politique.

Atlantico : Selon un sondage publié par Die Welt, seuls 15% des allemands seraient favorables à ce que l’Allemagne augmente ses dépenses militaires jusqu’au seuil de 2% du PIB, conformément aux règles de l’OTAN. Pour 24% d’entre, un seuil de 1.5% serait acceptable mais 36% estiment que cela est déjà trop.​ Comment expliquer cette réticence allemande à financer des dépenses militaires ? Faut-il y voir une conséquence du poids de l’histoire, une peur du retour d’un passé​ allemand, ou le résultat d’une simple volonté de « ne pas payer » ?

Rémi Bourgeot : Plusieurs éléments se superposent en effet, et il est intéressant de voir que la réticence à accroître les dépenses militaires s’ancre en Allemagne dans l’opinion populaire et qu’il ne s’agit pas que d’une option de la classe politique.

L’aspect financier n’est pas l’unique cause naturellement si l’on prend une perspective de long terme, mais c’est un élément central, dans le contexte de la politique de désendettement du gouvernement allemand et de maximisation de l’excédent budgétaire. A partir où une garantie de défense est apportée par l’Otan notamment, on observe un réflexe qui évoque l’approche que les dirigeants allemands ont eue et ont encore de la gestion de la zone euro.

Le paradoxe n’est qu’apparent entre d’un côté une vision qui est restée essentiellement nationale de la responsabilité politique et le fait de dépendre en grande partie de garanties de défense des alliés du pays. Le paradoxe est levé d’une part par la remise en cause progressive en Allemagne des menaces sur lesquelles se concentre l’Otan et, de l’autre, par la doctrine non-interventionniste qui est au cœur de la politique allemande depuis les débuts de la République fédérale.

On peut opérer une distinction entre certains milieux d’experts géopolitiques allemands qui ont souvent été en pointe par exemple sur la thématique de la menace russe qui pèserait sur l’ensemble du continent européen et l’évolution de la perception des milieux politiques et économiques. On pouvait ainsi entendre dans certains milieux d’experts en Allemagne comme en France, vers 2014 -2015, que la Russie menaçait, après la Crimée, d’envahir les pays baltes. Après une phase d’observation de la situation, les milieux politiques et d’affaires se sont en général repositionnés, au-delà des clivages politiques, sur une stratégie plus proche d’une certaine conception de la real-politik et sur les intérêts économiques du pays en termes de débouchés commerciaux et d’approvisionnement énergétique, comme le montre la construction de Nord Stream II.

Autant l’élite allemande s’est longtemps considérée comme parfaitement intégrée à un système mondial emmené par les Etats-Unis et centré sur la participation à l’Otan, autant la mode néoconservatrice a fini par entrer en collision avec le non-interventionnisme allemand, comme en 2003 dans le rejet de l’invasion de l’Irak aux côtés de la France, et au moment de l’intervention en Libye. On observe en Allemagne un scepticisme assez général face au discours géopolitique de ses partenaires, en particulier sur les sujets relatifs au Moyen-Orient mais aussi de plus en plus sur la Russie.

Cette participation limitée à l’effort de défense commune trouve un écho particulier dans le pays au fur et à mesure que certaines des menaces pointées du doigt sont jugées peu tangibles du point de vue allemand.

Ce retrait demeure néanmoins sur des sujets cruciaux comme le Sahel ou plus généralement sur ce que pourrait être une approche coordonnée dans la lutte contre le terrorisme. En d’autres termes, la faiblesse de la contribution allemande relève d’une constante politique profonde et n’est pas simplement conditionnée aux errements de ses partenaires et de l’Otan. Une redéfinition du rôle de l’Otan dans un sens davantage centré sur les défis réels ne suffirait pas en tant que tel à éveiller en Allemagne la volonté d’une plus forte participation.

​Quelles sont les conséquences réelles de cette situation sur le pays et sur l’Europe ? Faut-il voir l’Allemagne comme un pays « à part »​ au sein de l’OTAN ?

L’Allemagne peut être vue comme un pays à part au sein de l’Otan dans la mesure où la faiblesse de sa contribution et son non-interventionnisme dépasse la question des menaces évoquées. Les Etats-Unis, la France et le Royaume-Uni demeurent des piliers de l’alliance, ce qui se traduit notamment par des dépenses plus conséquentes. Les problèmes liés à la question de la redéfinition des finalités de l’Otan et à certaines interventions plus que discutables, notamment en Libye, ont néanmoins indéniablement agrandi ce fossé et conforté l’Allemagne dans son retrait. La fracture au sein de l’Otan s’est ainsi considérablement aggravée et on ne peut imaginer un rééquilibrage d’un point de vue quantitatif sur les montants en jeu et qualitatif sur la capacité d’intervention qu’au terme d’une véritable concertation sur le rôle de la défense commune. Le fait que Barack Obama, et encore davantage Donald Trump, aient pointé du doigt la faiblesse des dépenses militaires allemandes a sans aucun doute créé un malaise qui oblige d’ores et déjà les dirigeants allemands à faire un effort dans une certaine mesure. Mais un rééquilibrage de long terme nécessiterait un véritable débat sur les doctrines stratégiques en vue d’un modèle de coopération qui puisse convaincre les responsables politiques ainsi que la population de la pertinence de l’approche commune.

