Le ministre des Finances, Abderrahmane Raouia a affirmé, lundi à Alger que les aides de l’Etat étaient « maintenues », indiquant que l’étude relative à la révision de la destination de ces aides était en cours pour en faire bénéficier les seules catégories nécessiteuses.
Dans une déclaration à la presse à l’issue du vote de la loi de Finances complémentaire (LFC 2018) par les membres de l’Assemblée populaire nationale (APN), M. Raouia a affirmé que « les aides de l’Etat sont maintenues et seront destinées uniquement aux catégories nécessiteuses ».
Répondant à une question sur l’activité de montage des véhicules en Algérie M. Raouia a révélé que « des mesures et des dispositions restrictives seront bientôt prises » pour l’organisation de cette activité, notamment suite à l’annulation de l’article 6 du projet de LFC 2018.
L’article 6, supprimé du projet de LCF 2018 lors du vote, prévoyait « l’annulation de l’exonération de la taxe sur la valeur ajoutée (TVA) de 19 % pour les opérateurs activant dans le secteur de montage local des véhicules ».
« Dans ce cadre, il est possible de revoir le cahier de charges régissant l’activité de montage des véhicules (…), et la révision de ce dossier est du ressort du ministère de l’Industrie », a ajouté le ministre.
Les membres de l’Assemblée populaire nationale (APN) ont adopté, lundi à la majorité, le projet de LFC 2018.
The post Les aides de l’Etat « maintenues » au profit des catégories nécessiteuses appeared first on .
Une carte réseau de transport multimodal (CTM) a été mise en place lundi pour permettre une meilleure mobilité des usagers des moyens de transport en commun à Alger. La CTM a été établie au niveau de l’aéroport d’Alger, de la gare routière de la capitale et des stations de bus, de trains, métro, tramway et de téléphériques.
Cette carte a pu être mise en œuvre grâce à un nouveau système d’information baptisé Refoco (référentiel fonctionnel commun), permettant une « interopérabilité » des systèmes de billettiques.
Pour développer le secteur des transports en commun, « il est question actuellement d’aller vers une plate forme commune en matière de billetterie, le système est déjà opérationnel en partie c’est en tous cas ce qu’a déclaré sur les ondes de la Radio Algérienne » Yacine Krim directeur de l’autorité organisatrice des transports urbains de la capitale.
Dans ce sens, un protocole d’accord portant sur la mise en place de ce système a été signé lundi au siège du ministère des Transports par les responsables des transporteurs publics (ETUSA, SETRAM, SNTF, RATP, ETAC, EMA) et par le Directeur général de l’Autorité organisatrice des transports urbains d’Alger (AOTU-A), Yacine Krim.
L’interopérabilité concrétisée veut dire que le système d’information au niveau de chaque entreprise de transport est désormais capable de fonctionner avec les systèmes d’informations des autres entreprises sans aucune restriction d’accès, a expliqué M. Krim, également Directeur général de l’Etablissement de transport urbain et suburbain de la wilaya d’Alger (Etusa).
Le ministre des Travaux publics et des Transports, Abdelghani Zaalane, a souligné, dans une allocution prononcée par le Directeur général des transports au ministère, Mourad Khoukhi, que cette carte allait encourager les usagers à emprunter plus sereinement les moyens de transports urbains puisqu’ils auront une meilleure visibilité sur le tracé de chaque moyen et donc s’assurer de la continuité entre les lignes des différents transports.
Cette carte, qui sera bientôt disponible dans l’ensemble des grandes villes du pays, devrait également donner « un nouveau souffle à l’investissement en facilitant aux investisseurs le transport dans la capitale ».
M. Krim a pour sa part indiqué que l’AOTU-A poursuivait son travail pour la mise en place dans le futur d’un « ticket unique » pour l’ensemble des transports publics.
La Directrice de communication au niveau de cette autorité, Mme Saidoun, a expliqué que la CTM, distribuée gratuitement à travers les pôles transport urbain, contient toutes les informations utiles pour un usager, y compris les lieux alloués aux parkings dans la capitale.
Même les touristes en visite à Alger y trouveront les coordonnées des principaux sites touristiques à visiter ainsi que les lignes de transports permettant l’accès à ces points, a-t-elle ajouté.
Un autre responsable au sein de cette autorité a, de son côté, présenté une application sur androïde, développée grâce à un partenariat avec un étudiant de l’Université de Bab Ezzouar (Alger), et qui met à la disposition des usagers du téléphone mobile un service d’information sur les transports en commun dans la capitale.
Baptisée « Archidni » et déjà disponible, cette application mobile «devra résoudre le problème relatif au manque d’informations dont se plaignent les utilisateurs de ces moyens de transport, notamment pour ce qui est des retards et des perturbations dans le trafic », a-t-il soutenu.
The post Mise en place d’une carte de transport multimodal d’Alger appeared first on .
