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ATTINGHAUSEN UR - Ein Helikopter ist am Montagnachmittag im Gebiet Surenen in Attinghausen UR abgestürzt. Dabei kam der Pilot (†54) ums Leben. Der Helikopter gehörte der Lions Air Skymedia. Wieso der Heli abstürzte ist unklar.

Der Pilot (†54) war auf einem Transportflug für Lasten und alleine im Helikopter, wie die Kantonspolizei Uri und die Firma Lyons Air am Abend mitteilten. Nach Unternehmensangaben stürzte der Helikopter kurz nach 14 Uhr ab. Bei der Einsatzzentrale der Polizei ging die Meldung über den Absturz um 14.35 Uhr ein.

Die sofort ausgerückten Rettungskräfte konnten den Piloten nur noch tot bergen. Er wohnte im Kanton Glarus. Lions Air bezeichnete den Mann als sehr erfahren.

Für die Bergung standen neben Beamten der Kantonspolizei Uri und Obwalden, Privatpersonen und ein Team der Rettungsflugwacht im Einsatz. Zur Betreuung betroffener Personen wurde das Care-Team des Kantons Nidwalden beigezogen.

Die Staatsanwaltschaft Uri und die Schweizerische Sicherheitsuntersuchungsstelle Sust habe Ermittlungen zum Unfallhergang aufgenommen. (SDA)

A környezetvédelmi minisztérium elemzi az elavult kazánok cseréjének támogatási lehetőségeit és rövidesen benyújtja a természetvédelmi törvény módosítását.

Az amerikai kormány hétfőn újabb szankciókat rendelt el orosz személyek és vállalatok ellen.

ALGER- L’élection présidentielle prévue le 29 juillet prochain au Mali suscite l’engouement de la classe politique, qui ne cesse de mobiliser ses états-majors et les sympathisants, en attendant la validation des candidatures définitives en prévision de cette échéance électorale.

Ils sont, à ce jour, 29 prétendants à faire acte de leur candidature auprès de la Cour constitutionnelle, instance habilitée à statuer sur les dossiers de candidatures sur fond d’attente parmi les différents partis politiques et groupes d’indépendants.

Selon le chronogramme établi par les autorités compétentes la campagne électorale, pour le premier tour, débutera le 7 juillet prochain, alors que des manifestations et actions réclamant la transparence et la régularité du vote ont eu lieu récemment mobilisant des milliers de citoyens. Un deuxième tour est prévu pour le 12 août dans le cas où aucun candidats ne l’emportera au premier tour du scrutin.

Avant la clôture de l’opération de dépôt de candidatures, prévue le 29 juin, plusieurs personnalités politiques ont déjà annoncé officiellement leurs candidatures.

Le président sortant, Ibrahim Boubacar Keita, figure parmi les prétendants, déclarant le 28 mai dernier son intention à briguer un second mandat à la tête du pays afin de renouveler, comme le souligne-t-il, « le contrat de confiance avec le peuple malien ».

Dans la même course se trouve un potentiel candidat, qui avait eu à prendre part à deux précédentes élections présidentielles (2002 et 2013), en l’occurrence Soumaïla Cissé, représentant de l’Union pour le renouveau démocratique (URD) et « leader de l’opposition », comme le qualifient les  observateurs.

C’est devant des milliers de partisans réunis dans le grand stade de Bamako qu’il avait annoncé le 12 mai dernier sa candidature.

Ancien président de la Commission de l’Union économique et monétaire ouest africaine (UEMOA) de 2004 à 2011, M. Cissé a le soutien d’une trentaine de partis politiques maliens et plus de 200 associations regroupées au sein d’une plateforme.

L’ancien premier ministre, Moussa Mara, à la tête du parti Yéléma est également sur la liste des postulants, pour la seconde fois après sa  participation à la présidentielle de 2013 où il avait obtenu 1,5 % des voix.

Le Dr. Oumar Mariko, chef du parti Solidarité africaine pour la démocratie et l’indépendance (SADI) et Choguel Maiga, président du Mouvement patriotique pour le renouveau (membre de la mouvance présidentielle) devront aussi vivre leurs 4e expérience dans le course présidentielle, pour laquelle ils comptent défendre la « bonne gouvernance » et « le renouveau de la classe politique ».

Face à ces anciennes figures de la vie politique malienne, de nouveaux candidats issus de divers horizons entrent en lice et sollicitent pour la première fois le suffrage des Maliens.

Parmi ces prétendants, on peut citer Mohamed Aly Bathily, ex-ministre de la Justice, des Affaires foncières et de l’Habitat et Hamadoun Touré, ancien directeur de l’Union internationale des technologies (UIT).

Ont également fait part de leur intention de se porter candidats, Aliou Boubacar Diallo, chef d’entreprise, Khalifa Sanogo, maire de Sikasso, Moussa Sinko Coulibaly, officier de l’armée malienne, démissionnaire pour se consacrer à la politique et Modibo Koné, ancien PDG de la filière coton  de la compagnie malienne de développement des textiles (Cmdt).

        == Le casse-tête du parrainage == 

Selon la loi malienne, chaque candidature doit avoir le parrainage de 10 députés ou de 5 conseillers municipaux par région. L’enregistrement des candidatures avait commencé le 30 mai 2018.

