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Diplomacy & Defense Think Tank News

Les axes clés du plan santé 2022

Institut Montaigne - jeu, 20/09/2018 - 09:38

Mardi 18 septembre, la présentation de la stratégie gouvernementale de transformation du système de santé a fait l’objet d’un dispositif communicationnel inédit : le matin, un discours de près d’une heure du président de la République Emmanuel Macron présentant les axes forts de cette stratégie sous le slogan "prendre soin de chacun". L’après-midi, la déclinaison de cette stratégie par la ministre de la Santé et des Solidarités Agnès Buzyn et la ministre de l’…

Las elecciones brasileñas

Real Instituto Elcano - jeu, 20/09/2018 - 05:42
Esther Solano Gallego. ARI 106/2018 - 20/9/2018

Las próximas elecciones brasileñas se dan en el contexto de una fuerte crisis política y económica y cuestionan por primera vez que la segunda vuelta se sustancie en el clásico enfrentamiento entre el Partido de los Trabajadores (PT) y el Partido de la Social Democracia Brasileña (PSDB).

Klimawandel als Sicherheitsproblem

SWP - jeu, 20/09/2018 - 00:00

Deutschland wird 2019 und 2020 einen nichtständigen Sitz im Sicherheitsrat der Vereinten Nationen (VN) innehaben. Im Zuge der Bewerbung hat die Bundesregierung erklärt, sich erneut mit sicherheitspolitisch relevanten Folgen des Klimawandels befassen zu wollen. Das Interesse der Sicherheitsratsmitglieder an diesem Thema ist jedoch sehr unterschiedlich ausgeprägt. Die Fortsetzung der zuletzt von Schweden im Juli 2018 initiierten Debatte stellt Deutschland vor drei Herausforderungen. Zunächst muss daraus ein Mehrwert für alle Beteiligten resultieren, sei es für die vom Klimawandel besonders gefährdeten Entwicklungsländer oder die fünf ständigen Mitglieder im Sicherheitsrat. Weiterhin müssen die Ambitionen der Bundesregierung mit den diplomatischen Ressourcen in Einklang gebracht werden. Ein wichtiges Pfund ist die Glaubwürdigkeit Deutschlands als klimapolitischer Vorreiter, ebenso das Engagement auf höchster politischer Ebene. Schließlich gilt es, in der Debatte zu nichttraditionellen Sicherheitsfragen die Erwartungen an mögliche Fortschritte zu steuern. Bei den diplomatischen Bemühungen während Deutschlands Sitz im Sicherheitsrat sollte daher dargelegt werden, was durch dieses Gremium tatsächlich erreicht werden kann. In jedem Fall sollte Deutschland sich dafür stark machen, dass vom Klimawandel beeinträchtigte Länder besseren Zugang zu Daten und Informationen erhalten. Auch sollte es die Verbindungen zwischen Foren in und außerhalb der VN intensivieren, die sich mit Klimarisiken und präventiven Maßnahmen beschäftigen.

Psychiatrie : quels modèles pour la France ?

Institut Montaigne - mer, 19/09/2018 - 17:45

L’ouvrage Psychiatrie : l’état d’urgence, co-dirigé par l’Institut Montaigne et la fondation FondaMental, a été publié mi-septembre aux éditions Fayard. Ce livre dresse un diagnostic de la psychiatrie en France et formule plusieurs propositions

Rohingyas : une situation toujours inextricable

IRIS - mer, 19/09/2018 - 17:10

Un an après la terrible répression militaire birmane à l’encontre des Rohingyas, minorité musulmane, dans l’État d’Arakan, la situation de près d’un million de réfugiés au Bangladesh semble plus que jamais dans l’impasse. D’autant que les camps de réfugiés subissent de plein fouet la mousson. Si la Cour pénale internationale et le Haut-Commissariat des Nations unies aux droits de l’homme semblent s’emparer du sujet, les décisions prises demeurent symboliques. Le point de vue d’Alice Baillat, chercheuse à l’IRIS, sur la situation.

Où en est la situation des Rohingyas, notamment en cette période des moussons ?

Depuis août 2017, 700.000 Rohingyas ont quitté la Birmanie pour fuir les persécutions de l’armée birmane. Ils se sont, depuis, entassés dans ce qui est désormais considéré comme le plus grand camp de réfugiés au monde, au Bangladesh, dans des conditions de vie catastrophiques. Rappelons par ailleurs que le Bangladesh est l’un des pays les plus pauvres, parmi les plus vulnérables au changement climatique et confronté régulièrement à des catastrophes naturelles, notamment des inondations souvent dévastatrices provoquées par l’abondance des précipitations pendant la période de mousson (de mai à octobre environ).