Si l’Argentine veut se qualifier pour les huitièmes de finale de la Coupe du monde, elle devra absolument battre le Nigeria mardi (19h). L’avenir de Lionel Messi (31 ans, 126 sélections et 64 buts) est en jeu puisque le capitaine argentin pourrait prendre sa retraite internationale en cas d’élimination. Pas de quoi attendrir les hommes de Gernot Rohr.
« Notre objectif, c’est de faire en sorte que ce soit son dernier match, a annoncé le sélectionneur des Super Eagles. Nous aimons le footballeur, mais cette fois c’est contre nous. Nous l’aimons, tout le monde l’aime, mais ce n’est pas la question. La question, c’est de nous qualifier. Nous sommes là pour faire un résultat, pour défendre les couleurs du Nigeria. Dans le football, il n’y a pas de pitié, pas de charité. On ne peut pas faire de cadeau. » Des propos relayés par Maxifoot.
The post Le Nigeria veut faire jouer à Messi son dernier match appeared first on .
Le directeur général de la Caisse nationale d’assurance sociale des salariés (CNAS), Tidjani Hassan Haddam, a annoncé lundi à Oran qu’une réflexion est engagée pour concrétiser à long terme un programme de prise en charge de la population du Sud sur le plan de l’encadrement sanitaire des assurés sociaux.
Présidant la 2e journée médico-chirurgicale de la clinique spécialisée en orthopédie et réadaptation fonctionnelle des victimes des accidents du travail basée à Misserghine (Oran), M.Tidjani a indiqué que la CNAS réfléchit sur ce programme visant une contribution plus efficace de la santé publique en faveur des populations du Sud, saluant toutes les initiatives pour atteindre cet objectif.
Le responsable a souligné, dans ce sens, que l’ambition dans ce programme réside dans le renforcement des capacités de prise en charge des malades, notamment les assurés sociaux et la contribution à l’encadrement du traitement et des interventions médico-chirurgicales.
Abordant les perspectives de la clinique de Messerghine, M. Tidjani a salué les résultats réalisés en matière de prise en charge des assurés victimes d’accidents du travail et la dynamique de développement des actes chirurgicaux et des équipements médicaux modernes aux normes internationales.
Il a aussi fait savoir que cette clinique oeuvre à contrôler l’intervention chirurgicale sur des problèmes de santé complexes, en particulier la chirurgie laparoscopique, la chirurgie orthopédique et la pose de prothèses.
Pour la première fois, les staffs médicaux de cette clinique relevant de la CNAS, unique dans son genre au niveau national, ont réussi avec succès, en 2017, environ 22 interventions chirurgicales de réadaptation de la scoliose et la pose de 10 prothèses de membranes complètes de l’épaule.
En outre, 62 patients ont bénéficié de l’installation de prothèses de la hanche, 15 prothèses complètes de genou, a ajouté le directeur général de la CNAS relevant du ministère du Travail, de l’Emploi et de la Sécurité sociale.
La même clinique, qui aspire à décrocher au courant du premier semestre de l’année prochaine 2019 la certification ISO 9001 de la qualité, a effectué environ 900 interventions chirurgicales.
Cette rencontre, organisée par la Direction générale de la CNAS sous le slogan « l’Insertion sociale professionnelle: objectif et détermination » au profit des professionnels de la santé, a vu la participation de 170 professionnels traitant de médecine du travail, de prévention, de chirurgie, de réadaptation, de médecine physique et d’anesthésie, entre autres.
The post Programme de prise en charge sanitaire des assurés sociaux du Sud appeared first on .
Devant l’Espagne au tableau d’affichage à la fin du temps réglementaire, le Maroc a finalement encaissé un but dans les arrêts de jeu sur une Madjer de Iago Aspas.
Un but d’abord refusé pour une position de hors-jeu puis validé grâce à l’assistance vidéo et qui permet aux Espagnols de décrocher le nul (2-2) comme l’indique Maxifoot. A la fin de la rencontre, le Marocain Nordin Amrabat a lancé un message sur la VAR devant la caméra.
« VAR is a bullshit (c’est de la m…) », pouvait-on lire sur les lèvres du joueur, qui mimait le désormais célèbre rectangle. Décidément, la VAR ne fait pas l’unanimité dans ce Mondial.
The post Maroc : Amrabat insulte la technologie VAR (Vidéo) appeared first on .
De nouvelles actions de coopération dans le domaine de l’éducation à la santé sont envisagées par l’Université d’Oran 1 « Ahmed Benbella » avec la Chaire de l’Organisation des Nations unies pour l’éducation, la science et la culture (UNESCO), a-t-on appris lundi des responsables de cet établissement d’enseignement supérieur.