Des sources médiatiques maliennes ont considéré que cette exigence constitue « un véritable casse tête ». Ce qui fait que les candidats ne se bousculent pas aujourd’hui devant la Cour constitutionnelle pour déposer leur dossier en raison des choix préalables des parlementaires et élus ayant déjà pris leur décision pour ce parrainage.

Beaucoup parmi ces postulants qui n’ont pas de députés à l’Assemblée nationale risquent donc d’abandonner la course avant de l’avoir entamée.

Certains pour remédier à cet obstacle auraient opté pour un candidat unique, dans le cadre d’alliances politiques et électorales.

C’est dans cet esprit que vient de naître la « Convention des Bâtisseurs » regroupant sept partis politiques maliens soutenant une candidature unique.

Par ailleurs, sur le plan logistique et conditions d’organisation du scrutin, la Commission sécurisation des élections relevant du ministère de la Sécurité Intérieure et de la protection civile du Mali a affirmé avoir pris toutes les dispositions nécessaires.

La Commission travaille avec les corps constitués (gendarmerie, garde nationale et police) et en présence des membres de la MUNISMA.

Pour mieux sécuriser le scrutin, plus de 11.000 éléments seront déployés à travers le pays aidés par les Forces armées maliennes (FAMA) renforcées par 900 véhicules, en plus d’autres moyens logistiques appropriés pour le bon déroulement des opérations de vote.

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Selon les légistes, l'adolescente de 12 ans a été déflorée juste avant son assassinat.

Un avant-projet de loi sur le nucléaire civil est en cours d’élaboration, a indiqué lundi à Alger un directeur central auprès du ministère de l’Energie. S’exprimant lors d’une rencontre sur l’Autorité de régulation des hydrocarbures (ARH), le directeur général de l’électricité, du gaz et des énergies nouvelles et renouvelables auprès de ce département ministériel, Zoubir Boulegroune, a fait savoir que cet avant-projet de loi sur le nucléaire civil avait été examiné au niveau du ministère de l’Energie et suivait son processus d’approbation.

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Dans la nuit de dimanche à lundi 11 juin 2018, deux jeunes hommes ont percuté avec leur moto, un camion en stationnement sans panneaux de signalisation sur l'axe N'dali-Nikki. Sur place, les deux motocyclistes ont perdu la vie. Ils seraient tous du village de Gnahoun.
F. A. A.

BOUMERDES- Le ministre des Moudjahidine, Tayeb Zitouni, a assuré, dimanche à partir de Boumerdes, que le dossier de restitution des crânes de Chouhada se trouvant au musée de l’homme de Paris (France) est sur la « bonne voie ». Des discussions, à ce sujet, étant en cours entre les deux parties (algérienne et française).

« Quatre questions ont été proposées à l’examen par la partie algérienne, au titre de commissions mixtes algero -française, dont le dossier des crânes de Chouhada et des disparus », a indiqué le ministre dans une déclaration à la presse en marge d’une visite de travail dans la wilaya, signalant que « ces questions sont à l’examen et sur la bonne voie », et que le résultat du travail des dites commissions « sera annoncé en temps opportun ».

Dans une émission animée par la radio locale de Boumerdes, Tayeb Zitouni a, par ailleurs, fait part du parachèvement, par son département ministériel, du « recensement, de l’actualisation et de la numérisation de la totalité des monuments et sites historiques (entre cimetières, centres de tortures et centres de commandement de l’Armée de libération nationale) et autres témoins vivants de la guerre de libération nationale, à l’échelle nationale ».

« Nous nous attelons actuellement à effectuer des visites de terrain en vue de s’enquérir des mesures entreprises pour la protection et la préservation de ces monuments et sites historiques, en application du programme du Gouvernement », a-t-il ajouté, affirmant qu’il existe une volonté pour leur préservation, particulièrement depuis la création d’associations dédiées pour ce faire, par les Assembles communales populaires concernées, grâce à  un financement de la tutelle.

Zitouni a souligné, en outre, la contribution de ce recensement national des monuments historiques, au même titre que le fichier national, dans la réduction des charges des communes relatives à leur entretien et réhabilitation.

Il a aussi signalé l’existence de monuments et structures historiques requérant un entretien, et dont la prise en charge se fera en collaboration avec les autorités locales, à travers l’inscription d’opérations à leur profit.

« Les monuments disparus feront l’objet de décisions portant sur la réalisation, en leur lieu et place, d’une plaque en marbre englobant un historique sur le lieu, quel qu’il soit (centre de torture, ou centre de commandement, et autres) », a-t-il fait savoir.

« Outre l’entretien et la préservation de ces témoins vivants de notre glorieuse histoire, la démarche engagée par le ministère des Moudjahidine est inscrite à la faveur de la promotion et de l’écriture de l’histoire nationale, à travers le recueil de témoignages vivants des moudjahidine sur des batailles et autres événements historiques phares », a souligné M.  Zitouni.

Le ministre a ajouté que sa visite dans la wilaya de Boumerdes s’inscrit dans le cadre du suivi sur le terrain de la mise en £uvre, depuis janvier 2018, des directives du ministère, notamment celles inhérentes aux mesures prises de décentralisation des décisions et des procédures administratives relatives à l’assainissement de tous les dossiers en suspens.