Depuis plusieurs mois maintenant, les Rohingyas sont non seulement confrontés à de graves traumatismes liés aux persécutions qu’ils ont subies, mais aussi à des conditions climatiques extrêmement difficiles avec des inondations et des glissements de terrain de parties entières des camps. Plus de 60% des réfugiés sont des femmes et des enfants, qui sont donc des populations particulièrement vulnérables. Alors que la situation sanitaire est déjà dramatique, en raison de la congestion des camps, du manque d’hygiène, etc., elle est donc aggravée par ces pluies de mousson, qui provoquent le débordement des latrines et accroît le risque de prolifération des maladies liées à la contamination de l’eau.

Cela étant, la mousson actuelle est finalement presque moins catastrophique que ce à quoi on pouvait s’attendre. Les précipitations, parfois torrentielles, sont toutefois restées dans les moyennes saisonnières, et le Bangladesh, « habitué » à vivre avec les moussons, a tout de même tenté d’anticiper et de mettre en place, avec l’aide des humanitaires, des dispositifs visant à réduire la vulnérabilité des personnes vivant dans les camps : amélioration des systèmes de drainage, renforcement des abris, construction de routes, etc. Grâce à ces efforts conjoints, le pire a été évité, mais la situation reste, dans l’ensemble, malgré tout effroyable.

La nouvelle Haut-Commissaire aux droits de l’homme de l’ONU, Michelle Bachelet, vient de demander la création d’un organe chargé de réunir les preuves des crimes les plus graves commis à l’encontre des Rohingyas en Birmanie, alors que la Cour pénale internationale (CPI) vient de se déclarer compétente pour enquêter sur la déportation de la minorité rohingya. Était-ce une étape nécessaire ? Que peut-on en attendre ?

C’est dans tous les cas une décision à saluer. La CPI se déclare en effet rarement compétente pour enquêter et ouvrir un procès concernant les membres d’un pays non signataire de la CPI, et sans une résolution du Conseil de sécurité. Mais on sait que cette voie est bouchée par la menace du véto de la Chine, alliée indéfectible et de longue date de la Birmanie. Pour contourner le fait que la Birmanie n’est pas membre de la CPI, les juges de la CPI devaient alors étudier la possibilité d’ouvrir une enquête par le biais du Bangladesh, qui est lui membre de la CPI, étant donné que l’exode forcé de 700 000 personnes depuis un peu plus d’un an sur son sol peut correspondre à un acte de « déportation », inclut dans la définition du génocide.

L’alternative a donc été trouvée par la procureure de la CPI, en saisissant les juges de sa propre autorité en leur demandant de se prononcer sur leur compétence. Ce qu’ils ont fait début septembre. Cette première étape ne signifie pas qu’un procès sera ouvert. Beaucoup d’étapes restent à franchir, et si un procès doit avoir lieu, cela prendra plusieurs années.

À cette décision de la CPI s’est ajoutée une annonce de la Haut-Commissaire aux droits de l’homme à l’ONU, annonçant son objectif de collecter et, en tous cas, de conserver les preuves des persécutions faites à l’encontre des Rohingyas. Nous pouvons en effet nous retrouver dans une situation où les autorités birmanes chercheraient à détruire les preuves qui pourraient potentiellement servir à l’ouverture d’un procès. Ces dernières ont déjà annoncé qu’elles refusaient la décision de la CPI, arguant que celle-ci n’était pas compétente pour enquêter sur son territoire, la Birmanie n’étant pas membre de la CPI.

Les deux décisions vont bien évidemment dans le bon sens, même si, à ce stade, elles sont surtout symboliques, puisqu’il reste encore énormément d’obstacles politiques et juridiques. Il s’agit néanmoins d’un premier pas encourageant pour mettre fin à la totale impunité dont l’armée birmane jouit jusqu’à présent, en dépit des atrocités commises.

Car si la majorité des Rohingyas a déjà fui la Birmanie, ceux restés en Arakan continuent à subir les persécutions de l’armée birmane. Par ailleurs, d’autres minorités ethniques font actuellement l’objet de persécutions comparables par l’armée (viols, massacres, incendies de villages, pillages, etc.), telles que les Kachins et les Shans, loin de l’attention médiatique internationale concentrée depuis un an sur la situation des Rohingyas.

Quelle est la posture du gouvernement birman ? La situation des Rohingyas qui sont restés dans le pays s’est-elle améliorée sous la pression internationale ? Ceux qui ont fui le pays ont-ils une chance de retour ?