L’élargissement de la coopération a été abordé par le recteur, Abdelbaki Benziane et le titulaire de la Chaire UNESCO « EducationS et Santé », Didier Jourdan, a précisé le vice-recteur Smaïn Balaska, chargé des relations extérieures et de la coopération, dans un communiqué à l’APS.
Les entretiens entre MM. Benziane et Jourdan se sont tenus, en marge d’un séminaire organisé par l’Université d’Oran 1 sous le thème générique « Recherches sur la prévention et l’éducation à la santé : enjeux épistémologiques et méthodologiques ».
Les discussions ont été axées sur « les modalités de mise en oeuvre de nouvelles actions de coopération telles que l’encadrement en co-tutelle de thèses de doctorat et de stages », a-t-on indiqué de même source.
Les représentants des deux parties partenaires ont également évoqué « l’opportunité d’organiser un colloque international dans le domaine de l’éducation à la santé et de la prévention en milieux professionnels en Algérie ».
Clôturé lundi au terme de deux journées d’activités, le séminaire de l’Université d’Oran 1 s’inscrit dans la volonté de cet établissement et de la Chaire UNESCO « EducationS et Santé » à développer des « actions conjointes de partenariat », a-t-on souligné.
« Cette manifestation, qui relève directement des dispositifs de formation et de transfert de connaissances de cette Chaire, s’est donnée pour objectif d’assurer, par l’intervention du Pr. Jourdan, qui en est le titulaire, le transfert des connaissances dans le domaine de la prévention de la santé », a-t-on indiqué.
La rencontre a réuni plusieurs chercheurs et doctorants de la faculté de Médecine d’Oran, de la faculté des Sciences de la nature et de la vie, du Groupe de recherche en anthropologie de la Santé (GRAS) et de l’Agence thématique de recherche en sciences de la santé (ATRSS).
Des spécialistes de l’éducation ont également pris part aux travaux qui se sont articulés autour de trois axes principaux abordant « les méthodologies », « la définition des approches » et « les méthodes mixtes pour la recherche en éducation et santé publique ».
The post Education à la santé: l’Université d’Oran 1 étoffe sa coopération avec la Chaire UNESCO appeared first on .
Cinq (5) personnes ont trouvé la mort et 4 autres ont été blessées dans des accidents de la route, survenus au cours des dernières 24 heures, dans plusieurs régions du pays, indique lundi un bilan des services de la Protection civile.
La wilaya de Bejaia déplore le bilan le plus lourd avec le décès de 2 personnes alors qu’une autre a été blessée, suite à un accident survenu sur la RN 9, dans la commune d’Aokas.
Par ailleurs et durant la même période, les secours de la Protection civile sont intervenus pour repêcher les corps sans vie de 6 personnes décédées par noyade, sur des plages, dans des mares d’eau, ou des barrages, dans plusieurs wilayas.
The post Accidents de la circulation: 5 morts et 4 blessés en 24 heures appeared first on .
Hervé Renard, le sélectionneur du Maroc, peut avoir des regrets. Les Lions de l’Atlas ont également manqué d’expérience selon le sélectionneur :
« On aurait mérité de jouer ce dernier match pour disputer notre qualification. Je crois qu’on a été victime d’une grande injustice face au Portugal. C’est comme ça. On a fait trois bons matches. Comme ça faisait 20 ans qu’il ne s’était pas qualifié, peut-être que le Maroc devait passer par là pour apprendre. Moi aussi j’ai appris. C’était ma première Coupe du Monde. Il faut savoir reconnaître qu’on a parfois manqué d’expérience » s’est exprimé le Français à beIN Sports après la rencontre et comme rapporté par Footmercato.
The post Maroc – Renard : « On a fait trois bon matchs, mais c’est comme ça… » appeared first on .
Mais il devrait également y avoir du mouvement dans le sens des départs. France Football et Footmercato.net expliquent que Rachid Ghezzal (26 ans) et Baldé Keita (23 ans) pourraient quitter la Principauté cet été.
En effet, l’international algérien (13 sélections, 1 but), titulaire sept fois seulement en Ligue 1 la saison passée, se poserait des questions sur son avenir, tandis que l’attaquant sénégalais (18 capes, 3 réalisations), actuellement au Mondial en Russie, pourrait lui être vendu par l’ASM en cas de belle proposition, lui qui avait été recruté pour 30 M€ environ à la Lazio Rome l’été dernier. Ça va bouger à Monaco !
The post Monaco : Ghezzal déjà sur le départ ? appeared first on .
Das britische Parlament hat nach jahrelanger kontroverser Diskussion grünes Licht für die Erweiterung von Europas grösstem Flughafen London-Heathrow gegeben.
Der Flughafen London-Heathrow erhält eine dritte Startbahn! 415 Abgeordneten stimmten am Montag im britischen Parlament für den Ausbau des Flughafens, 119 Abgeordnete sprachen sich dagegen aus.
