Ayant boycotté le démarrage des deux championnats nationaux (Superdivision hommes et Nationale 1 dames) de volley-ball, les présidents des clubs, hormis le GS Pétroliers (H/D), réitèrent leur menace de boycotter la compétition tant que leurs doléances ne sont pas satisfaites par le ministère de la Jeunesse et des sports.
Lors de leur dernière réunion, à Béjaïa jeudi, les 22 présidents (9 sur 10 de la D1 dames, et 13 sur 14 Superdivision) donnent, cette fois-ci, un ultimatum à la tutelle jusqu’au 31 décembre prochain «pour trouver des solutions concrètes», faute de quoi, ils déclarent forfaits pour toute la saison. C’est ce qui a été décidé à l’unanimité jeudi. «Au cours de notre réunion de jeudi à laquelle ont pris part les 22 présidents, nous avons d’abord désigné une commission des représentants des clubs qui a décidé de maintenir la décision de ne pas entamer les championnats jusqu’à satisfaction de nos revendications», a souligné Farès Kabla, porte-parole de la commission et président du NC Béjaïa sur les colonnes de Planète Sport.
«Nos revendications sont toujours les mêmes, à savoir un budget équitable pour tous les clubs et un sponsor qui prendra en charge les championnats. Cette fois-ci, nous avons évoqué un 3e point qui est le délai accordé à la tutelle jusqu’au 31 décembre pour trouver des solutions concrètes à nos problèmes. Passé ce délai, si nous n’avons aucune solution claire et concrète, nous sommes prêts à déclarer forfait pour toute la saison». La commission compte également demander une nouvelle audience au ministère de la Jeunesse et des sports cette semaine pour tenter de trouver une issue à cette impasse.
Pour sa part, le président de la Fédération algérienne de volley-ball (FAVB), Mustapha Lemouchi, appelle les présidents des clubs à assumer leurs responsabilités. «Les clubs nous ont certes envoyé des correspondances expliquant que la décision de ne pas jouer a été prise à cause d’un problème financier et que les subventions qu’ils reçoivent n’étaient pas suffisantes. Nous avons fait de notre mieux pour les sensibiliser, mais ils refusent toujours. Maintenant, que chacun assume ses responsabilités et ses actes», a-t-il déclaré. Programmée les 23 et 24 novembre, la première journée a été boudée par les clubs, hommes et dames. La Fédération algérienne de volley-ball devrait probablement reprogrammer la 1re journée pour ce week-end en dépit du refus des présidents d’entamer la compétition.
Ahmed Ammour
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Après une fin de la phase aller en queue de poisson, en glanant 3 points sur 12, soit trois défaites sur quatre matchs dont la dernière vendredi dernier devant le CA Bordj Bou-Arréridj, en match comptant pour la 15e journée, le staff technique de la JS Kabylie a libéré les joueurs pour une semaine de repos avant de reprendre dimanche 2 décembre. Une petite halte de huit jours bien méritée qui permettra aux joueurs de se ressourcer auprès de leurs familles et de revenir en force en prévision de la phase retour du championnat.
Franck Dumas, qui est rentré chez lui, en France, pour une petite semaine, sera de retour également dimanche avant de s’envoler avec ses joueurs pour le Maroc pour un stage de huit jours. Au retour du Maroc, les Canaris entameront la compétition avec les 32es de finale de la Coupe d’Algérie programmés les 18 et 19 décembre prochain et les 16es de finale les 25 et 26 du même mois. La JSK, finaliste malheureux de la dernière édition, espère terminer la saison en beauté en passant les deux premiers tours de Dame Coupe.
Ahmed A.
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L’ailier international algérien de Manchester City Riyad Mahrez «doit bien jouer» pour pouvoir concurrencer les autres joueurs à l’image de Raheem Sterling, a affirmé l’entraîneur espagnol des «Citizens», Pep Guardiola. «Mahrez doit bien jouer parce que Sterling est là et vice versa. La même chose avec Otamendi, il doit rivaliser avec Laporte et John. J’ai la chance d’être le manager. L’équipe doit rivaliser si elle veut jouer», a affirmé Guardiola samedi à l’issue de la victoire sur le terrain de West Ham (4-0). Titularisé lors des derniers matchs de Man City, dont le derby face à United (3-1), Mahrez a été relégué sur le banc des remplaçants face aux «Hammers». Il a fait son apparition en seconde période (75e) en remplacement de Sterling, auteur d’un but à la 19e minute de jeu.
