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Etats-Unis: le gouvernement fédéral se rapproche d’un Shutdown partiel

Algérie 360 - Sat, 12/22/2018 - 14:21

WASHINGTON – Les Etats-Unis se dirigent vendredi vers un nouveau  » Shutdown  » partiel, alors que la majorité républicaine au Sénat et l’opposition démocrate peinent à parvenir à un compromis sur le financement de l’Etat.

La Chambre des représentants a voté jeudi l’ajout d’une enveloppe de 5 milliards de dollars à un projet de loi budgétaire pour empêcher le blocage partiel du gouvernement fédéral. Le montant est destiné à construire un mur aux frontières avec le Mexique tel que réclamé par le président Trump.

Cependant, le soutien de 60 des 100 sénateurs est nécessaire pour l’adoption du texte au Sénat où les républicains détiennent une majorité de 51 sièges. Le parti républicain aura besoin du vote de plusieurs élus démocrates pour faire passer la loi. A moins d’un rebondissement inattendu, les Etats-Unis vont vivre samedi à partir de minuit leur troisième Shutdown.

Le Sénat a reporté vendredi soir ses travaux jusqu’à samedi, alors que les deux chefs de la majorité républicaine à la Chambre des représentants et au Sénat, Paul Ryan et Mitch McConnell, ont quitté le Capitole, siège du Congrès.

Dans son dernier tweet vendredi soir, le président Trump a déclaré qu’il avait annulé son déplacement en Floride en attendant de voir si les démocrates allaient l’aider à sécuriser les frontières ouest des Etats-Unis.

La fermeture partielle des administrations fédérales sera annoncée dans moins de trois heures et va concerner quelques départements comme le Commerce et la sécurité intérieure.

Le reste des départements seront épargnés puisqu’un budget déjà voté par le Congrès couvre 75% des dépenses fédérales, y compris celles du Pentagone, jusqu’à septembre 2019.

Auparavant Trump a averti que si les démocrates rejetaient le projet de loi  » il y aura un Shutdown qui va durer très longtemps ».

Le chef de la Maison Blanche choisit de jouer toutes ses cartes pour faire passer sa proposition avant que les démocrates ne reprennent en janvier le contrôle de la Chambre des représentants.

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Retrait américain de Syrie: Trump aurait pris la décision après une conversation téléphonique avec Erdogan

Algérie 360 - Sat, 12/22/2018 - 14:19

WASHINGTON – La décision du président Trump de retirer les troupes américaines de la Syrie aurait été prise après une conversation téléphonique avec son homologue turc, Recep Tayyip Erdogan, ont révélé vendredi des responsables américains, cités par Associated Press.

L’entretien téléphonique entre les deux présidents qui a eu lieu le 14 décembre dernier a été à l’origine de cette décision, y compris la démission du chef du Pentagone, James Mattis, annoncée jeudi en signe d’opposition à la démarche du chef de la Maison Blanche, affirment  deux responsables de l’administration Trump qui ont requis l’anonymat.

Une décision à la hâte prise par le président Trump sans prendre en considération l’avis émis par le Conseil de sécurité national (NSC), présidé par John Bolton, ni même informer au préalable les alliés des Etats-Unis en Syrie, selon les mêmes sources

L’appel en question a été arrangé par le secrétaire d’Etat, Mike Pompeo, après avoir échoué à obtenir auprès de son homologue turc, Mevlut Cavusoglu, des éclaircissements sur l’offensive militaire qu’Erdogan menace de mener contre les rebelles kurdes dans le Nord-est de la Syrie, où les forces américaines sont stationnées.

En prévision de cette conversation téléphonique, Mike Pompeo et James Mattis ainsi que d’autres membres du NSC ont préparé une liste de points de discussion pour le président Trump afin de convaincre Erdogan de renoncer à sa menace d’intervenir contre les kurdes.