Begleitet wurde die Abstimmung von harter Kritik. Der Londoner Bürgermeister Sadiq Khan sagte, er werde gerichtlich gegen den Ausbau des Flughafens vorgehen. «Die Regierung treibt die falsche Option voran, was zu einem untolerierbaren Lärmpegel und einer schlechteren Luftqualität führt», schrieb er auf dem Kurznachrichtendienst Twitter.
Projekt erhielt dank Brexit Auftrieb
Baubeginn des Projekts im Volumen von derzeit angesetzten rund 17 Milliarden Franken soll nach bisheriger Planung 2021 sein. Die Inbetriebnahme ist für 2026 vorgesehen. Es wäre das erste Mal seit 70 Jahren, dass im Grossraum London eine neue Rollbahn in einer Länge gebaut würde, die allen Flugzeugtypen Starts und Landungen erlaubt. Das Vorhaben wird seit Jahrzehnten kontrovers diskutiert.
Zuletzt hatten die Ausbau-Pläne durch das Argument Auftrieb erhalten, dass Grossbritannien nach einem Brexit seine Infrastruktur für den internationalen Handel verbessern müsse. (SDA)
General view of the plenary session of the World Conference on “Religions, Creeds and Value Systems: Joining Forces to Enhance Equal Citizenship Rights”, held June 25 in Geneva, with the participation of the director general of the IOM, William Swing, as a special guest. Courtesy of the GCHRAGD
By Gustavo Capdevila
GENEVA, Jun 25 2018 (IPS)
The world is “basically at odds with itself,” International Organisation for Migration (IOM) Director General William Swing said Monday, June 25, describing the critical state of human migration between countries and continents.
“I have to say that we are not only living in turbulent and troubled times; I have never known a world such as the one we have today,” said the veteran U.S. diplomat who this year ends his second four-year term at the helm of the IOM.
Swing was addressing the first World Conference on “Religions, Creeds and Value Systems: Joining Forces to Enhance Equal Citizenship Rights”, organised by the Geneva Centre for Human Rights Advancement and Global Dialogue (GCHRAGD), which brought together academics and religious and political leaders on June 25 in Geneva."We have, in addition to that, more people on the move than at any other time in recorded history, owing to the demographic oddity that the world’s population quadrupled in the last century." -- William Swing
Swing’s warnings come at a time when the European Union is trying, so far in vain, to come up with a common policy with regard to the arrival of thousands of immigrants each week, and when U.S. President Donald Trump is not abandoning his government’s policy of separating immigrant children – more than 2,000 so far – from their undocumented parents – a procedure widely described not only as “cruel” but as “torture”.
“I’m not aware of any significant negotiations or political processes underway right now, and with all of this, we have a countercyclical reaction by the world community — basically, fear of the other, anti-migrant and anti-refugee sentiment, that not only is putting human life at stake but denying us the contributions these migrants make,” Swing said.
“So my first point is: I believe that we are in the middle of a perfect storm. We have a dozen conflicts from the western bulge of Africa to the Himalayas, with absolutely no hope in the short and medium term of resolving any of these,” he added.
The IOM head also said: “We have, in addition to that, more people on the move than at any other time in recorded history, owing to the demographic oddity that the world’s population quadrupled in the last century.”
“Unfortunately, while most of this is occurring regularly, orderly and safely, we have at least 65 million people who have been forced to move,” Swing stressed.
Furthermore, he said, “We have the impact of violations of international humanitarian law on all sides, a serious decline of international law of tort…and an absence of any leadership on the major issues.”
The GCHRAGD, where Swing was speaking, is an institution under the patronage of Prince El Hassan bin Talal of Jordan.
Bin Talal gave the opening speech at the global conference, in which some 50 religious leaders from the world’s different religions and faiths, as well as international experts on migration, participated.
The prince said that “Together we can share the responsibility of challenging conventional thinking about the underlying causes of loss of human dignity, marginalisation and oppression.”
The conference, held at the Palais des Nations in Geneva, was a contribution to the celebration of the 70th Anniversary of the United Nations Universal Declaration on Human Rights, and approved a global 10-point strategic plan to achieve its aim of promoting equal citizenship rights.
One of the strategic points in the plan, which will be presented to different U.N. bodies, is “To preserve the diverse ethnic, cultural and religious heritages of transit and host countries, while, at the same time, offering opportunities for integration to arriving refugees and migrants.
“The aim is to promote mutual contributions and respective resilience, thus avoiding forced assimilation of migrants, refugees and internally displaced persons, in line with the proviso set forth in Sustainable Development Goal 16 of the 2030 Agenda for Sustainable Development,” the declaration states.
The IOM director general approved the incorporation of this proposal in the conference’s strategic plan.
“It seems that (the document) underlines the importance of respecting diversity and promoting the contributions that migrants and refugees have generally made,” Swing told IPS.