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Le nouveau président de la fédération algérienne de cyclisme (FAC) sera élu le 15 décembre pour succéder à M. Mabrouk Kerboua qui a démissionné de son poste début novembre pour des raisons «personnelles et de santé». Une date fixée samedi à l’issue des travaux de l’assemblée générale extraordinaire qui s’est déroulée au Complexe Ghermoul.
Au cours de cette AGEx, les 29 membres de l’assemblée générale présents sur les 36, ont désigné les membres des commissions de candidatures et de recours en présence du représentant du ministère de la Jeunesse et des sports. Il a été également décidé lors de cette AGE que le dernier délai de dépôt de candidatures est fixé au 3 décembre à 16h, alors que le dernier délai des recours est le 5 du même mois à 16h. La commission des candidatures est composée de Rachid Fezouine, Dine Bouyakor et Toufik Aïssaoui, tandis que celle des recours est formée de Yassine Boumezreg, Abdelali Chabou et Tahar Dahou, a indiqué la FAC.
Pour rappel, deux noms potentiels sont d’ores et déjà annoncés comme candidats à la succession du président démissionnaire. Il s’agit de Barbari Kheïreddine, membre du bureau fédéral de ladite fédération, et Douzi Smaïl, directeur technique sportif du GS Pétroliers.
Ah. A.
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Des chants de victoire ont, une nouvelle fois, retenti hier aux portes du tribunal d’Alger : les derniers détenus dans l’affaire dite de «cybercriminalité», ayant entraîné l’arrestation de journalistes, comédien, footballeur et présentateur TV, ont été libérés. Le dossier peut-il, cependant, être considéré comme étant clos ?
Abla Chérif – Alger (Le Soir) – Tenue en haleine de longues semaines durant, l’opinion publique suit avec grand intérêt les déclarations des mis en cause. Face aux caméras des télévisions venues couvrir l’évènement, ils n’éprouvent aucune crainte à informer les Algériens que leur incarcération fait suite à des décisions entrant le cadre de desseins qui les dépassent. Des avocats de renom et d’autres venus de diverses régions du pays se sont mobilisés de manière incroyable pour obtenir leur libération et démontrer à leur tour l’inconsistance des dossiers de leurs clients. Des faits graves ont été ainsi révélés au grand jour.
Durant le procès du responsable du site électronique Algérie Part et d’un journaliste de ce média, la défense a informé le juge que les mis en cause ont été convoqués par téléphone par la brigade de gendarmerie de Bab Ejdid et que ces derniers ont été placés en garde à vue sur la base d’une plainte déposée… trois heures plus tard. «L’action publique a été déclenchée avant le dépôt de plainte», insistent les avocats. Ces derniers relèvent également que ces plaintes, émanant officiellement du directeur de la chaîne Ennahar et du wali d’Alger, ont été déposées par des tierces personnes et qu’elles étaient, de ce fait, irrecevables. Les deux journalistes ont été, quant à eux, présentés à l’opinion comme étant auteurs d’opérations de «chantage et atteinte à la vie privée» via leur site électronique. Durant leur procès, la lecture des charges retenues à leur encontre démontrait tout autre chose : l’incrimination se basait sur des articles mettant en cause les plaignants.
Il y a quatre jours, un autre journaliste libéré, responsable du site Dzaïr Press, annonçait à sa sortie de prison avoir été «torturé dans la brigade de gendarmerie de Bab Ejdid». Son avocate a pris le relais quelques heures après. S’exprimant sur la chaîne de télévision Echourouk, elle soutient que son client a été «maltraité et torturé» au sein de cette «brigade où s’est déroulée l’instruction». Elle tient également à rectifier publiquement les informations faisant état de «chantage, pressions et atteinte à la vie privée d’autrui» et affirme que Adlène Mellah avait été, en fait, poursuivi pour délit de presse et que cette charge n’était pas privative de liberté.