Trump qui a accepté au préalable la feuille de discussion présentée par son équipe a fini par se ranger du côté d’Erdogan. Selon les deux sources, l’entretien téléphonique du 14 décembre a engendré quatre jours de discussions frénétiques pour dissuader Trump de renoncer à sa décision ou du moins la retarder pour donner aux Kurdes le temps de se préparer au retrait des forces américaines.

Mais le président était insensible aux appels de son cabinet, relèvent les deux sources.

« Les points de discussion étaient fermes-« , a déclaré l’un des responsables, expliquant que le président américain a été conseillé de s’opposer clairement à une offensive turque dans le nord-est de la Syrie et de proposer en échange une collaboration bilatérale pour répondre aux préoccupations sécuritaires.

Il était question d’offrir à la Turquie quelque chose qui ressemble à une petite victoire, en lui accordant éventuellement le contrôle d’un territoire aux frontières, expliquent les mêmes sources.

Mais le président Trump a été rapidement mis sur la défensive par Erdogan qui lui avait rappelé ses déclarations répétitives, sur la raison de la présence américaine en Syrie qui est de combattre le groupe terroriste autoproclamé Organisation de l’Etat Islamique (EI/Daech).

« Pourquoi êtes-vous toujours là-bas ? « , aurait demandé Erdogan à Trump, en lui précisant que les forces turques pourraient traiter avec les derniers militants de l’EI.

Selon les deux responsables, Trump a rapidement capitulé, promettant de se retirer de la Syrie. Sa décision a choqué aussi bien le chef du NSC, John Bolton, qui était présent lors de cet entretien, que le président Turc lui-même.

Pris au dépourvu, Erdogan a mis en garde Trump contre un retrait précipité des forces américaines.

Bien que la Turquie ait fait des incursions en Syrie, elle ne dispose pas cependant de suffisamment de forces mobilisées aux frontières pour pénétrer les vastes étendus du nord-est syrien, expliquent-ils.

La conversation téléphonique a pris fin lorsque le président Trump a répété à Erdogan qu’il allait retirer ses troupes mais sans lui donner de précision sur la manière de procéder.

Aux Etats-Unis, la décision inattendue du chef de la Maison Blanche a été vivement critiquée par la classe politique américaine l’assimilant à une trahison envers les kurdes qui ont  combattu aux côtés des forces américaines.

Les Etats Unis ne peuvent  » s’acquitter efficacement du rôle  »  » de nation indispensable dans le monde libre sans maintenir de solides alliances et faire preuve de respect envers ces alliés « , a écrit James Mattis jeudi dans sa lettre de démission.

Le départ du chef de Pentagone a été très mal accueilli par le Congrès qui voit en lui une force de stabilité dans l’administration Trump. Nancy Pelosi, la chef de file des démocrates, a déclaré jeudi que James Mattis a fait preuve d’un grand patriotisme. Sa lettre que tous les Américains doivent lire  » est un énoncé de valeurs », a-t-elle dit.

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La CACI France appelée à être plus offensive dans le nouveau contexte économique algérien

Algérie 360 - Sat, 12/22/2018 - 14:17

PARIS – La Chambre algérienne de commerce et d’industrie (CACI) de France a été appelée vendredi à être plus offensive dans le nouveau contexte économique algérien en œuvrant à promouvoir les investissements français en Algérie.

« La CACI France doit accompagner les PME françaises qui expriment toujours des craintes pour le marché algérien et encourager les opérateurs algériens qui veulent placer leurs produits sur le marché français », a recommandé l’ambassadeur d’Algérie en France, Abdelkader Mesdoua, dans une allocution peu avant les travaux de l’assemblée générale ordinaire (AGO) de la chambre.

L’AGO s’est tenue au siège de l’ambassade d’Algérie en France, en présence du président de la CACI, Laïd Benamor, du président de la CACI France, Kaci Aït Yalla, du vice-président du Forum des chefs d’entreprises (FCE), Mehdi Bendimerad, du président du Club des entrepreneurs et industriels de la Mitidja (CEIMI), Kamel Moula, la présidente d’honneur du CACI France et ex-sénateur Bariza Khiari et les membres de l’AGO.