“And I’m very pleased to see that it deals with the question of integration, which is at the heart of the issue. And very often people get there and they’re not properly integrated. So I think that’s important,” he emphasised.
During the conference, Swing criticised those who ignore the contributions to society made by immigrants.
He noted, for example, that a study by the IOM and the McKinsey Global Institute “determined that although only 3.5 percent of the world’s population are migrants, they are producing nine percent of global wealth measured in GDP terms, which is four percent more than if they had stayed at home.”
“So, if we’re in a storm, we need to find the high ground. We do this by following the teaching of all faiths, that men, women and children are all children of God and members of the universal family,” Swing told the religious leaders drawn together by the GCHRAGD.
“If we are to prevent future storms, we obviously have to make some changes. We have three challenges, in my view. Number one, is the challenge of changing the public narrative, which, right now, is toxic. We’ve become used to building walls rather than bridges….Until we can change that narrative, people will continue to be abused and have their rights disrespected,” he said.
The second challenge, he added, is the challenge of demography. With a rapidly declining population, the global north “is in need of skills and persons to do the jobs. At the same time, we have a rapidly expanding largely unemployed youthful population in the global south — the median age in Africa is 25, while in Europe it is 50.”
“That has to be addressed through programmes of public education and public information,” Swing recommended.
Lastly, “we have to learn to address the challenge of inexorably growing ethnic, cultural, religious and linguistic diversity,” he said.
“…I would simply leave you with the message that movement of people, human mobility, is not an issue to be resolved, it is a human reality, as old as humankind, that has to be managed,” he concluded.
The post Unprecedented Human Migration Cries Out for a Global Response appeared first on Inter Press Service.
Cet article Huit pays adhèrent à l’initiative européenne d’intervention d’E. Macron. La lettre d’intention signée est apparu en premier sur Bruxelles2.
Mal nur zu zweit in die Ferien fahren und die Kids woanders unterbringen – immer mehr Eltern nehmen sich mal eine Auszeit. Sie sind keine Rabeneltern, sagen Fachleute.
«Ferien, in denen Sie alles vergessen» – der Werbeslogan des Schweizer Ferienanbieters Kuoni hat längst Kultcharakter. So weit muss es ja nicht gehen, wenn Eltern einmal ohne ihre Kinder verreisen. Das tun sie nämlich immer öfter, wie Erziehungsfachleute feststellen. Und die finden es überhaupt nicht falsch.
Geben Eltern den Nachwuchs in den Ferien zu Verwandten, können beide Seiten profitieren, sagt Elterncoach Anna Flury Sorgo (58) aus Chur. Für die Sprösslinge, weil sie «Erfahrungen mit anderen Leuten machen können». Für die Eltern, weil sie «die Zeit zu zweit geniessen, sich der Partnerschaft widmen und sich erholen» können.
Selbständigkeit fördernDie Familienpsychologin Irene Fleischmann (54) aus Winterthur ZH sieht sogar einen pädagogischen Wert: «Die Kinder lernen, sich an anderen Orten als daheim wohlzufühlen. Ihnen wird bewusst, dass nicht alle Bedürfnisse von den Eltern allein erfüllt werden müssen.» Bekommt ein Kind beispielsweise gerne Gute-Nacht-Geschichten vorgelesen und die Eltern machen das nicht so gern, könne es auch in der Verwandtschaft jemand übernehmen.
Einzelkinder profitieren besonders von Ferienlagern, wo sie soziale Fähigkeiten lernen. «Es tut ihnen gut, einmal nicht das einzige Kind zu sein und neue Freunde kennenzulernen», sagt Claudia Haag (34), Psychotherapeutin in Zürich. So lernten Kinder Selbständigkeit.
Zwang ist aber keine LösungAnders ist es allerdings, wenn das Kind partout weder zu den Grosseltern noch ins Pfadilager will. Dann gibts Stress – der aber kein Drama sein muss, sagt Anna Flury Sorgo. Meist finde sich das Kind nach dem Abschied schnell ohne Eltern zurecht und finde Ferien ohne Eltern sogar super.
Ab welchem Alter man das Kind abgebe, solle man nach Gefühl entscheiden. «Ein- bis Zweijährige können ruhig mehrere Tage bei einer vertrauten Bezugsperson sein. Vier- bis fünfjährige Kinder sehen die Grosseltern, Gotti oder Onkel wahrscheinlich sowieso schon regelmässig und wollen von sich aus bei ihnen übernachten», so Flury Sorgo.
Die Expertinnen betonen aber auch: Wehrt sich das Kind mit Händen und Füssen, dann müssen Eltern dies ernst nehmen und herausfinden, warum es so ist. Vielleicht mag das Kind die Person nicht, zu der es in die Ferien soll. Oder es hat generell Mühe mit Abschiednehmen und Loslassen.