Comme les trois journalistes, d’autres noms connus ont été placés en détention provisoire : le comédien Kamel Bouakkez, le footballeur Fodil Dob, un présentateur TV, un rappeur et le frère d’un facebookeur (Amir DZ) ont tous été arrêtés après un passage à la brigade de gendarmerie de Bab Ejdid. Hier, ils ont été mis en liberté provisoire avant même que leur procès ne se déroule. Le tribunal de Sidi M’hamed a décidé qu’il se tiendra le 24 février prochain. La réputation de la gendarmerie en prend en coup sévère. Les éléments relevés par la cinquantaine d’avocats mobilisés dans cette affaire ont, dans chaque cas, dénoncé des enquêtes bâclées, des défauts de procédure importants et d’autant plus incompréhensibles qu’ils sont le fait d’un organisme connu pour être fin procédurier.
Que s’est-il donc passé cette fois pour que des erreurs aussi graves et aussi facilement démontables puissent se produire ? Telle qu’elle se présente, cette situation a été inévitablement liée aux évènements en cours sur la scène politique nationale et donné lieu à de lourdes interrogations. La gendarmerie a-t-elle agi de manière autonome ? Se peut-il qu’elle ait subi des pressions qui l’ont poussée à commettre de telles erreurs ? Et de qui en même temps pourraient provenir de telles pressions ? Quoi qu’il en soit, l’image de cette institution organiquement rattachée au ministère de la Défense et donc sous le commandement du chef d’état-major et vice-ministre de la Défense est aujourd’hui ternie. Sa mise en cause dans une affaire de liberté d’expression et qui ne nécessitait nullement l’emprisonnement nous rappelle la triste réputation qui a été la sienne durant les évènements de Kabylie. Confrontée à des mouvements de masse qui refusaient sa présence, la gendarmerie s’est d’ailleurs réimplantée dans cette région il y a seulement quelques années. C’est dire à quel point son image s’est détériorée. Des sources bien au fait du dossier laissent entendre que cette situation inquiète grandement les plus hautes autorités du pays. Des mesures pourraient être prises et des sanctions tomber.
Les informations en cours accentuent, d’autre part, les rumeurs en cours sur un probable départ du chef de la gendarmerie pourtant récemment mis en place. Son prédécesseur, Menad Nouba, avait été arrêté et emprisonné durant un moment avant d’être remis en liberté pour «corruption», entre autres.
Cette affaire a mis également l’institution dans un état de fragilité. A travers le territoire national, les éléments de la gendarmerie se livrent à des tâches de haute importance pour résorber la criminalité dans le pays.
Le nouveau maillage ne limite plus ces actions au seul monde rural comme auparavant. Elles s’imbriquent inévitablement avec celles de la police. Dans certains domaines, tels que la cybercriminalité, elles se confondent ou se complètent sans pourtant obéir à la même hiérarchie. Faut-il donc réformer la gendarmerie ?
A. C.
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Coup de théâtre : Abdelaziz Bouteflika a procédé, hier, à la surprise générale, non pas à la désignation d’un remplaçant ou d’un intérimaire au poste de secrétaire général du Front de libération nationale qu’occupait Djamel Ould-Abbès, mais à la dissolution de l’ensemble des structures et instances dirigeantes du parti, issues du 10e congrès de juin 2015. Depuis hier, le FLN est confié à une «instance dirigeante» présidée par le président de l’Assemblée, Moad Bouchareb.
Kamel Amarni – Alger (Le Soir) – Une instance officiellement installée hier, au siège du parti à Hydra par le concerné lui-même, à savoir Moad Bouchareb. Sans détour, ce dernier annonce la couleur : «Conformément aux instructions de Son Excellence le président de la République, président du Front de libération nationale, monsieur Abdelaziz Bouteflika (…), il a été décidé la création d’une instance dirigeante du parti du Front de libération nationale sous la présidence de monsieur Moad Bouchareb.»
C’est donc à visage découvert que Bouteflika a choisi d’intervenir, directement, dans la gestion du FLN cette fois-ci. Certes, l’homme dirige le parti depuis 2004. Mais la seule fois où il a pris publiquement une décision au nom du parti, c’était à l’occasion du surprenant «bannissement» qu’il prononçait à l’encontre de l’ancien chef de gouvernement Abdelaziz Belkhadem, le 26 août 2014.