Le gouvernement birman, de manière peu surprenante, persiste jusqu’à présent à nier les faits. La posture des autorités civiles, réfugiées dans le déni, voire tenant des propos faux visant à couvrir les agissements de l’armée, est la même depuis le début des persécutions. Elles se rendent ainsi complices, au moins par leur silence, des atrocités commises par l’armée. En effet, même si les autorités civiles n’ont pas directement participé aux persécutions à l’encontre des Rohingyas, Aung San Suu Kyi et la Ligue nationale pour la démocratie (LND) ne font rien, ou presque rien, depuis plus d’un an pour stopper les agissements de l’armée. Par ailleurs, nous savons, par le biais d’enquêtes récentes de l’ONU, que les autorités civiles ont participé à la destruction de preuves, notamment dans l’État d’Arakan, afin de cacher les agissements de l’armée. Nous savons également qu’elles entravent toute possibilité d’enquête, que ce soit des médias, de l’ONU, d’ONG ou d’observateurs indépendants, tout en donnant l’illusion d’être prête à coopérer. Enfin, puisque la Birmanie n’est pas membre de la CPI, le gouvernement birman rejette entièrement ses décisions.

Concernant le rapatriement des Rohingyas, nous avons à faire là aussi à une hypocrisie des autorités, puisqu’elles se sont engagées à le faire depuis des mois, via un accord bilatéral signé avec le Bangladesh en novembre 2017. Or, pour l’heure, celui-ci n’a toujours pas commencé et n’est pas près de débuter. Le discours officiel actuel des autorités birmanes est de dire que, malgré une volonté de coopération, c’est le gouvernement bangladais qui ne respecte pas certains principes de l’accord bilatéral. Il y a donc un rejet de la responsabilité sur les autorités bangladaises, ce qui est une manière de se défausser de ses responsabilités, et de gagner du temps concernant le rapatriement des Rohingyas.

Par ailleurs, les Rohingyas réfugiés au Bangladesh imposent certaines conditions à leur retour en Birmanie. Ils exigent en effet que leur sécurité et leur dignité soient garanties en cas de retour en Arakan, et sujet le plus sensible, que leur appartenance à la nation birmane soit reconnue via un accès à la nationalité (la plupart d’entre eux sont apatrides depuis une loi de 1982). Or, à ce jour, il semble illusoire que les autorités birmanes acceptent de rouvrir le débat sur les conditions d’accès à la citoyenneté birmane, d’autant plus pour une communauté clairement indésirée en Birmanie, et que des décennies de politiques birmanes ont progressivement marginalisé et privé de tous leurs droits politiques, économiques, sociaux et culturels. Alors que la situation des Rohingyas n’a cessé de se dégrader depuis des années, on peine à concevoir un retour en arrière et une amélioration de leur sort en Arakan. De plus, si l’opinion publique internationale s’émeut du sort des Rohingyas, il en va tout autrement en Birmanie. La situation qui se joue depuis plus d’un an a, ironiquement, augmenté la popularité de l’armée au sein de la majorité bouddhiste birmane, perçue comme seule véritable garante de l’unité et de la sécurité nationales, et aiguisé le sentiment que les Rohingyas n’étaient pas légitimes à revendiquer une quelconque appartenance à la nation birmane. La situation est donc malheureusement complètement bloquée.

Die G20 inklusiver gestalten: Was ist mit der Zivilgesellschaft?