L’ambassadeur a insisté sur le fait que dans la communauté algérienne de France, il existe des grands gisements de laquelle, a-t-il dit, « il faut tirer le plus grand bénéfice », rappelant les mesures du président de la République, Abdelaziz Bouteflika, en faveur des membres de la communauté qui ont été annoncées l’année passée à Paris par le Premier ministre Ahmed Ouyahia.

« Les Algériens de France doivent travailler dans l’unité et pour le bénéfice de l’Algérie », a-t-il ajouté. Il a également rappelé l’extrême densité de l’agenda bilatéral entre l’Algérie et la France, annonçant la tenue, au cours du premier trimestre de 2019, de la 5ème session de Comité intergouvernemental de haut niveau (CIHN) algéro-français.

Pour sa part, le président de la CACI a rappelé les principaux axes du nouveau contexte économique algérien, à savoir l’agriculture, la tourisme et l’industrie, demandant aux membres de la CACI France d’être à l’écoute des orientations économiques du pays pour pouvoir les concrétiser avec des projets concrets avec les partenaires français.

Au cours d’un débat ouvert, juste avant l’AGO, les participants ont soulevé un certain nombre de questions allant dans le sens de la consolidation de la chambre, de son développement et la recherche d’une plus grande efficacité.

Au cours de ses travaux, les membres de l’AGO de la CACI France ont adopté les bilans financier et moral, après avoir fait le point sur le chemin parcouru par cette jeune organisation, créée en 2014, dont l’activité a consisté essentiellement en un travail de sensibilisation des membres de la diaspora et, en général, les entreprises françaises et algériennes en vue de leur adhésion, de structuration de l’organisation tant à l’échelle centrale qu’au niveau des différentes régions de France et d’Algérie.

Les membres ont convenu d’une réunion au mois de février afin d’examiner la feuille de route pour les actions à mener au cours de l’année 2019 et définir une dynamique beaucoup plus offensive.

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Pétrole : réunion du Conseil ministériel de l’OPAEP dimanche à Koweït

Algérie 360 - Sat, 12/22/2018 - 14:16

ALGER – Le Conseil ministériel de l’Organisation des Pays Arabes Exportateurs du Pétrole (OPAEP) tiendra dimanche prochain une réunion à Koweït, avec la participation du ministre de l’Energie, Mustapha Guitouni, a indiqué vendredi le ministère dans un communiqué.

Lors de cette session, les ministres vont examiner les conclusions et les recommandations des travaux des différentes commissions techniques, précise la même source. L’évolution de la situation du marché pétrolier mondial sera également à l’ordre du jour de cette réunion ministérielle, ajoute le communiqué. Pour rappel, l’OPAEP a été fondée en 1968 par le Koweït, la Libye et l’Arabie saoudite. L’Algérie y a adhéré en 1970.

Composée de 10 pays membres, cette organisation, dont le siège est à Koweït, tend à coordonner les politiques énergétiques des pays arabes dans le but de promouvoir leur développement économique. Sur le plan régional, elle organise la coopération sur le développement du pétrole, les projets collectifs et l’intégration régionale.

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Redéploiement de l’inclusion financière pour une bancarisation accrue

Algérie 360 - Sat, 12/22/2018 - 14:14

ALGER – La Banque d’Algérie a initié, durant l’année 2018, une large offensive en direction des banques pour le développement de l’inclusion financière aux fins d’une meilleure mobilisation des ressources financières dans un contexte marqué par l’objectif de diversification de l’économie.

Dans ce sens, les banques ont été appelées à se mobiliser plus efficacement aux fins de la bancarisation de la liquidité monétaire thésaurisée et de sa canalisation vers les objectifs de financement de l’économie.

L’enjeu est aussi la réduction de la liquidité monétaire en circulation dans l’informel et l’instauration de la confiance avec la clientèle épargnante dans un cadre d’une relation bancaire professionnelle et sereine.