Dans ce même communiqué annonçant la création de l’instance dirigeante et signé par son«coordinateur» est également annoncée la composante de cette structure. «Le secrétariat de cette instance dirigeante est composé de mesdames et messieurs Leïla Tayeb, Mahmoud Guemama, Saïda Bounab, Mustapha Karim Rahiel, Samira Kerkouche et Saïd Lakhadari.»
Une composante qui tient compte de la parité hommes-femmes, de l’équilibre régional ainsi que du sacré quota réservé, inévitablement, aux anciens moudjahidine représentés, ici, par Leïla Tayeb et Mahmoud Guemama.
Dans ce même communiqué, qui équivaut décret présidentiel, sont annoncées deux autres grandes décisions pour le parti. On y lit, ainsi, que, d’abord, «il sera également mis en place une structure exécutive constituée de cadres du parti dont le nombre et la composition seront définis ultérieurement».
Ensuite, que «l’instance dirigeante du parti du Front de libération nationale a pour mission la préparation de la tenue d’un congrès extraordinaire à même de lui garantir un nouveau départ dans le cadre de l’unité, la cohésion et la solidarité à l’effet de promouvoir l’action militante et politique (…)»
Moad Bouchareb fera une révélation de taille, lors d’un point de presse en marge de la cérémonie d’installation : «L’instance exécutive remplacera toutes les autres structures et instances du parti.» A savoir, le bureau politique mais, surtout, le comité central qui est ainsi dissous de fait, ce qui est une véritable première dans l’histoire du parti.
Mis à part l’épisode de 2003, lorsque, pour contrer Ali Benflis, Bouteflika lançait l’opération d’invalidation du 8e congrès de mars de la même année, le comité central du FLN a toujours constitué l’instance clé du parti. Tous les changements, y compris des secrétaires généraux du parti, passaient obligatoirement par le comité central, même s’il ne s’agit, souvent, que de simples formalités, le CC ne faisant que valider et légitimer des décisions prises ailleurs qu’à Hydra.
D’où l’interrogation sur cette énigmatique dissolution du comité central, issu du 10e congrès de juin 2015, pourtant entièrement organisé à partir de la présidence et couronné par les lettres de félicitations respectives de Abdelaziz Bouteflika lui-même et, pour la première fois aussi, du vice-ministre de la Défense et chef d’état-major, Ahmed Gaïd Salah.
Le désormais défunt comité central étant composé de 505 membres, il est à prévoir quelques remous dans les jours à venir. Surtout après l’annonce de la composante de la nouvelle «structure exécutive». Cette dernière serait, affirme une source sûre, composée seulement d’une trentaine de membres.
Une lutte féroce sera engagée dans les coulisses par les membres de l’ex-comité central mais aussi les ténors du parti pour y figurer et se placer en prévision du prochain congrès mais, surtout, de la présidentielle. Evidemment, le congrès extraordinaire en question n’interviendra pas avant la présidentielle d’avril prochain.
Et c’est finalement cette échéance cruciale de la présidentielle qui aura motivé ce grand séisme opéré par Bouteflika au sein du parti majoritaire. «Il ne s’agit pas d’une sanction à l’égard des anciens secrétaires généraux du parti, notamment le docteur Djamel Ould-Abbès qui avait hérité d’une situation très difficile et qui a déployé d’énormes efforts en deux ans pour redresser la situation.
Vous connaissez également tous sa fidélité au Président Bouteflika (…)», dira Moad Bouchareb qui affirmera avoir été félicité par son prédécesseur à la direction du parti. Il ne s’agit pas, en effet, d’un changement classique d’un secrétaire général par un autre, comme c’était souvent le cas au FLN, mais d’une dissolution, d’une refonte totale de toute la direction, des structures et des instances du parti et d’une invalidation de fait du 10e congrès de juin 2015, organisé sous Ammar Saâdani.
K. A.
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La nouvelle approche voulue par les pouvoirs publics pour la gestion des affaires locales est apparemment bien en marche si l’on se réfère aux toutes récentes déclarations du ministre de l’Intérieur, d’abord, et d’autres hauts commis de l’Etat, ensuite, dont Abderrahmane Sidini, l’inspecteur général du ministère de l’Intérieur, qui était d’ailleurs de passage à la rédaction de la Chaîne 3, hier, pour donner un peu plus de détails sur la projetée politique de «déconcentration de prérogatives au niveau régional».