Das Kind zu zwingen, sei keine Lösung, betont Claudia Haag. Aber ab einem gewissen Alter könne man gegen den Willen des Kindes entscheiden. «Es muss lernen, selbständig zu werden. Und es kann auch nicht sein, dass die Pläne der Familie vom Kind kommandiert und bestimmt werden.»
Mal nur zu zweit in die Ferien fahren und die Kids woanders unterbringen – immer mehr Eltern nehmen sich mal eine Auszeit. Sie sind keine Rabeneltern, sagen Fachleute.
«Ferien, in denen Sie alles vergessen» – der Werbeslogan des Schweizer Ferienanbieters Kuoni hat längst Kultcharakter. So weit muss es ja nicht gehen, wenn Eltern einmal ohne ihre Kinder verreisen. Das tun sie nämlich immer öfter, wie Erziehungsfachleute feststellen. Und die finden es überhaupt nicht falsch.
Geben Eltern den Nachwuchs in den Ferien zu Verwandten, können beide Seiten profitieren, sagt Elterncoach Anna Flury Sorgo (58) aus Chur. Für die Sprösslinge, weil sie «Erfahrungen mit anderen Leuten machen können». Für die Eltern, weil sie «die Zeit zu zweit geniessen, sich der Partnerschaft widmen und sich erholen» können.
Selbständigkeit fördernDie Familienpsychologin Irene Fleischmann (54) aus Winterthur ZH sieht sogar einen pädagogischen Wert: «Die Kinder lernen, sich an anderen Orten als daheim wohlzufühlen. Ihnen wird bewusst, dass nicht alle Bedürfnisse von den Eltern allein erfüllt werden müssen.» Bekommt ein Kind beispielsweise gerne Gute-Nacht-Geschichten vorgelesen und die Eltern machen das nicht so gern, könne es auch in der Verwandtschaft jemand übernehmen.
Einzelkinder profitieren besonders von Ferienlagern, wo sie soziale Fähigkeiten lernen. «Es tut ihnen gut, einmal nicht das einzige Kind zu sein und neue Freunde kennenzulernen», sagt Claudia Haag (34), Psychotherapeutin bei der Jugendseelsorge Zürich. So lernten Kinder Selbständigkeit.
Zwang ist aber keine LösungAnders ist es allerdings, wenn das Kind partout weder zu den Grosseltern noch ins Pfadilager will. Dann gibts Stress – der aber kein Drama sein muss, sagt Anna Flury Sorgo. Meist finde sich das Kind nach dem Abschied schnell ohne Eltern zurecht und finde Ferien ohne Eltern sogar super.
Ab welchem Alter man das Kind abgebe, solle man nach Gefühl entscheiden. «Ein- bis Zweijährige können ruhig mehrere Tage bei einer vertrauten Bezugsperson sein. Vier- bis fünfjährige Kinder sehen die Grosseltern, Gotti oder Onkel wahrscheinlich sowieso schon regelmässig und wollen von sich aus bei ihnen übernachten», so Flury Sorgo.
Die Expertinnen betonen aber auch: Wehrt sich das Kind mit Händen und Füssen, dann müssen Eltern dies ernst nehmen und herausfinden, warum es so ist. Vielleicht mag das Kind die Person nicht, zu der es in die Ferien soll. Oder es hat generell Mühe mit Abschiednehmen und Loslassen.
Das Kind zu zwingen, sei keine Lösung, betont Claudia Haag. Aber ab einem gewissen Alter könne man gegen den Willen des Kindes entscheiden. «Es muss lernen, selbständig zu werden. Und es kann auch nicht sein, dass die Pläne der Familie vom Kind kommandiert und bestimmt werden.»
ZÜRICH - Im Schnitt wurde 2017 in der Schweiz eine neue Stiftung pro Tag errichtet. Die Hälfte aller gemeinnützigen Stiftungen ist in den letzten 20 Jahren entstanden. Punkto Stiftungsdichte hat die Schweiz einen internationalen Spitzenplatz. BLICK erklärt, wie es dazu kam und was wir davon haben.
Stille liegt über der Musikinsel Rheinau. Gespannt folgen die Aktionäre den Ausführungen der Geschäftsleitung. Die Zahlen stimmen, die Eigentümer sind zufrieden. Was nach der Generalversammlung einer beliebigen Firma aussieht, ist der Höhepunkt der Wirtschaftswoche im Kanton Schaffhausen.
Über 140 Kantonsschüler und Lernende haben eine Woche lang das Wirtschaftsleben geübt, ihre eigene Firma geführt und am Markt bestanden. Gefördert werden die Wirtschaftswochen, in der ganzen Schweiz, von der Ernst Schmidheiny Stiftung.
«Jeder sollte verstehen, was die Wirtschaft macht und warum wir sie brauchen», sagt Geschäftsführerin Ann-Veruschka Jurisch (46). «Das ist gerade in der direkten Demokratie sehr wichtig.» 1,2 Millionen Franken setzt die Stiftung jährlich dafür ein.