Dans ce sens, les banques ont été appelées à « se secouer » pour se conformer à leurs obligations en matière de publicité et de vulgarisation des conditions de banque afin de mettre en confiance les épargnants potentiels.

En effet, en raison d’une interprétation, souvent abusive et non fondée, des dispositions de la loi régissant le blanchiment des capitaux et le financement du terrorisme, certains guichets bancaires ont été à l’origine de refoulement de capitaux de manière arbitraire et sans justifications réglementaires.

Cette interprétation restrictive que font certaines banques des dispositions réglementaires est constatée notamment en matière d’ouverture de comptes, d’acceptation des dépôts et de délais exagérés de mise à disposition des fonds.

En conséquence, cette attitude a desservi les objectifs de l’inclusion financière et a généré, auprès des épargnants potentiels, un phénomène d’incompréhension et même de désaffection à l’égard des banques. Ce qui a été parmi les facteurs de la persistance de la sous-bancarisation.

En effet, la circulation fiduciaire hors banques représente une certaine proportion de la masse monétaire (M2), évaluée à près de 33%, soit 4.675 milliards de dinars à fin 2017 se répartissant en encaisses transactionnelles et thésaurisation pour un montant estimé entre 1.500 et 2.000 milliards de dinars auprès des entreprises et ménages, alors que le reste représente la circulation fiduciaire dans l’économie informelle, soit un montant allant entre près de 2.680 et 3.200 milliards de DA.

Les mesures de drainage des ressources financières ne concernent pas seulement la monnaie nationale mais également les devises thésaurisées dont les détenteurs font face à de différentes contraintes liées à l’ouverture des comptes, à l’alimentation et au fonctionnement de ces comptes et à la justification de l’origine des fonds.

Ces différentes contraintes n’ont pas permis le développement de l’inclusion financière à travers la collecte de cette épargne devises qui constitue un apport certain de par le nombre de comptes actifs (4,7 millions de comptes), de par le montant de l’épargne constituée (l’équivalent de près de 5 milliards de dollars) et de par le potentiel qu’elle pourrait receler.

Par ailleurs, pour élargir l’éventail des produits et services bancaires touchant l’ensemble des segments de l’économie, dans le cadre d’une intermédiation bancaire et financière organisée et adaptée, le Conseil de la monnaie et du crédit a approuvé le règlement relatif aux conditions d’exercice, par les banques et établissements financiers, des opérations bancaires relevant de la « finance participative » portant sur les produits financiers conformes à la Charia.

Ce règlement définit les règles applicables aux produits dits participatifs ne donnant pas lieu à perception ou versement d’intérêt.

Il s’agit des produits appelés Mourabaha, Moucharaka, Moudaraba, Ijara, Istisna’a, Salam ainsi que les dépôts en comptes d’investissement.

Quant aux objectifs de ce règlement régissant cette activité spécifique des banques classiques universelles, il visent à prendre en charge les particularités de ce mode de financement et de collecte de ressources, à répondre au mieux aux attentes, actuelles et futures, des opérateurs économiques, à renforcer l’inclusion financière en contribuant à la mobilisation de l’épargne, en général, et particulièrement à celle circulant en dehors du circuit bancaire, selon la même source.

L’autre mesure-phare de l’année est la décision du Conseil de la monnaie et du crédit d’augmenter le capital minimum requis des banques et des établissements financiers.

Ainsi, le capital minimum requis des banques a été doublé pour passer à vingt (20) milliards de DA contre dix (10) milliards de DA, tandis que le capital minimum requis des établissements financiers passe à 6,5 milliards de DA contre 3,5 milliards de DA, sachant que la précédente décision d’augmentation du capital minimum exigé date de décembre 2008.

A travers cette mesure, il s’agit de mettre à niveau en matière de réajustement du montant du capital par rapport au seuil minimal réglementaire datant d’une décennie, et de donner à la place bancaire et financière un signal fort en termes de renforcement de son assise financière et de sa stabilité.