Bonn, 19.09.2018. Als der diesjährige Gastgeber der G20, der argentinische Präsident Mauricio Macri, Anfang August an der Eröffnungssitzung des ‚Civil 20‘ (C20) teilnahm, sagte er: „Die Zivilgesellschaft spielt eine Schlüsselrolle bei Dialog- und Konsensbildungsprozessen. […] Wir alle müssen Protagonisten sein und an den Diskussionen der Zivilgesellschaft teilnehmen und sie nicht vernachlässigen.“ Nicht alle seiner G20-Kollegen teilen diese Ansicht. Der CIVICUS ‚State of Civil Society Report 2018‘ stuft zivile Handlungsspielräume in nur drei G20-Mitgliedsstaaten, die EU ausgenommen, als „offen“ ein. Der Raum für die Zivilgesellschaft in elf Ländern ist „verengt“ oder „beschränkt“. In drei Mitgliedsstaaten gilt er als „unterdrückt“ und in zwei als „geschlossen”. So auch in Saudi-Arabien, das in 2020 Gastgeber sein wird. Argentinien wird als „verengt” eingestuft. In diesem Jahr findet der G20-Gipfel am 30. November und 1. Dezember in Buenos Aires statt. Kann die G20 trotz des „shrinking space“ in einigen Mitgliedstaaten durch mehr Einbindung der Zivilgesellschaft integrativer gestaltet werden? Legitimitätslücke der G20 In den vergangenen zehn Jahren ist die G20 zu einer der wichtigsten Institutionen für Global Governance geworden. Ihre Rolle hat sich von der Bewältigung der Finanzkrise von 2008 auf die Behandlung einer Agenda jenseits von Finanz- und Wirtschaftsfragen verlagert. Ihre Legitimität ist jedoch nicht im gleichen Maße gewachsen wie ihre Bedeutung. Obwohl die C20 nur eine von sieben Beteiligungsgruppen ist, bietet sie einen normativen Horizont für die Politik und kommt der Vertretung der zivilgesellschaftlichen Vielfalt bei der G20 am nächsten; mehr als 600 zivilgesellschaftliche Organisationen (CSOs) aus über 40 Ländern haben zum Abschlusskommuniqué beigetragen, das sie im August Präsident Macri vorgelegt haben. Die Rolle der Präsidentschaft Die Beteiligung der Zivilgesellschaft in der G20 zu verbessern, ist besonders schwierig. In ihrer jetzigen Form hängt die G20-Agenda stark vom politischen Willen der Präsidentschaft ab. Die Gastgeberregierung kann die Beteiligung der Zivilgesellschaft unterstützen oder einschränken und den Umfang und die Verfügbarkeit der dem C20-Bündnis bereitgestellten Mittel beeinflussen. Als China 2016 den Vorsitz bei der G20 führte, erlaubte seine Regierung bestimmten nationalen und internationalen CSOs nicht, an der C20 in Qingdao teilzunehmen. In diesem Jahr mobilisierte Argentinien nur geringe finanzielle Mittel für die C20, was es für CSOs aus Übersee schwierig machte, am Gipfel teilzunehmen. Die G20 und C20 inklusiver gestalten Begrenzte Mittel tragen dazu bei, dass es der C20 selbst an Legitimität mangelt. Vergleichsweise viele CSOs aus dem globalen Süden verfügen nicht über eigene Ressourcen, Zugang zu Geldern, qualifiziertes Personal und Insiderwissen, das für Lobbyarbeit auf globaler Ebene erforderlich ist. CSOs, die an der C20 teilnehmen, sind hauptsächlich serviceorientiert und streben konkrete Ergebnisse an, im Gegensatz zu widerstandsorientierten Gruppen, die eine starke Transformationsagenda verfolgen oder sogar die Legitimität der G20 völlig ablehnen. Diejenigen, die friedlich oder gewaltsam an den Orten der G20 protestieren, sitzen nicht unbedingt am Tisch der C20-Treffen. CSOs, die über die C20 politisch aktiv sind oder sogar Lobbyarbeit bei den Sherpas machen, haben in der Regel eine globale Reichweite. Solche CSOs sind überwiegend im globalen Norden beheimatet und haben oft selbst keine Legitimität oder Rechenschaftspflicht „nach unten“. Obwohl unkritischer Enthusiasmus über den Einfluss der Zivilgesellschaft in der G20 fehl am Platz ist, bleibt die C20 der stärkste Kanal für die Zivilgesellschaft, um vielfältigere Perspektiven in den Politikprozess der G20 einzubringen. Um ihre eigene Glaubwürdigkeit als legitime und rechenschaftspflichtige Akteure zu erhöhen, müssen die C20 und andere Beteiligungsgruppen mehr Akteure aus dem Globalen Süden und Nicht-G20-Staaten einbeziehen, insbesondere aus einkommensschwachen Ländern und fragilen Staaten – und dies vorzugsweise dauerhaft. Die Think 20 (T20) Africa Standing Group, die Forscher aus ganz Afrika zusammenbringt, ist hierfür ein positives Beispiel. Darüber hinaus sollten einflussreiche NGOs darauf achten, die Zivilgesellschaft nicht zu monopolisieren, sondern mehr Graswurzel-Initiativen und marginalisierte Gemeinschaften in die C20 einzubeziehen. Dies würde sie auch weniger verwundbar für Angriffe von illiberalen Regierungen machen, die Zweifel an der Legitimität von Zivilgesellschaft schüren. Bislang ist der Mangel an Finanzmitteln das größte Hindernis für die C20, diese Herausforderungen zu bewältigen. Daher müssen die Unterstützung und Finanzierung der C20 von der G20-Präsidentschaft entkoppelt werden. Dies würde das Risiko verringern, dass „shrinking spaces“ auf nationaler Ebene die Einbindung der Zivilgesellschaft in der G20 gefährden. Eine stärkere Zusammenarbeit zwischen den Beteiligungsgruppen könnte die finanzielle Herausforderung ebenfalls mildern. Darüber hinaus kann die Zusammenarbeit in problemspezifischen Arbeitsgruppen ein gutes Instrument sein, die Politikgestaltung der G20 zu beeinflussen; sie würde ein Problem von verschiedenen Fronten aus angehen und Lerneffekte fördern. Angesichts global kleiner werdender Handlungsspielräume für CSOs ist ein gemeinsames Vorgehen unterschiedlicher nichtstaatlicher Akteure notwendig, um die Stimme der Zivilgesellschaft zu stärken – inner- und außerhalb der G20.