Les conceptions politiques évoluent ces derniers temps dans un sens qui pourrait en réalité, sur le fond, rendre plus accessible un dialogue au terme duquel il serait possible d’afficher des exigences dès lors légitimes à l’Allemagne. Du fait des constructions administratives liées à l’Otan, mais aussi désormais de la thématique encore évanescente de l’Europe de la défense, ce qui fait office de doctrine commune ne représente pas nécessairement l’évolution des positions des uns et des autres ni même d’un éventuel consensus. Dans le contexte du jeu politique actuel, on voit ainsi Donald Trump accuser l’Allemagne d’être maillotée par le Kremlin ; ce qui ne peut qu’apparaître paradoxal au vu de ses idées personnelles en matière de relations internationales et des accusations auquel il fait face en ce qui concerne sa campagne présidentielle. Derrière la mise en scène autour du sommet de Bruxelles se dessine une reconfiguration qui dépasse l’Otan elle-même et qui voit ses acteurs jouer avec les codes qui la caractérise sans nécessairement les embrasser.

Ne peut-on pas également voir cette situation comme étant également le résultat des intérêts économiques recherchés par Berlin, notamment dans le contexte spécifique de la guerre commerciale initiée par l’administration américaine ?

L’aspect économique entre naturellement en compte dans ce jeu sur les codes de la défense commune. A la critique de sa politique commerciale Trump répond en pointant du doigt le manque d’engagement de Berlin dans le système interétatique qu’est l’Otan. On voit donc un jeu symbolique de mise sous pression des dirigeants allemands renvoyés à leurs propres arguments sur l’unilatéralisme américain, mais aussi un enjeu plus strictement lié aux dépenses de défense elles-mêmes. Trump pointe la faiblesse des dépenses essentiellement pour dénoncer le poids financier qui pèse sur les Etats-Unis, où les dépenses militaires représentent 3% du PIB, mais aussi au passage pour pointer la question du modèle allemand de compression des dépenses et des investissements publics.

Le président américain trouve là un moyen de pression qui est à la fois en ligne avec la doctrine de retrait relatif des affaires mondiales du type « America first » et qui repose sur la critique de politiques non-coopératives. Cette approche a notamment trouvé un écho au Royaume-Uni, qui consacre 1.8% de son PIB aux dépenses militaires et où de nombreux analystes s’accordaient à critiquer l’approche allemande en matière de dépenses militaires, alors que l’élite britannique se montre généralement critique des mesures commerciales de Donald Trump. On voit aussi un certain débat prendre forme en France, où la part du PIB consacré à la défense s’élève à 2.2%.

Soft power, politique intérieure et extérieure… Où en est Vladimir Poutine ?

IRIS - jeu, 12/07/2018 - 15:41

Arnaud Dubien, chercheur associé à l’IRIS, directeur de l’Observatoire franco-russe, répond à nos questions :
– Peut-on considérer cette Coupe du monde de football comme une réussite diplomatique pour Vladimir Poutine ?
– Alors que Vladimir Poutine vient d’entamer son 4ème mandat, quels sont les principaux enjeux qui se posent à lui ?
– Donald Trump et Vladimir Poutine vont se rencontrer lors d’un sommet bilatéral le 16 juillet. Quels en sont les enjeux ?

Pour tout bagage, on a 20 ans

IRIS - jeu, 12/07/2018 - 12:16

Le 12 juillet serait-il une nouvelle date pour la fête nationale ? Car en réalité, a-t-on jamais autant célébré et illustré la fraternité et l’égalité en France que ce magnifique et bouleversant soir de 1998 ?

Un orgasme collectif pour près de 30 millions de personnes au coup de sifflet final. Des millions qui entonnent la Marseillaise à pleins poumons. Plus d’un million de personnes qui convergent ivres de joie sur les Champs Élysées, du jamais vu mis à part à la libération de Paris. On avait eu en mai 68 une foule en colère, et en janvier 2015 une foule recueillie dans la douleur et le drame. Mais cette fois-là, c’était une France qui était réunie, mélangée, bigarrée, joyeuse, sans esprit de revanche, sans drame à commémorer, sans aucun goût amer, avec juste l’envie d’être ensemble, de fraterniser avec tout un chacun, de devenir l’intime de celui qui était encore inconnu il sy a une minute. Tous unis et différents, il n’y a plus de chômeurs ou de tradeurs, plus de patrons ou d’ouvriers, plus de chrétiens, musulmans, juifs, francs-maçons ou athées. Tous croyaient en une France unie, mais diverse, une France triomphante, mais respectueuse des autres, une France forte, mais ouverte, une France d’un enthousiasme débordant, mais consciente de ce que ce moment unique représente.

Car le football c’est plus que du football. Rien d’autre n’aurait pu et n’a jamais pu susciter cette joie collective où tout est transcendé, magnifié, où l’instant devient éternité, où la vie est champagne, où on voudrait que tout s’arrête et tout recommence.