Outre sa mission principale, représentée par le recueil des témoignages et documents relatifs à la mémoire nationale et à l’écriture de l’histoire, le ministère des Moudjahidine a également pour rôle, a-t-il dit, de veiller « au suivi et à l’accompagnement de la mise en £uvre des mesures sus-citées, parallèlement à l’accueil et à l’examen des recours introduits par les moudjahidine et leurs ayants droit à propos de leurs pensions et autres droits.

Cette visite, à Boumerdes, a donné lieu à l’inspection de la stèle commémorative des chouhada « Chadjarate El Houria » (arbre de la liberté), considérée parmi les plus grands monuments historiques du pays, selon l’exposé présenté sur place au ministre.

Tayeb Zitouni a également procédé à la dénomination du CFPA de la région  du Sahel de la commune de Boumerdes au nom du Moudjahid Ali Saba, tandis que la résidence universitaire de Boudouaou a été baptisée au nom des  frères Chahid « Toubal Rabah et Mohamed ».

A Zemmouri, le ministre a présenté ses condoléances à la famille Mandi, suite au décès du moudjahid, Mandi Mohamed , ex membre de l’ALN , avant de visiter, à la Maison de la culture de Boumerdes, une exposition de livres et de photos mettant en exergue nombre de chouhada et héros de batailles historiques dans la région, suivie d’un hommage aux Moudjahidine Tounsi Tassaâdit et Medjkane Lounes.

L’opportunité a aussi donné lieu à la signature de deux conventions de coopération entre la Direction des Moudjahidine, l’université M’hamed Bouguera et la Direction de la Culture.

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Washington – Bürger in den USA können von der Liste der Wahlberechtigten gestrichen werden, wenn sie nicht regelmässig ihre Stimme abgeben. Das Oberste Gericht billigte in einem am Montag vorgelegten Urteil die entsprechende Praxis des Bundesstaats Ohio.

Darin sehen Bürgerrechtsaktivisten eine verfassungswidrige Aberkennung des Wahlrechts. Die Kläger kritisierten, dass diese Regelung de facto vor allem sozial Schwache und Angehörige von Minderheiten treffe.

Wenn Wahlberechtigte in Ohio zwei Jahre lang nicht von ihrem Stimmrecht Gebrauch machen, erhalten sie Post von den Behörden. Wenn sie sich daraufhin nicht zurückmelden oder vier weitere Jahre nicht ihre Stimme abgeben, werden sie von den Wählerlisten gestrichen. Dies betraf zuletzt hunderttausende Menschen in Ohio.

Der Bundesstaat rechtfertigt dieses Vorgehen mit der Notwendigkeit, die Wählerlisten auf einem aktuellen Stand zu halten. Einige andere US-Staaten haben ähnliche Regelungen.

Richter Samuel Alito betonte bei der Urteilsverkündung, in dem Verfahren sei es nicht um die Frage gegangen, «welches die ideale Methode für die Aktualisierung der Wählerregister» sei. «Die einzige Frage für uns lautete, ob dies gegen Bundesrecht verstösst. Das tut es nicht.»

Das Urteil wurde mit knapper Mehrheit im Richterkollegium gefällt: Die fünf Richter der konservativen Seite setzten sich gegen die vier als liberal geltenden Richter durch.

Kritiker der Regelung argumentieren, dass sie jene sozialen Gruppen benachteilige, die weniger häufig ihre Stimme abgeben. Dazu zählen besonders häufig sozial schwache Bürger oder Angehörige von Minderheiten.

Richterin Sonia Sotomayor griff dieses Argument in ihrer Stellungnahme für die unterlegenen Richter auf: Das Gericht ignoriere mit seinem Urteil «die beträchtlichen Bemühungen von Bundesstaaten, Wählern mit niedrigem Einkommen oder Minderheiten das Wahlrecht zu nehmen».

Die Bürgerrechtsvereinigung ACLU sprach von einem «Rückschlag für das Wahlrecht». Die nun gebilligte Regelung treffe vor allem Menschen am Rande der Gesellschaft.

This report is for the media and the general public.

The SMM recorded more ceasefire violations in Donetsk region and fewer in Luhansk region between the evenings of 8 and 9 June, compared with the previous reporting period. Between the evenings of 9 and 10 June, the SMM recorded fewer ceasefire violations in Donetsk region and more in Luhansk region, compared with the previous 24 hours. The SMM followed up on reports of civilian casualties in Vasylivka and Horlivka. The Mission continued to follow up on damage from shelling to civilian properties in Sakhanka. The SMM continued monitoring the disengagement areas near Stanytsia Luhanska, Zolote and Petrivske; it recorded ceasefire violations inside the Zolote and Petrivske disengagement areas. The Mission’s access remained restricted in all three areas and was also restricted at a heavy weapons holding area in a non-government-controlled part of Donetsk region, in Sakhanka and in Siedove near the border with the Russian Federation.The SMM observed weapons in violation of withdrawal lines in non-government-controlled areas, including a surface-to-air missile system spotted by an SMM long-range unmanned aerial vehicle which recorded a missile contrail and the launching of a second missile in the direction of the UAV near Ukrainske. The Mission continued to monitor the security situation around the Donetsk Filtration Station and facilitated repairs to an electricity line, the access of Voda Donbassa employees to and from the station and the resumption of operations of the Donetsk Filtration Station. 