Quelle est la meilleure souris sans fil en 2018

RMES - mer, 19/09/2018 - 11:51

La technologie de souris sans fil connaît une propension fulgurante. Les constructeurs se livrent une lutte acharnée pour proposer chaque année les meilleurs produits sur le marché. Pour cette année, on n’a pas dérogé à la tradition. De tous les modèles, voici pour nous la meilleure souris sans fil.

Logitech MX Anywhere 2S, la vedette de l’année Présentation

Vous recherchez la meilleure souris sans fil de l’année ? Difficile de contester cette position à la nouvelle trouvaille de Logitech. Version nettement améliorée de la MX Anywhere, la 2S est un produit complet d’excellente qualité de fabrication (elle est de Logitech, on se demande bien pourquoi). La marque n’est en effet pas près de cesser de nous sortir chaque année des matériels toujours meilleurs aux précédents.

Pour cette année, régalez-vous avec sa souris sans fil avancée pour ordinateur portable. Nous vous convions à visiter notre test plus complet à cette adresse.

Caractéristiques

La Logitech MX Anywhere 2S intègre la quasi-totalité des fonctionnalités de son ancêtre mais en mieux. Le design est toujours soigné, la prise en main confortable et le toucher agréable. Elle garde la forme compacte pour une utilisation aussi bien droitière que gauchère des plus ergonomiques. La 2S bénéficie d’un niveau de contrôle encore plus amélioré avec un capteur Darkfield désormais de haute précision et pourra être tranquillement glissée sur votre bureau en verre sans laisser la moindre trace.

La souris sans fil possède désormais la technologie Flow ultra perfectionnée pour vous garantir une meilleure fluidité durant vos connexions à trois ordinateurs différents. Avec le logiciel Logitech Options, facile d’installation, l’utilisation de votre souris sans fil n’a jamais été aussi agréable. Pour la double connectivité, en plus du récepteur USB Unifying pour connecter tous types d’ordinateur, elle dispose dorénavant de la transmission sans fil Bluetooth Low Energy. Elle est plus moderne, plus fiable et plus économique.

La sensibilité de ce modèle est nettement meilleure. Avec ses 4000 DPI, parcourez plus rapidement et plus facilement vos différentes pages de documents ou de Web. Déjà que vous n’avez plus à vous faire pour l’autonomie de la batterie de la souris. Le temps de recharge de cette dernière est en effet plus réduit pour une meilleure longévité.

Pour toutes ces caractéristiques, et bien d’autres fonctionnalités encore, il s’agit pour nous de la meilleure souris sans fil de l’année.

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Facetten des Nordkorea-Konflikts

SWP - mer, 19/09/2018 - 00:00

Auch nach dem Gipfeltreffen von US-Präsident Donald Trump und Nordkoreas Staatschef Kim Jong Un am 12. Juni 2018 in Singapur zählt die Krise um Nordkoreas Atom- und Massenvernichtungswaffenprogramm zu den gefährlichsten und komplexesten der Welt. Im Zentrum des Konflikts steht das ungeklärte, angespannte Verhältnis zwischen Nordkorea und den USA, fokussiert auf das Thema Atomwaffenbesitz. Darum gruppieren sich weitere Konfliktlagen, die durch gegenläufige Interessen Chinas, Japans, Nordkoreas, Russlands, Südkoreas und der USA gekennzeichnet sind. Zudem gibt es etwa zwischen Konfliktlagen in der Sicherheits-, Menschenrechts- und Wirtschaftspolitik vielfältige Wechselwirkungen.

Für Deutschland und Europa ist eine friedliche Lösung des Konflikts – oder zumindest die Vermeidung einer militärischen Eskalation – von zentraler Bedeutung. Europa kann und sollte darauf hinwirken, dass Nordkorea als Herausforderung für die globalen Ordnungsstrukturen behandelt wird. Eine Bearbeitung der unter den Begriff »Nordkorea-Konflikt« subsumierten Problemlagen, die darauf zielt, einen Krieg zu vermeiden, die globalen Ordnungsstrukturen zu festigen und die Situation der Menschen in Nordkorea zu verbessern, erfordert einen langen Atem und wird nur schrittweise Erfolge zeitigen.