La déconcentration, un objectif qui devrait conférer aux assemblées locales un peu plus de responsabilités. Si, comme l’a expliqué le haut cadre du ministère de l’Intérieur, la décentralisation sous-entend le renforcement des prérogatives des assemblées élues, un objectif auquel œuvrent les pouvoirs publics à travers un nouveau code des collectivités locales, la déconcentration est, en revanche, un tout autre objectif qui fera l’objet tout prochainement d’une rencontre gouvernement-walis.
M. Abderrahmane Sidini a, en effet, annoncé qu’à l’occasion de cette rencontre dédiée à la déconcentration, il s’agira de discuter du transfert au niveau local de certaines décisions qui étaient exclusivement l’apanage des ministères. Tout un travail a été fait préalablement et est en train de se faire pour parvenir à ce qu’il soit possible de déléguer plusieurs décisions au niveau local. Il ne s’agit pas d’une cession de prérogatives de la part des ministères, a tenu à préciser l’invité de la Chaîne 3, parce qu’il y a, d’un côté, des missions propres qui relèvent des attributs des ministres et il y a, d’un autre côté, des services extérieurs qui représentent ces ministères au niveau local, dont le wali qui représente chaque ministre et membre du gouvernement, a expliqué de façon succincte M. Sidini.
Donc, des décisions habituellement prises au niveau central seront transférées au niveau local pour faciliter le traitement de certains dossiers et demandes présentés par le citoyen, et cela entre dans le cadre de ce qu’appelle l’inspecteur général du ministère «le dispositif d’allégement et harmonisation des procédures pour permettre au citoyen d’accéder à la prestation de service public de manière aisée». Ceci, tout en rappelant que cette manière de faire, donc la déconcentration, avait déjà cours puisque plusieurs mesures de déconcentration aveint été prises, notamment celles relatives aux programmes locaux de développement confiés aux wilayas.
Donc, en réalité, a assuré
M. Sidini, la déconcentration n’est pas une nouvelle mesure que les pouvoirs publics sont en train d’introduire pour les besoins d’un quelconque agenda, sous-entendre une mesure décidée sur fond électoraliste. La déconcentration a évidemment un coût, et pour parer à cette exigence, les collectivités locales disposent de l’appui du budget de l’Etat, le budget d’équipement de l’Etat étant pratiquement géré par les collectivités locales, ainsi que d’autres ressources telles que les moyens propres de ces collectivités qu’elles dégagent à travers leur budget, et puis il y a l’effet de la péréquation à travers la Caisse de garantie des collectivités locales, a encore expliqué l’inspecteur général du ministère de l’Intérieur qui n’a pas manqué l’occasion pour faire état de l’élaboration et de la finalisation du nouveau code des collectivités locales, et actuellement faisant l’objet de discussions avec les différents départements ministériels avant sa présentation devant l’Assemblée nationale.
Quant à l’épineuse question de la fiscalité locale, celle-ci fera l’objet d’un code particulier dont la première mouture a été élaborée et finalisée avant d’être présentée au ministère des Finances, a confié l’inspecteur général du ministère de l’Intérieur.
Azedine Maktour
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En somme, le rapport de la Commission des affaires économiques et des finances du Conseil de la Nation a appuyé le discours du ministre des Finances qui a présenté le projet de loi, soutenant que le budget de l’Etat cadre avec la politique de «rationalisation» des dépenses publiques.
Hier, le ministre des Finances, Abderrahmane Raouya, a présenté le projet de loi de finances pour 2019 devant le Conseil de la Nation. Le texte, voté par l’Assemblée populaire nationale (APN) le 15 novembre dernier, a déjà été vidé de sa substance par la Chambre basse du Parlement. Et les membres du Conseil de la Nation auront à valider la version ainsi corrigée par les députés.
En effet, le texte qui se voulait un instrument de lutte contre l’évitement fiscal a vu les députés supprimer sa mesure phare qui limite le volume non-imposable des investissements publicitaires à 2,5% du chiffre d’affaires. Sous pression des laboratoires pharmaceutiques et autres grandes entreprises de l’agroalimentaire, la Commission des finances et des affaires économiques de l’APN a supprimé la mesure avant de soumettre le texte au débat en plénière.