In Donetskregion, the SMM recorded more ceasefire violations[1] between the evenings of 8 and 9 June, including 315 explosions, compared with the previous reporting period (about 265 explosions). Between the evenings of 9 and 10 June, the SMM recorded fewer ceasefire violations, including about 110 explosions, compared with the previous 24 hours.

On the evening and night of 8-9 June, the SMM camera at the Donetsk Filtration Station (DFS) (15km north of Donetsk) recorded, in sequence, seven undetermined explosions, ten projectiles in flight from west to east and a projectile from east to west, followed by totals of an undetermined explosion and 16 projectiles (six from east to west and ten from west to east), all 0.5-1.5km south. On the evening and night of 9-10 June, the same camera recorded, in sequence, two projectiles from west to east, an undetermined explosion and 12 projectiles from west to east, followed by totals of 18 undetermined explosions and 49 projectiles from west to east, all 0.5-1.5km south. 

On the evening and night of 8-9 June, the SMM camera at the entry-exit checkpoint in Maiorsk (government-controlled, 45km north-east of Donetsk) recorded, in sequence, 22 projectiles in flight from south to north, two undetermined explosions, 27 projectiles from south to north and 16 projectiles from north to south, followed by totals of seven undetermined explosions, about 280 projectiles (190 from south to north and 90 from north to south) and two illumination flares in vertical flight, all 2-5km east. On the evening and night of 9-10 June, the same camera recorded, in sequence, six projectiles from south to north, an undetermined explosion and a projectile from south to north, followed by totals of 28 undetermined explosions, about 400 projectiles (260 from south to north and 140 from north to south) and 13 illumination flares (five in vertical flight, four from south to north and four from north to south), all 2-5km east.

On the evening and night of 8-9 June, while in Debaltseve (non-government-controlled, 58km north-east of Donetsk), the SMM heard 35 undetermined explosions 4-6km north-west.

During the day on 9 June, positioned on the north-western edge of Yasynuvata (non-government-controlled, 16km north-east of Donetsk), the SMM heard 56 undetermined explosions and about 150 shots and bursts of small-arms and heavy-machine-gun fire, all 2-7km west-south-west and west, as well as small-arms fire 1.5-2km north-north-east. On the same day, positioned about 1km north-west of the railway station in Yasynuvata, the SMM heard about 50 undetermined explosions, 50 explosions assessed as outgoing automatic-grenade-launcher fire and about 135 shots and bursts of small-arms and heavy-machine-gun fire, all 1-3km at directions ranging from south-west to west.

During the day on 9 June, positioned on the south-eastern edge of Avdiivka (government-controlled, 17km north of Donetsk), the SMM heard 33 undetermined explosions and small-arms fire, all 1-5km at directions ranging from south-east to west-south-west. Positioned on the eastern edge of Kruta Balka (non-government-controlled, 16km north of Donetsk), the SMM heard 34 undetermined explosions and about 80 shots and bursts of small-arms and heavy-machine-gun fire, all 2-4km south-west and south-south-west, and heard and saw an explosion assessed as an impact 1km east. 

In Luhanskregion, the SMM recorded fewer ceasefire violations between the evenings of 8 and 9 June, including three explosions, compared with the previous reporting period (about 75 explosions). Between the evenings of 9 and 10 June, the SMM recorded more ceasefire violations, including six explosions, compared with the previous 24 hours.

The SMM followed up on reports of civilian casualties. At a hospital in Yasynuvata, a woman (aged 25) residing in Makiivka (non-government-controlled, 12km north-east of Donetsk) told the SMM that she had been wounded by gunfire while visiting relatives in Vasylivka (non-government-controlled, 20km north of Donetsk) at about 19:00 on 9 June. She said that when she had left her relatives’ house, she had heard a shot and had suddenly felt pain in her belly. Medical staff at the abovementioned hospital told the SMM that the woman had been treated for a bullet wound to her abdomen and had undergone surgery.

Medical staff at a hospital in Horlivka (non-government-controlled, 39km north-east of Donetsk) told the SMM that a 15-year-old girl had been admitted on 14 May with bruises to her right shoulder and back and had been treated for shock before being released on 24 May. A woman (aged 30-40) told the SMM that she had been together with her two daughters (aged 15 and 9) in their second floor apartment at 138 Stozhka Street in Horlivka on 12 May when they had heard shelling in the early hours of the morning. She told the SMM that they had gone to the first floor of the building to take cover when they heard a loud explosion, after which her eldest daughter had fallen to the ground and had been hit by a piece of collapsed concrete wall. She said that although her daughter had not been seriously injured, she had been admitted to a hospital in Horlivka on 14 May as she had still been suffering from shock. Two neighbours from the same apartment building (a woman and a man) told the SMM that they had been with the woman and her daughters during the shelling and had seen the 15-year-old girl fall. 

The SMM continued to follow up on reports of fresh damage caused by shelling in a residential area ofSakhanka(non-government-controlled, 24km north-east of Mariupol). (See SMM Daily Report 9 June 2018.) On 9 June, at 27 Myru Street, the SMM observed that a section of the south-west-facing roof of a one-storey house had missing roof tiles and was covered in plastic film, with debris from the roof on the ground outside. The SMM also saw at least 50 holes and shrapnel marks in the south-west-facing outer wall and fence of the house. Inside the house, the SMM observed at least 50 fresh holes in the ceiling, part of which had collapsed. The SMM assessed all damage to have been caused by a mortar round fired from a south-westerly direction. A resident of the house (man, aged 71) told the SMM that he had been inside with his wife when they had heard a loud explosion at about 17:00 on 8 June. He also told the SMM that his ear had been injured by shrapnel. The SMM saw a bandage on his left ear.