Diese Studie wird ergänzt durch das Themendossier »Konfliktkomplex Nordkorea«

Inhaltsverzeichnis

Problemstellung und Schlussfolgerungen
S. 5

Hanns Günther Hilpert / Oliver Meier
Interessen, Interdependenzen und ein gordischer Knoten
S. 7

Eric J. Ballbach
Nordkorea: Zwischen Abwehrpolitik und Einflussstreben
S. 12

Hanns Günther Hilpert / Elisabeth Suh
Südkorea: Zwischen allen Stühlen oder an allen Tischen?
S. 19

Marco Overhaus
USA: Zwischen den Extremen
S. 25

Anny Boc / Gudrun Wacker
China: Zwischen Schlüsselrolle und Marginalisierung
S. 30

Margarete Klein
Russland: Ein möglicher Vermittler?
S. 35

Hanns Günther Hilpert / Elli Pohlkamp
Japan: Im Abseits
S. 41

Oliver Meier
Nichtverbreitung: Einhegung eines Regelbrechers
S. 46

Hanns Günther Hilpert / Frédéric Krumbein
Menschenrechtspolitik: Kein Trade-off erforderlich
S. 52

Volker Stanzel
Diplomatie: Immer wieder neu auf »Los«!
S. 57

Hanns W. Maull
Sanktionen: Entwicklung, Bedeutung, Ergebnisse
S. 63

Michael Paul
Militärische Optionen: Risikoreich und (zu) wenig erfolgversprechend
S. 69

Matthias Schulze
Cyberspace: Asymmetrische Kriegführung und digitale Raubzüge
S. 75

Hanns Günther Hilpert / Oliver Meier
Mikado statt gordischer Knoten: Der Nordkorea-Konflikt und die Rolle Europas
S. 80

Anhang
S. 92

Abkürzungen
S. 92

Die Autorinnen und Autoren
S. 93

Verzeichnis der Karten und Grafiken

Karte 1 Nord- und Südkorea im regionalen Umfeld
S. 4

Grafik 1 Die Entwicklung des Konflikts um das nordkoreanische Nuklearprogramm
S. 11

Grafik 2 Nordkoreanische Atomtests, Oktober 2006 bis September 2017
S. 49

Grafik 3 Nordkoreas ballistische Raketen
S. 72

Grafik 4 Nordkoreanische Raketentests 1984–2017
S. 83

Organisierte Kriminalität auf der Agenda des VN-Sicherheitsrats

SWP - mer, 19/09/2018 - 00:00

Am 7. Juni 2018 hat der Ausschuss des Sicherheitsrats der Vereinten Nationen (VN) erst­mals Individuen wegen Menschenhandels auf eine Sanktionsliste gesetzt. Die sechs Personen werden im Rahmen des Sanktionsregimes für Libyen als Hauptverant­wort­liche für illegale Aktivitäten im Zusammenhang mit Menschenhandel und der Schleu­sung von Migranten mit Reiseverboten und dem Einfrieren von Vermögens­werten belegt. Die Europäische Union und die USA haben diese VN-Sanktionen bereits umgesetzt. Das Vorgehen ist Ausdruck einer gesteigerten Aufmerksamkeit des VN-Sicherheits­rats für Fragen der transnationalen Organisierten Kriminalität (OK). Seit Jahren nimmt die Zahl von Resolutionen mit Bezug zu OK zu, ob es um Drogen- oder Waffenhandel, Pira­terie, Entführungen oder um den illegalen Handel mit natürlichen Ressourcen geht. Mit Menschenhandel in Konflikten hat sich der Sicherheitsrat schon seit Ende 2015 wiederholt befasst. Die entsprechenden Beschlüsse zeigen, welche Rolle der Sicherheitsrat beim Umgang mit organisierter Kriminali­tät spielen kann, aber auch, wo Fallstricke lauern. Deutschland sollte sich als nicht-ständiges Mitglied im Sicherheitsrat 2019/20 für eine differenzierte Weiter­entwick­lung der Agenda einsetzen.

Deutschlands Top-Jungjournalisten: Drei JONA-Stipendiaten unter den Top 30 bis 30

Konrad Adenauer Stiftung - mer, 19/09/2018 - 00:00
Das Medium Magazin kürte die 30 Top-Jungjournalisten Deutschlands 2018. Erneut zeichnete das Fachmagazin JONA-Stipendiaten aus, damit sind es insgesamt 43.