Die Stiftung der Industriellenfamilie ist nur eine von insgesamt 13'129 gemeinnützigen Stiftungen, die Ende 2017 in der Schweiz existierten. 364 kamen im letzten Jahr hinzu – eine Stiftung pro Tag. Die grösste und bekannteste ist die Jacobs Stiftung. In den Stiftungen steckt ein Vermögen von fast 100 Milliarden Franken. Das ist ein Rekord, wie der Stiftungsreport 2018 zeigt.
Stiftungen sind ein wichtiger Wirtschaftsfaktor, sagt Experte Georg von Schnurbein (41): «Die Stiftungen müssen viele Gelder anlegen. Sie sind eine wirtschaftliche Kraft, die im Einzelfall sehr bedeutend sein kann.» Unter anderem für Banken, denn Stiftungen seien langfristige Anleger, so Schnurbein, der an der Universität Basel das Stiftungswesen erforscht und mit dem Verband Swiss Foundations den Stiftungsreport herausgibt.
Stiftungsvermögen steigt um ein DrittelRund 2,5 Milliarden Franken schütten die Stiftungen pro Jahr aus. Das ist die Rendite aus den exakt 97,4 Milliarden Franken Stiftungsvermögen – über ein Drittel mehr als bei der letzten Berechnung vor sechs Jahren. Dieser Zuwachs hat mit den zahlreichen Neugründungen und den guten Börsenjahren zu tun, erklärt Schnurbein im Gespräch mit BLICK: «Wer eine Stiftung gründen will, braucht frei verfügbares Geld. Das ist meist dann vorhanden, wenn die Aktienmärkte boomen.» In Zeiten fallender Börsenkurse seien Stifter eher zögerlich.
Dieses Geld fliesst in soziale, kulturelle oder naturschützerische Projekte und immer häufiger auch zurück in die Wirtschaft: «Stiftungen mit dem Zweck Wirtschaftsförderung sind eher jüngeren Datums», so Schnurbein. Sitftungszwecke gibt es viele, die Motive der Stifterinnen und Stifter gleichen sich: Sie wollen etwas von dem mit ihren Unternehmen erwirtschafteten Geld der Gesellschaft zurückgeben, Dankbarkeit ist ein häufig genanntes Motiv. Der amerikanische Grundsatz: «Tue Gutes und sprich darüber», ist in der Schweiz nicht weit verbreitet. Schweizer Stifter halten sich vornehm im Hintergrund – oder sind verstorben. Sofern eine Stiftung als gemeinnützig anerkannt ist, muss sie weder Gewinn- noch Vermögenssteuern bezahlen.
Basel-Stadt hat hohe StiftungsdichteIm Schnitt kommen in der Schweiz 15,6 Stiftungen auf 10'000 Einwohner – eine Stiftungsdichte, die in Europa fast einmalig ist. Die Stiftungen sind allerdings nicht gleichmässig über die Kantone verteilt. Obenaus schwingt der Kanton Basel-Stadt, ein kleiner Kanton mit wenigen Einwohnern, aber vielen wohlhabenden Persönlichkeiten und einer langen Stiftungstradition. Doch die Finanzplätze Zürich, Genf und Zug holen dank zahlreichen Neugründungen rasant auf. Die Banken haben die Zürcher reich und einige von ihnen stiftungsbereit gemacht!
Da aber sehr viele Menschen hier leben, ist die Stiftungsdichte in Zürich trotz der höchsten Zahl Stiftungen unterdurchschnittlich. In Genf stiften reiche Russen, in Zug die Krypto-Könige. Die Stiftung hat sich als Rechtsform für die Umsetzung der Blockchain-Technologie bewährt. In Graubünden oder dem Tessin locken nicht nur landschaftliche Reize den ausländischen Geldadel, sondern auch das günstige Steuerklima für Stifter.
Das Geld, das aus den Stiftungen in die Wirtschaft fliesst, hat eine enorme Hebelwirkung. Ein Beispiel ist die Plattform Venture Kick, an der sich auch die Gebert Rüf Stiftung beteiligt. Venture Kick hat in den letzten zehn Jahren über 500 Jungunternehmen gefördert, die insgesamt über 5000 Jobs geschaffen haben. Die meisten Jungunternehmen haben die Gründungsphase überlebt. Stiftungsgeld lockt potente Investoren an: Jeder Stiftungsfranken generierte 91 Franken an zusätzlichen Investitionen aus der Privatwirtschaft!
Welchen Weg Kantonsschüler und Lernende einschlagen, ist völlig offen. Vielleicht wird eines Tages der eine oder die andere bei Venture Kick anklopfen, ein Start-up gründen und ein Vermögen machen, das dann wieder in einer Stiftung landet.