On 8 June, at 22 Konstytutsii Street, the SMM saw minor fresh scorch marks and abrasions on the brick plaster of the north-facing wall of a house. At 26 Konstytutsii Street, the SMM saw a fresh crater in the east-facing garden, severed tree branches and a hole in a gas pipe 20m north-west of the house. The SMM assessed all damage to have been caused by 82mm mortar rounds fired from a south-westerly direction.

On 10 June, at 24 Zhovtneva Street, the SMM saw 15 holes and abrasions to a north-east-facing wooden fence and concrete fence post of a house, as well as a crater assessed as two to three days old 1m north of the fence. The SMM assessed all damage to have been caused by an 82mm mortar round fired from a south-westerly direction. About 100m east of the house, the SMM noted a stationary military-type truck.

The SMM continued to monitor the disengagement process and to pursue full access to the disengagement areas near Stanytsia Luhanska (government-controlled, 16km north-east of Luhansk), Zolote (government-controlled, 60km west of Luhansk) and Petrivske (non-government-controlled, 41km south of Donetsk), as foreseen in the Framework Decision of the Trilateral Contact Group relating to disengagement of forces and hardware of 21 September 2016. The SMM’s access remained restricted, but the Mission was able to partially monitor them.* 

On the evening of 30 May, the SMM camera in Petrivske recorded a projectile in flight from south-east to north-west 1-1.5km west-south-west and 35 tracer rounds in flight from south-east to north-west 0.5-1km west-north-west (all assessed as inside the disengagement area), as well as 45 airbursts and eight projectiles from south-east to north-west, all 1-1.5km north-west and north-north-west (assessed as outside the disengagement area). Positioned in Petrivske on 9 June, the SMM heard three undetermined explosions 6-10km west (assessed as outside the disengagement area).

On the evening and night of 8-9 June, the SMM camera in Zolote recorded a projectile in flight from north to south 3-7km east-south-east (assessed as inside the disengagement area) and three undetermined explosions and five projectiles from south to north, all 4-14km east-south-east (all assessed as outside the disengagement area). On the evening of 9 June, the same camera recorded a projectile in flight from north to south 1-2km south-east (unable to assess whether inside or outside the disengagement area) as well as an undetermined explosion 1-2km south-east, an undetermined explosion 3-8km east-south-east, two undetermined explosions 4-8km south-south-east and south and six projectiles (four from south-east to north-west and two from north-west to south-east) 4-15km east and south-south-west (all assessed as outside the disengagement area).

On the night of 7-8 June, the SMM camera in Stanytsia Luhanska recorded two muzzle flashes at undetermined distances south-east (assessed as outside the disengagement area). On the evening of 9 June, the same camera recorded two undetermined explosions 4-6km south-south-east (assessed as outside the disengagement area).

On 10 June, positioned near all three disengagement areas, the SMM observed calm situations.

The SMM continued to monitor the withdrawal of weapons in implementation of the Memorandum and the Package of Measures and its Addendum.

In violation of withdrawal lines in non-government-controlled areas, on 8 June, an SMM long-range unmanned aerial vehicle (UAV) spotted a surface-to-air missile system (9K35 Strela-10) in Holmivskyi (49km north-east of Donetsk), with its launching pad angled upwards and assessed as tracking the UAV. (See SMM Daily Report 8 June 2018.) On 8 June, the same UAV also spotted seven multiple launch rocket systems (MLRS) (BM-21 Grad, 122mm)about 6km south-east of Miusynsk (62km south-west of Luhansk) (see SMM Daily Report 9 June 2018), eight MLRS (BM-21) south of Khrustalnyi (formerly Krasnyi Luch, 56km south-west of Luhansk), six self-propelled howitzers (2S1 Gvozdika, 122mm) about 1km north-west of Shymshynivka (27km south-west of Luhansk) and 15 towed howitzers (D-30 Lyagushka, 122mm) and 12 self-propelled howitzers (2S1) about 2km south-east of Buhaivka (37km south-west of Luhansk) (see SMM Daily Report 9 June 2018). On 9 June, an SMM long-range UAV spotted a surface-to-air missile system (9K33) near Ukrainske.

On 9 June, an SMM long-range UAV spotted a surface-to-air missile system (9K33 Osa) in violation of withdrawal linesnear Ukrainske (non-government-controlled, 80km south of Donetsk) and recorded the contrail of one missile and the launching of a second missile. While the UAV was north-north-west of the surface-to-air-missile system, the first missile was fired in a north-north-westerly direction – the contrail appearing at approximately the same altitude of the UAV – and while the UAV was north-north-east of the surface-to-air-missile system, thesecond missile was fired in a north-north-easterly direction and flew at a significantly lower altitude, passing below the SMM’s UAV. The surface-to-air missile system was spotted in a zone within which deployment of heavy armaments and military-type equipment is further proscribed according to Point 5 of the Memorandum of 19 September 2014.