Ce qui confère aussi aux banques et établissements financiers une capacité plus conséquente en matière d’intervention dans le financement de l’économie nationale.

Augmentation de la liquidité bancaire mais le déficit de la balance des paiements demeure élevé

Dans le sillage de la mise en œuvre du financement non conventionnel, la liquidité bancaire s’est nettement améliorée durant cette année en passant de 1.380,6 milliards de dinars (mds DA) à fin décembre 2017 à 1.500 mds DA à la fin octobre 2018.

Quant aux crédits à l’économie, ils ont enregistré une hausse au 1er semestre 2018 en s’établissant à 9.408 mds DA à fin juin 2018 contre 8.880 mds DA à fin décembre 2017.

Sur le plan des finances extérieures, une baisse a été enregistrée dans le déficit du solde global de la balance des paiements, qui est passé à 7,93 milliards de dollars à la fin juin 2018 contre un déficit de 11,06 milliards de dollars à la fin juin 2017.

Mais les réserves de change de l’Algérie se sont amenuisées en baissant à 88,6 milliards de dollars à fin juin 2018 contre 97,33 milliards de dollars à fin décembre 2017.

Ainsi, en dépit de la remontée du prix moyen du pétrole à près de 71 dollars durant le 1er semestre 2018, en contexte de baisse des quantités exportées, le déficit du solde global de la balance des paiements (et corrélativement l’érosion des réserves de change) demeure encore relativement élevé.

Dans ce sens, des efforts supplémentaires d’ajustement sont nécessaires pour rétablir les équilibres macroéconomiques afin d’assurer la viabilité de la balance des paiements et de limiter l’érosion des réserves officielles de change à travers un vaste programme de réformes structurelles.

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Scène politique en 2018: des initiatives politiques aux discours convergents et objectifs divergents

Algérie 360 - Sat, 12/22/2018 - 14:12

ALGER – L’année qui s’achève aura été marquée sur le plan politique par l’émergence de plusieurs initiatives convergentes de par leur appel à la préservation de la stabilité et de l’unité nationale, et divergentes de par les raisons idéologiques, l’appréhension de la situation politique et la vision future de l’Algérie après 2019.

Dans ce sens, le parti du Front de libération nationale (FLN) a mobilisé toutes ses bases militantes et s’est fait rallié la majorité des « forces nationales vives »(organisations et des représentants de la société civile) pour le succès de son initiative politique, dévoilée en avril dernier, à travers « l’appel au président de la République à poursuivre son oeuvre à la tête du pays en reconnaissance des précieuses réalisations et acquis enregistrés sous sa conduite éclairée ».

Recueillant l’adhésion « escomptée », cette initiative s’est transformée en « Front populaire solide » pour la sauvegarde de l’Algérie, auquel avait appelé le chef de l’Etat dans son message à l’occasion de la célébration de la Journée nationale du Moudjahid. Mais, le point de départ de cette initiative a été l’appel de 700.000 militants du FLN « partant des réalisations accomplies par l’Algérie depuis l’investiture du président de la République en 1999 et répertoriées au niveau de 48 comités de wilaya et lors des 10 rencontres régionales ».

Pour le parti, « la préservation des acquis et réalisations, principalement l’unité du peuple algérien, la paix et la stabilité et la vulgarisation de la vision du président de la République de l’avenir de l’Algérie à travers le programme de développement 2020-2030, constituent l’objectif suprême » de cette initiative. Dès son annonce, l’initiative a vu l’adhésion de 6 organisations estudiantines qui ont lancé, de leur côté, la Coordination « Jil Bouteflika », s’ensuivent alors plusieurs rencontres de concertation avec différentes formations politiques, au nombre de 26, partageant avec le FLN la même vision.