Dans ce contexte, il convient de noter que pour déterminer le volume non-imposable des investissements publicitaires proposé dans le projet de cette loi de finances pour 2019, le gouvernement s’est basé sur le volume des investissements publicitaires effectués réellement et qui ne dépasserait pas le 1% du chiffre d’affaires cumulé des gros annonceurs dans le marché.
D’autant que certaines entreprises, dont la promotion des produits est soumise à des restrictions réglementaires voire interdite à l’image des laboratoires pharmaceutiques, utilisent ce chapitre comptable pour réduire leur assiette fiscale. Certains laboratoires déclarent jusqu’à 15% de leurs chiffres d’affaires en publicité. D’autres entreprises qui sont en situation de monopole en dépensent autant. Ce qui dépasse, par exemple, le volume investi par les opérateurs de téléphonie mobile dont les ventes dépendent en grande partie de la publicité.
Bref, Abderrahmane Raouya a donné quelques indicateurs sur l’évolution de la situation économique en 2018. Au 30 septembre 2018, c’est-à-dire sur les neuf premiers mois de 2018, le prix moyen du baril du pétrole a atteint 72,48 dollars, soit une hausse de 30% comparativement à 2017 où il a enregistré une moyenne de 51,3 dollars.
Cela avait permis de réduire le déficit commercial à 3,7 milliards de dollars et de maintenir l’inflation à 4,45%. Et le rapport préliminaire de la Commission des affaires économiques et des finances du Conseil de la Nation a appuyé le discours du ministre des Finances, soutenant que le budget de l’Etat cadre avec la politique de «rationalisation» des dépenses publiques.
L. H.
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Une double première pour le FFS à l’occasion du renouvellement partiel des membres du Conseil de la nation prévu le 29 décembre prochain.
M. Kebci – Alger (Le Soir) – Le doyen des partis de l’opposition a doublement innové à l’occasion du renouvellement partiel des membres du Conseil de la nation. D’abord en instaurant des primaires pour arrêter les candidats du parti parmi les grands électeurs (élus APC-APW).
Une nouveauté qui s’inscrit, selon le chargé à la communication du FFS, en droite ligne de la feuille de route de la direction nationale issue du dernier congrès extraordinaire consistant à «restituer le parti à ses militants», affirme Jugurtha Abbou. Ensuite en décidant de s’engager dans cette bataille dans sept wilayas du pays, tordant ainsi le cou à une tradition qui a fait que le parti a toujours concouru au niveau des seules wilayas de Kabylie (Tizi-Ouzou, Béjaïa, Bouira et Boumerdès) en plus de la capitale.
Cette fois-ci, en sus donc de ce quintette de wilayas qui constitue, en fait, son bastion, le FFS sera partant au niveau de deux autres wilayas, les deux de l’est du pays. Il s’agit de Oum-el-Bouaghi et de Sétif. Pour revenir aux primaires qui ont eu lieu samedi, elles ont souri, à Tizi-Ouzou, à Rabah Menaoum, vice-président d’APW, et à son homologue de l’APW de Béjaïa, Abdenour Derguini, pour la capitale des Hammadites.
Deux wilayas importantes où le FFS compte, selon son chargé de la communication, son rang de première force politique en dépit d’une forte concurrence de l’éternel frère rival, le RCD, qui le talonne en matière de collège électoral, notamment au niveau de la capitale du Djurdjura où il devra compter, cette fois-ci, avec la candidature du maire de la ville des Genêts, épaulé par le RND qui a consenti à s’effacer à son profit.
Pour la capitale, c’est l’élue à l’APW, Aïcha Boudiaf, qui a été choisie par ses pairs pour cette course des sénatoriales. Concernant la capitale des Hauts-Plateaux, Sétif, c’est Belkacem Allouache qui est le candidat du FFS aux prochaines sénatoriales alors que dans la wilaya d’Oum-el-Bouaghi, il sera représenté par Samira Nouadri, élue à l’APC de Ksar Sbihi.
Il faut rappeler que le FFS compte près de 950 élus locaux (APC et APW) répartis sur 25 wilayas. Il gère 63 communes au niveau de dix wilayas (Tizi Ouzou, Béjaïa, Bouira, Boumerdès, Alger, Sétif, Tébessa, Jijel, Tipasa et Oum-el Bouaghi) et est à la tête de deux APW, celles de Tizi-Ouzou et de Béjaïa.