Negotiating Peace: A Guide to the Practice, Politics, and Law of International Mediation

European Peace Institute / News - mar, 18/09/2018 - 21:40

On Friday, September 28th, IPI together with the Centre for Policy Research at United Nations University are cohosting a book launch event to discuss Negotiating Peace: A Guide to the Practice, Politics, and Law of International Mediation.

Remarks will begin at 4:45pm EST*

This book is the first and only practical guide to negotiating peace. In this ground-breaking book Sven Koopmans, who is both a peace negotiator and a scholar, discusses the practice, politics, and law of international mediation. With both depth and a light touch he explores successful as well as failed attempts to settle the wars of the world, building on decades of historical, political, and legal scholarship.

Who can mediate between warring parties? How to build confidence between enemies? Who should take part in negotiations? How can a single diplomat manage the major powers? What issues to discuss first, what last? When to set a deadline? How to maintain confidentiality? How to draft an agreement, and what should be in it? How to ensure implementation? The book discusses the practical difficulties and dilemmas of negotiating agreements, as well as existing solutions and possible future approaches. It uses examples from around the world, with an emphasis on the conflicts of the last twenty-five years, but also of the previous two-and-a-half-thousand. Rather than looking only at either legal, political or organizational issues, Negotiating Peace discusses these interrelated dimensions in the way they are confronted in practice as an integral whole with one leading question: what can be done?

Speakers:
H.E. Mr. Stef Blok, Minister of Foreign Affairs, Kingdom of the Netherlands
Dr. Sven M.G. Koopmans, Author of Negotiating Peace and former Senior Mediation Expert, United Nations​
Mr. Terje Rød-Larsen, President, International Peace Institute
Ms. Teresa Whitfield, Director, Policy and Mediation Division, UN Department of Political Affairs
Mr. Robert Dann, Political Adviser and former Chief of the Mediation Support Unit

Moderator:
Mr. Adam Day, Head of Programmes, Centre for Policy Research at United Nations University

*If you are not logged into Facebook, times are shown in PST.

Investing in Peace and the Prevention of Violence in the Sahel-Sahara: Voices from Africa

European Peace Institute / News - mar, 18/09/2018 - 20:48

On Friday, September 28th, IPI together with the Federal Department of Foreign Affairs of Switzerland are cohosting a policy forum during the UN High-Level Week to present the main conclusions and recommendations from the third Regional Conversations on “Investing in Peace and the Prevention of Violence in the Sahel-Sahara.” These conversations were organized in Algiers on June 24 and 25, 2018, by the United Nations Office for West Africa and the Sahel, IPI, the FDFA of Switzerland, and the African Union’s African Centre for the Study and Research on Terrorism (ACSRT), with support from the government of Algeria.

Remarks will begin at 1:15pm EST*

Opening remarks:
H.E. Mr. Jürg Lauber, Permanent Representative, Permanent Mission of Switzerland to the United Nations
H.E. Mr. Mohamed Ibn Chambas, Special Representative of the UN Secretary-General and Head of the United Nations Office for West Africa and the Sahel (UNOWAS)

Speakers:
H.E. Ambassador El Haouès Riache, Ambassador and Counterterrorism Advisor, Ministry of Foreign Affairs, Algeria
H.E. Mr. Larry Gbevlo-Lartey, African Union Special Representative for Counterterrorism and Director of the African Union’s African Centre for the Study and Research on Terrorism (ACSRT)
Ms. Lori-Anne Théroux-Bénoni, Director, Dakar Office, Institute for Security Studies, Senegal
Mr. Mohamed Anacko, President of Agadez Regional Council, Niger
Ms. Omezzine Khélifa, Executive Director, Mobdiun, Tunisia

Moderator:
Dr. Youssef Mahmoud, Senior Adviser, International Peace Institute (IPI)

Following similar Conversations in Dakar in 2016 and N’Djamena in 2017, the Algiers gathering aimed to further identify and strengthen local, national, and regional approaches to preventing violent extremism and addressing its causes in the Sahel-Sahara. The focus was on the gap between the state and its citizens, engagement by civil society, the role of the media and security and defense forces, and the contribution of culture, citizenship, and education to prevention. Participants in the Algiers conversation called for a multidimensional approach to prevention that involves all stakeholders. They formulated recommendations on actions practitioners from the region could take, both within states and through regional and subregional groupings, and in some cases with support from the UN and other partners.

*If you are not logged into Facebook, times are shown in PST.

Women and International Peace: A Discussion on Rights, Representation, Resources, and the Way Forward

European Peace Institute / News - mar, 18/09/2018 - 20:26

On Thursday, September 27th, IPI together with the Government of Sweden are cohosting a Global Leader Series discussion with H.E. Margot Wallström, Minister for Foreign Affairs of Sweden.