Parallèlement, le parti a pu mobiliser à ses côtés, les plus importantes organisations nationales, à leur tête les organisations patronales et l’Union générale des travailleurs algériens (UGTA), qui a affirmé, par le truchement de son Secrétaire général, « son appui absolu et son soutien inconditionnel » au président Bouteflika afin de poursuivre son œuvre de développement et de réforme ».

Dans le même contexte, l’Union nationale des femmes algériennes (UNFA) a fait état de son adhésion « absolue » pour la concrétisation de l’appel du président de la République, Abdelaziz Bouteflika, à la constitution d’un « Front populaire solide », le qualifiant de « projet national à placer au-dessus de tous les partis politiques et organisations nationales ». Dans le prolongement de l’Initiative FLN, 15 partis, et à leur tête l’Alliance nationale républicaine ANR, ont lancé une initiative politique dénommée « La continuité pour la stabilité et la réforme » en soutien au programme du président de la République, et qui s’inscrit dans le cadre des préparatifs à une rencontre regroupant les partis en faveur de la Continuité.

Ces partis, représentant « plus d’un million et demi de voix électorales », ont engagé une campagne nationale en direction des masses populaires et bases militantes en vue d’expliquer « la plateforme » de la continuité et le projet du Front populaire solide Abondant dans le même sens, les quatre partis formant l’alliance présidentielle, en l’occurrence le FLN, le RND, TAJ (Tadjamoue Amal Al-Djazaïr ) et le MPA, ont décidé, en novembre passé, de conférer un caractère officiel à leur relation dans le cadre d’une alliance en soutien au président Bouteflika, en prévision de la Présidentielle de 2019.

A ce propos, ils ont convenu « d’un programme d’action progressif aux activités multiples » à mener tout au long des mois à venir dans le cadre d’un travail collectif fédérant toutes les forces. Cependant, le parti TAJ a fait le choix de présenter, seul, une autre initiative en appelant à une conférence nationale avec la participation de toutes les forces vives du pays, afin de parvenir à « un consensus national autour des questions et défis nationaux et internationaux intéressant l’Algérie ».

Fractionnement de l’opposition à travers des initiatives appelant au consensus

Face au dynamisme des partis dits « pro gouvernement », les formations politiques représentant « l’opposition » n’ont pas réussi à fédérer leurs efforts dans une seule et même démarche et leurs divergences et la différence de leurs objectifs ont apparu lors des nombreuses rencontres de concertation, tenues tout le long de l’année 2018.

Ainsi, les dirigeants du Mouvement de la société pour la paix (MSP) se sont attelés à la promotion et à la défense de leur initiative, « Consensus national », expliquant qu’elle repose sur « la réalisation d’un travail démocratique conjoint entre le pouvoir et l’opposition dans le respect des spécificités et de la diversité politiques et dans le cadre d’un Front national solide, loin des visions partisanes et des intérêts étroits ». Récemment, le MSP a opéré un changement fondamental dans son initiative en appelant, par la voix de son président, au report de la prochaine présidentielle » expliquant que c’est là « l’unique solution pour réunir les conditions nécessaires à la concrétisation du consensus national ».

Expliquant que ce report, « ne doit aucunement dépasser une année », le MSP estime qu’il doit « constituer un projet adopté par l’ensemble des institutions de l’Etat et prévoir des réformes réelles et sérieuses avec la possibilité de tenir une conférence nationale approuvée par toutes les parties ». Quelques mois auparavant, le même parti avait plaidé pour « un candidat consensuel à la présidentielle 2019, un chef de Gouvernement consensuel devant concrétiser la vision de l’Initiative et un gouvernement à large représentation réunissant la compétence, l’expérience et la symbolique politique ».