Beyond withdrawal lines but outside designated storage sites in non-government-controlled areas, on 8 June, an SMM long-range UAV spotted 34 tanks (24 T-72 and ten T-64) about 3.5km south-east of Ternove (57km east of Donetsk), 11 tanks (T-72) about 3km west of Manuilivka (65km east of Donetsk), 12 towed howitzers (D-30), eight self-propelled howitzers (2S1) and 12 tanks (T-64) about 6km south-east of Miusynsk, 22 tanks (13 T-64, seven T-72 and two undetermined) near Kruhlyk (31km south-west of Luhansk), six towed howitzers (D-30) and eight self-propelled howitzers (2S1) near Uspenka (23km south-west of Luhansk), 16 tanks (ten T-64 and six undetermined), five surface-to-air missile systems (9K35) and eight mortars (2B11 Sani, 120mm) south-east of Buhaivka, ten tanks (T-72) near Shymshynivka, and six anti-tank guns (type undetermined), 12 towed howitzers (D-30), nine self-propelled howitzers (2S1), 21 tanks (11 T-64 and ten T-72), 15 mortars (2B11) as well as about 55 infantry fighting vehicles (IFV) (45 BMP-1 and ten BMP-2) near Myrne (28km south-west of Luhansk).

The SMM observed weapons that could not be verified as withdrawn, as their storage did not comply with the criteria set out in the 16 October 2015 notification from the SMM to the signatories of the Package of Measures on effective monitoring and verification of the withdrawal of heavy weapons. In non-government-controlled areas beyond the respective withdrawal lines in Donetsk region, the SMM saw six self-propelled howitzers (2S1) and noted that 12 mortars (11 PM-38, 120mm, and one 2B11) continued to be missing.

The SMM revisited permanent storage sites in areas outside government control in Donetsk region, whose locations were beyond the respective withdrawal lines, and noted that 18 tanks (ten T-72 and eight T-64), nine mortars (2B14 Podnos, 82mm) and 15 anti-tank guns (MT-12 Rapira, 100mm) continued to be missing.

The SMM observed armoured combat vehicles (ACV)[2]and other indications of military and military-type presence in the security zone. In government-controlled areas, on 8 June, an SMM long-range UAV spotted three IFVs (BMP-2) and about 40m of newly extended trenches (not visible in imagery from 7 February 2018) near Novhorodske (35km north of Donetsk), an ACV near Pivdenne (40km north-east of Donetsk), two probable IFVs east of Pivnichne(formerly Kirove, 44km north-east of Donetsk) and three ACVs near Travneve (51km north-east of Donetsk). On 9 June, the SMM saw an armoured personnel carrier (APC) (BTR-60) near Pyshchevyk (25km north-east of Mariupol) and an armoured reconnaissance vehicle (BRM-1K) near Muratove (51km north-west of Luhansk).

In non-government-controlled areas, on 8 June, an SMM long-range UAV spotted about 80m of newly extended trenches near Shyroka Balka (34km north-east of Donetsk) (not seen in imagery from 7 February 2018). On 10 June, the SMM saw four IFVs (BMP variant) in Rodakove (22km west of Luhansk). 

On 9 June, the SMM monitored the security situation around the DFS and successfully facilitated and monitored the repair of a broken electricity cable and the restoration of operations of the DFS.  On 9 and 10 June, the SMM facilitated the access of Voda Donbassa water company employees to and from the DFS, as well as demining activities around the station, and heard ceasefire violations in the area despite explicit security guarantees (see ceasefire table below). On 9 June, the SMM saw a fresh impact in field 50m west of road M04, about 1.5km east of the DFS, assessed to have been caused by a mortar round. Between Kamianka (government-controlled, 20km north of Donetsk) and the DFS, the SMM again saw the tail of an 82mm mortar shell (see SMM Daily Report 8 June 2018). 

The SMM observedmines and mine hazard signs. On 8 June, an SMM mid-range UAV spotted at least 11 anti-tank mines (TM-62) laid across the road about 200m north of the residential area of Dolomitne (53km north-east of Donetsk) (see SMM Daily Report 21 December 2017) as well as a checkpoint of the armed formations within the residential area at the intersection of the aforementioned road and the road leading to Travneve. The same UAV spotted for the first time at least 500 anti-tank mines (TM-62) in a field about 50m south of the latter road (not visible in imagery from 13 December 2017).                                                                                           

On 9 June, the SMM saw about 215 previously observed mine hazard signs between a checkpoint in Olenivka (non-government-controlled, 23km south-west of Donetsk) and an entry-exit checkpoint in Novotroitske (government-controlled, 36km south-west of Donetsk): about 200 of the signs were small and square with skull-and-crossbones and a warning reading “Stop! Mines!” in Russian and Ukrainian languages and 15 were large with skull-and-crossbones reading “Stop! Mines! In case of danger call 101” in Russian and English languages, all bearing the logo of an international organization. The SMM noted that overgrown vegetation obscured many of the signs. 

The SMM continued to monitor the situation at entry-exit checkpointsand noted that 1.5m of vegetation had been cleared from both sides of a 4km stretch of road H20 between Berezove (government-controlled, 31km west of Donetsk) and Novotroitske.