«Tausendmal berührt, tausendmal ist nichts passiert. Tausend und eine Nacht, und es hat Zoom gemacht.» Jeder kennt den Hit von Klaus Lage, viele waren schon in derselben Lage. Man kennt jemanden seit einer halben Ewigkeit und merkt plötzlich: Hey, da könnte doch noch sehr viel mehr sein. Liebe auf den zweiten Blick birgt viel Potenzial für eine lang andauernde Beziehung. Doch es drohen auch Fallstricke und perfide Abgründe.
Alpentainer Marc Trauffer (39) befindet sich zurzeit im Steilflug, nicht nur musikalisch. Diesen Frühling hat es zwischen ihm und der Texterin Brigitte Schöb (39) gefunkt. «Im März begann ich zu realisieren, wie sehr ich Brigitte liebe und wie fest ich ihr vertraue», sagt der Berner Musiker gegenüber BLICK. Speziell: Die beiden kennen sich schon seit 18 Jahren – sind aber erst jetzt zusammengekommen.
Doch wie ist es möglich, dass Anziehung nicht auf Anhieb da ist? Für Psychologin und BLICK-Sexberaterin Caroline Fux (37) eine falsche Frage. «Es sollte eher heissen: Wieso kann das nicht sein? Menschen und Lebensumstände ändern sich, und damit es mit einer Beziehung klappt, müssen viele Punkte stimmen.» Doch brauche es auch nicht zwingend eine grosse Veränderung. «Oft reicht ein Perspektivenwechsel, und plötzlich sieht man eine Situation oder eine Person mit ganz anderen Augen.» Eine Beschreibung, die auf Trauffer und Schöb passt. Diesen Januar hat sich der Hitsänger von seiner damaligen Freundin getrennt. «Im Frühling waren Brigitte und ich Single. Wir konnten unsere Gefühle frei entfalten.»
«Sie hat mir die Tränen getrocknet»Die beiden Frischverliebten sind bei weitem kein Einzelfall. Hausi Leutenegger (78) verlor 2006 seine Ehefrau Elfriede (†62). «Anita war damals eine gute Freundin, sie hat mir die Tränen getrocknet», erinnert sich der charismatische Unternehmer. «Später ist daraus eine tiefe Liebe gewachsen.» 2011 heiratete der Multimillionär Anita Steiner (62).
Das «Tagesschau»-Traumpaar Katja Stauber (55) und Florian Inhauser (49) lernte sich bei der Arbeit kennen. «Wir haben uns nett gefunden. Wie man nette Kollegen eben nett findet.» Erst nach Inhausers England-Korrespondenzzeit funkte es 2007, ein Jahr später folgte die Hochzeit.
Getrennt nur durch einen Teich und eine Strasse2017 heirateten Ex-Nati-Coach Köbi Kuhn (74) und Jadwiga Cervoni (62). Die beiden kannten sich seit vielen Jahren, waren Nachbarn in Birmensdorf ZH, getrennt nur durch einen Teich und eine Strasse. Nach dem Tod von Kuhns Ehefrau Alice 2014 war ihm Cervoni Trost und Stütze, später kam die Liebe.
Sind die Chancen auf Stabilität grösser, wenn man sich seit längerem kennt? «In der Phase der rauschenden Verliebtheit kann man sich wahnsinnig viel vormachen», sagt Fux. «Man interpretiert irgendwelche Kleinigkeiten als schicksalhaft, blendet Unliebsames aus oder redet Wünschenswertes herbei.»
«Das Unerwartete finden und annehmen»Dass Liebe auf den zweiten Blick nicht immer hinhaut, belegen Francine Jordi (41) und Florian Ast (43). Sie landeten 2002 mit «Träne» einen Riesenhit und kamen sich knapp zehn Jahre später durch das Duett-Album «Lago Maggiore» näher. Im Juni 2011 bestätigten sie ihre Liebe, ein Jahr später kam das Aus. «Die Idee, dass man den anderen schon kennt, kann auch zum Stolperstein werden.» Der generelle Rat von Caroline Fux für langes Liebesglück: «Man muss sich immer wieder gegenseitig entdecken können und das Unerwartete im anderen finden und annehmen.»
Les travaux de la seconde session ordinaire de la mairie de Malanville ont été boycottés par des conseillers communaux. La destitution du maire Dandakoé Inoussa serait à l'origine de la colère de certains conseillers qui ont abandonné la session ordinaire prévue pour démarrer ce lundi 25 juin 2018.
De sources proches de la mairie de Malanville, les travaux n'ont pu se tenir faute de quorum.
Au nombre des points inscrits à l'ordre du jour, figure une autorisation du conseil communal qui doit accorder une subvention de cinq millions de francs CFA aux producteurs pour le rétablissement de l'énergie électrique de la Sbee sur le périmètre rizicole
F. A. A.