Mais si l’équipe de France de football a suscité un de ces très rares moments qui ont marqué l’histoire de notre pays, un de ces grands épisodes qui ont fait la France, où chacun se sent heureux et fier d’être français, tout en ayant un regard empathique pour le reste de la planète, ce n’est pas uniquement par ce qu’ils ont fait, à savoir gagner la coupe du monde, c’est aussi et surtout par ce qu’ils étaient, à savoir la France qu’on aime, la France qui rayonne autant dans l’Hexagone qu’à l’extérieur, au niveau global. Les 22 joueurs et leur entraîneur étaient singuliers et pluriels, solidaires et libres, de fortes personnalités individuelles se mêlant dans un collectif harmonieux. « Black-blanc-beur » était un raccourci heureux et approximatif, car il ne suffisait pas à décrire les multiples identités de ceux qui le mettaient en œuvre. C’est parce qu’ils étaient différents, d’une différence assumée et complémentaire, qu’ils s’assemblaient. C’est bien parce qu’on les acceptait tels qu’ils étaient qu’ils donnaient tout aux autres, parce qu’on ne leur demandait pas de compte qu’ils se livraient sans compter.

C’est parce qu’ils étaient cette façon si particulière d’être Français que tout le pays se rassemblait derrière eux et que le monde entier les admirait et les célébrait. Rarement la France n’a autant rayonné. Ils étaient sur le toit du monde, sans arrogance, donnant l’image d’une fraternité universelle, d’une France qui a gagné le mondial parce qu’elle est mondiale. 20 ans après ce moment magique est encore dans toutes les mémoires. Il ne faut pas lui demander plus que ce qu’il peut donner. Il était une arme pour aller plus loin, il n’était pas la baguette magique qui allait résoudre l’ensemble des problèmes du pays. Il demeure la boussole pour l’avenir, la recette d’un vouloir vivre-ensemble qu’on doit retrouver, d’une dignité collective, la victoire de 1998. C’est là la mondialisation heureuse, c’est la France et le monde qui se soutiennent mutuellement.

Internet of Things

Konrad Adenauer Stiftung - jeu, 12/07/2018 - 00:00
Kaum ein Begriff steht mehr für den technologischen Fortschritt und für die zu erwartenden gravierenden Umwälzungen von Wirtschaft und Gesellschaft durch die Digitalisierungsbewegung wie der Begriff des Internet of Things (IoT). Erstmals verwendet wurde er von Kevin Ashton, der ihn allerdings sehr stark auf die automatische Identifizierbarkeit von Objekten reduzierte (Ashton, 2009). Inzwischen hat sich diese Perspektive erweitert, so dass man heute zu Recht sagen kann, dass das IoT in den kommenden Jahren wesentlicher Treiber und integraler Bestandteil der digitalen Transformation sein wird.

Training for Senior Leadership in Missions

European Peace Institute / News - mer, 11/07/2018 - 22:06
Download Meeting Brief

Scenario-based learning for senior leadership teams in UN field missions can greatly improve strategic thinking, decision making, and crisis management in increasingly uncertain operational environments. IPI’s Scenario-Based Learning for Senior Leadership project therefore aims to develop eight training scenarios to be used by senior leadership in peace operations. To integrate these scenarios into existing training being undertaken by the United Nations, the International Peace Institute (IPI) and the UN Integrated Training Service (ITS) within the Department of Peacekeeping Operations/Department of Field Support hosted a closed-door roundtable on July 11, 2018, as part of a continued collaboration between IPI and ITS.

Specifically, the event focused on the idea of developing an in-mission leadership retreat as a means of supporting current leadership teams approach challenges environments, the viability of such an idea, and practicalities involved. The meeting resulting in five main takeaways:

  • Teambuilding is an important priority for senior leaders.
  • Training is most relevant and needed in anticipation of transition or change.
  • Leadership within the UN is different than in other contexts, and these differences should be stressed in training.
  • Topics covered in trainings should be tailored to the needs and requirements of each mission.
  • In-mission training for senior leadership needs support from UN headquarters.

This event forms part of IPI’s project on Scenario-Based Learning for Senior Leadership Teams in UN Field Missions. Within this project, IPI, with support from the Government of Canada, is developing eight scenario-based-learning modules over the course of this year for UN leadership teams in field missions, as well as for tabletop exercises in UN headquarters and capitals. IPI believes that scenario-based learning for senior leadership teams in UN field missions can greatly improve strategic thinking, decision making, and crisis management in increasingly uncertain operational environments. IPI’s Scenario-Based Learning for Senior Leadership project therefore aims to develop eight training scenarios to be used by senior leadership in peace operations. The modules, which include addressing instances of sexual exploitation and abuse, difficult host-state relations, protection of civilians, a security crisis, issues of election support, among others, reflect real-world challenges that confront senior UN leadership teams in most missions. The modules will also address the main leadership skills required for managing complex multidimensional missions.

The overall objective of IPI’s engagement with senior leadership training is to better equip senior leadership within UN missions to manage contemporary crises, lead teams, make decisions while being confronted with competing objectives and priorities, and effectively deliver the mandate of the United Nations. This will ultimately improve senior leadership training and foster team building within missions.

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