Remarks will begin at 2:45pm EST*

Despite two decades of policy development and commitments intended to support women and girls affected by armed conflict, women’s participation in all levels of peace and security decision-making lags due to structural barriers, lack of access to political arenas, and even threats to women who attempt to participate in these processes. In efforts to build and sustain peace, there remains a widespread neglect of local-level women peacebuilders’ expertise, and formal peacemaking efforts continue to be resistant to women’s meaningful participation and to women’s rights. This problem persists despite increasing recognition that efforts to build and sustain peace are dependent upon the full participation of women and respect for their rights. This Global Leaders discussion will draw on the minister’s years as an advocate for women’s rights, including in conflict zones, and will include her insights on how the international community can better live up to its obligations to women and girls globally.

H.E. Ms. Wallström has been the Foreign Minister of Sweden since 2014. She has had a long career in politics, which began in 1979 when she first served as a member of the Swedish Parliament. Her ministerial career began in 1988 when she was appointed Minister of Civil Affairs, responsible for consumer, women, and youth matters. She subsequently assumed the position of Minister of Culture, and then Minister of Social Affairs. In 1998, she retired from Swedish politics to become Executive Vice-President of Worldview Global Media, a non-governmental organization based in Colombo, Sri Lanka. From 1999 until 2004, she served as European Commissioner for the Environment. In 2004, when the Barroso Commission took office, she was appointed its first vice president responsible for inter-institutional relations and communication.

Ms.Wallström has been an advocate for the rights and needs of women throughout her political career, perhaps most notably as the Special Representative of the Secretary-General on Sexual Violence in Conflict from 2010 to 2012, and in her promotion of Sweden’s feminist foreign policy in her role as Foreign Minister. She is currently a member of the High-Level Panel on Humanitarian Financing, appointed by the UN Secretary-General in May 2015. She has received several honorary doctorates and awards for her work on sustainable development and climate change, and has also done extensive work to endorse a European Union-Africa partnership on renewable energy, and to champion equal opportunities. She was also co-founder of the European Union inter-institutional group of women and a key supporter of the 50-50 Campaign for Democracy by the European Women’s Lobby, where she worked to promote a more gender-balanced European Union.

This event will be moderated by Mr. Terje Rød-Larsen, President of IPI.

*If you are not logged into Facebook, times are shown in PST.

Human Rights Defenders: A Global Movement for Peace

European Peace Institute / News - mar, 18/09/2018 - 19:41

On Thursday, September 27th, IPI together with the Norwegian Ministry of Foreign Affairs, are cohosting the eleventh annual Trygve Lie Symposium on “Human Rights Defenders: A Global Movement for Peace.”

Remarks will begin at 8:15am EST*

Speakers at this event include Minister of Foreign Affairs for the Kingdom of Norway, H.E. Ms. Ine Eriksen Søreide, Minister of Foreign Affairs for the Republic of Tunisia, H.E. Mr. Khemaies Jhinaoui, United Nations High Commissioner for Human Rights, H.E. Ms. Michelle Bachelet, as well as other distinguished speakers. This conversation will be moderated by the President of the International Peace Institute, Mr. Terje Rød-Larsen.

This year marks the 70th anniversary of the Universal Declaration of Human Rights and the 20th anniversary of the UN Declaration on Human Rights Defenders. Throughout 2018, various events and activities around the globe are being held to highlight the importance of these declarations at an increasingly crucial time for human rights, including the “stand up for human rights” campaign being organized by the UN Office of the High Commissioner for Human Rights (OHCHR).

According to OHCHR, the UN Declaration on Human Rights Defenders tells us that we all have a role to fulfill as human rights defenders and emphasizes that there is a global human rights movement that involves us all.In November of last year, Norway, along with 75 other countries, co-sponsored the Human Rights Defenders UN Consensus Resolution in consultation with civil society, which was unanimously adopted by the UN General Assembly. This resolution recognized “the substantial role that human rights defenders can play in supporting efforts to strengthen conflict prevention, peace and sustainable development, including…in the context of the implementation of the 2030 Agenda for Sustainable Development.”

This year’s Trygve Lie Symposium will bring together high-level UN and government officials, experts, and civil society representatives to discuss and address how the international community can further promote the positive, important, legitimate, and necessary role of human rights defenders and how this work helps to create a world where sustainable peace is possible.

As we celebrate the anniversaries of the Universal Declaration of Human Rights and the UN Declaration on Human Rights Defenders, presentations at this year’s Trygve Lie Symposium will reflect on the progress that has been made, new obstacles that those working to protect and defend human rights face, and the challenges that remain.

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