M. K.
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Ma és holnap a román államfő Franciaországban tartózkodik, ahol részt vesz a centenárium apropóján megszervezett, Románia-Franciaország kulturális idény elnevezésű eseménysorozat megnyitóján is. Holnap megbeszélést folytat Emmanuel Macron francia elnökkel, amelynek fő témái a kétoldalú kapcsolatok, a két ország közötti stratégiai partnerség elmélyítése és a gazdasági együttműködés megerősítése. Románia és Franciaország között 10 éve íródott alá egy stratégiai partnerségi szerződés, ennek évfordulóját ünneplik most.
Les tentatives d’émigration clandestine se suivent et se ressemblent sur le littoral témouchentois ces derniers jours, au point où il ne se passe pas un jour sans qu’on entende parler du départ d’un groupe vers la rive nord de la Méditerranée ou de l’interception d’un groupe sur les plages de la wilaya de Aïn-Témouchent.
Ce week-end, précisément vendredi, les éléments du Groupement des gardes-côtes de Béni-Saf ont déjoué une tentative d’émigration clandestine de 30 personnes âgées de 19 à 35 ans, originaires de des wilayas de Aïn-Témouchent et d’Oran.
Les harragas arrêtés à bord de deux embarcations pneumatiques ont pris le départ de la plage de Rachgoune, dans la commune de Béni-Saf. Les gardes-côtes ont remis les candidats à l’émigration clandestine à la Gendarmerie nationale.
S. B.
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On affirme que le ministre de la Santé a convié les professeurs chefs de service à une réunion qui n’a duré que… 10 minutes.
Il leur a juste annoncé la fin de mandat des commissions des experts.
Certains professeurs, notamment ceux venus des wilayas éloignées, se demandent pourquoi le ministre ne s’est pas contenté d’un simple courrier pour leur communiquer cette information.
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Selon des sources, les boutiques du nouvel aéroport international d’Alger seront cédées moyennant un loyer mensuel qui dépassera les 1 500 000,00 DA.
Les réseaux sociaux s’agitent déjà par rapport à cette information et certains se posent la question : combien coûtera le café ?
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Az ukrán vezérkar közleményéből kiderül, hogy a tegnapi orosz agresszióra az Azovi-tengeren minden katonai egységet készenlétbe helyzetek. Ma délután a parlament rendkívüli ülésen dönt a hadiállapot bevezetéséről, melyet az ukrán Nemzetbiztonsági és Védelmi Tanács javasolt és Petro Porosenko Ukrán államfő is támogat. Tegnap egy orosz határ-őrhajó szándékosan nekiment egy terv szerint haladó ukrán hadihajónak. Az ukrán hadihajók az odesszai kikötőből indultak el és a Kercsi-szoroson át az Azovi-tenger partján fekvő Mariupolba tartottak. Az incidens után néhány órával az orosz Szövetségi Biztonsági Szolgálat határőrsége a Kercsi-szorosból kifelé haladó hajókra már tüzet nyitott és három ukrán hajót orosz különleges egységek szállták meg. Eddigi adatok alapján hat ukrán tengerész sebesült meg.
Jövőtől az új hulladékgazdálkodási törvény értelmében növekszik a hulladéktárolás tonnánkénti ára, és a hulladék elszállításának az ára is. A tárolás tonnánként 30 lej lesz, 2020-ra pedig 80 lejre fog emelkedni. A hulladék elszállításáért jelenleg személyenként fizetünk, átlagban 5 lejt havonta. Változás lesz az is, hogy jövőtől mennyiségre fizetünk majd. De hogy pontosan mikortól és mennyi lesz egy köbméter hulladék, azt még nem lehet tudni, nyilatkozta a székelyhon.ro oldalnak Pál Tamás, az Eco-Csík Kft. igazgatója. A jogszabály célja, hogy mindenki csökkentse a szemét mennyiségét, és minél többet gyűjtsön szelektíven újrahasznosítás céljából. Az önkormányzatok és a szolgáltatók egyelőre várják, hogy megjelenjen a sürgősségi kormányrendelet alkalmazási útmutatója, amely pontosan meghatározza, hogyan ültessék gyakorlatba az előírásokat.