The SMM visited four border areas not under government control. On 9 June, while at a border crossing point near Uspenka (73km south-east of Donetsk) for about half an hour, the SMM saw three cars (one with Ukrainian and one with Russian Federation licence plates, and one with “DPR” plates), two buses (with Ukrainian licence plates) and three covered cargo trucks (two with Ukrainian licence plates, and one with “DPR” plates) entering Ukraine and seven cars (two with Ukrainian and four with Russian Federation licence plates, and one with “DPR” plates) and 13 covered cargo trucks (eight with Ukrainian and three with Russian Federation licence plates, and two with “DPR” plates) exiting Ukraine. While at a border crossing point near Ulianivske (61km south-east of Donetsk) for about 15 minutes, the SMM saw no traffic or pedestrians entering or exiting Ukraine.

On 10 June, while at a border crossing point near Novoborovytsi (79km south of Luhansk) for about 20 minutes, the SMM observed nine pedestrians (five women, two men and two children) entering Ukraine.While at a border crossing point near Novoazovsk (102km south-east of Donetsk) for 20 minutes, the SMM saw 18 cars (ten with Ukrainian licence plates, and eight with “DPR” plates) exiting Ukraine as well as four cars (three with Ukrainian licence plates, and one with “DPR” plates) and two pedestrians entering Ukraine.

The SMM continued monitoring in Kherson, Odessa, Lviv, Ivano-Frankivsk, Kharkiv, Dnipro, Chernivtsi and Kyiv.

*Restrictions of SMM’s freedom of movement or other impediments to fulfilment of its mandate

The SMM’s monitoring and freedom of movement are restricted by security hazards and threats, including risks posed by mines, unexploded ordnance (UXO), and other impediments – which vary from day to day. The SMM’s mandate provides for safe and secure access throughout Ukraine. All signatories of the Package of Measures have agreed on the need for this safe and secure access, that restriction of the SMM’s freedom of movement constitutes a violation, and on the need for rapid response to these violations. They have also agreed that the Joint Centre for Control and Co-ordination (JCCC) should contribute to such response and co-ordinate mine clearance. Nonetheless, the armed formations in parts of Donetsk and Luhansk regions frequently deny the SMM access to areas adjacent to Ukraine’s border outside control of the Government (see below). The SMM’s operations in Donetsk and Luhansk regions remain restricted following the fatal incident of 23 April 2017 near Pryshyb; these restrictions continued to limit the Mission’s observations.

 

Denial of access: 

• On 9 June, in Sakhanka, seven armed members of the armed formations requested to see the SMM’s patrol plan. The SMM declined and the armed members told it to leave the area. Later in the day, the SMM was able to proceed to Sakhanka. On 10 June, a member of the armed formations told the SMM that they had received orders from their “superiors” to prevent it from entering the eastern part of the village.
• On 10 June, two members of the armed formations – one armed – prevented the SMM from entering a heavy weapons holding area in Donetsk region, citing that permission was needed from their “superiors”. 
• On 10 June, at a checkpoint about 1.2km north-west of Siedove (non-government-controlled, 33km north-east of Mariupol), near the border with the Russian Federation, three armed members of the armed formations denied the SMM access to the village, saying that a special operation was ongoing in the area.

Related to disengagement areas and mines/UXO: 

• On 9 and 10 June, the SMM was prevented from accessing parts of the Stanytsia Luhanska disengagement area, with the exception of the main road, due to the possible presence of mines and UXO. A Ukrainian Armed Forces officer of the JCCC told the SMM by phone that no demining had taken place during the previous 24 hours. The SMM did not consider it safe to proceed and informed the JCCC on both occasions.[3]
• On 9 and 10 June, the SMM was prevented from accessing secondary roads in the Zolote disengagement area due to the possible presence of mines and UXO. A Ukrainian Armed Forces officer of the JCCC told the SMM by phone that no demining had taken place during the previous 24 hours. The SMM did not consider it safe to proceed and informed the JCCC on both occasions.
• On 9 and 10 June, the SMM was prevented from accessing secondary roads south of the Zolote disengagement area due to the possible presence of mines and UXO. An armed formation member positioned on the southern side of the Zolote disengagement area told the SMM that no demining had taken place during the previous 24 hours. The SMM did not consider it safe to proceed.

Other impediments:

• On 9 June, an SMM long-range UAVwas temporarily jammed while flying over areas near Krasnohorivka(government-controlled, 21km west of Donetsk).[4]
• On 9 June, an SMM long-range UAV spotted a surface-to-air missile system (9K33) and recorded the contrail of a missile and the launching of a second missile in the direction of the UAV near Ukrainske. 

 

[1]For a complete breakdown of the ceasefire violations, please see the annexed table. The SMM cameras at the entry-exit checkpoints in Marinka and Pyshchevyk were not operational during the reporting period.

[2]This hardware is not proscribed by the provisions of the Minsk agreements on the withdrawal of weapons.

[3]The SMM informed Ukrainian Armed Forces officers of the JCCC. Russian Federation Armed Forces officers of the JCCC have withdrawn from the JCCC as of 18 December 2017.

[4]The interference could have originated from anywhere in a radius of several kilometres of the UAV’s position.

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Berlin – Der deutsche Aussenminister Heiko Maas (SPD) will bei einem Treffen mit seinen Kollegen aus Russland, der Ukraine und Frankreich die festgefahrenen Bemühungen um eine Beilegung des Konflikts in der Ost-Ukraine wieder in Gang bringen.

Zum Auftakt der Vierer-Beratungen in Berlin sprach er sich am Montag für eine Friedensmission der Vereinten Nationen in der Konfliktregion aus. Die aktive Einbeziehung der Uno könnte dazu beitragen, den Friedensprozess «neu zu beleben», sagte Maas.

Die vor drei Jahren in Minsk geschlossenen Vereinbarungen zu einer Waffenruhe würden «vielfach nicht eingehalten». «Allein in diesem Jahr gab es tausende Verstösse.» Ziel des Treffens in Berlin sei es, «den Minsker Prozess wieder zum Leben zu erwecken». Dafür könne die Aussicht auf eine UN-Mission hilfreich sein.

An den Beratungen in der Berliner Villa Borsig nahmen der russische Aussenminister Sergej Lawrow, der ukrainische Ressortchef Pawlo Klimkin und der französische Aussenminister Jean-Yves Le Drian teil. Das letzte derartige Treffen auf Aussenminister-Ebene hatte im Februar 2017 stattgefunden.

Während die politischen Bemühungen zur Konfliktbeilegung zuletzt weitgehend auf der Stelle traten, verschlechterte sich die Sicherheitslage in der Ost-Ukraine in den vergangenen Monaten spürbar. Beobachter der OSZE registrieren praktisch täglich zahlreiche Verstösse gegen die Waffenruhe an der Frontlinie, wo sich ukrainische Armee und prorussische Separatisten gegenüberstehen.

Die Waffenruhe war 2015 unter Vermittlung Deutschlands und Frankreichs in Minsk vereinbart worden. Die Vereinbarungen sind bis heute nicht vollständig umgesetzt worden. Der Stand der Umsetzung soll zu den Themen des Vierer-Treffens vom Montag zählen. Nötig sei «eine Waffenruhe, die ihren Namen auch verdient», sagte Maas.

In der Frage einer Uno-Blauhelmmission für die Ost-Ukraine wurde in Berlin noch kein Durchbruch erwartet. Die Beratungen stünden erst am Anfang, sagte Maas. Zwar hatten sich sowohl Russland als auch die Ukraine offen für eine Uno-Mission gezeigt - allerdings gehen ihre Vorstellungen zu Umfang und Mandat einer solchen Mission weit auseinander.

Russland will eine solche Uno-Truppe lediglich an der Frontlinie zwischen dem Rebellengebiet und dem Rest der Ukraine einsetzen. Die Ukraine lehnt dies ab, weil sie fürchtet, dass diese Frontlinie dann de facto zur dauerhaften Grenze zwischen der Ukraine und den Rebellengebieten werden könnte. Stattdessen sollte eine Uno-Truppe nach Vorstellung der Regierung in Kiew im gesamten Rebellengebiet stationiert werden.

Der Uno-Sicherheitsrat hatte erst in der vergangenen Woche die «anhaltenden Verstösse gegen die Waffenruhe» kritisiert und die «tragische humanitäre Situation an der Frontlinie» beklagt. Er forderte einen Abzug der schweren Waffen aus der Konfliktregion - so, wie sie bereits in Minsk vereinbart worden war.

Le Secrétariat d'Etat aux migrations devra répondre aux reproches de violation de la Convention internationale relative aux droits de l'enfant.

Kegyelmet kapott Penka, a bolgár tehén. Azért akarták levágni, mert dokumentumok nélkül lépte át az Európai Unió külső határát. A nemzetközi felháborodást követően a bolgár hatóságok úgy döntöttek, megkímélik életét.

A brit miniszterelnök szerint "nézeteltérésekkel terhelt nehéz találkozó volt" a hét vezető ipari hatalom kanadai csúcsértekezlete.

Pénztárca nélkül maradt Oroszország bukaresti nagykövete szombat este, mivel Nagyszeben főterén zsebtolvajok ellopták a pénztárcáját.

Sahara Medias - Le président mauritanien Mohamed O. Abdel Aziz a reçu lundi le ministre sénégalais du pétrole et de l’énergie, Mansour...

Le Conseil des Etats a adhéré, par 30 voix contre 2 et 11 abstentions, au projet du gouvernement sur une adaptation de la loi sur les étrangers.

La voie entre Versoix et Genève sur la ligne Lausanne - Genève a été interrompue de 16h15 à 19h.

Több mint 50 gyerek maradványait találták meg Peruban. A régészek szerint körülbelül fél évezrede ölték meg őket egy áldozati rituálé keretében.

ALGER- Les journées du 1er et 2 Chaoual 1439 de l’Hégire sont chômées et payées pour l`ensemble des personnels des  institutions et administrations publiques, des établissements et offices publics et privés, ainsi qu’aux personnels des entreprises publiques et privées, tous secteurs et statuts juridiques confondus, y compris les personnels payés à l’heure ou à la journée, annonce lundi, la Direction générale de la Fonction publique et de la Réforme administratif dans un communiqué.

« Les institutions, administrations, établissements, offices et entreprises précitées, sont tenues de prendre  les mesures nécessaires pour assurer la continuité des services organisés en mode de travail posté » souligne toutefois la même source.

Cette disposition intervient, conformément à la loi du 26 juillet 1963, modifiée et complétée, fixant la liste des fêtes légales, précise-t-on.

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