Au bénéfice de son initiative, le MSP avait avancé comme arguments qu’elle respectait les composants de l’identité nationale, les institutions de l’Etat, les échéances électorales et la diversité politique et intellectuelle et proposait des réformes économiques et politiques permettant de « surmonter les difficultés de l’heure ». Néanmoins, les partis formant la majorité parlementaire lui ont réservé un refus de principe.

le FLN, en raison de la terminologie utilisée par ses promoteurs comme « la transition démocratique et le rôle de l’Armée nationale populaire (ANP) dans la vie politique » alors que le RND a estimé que l’appel à un consensus politique la veille des échéances électorales était « un déni de la souveraineté nationale et populaire ». De même qu’elle a affronté le refus du plus vieux parti de l’opposition, le FFS, pour qui son « projet de reconstruction du consensus national » est « la seule alternative pour éviter au pays de sombrer dans une crise ».

Affirmant que son initiative s’inspirait de « la guerre de Libération nationale, de la Déclaration du 1er Novembre 54 et de la plateforme de la Soumam », le FFS défend sa vision « d’une Algérie unie, démocratique et sociale » et sa conviction que « le dialogue est la seule manière de régler les conflits et tous les problèmes ». Le FFS dit poursuivre le travail pour « la convergence des forces du changement et la mobilisation des Algériens à même de réunir les conditions qui permettent une dynamique politique pacifique, plurielle et organisée », afin de concrétiser le projet de « la deuxième République ».

Face à ces trois initiatives largement médiatisées, d’autres partis ont tenté, en vain, récemment d’attirer l’attention, à l’instar du Parti des travailleurs PT qui a lancé son initiative politique en vue de « trouver des solutions à la conjoncture socio-économique actuelle du pays », à travers « une pétition, sous forme de lettre adressée au président de la République, Abdelaziz Bouteflika, lui demandant d’intervenir rapidement pour éviter de sombrer dans le chaos, vu la situation socio-économique actuelle du pays ».

Les militants et partisans du PT se sont attelés à « recueillir pas moins d’un million cinq cent mille (1,5 millions) signatures, dans le cadre de cette pétition, qui propose plusieurs solutions dont l’arrêt de la politique d’austérité, la prise en charge des aspirations des jeunes et la protection de la propriété collective de la Nation, notamment à travers l’interdiction de toute forme de privatisation et l’instauration de l’impôt sur la fortune (ISF) ».

De son côté, le mouvement El-Bina a tenté une initiative, dite « Consensus national » puis « L’Algérie pour tous », visant à « mettre en place une plateforme pour la moralisation de l’action politique et la réunion des acteurs de la scène politique dans le but de former de véritables blocs dotés d’une feuille de route claire en vue de protéger l’Algérie contre tous les dangers qui la guettent, tant de l’intérieur que de l’extérieur ». Le Mouvement prône également la protection du front interne, l’approfondissement du dialogue et la recherche de mécanismes politiques à même d’assurer son succès ».

L’effervescence politique qui a marqué l’année 2018 est un phénomène sain et naturel à la veille de l’échéance présidentielle d’avril 2019 et la multitude des initiatives, dont aucune n’a pu transcender sur les autres, a favorisé, en dépit de la divergence des objectifs et plans d’attaque, l’émergence d’un dialogue politique de « haut niveau » entre des formations politiques, habituées, à la veille de chaque rendez-vous électoral, aux altercations et querelles verbales pour défendre des projets politiques creux.

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Tűz ütött ki egy orosz káliumbányában, többen is bennrekedtek

Bumm.sk (Szlovákia/Felvidék) - Sat, 12/22/2018 - 14:10
Tűz ütött ki egy káliumbányában szombaton az oroszországi, Permi területen fekvő Szolikamszkban, kilenc építőmunkás rekedt a füsttel elborított szinten - közölte a bányát üzemeltető Uralkalij vállalat.

Trump rendeletet írt alá a tervezett űrhadosztály főparancsnokságának felállításáról

Biztonságpiac - Sat, 12/22/2018 - 14:03
Donald Trump aláírta azt a rendeletet, amely utasítja a védelmi minisztériumot a tervezett űrhadosztály főparancsnokságának felállítására.

A Pentagonnak küldött memorandumban az elnök működőképes egyesített harci főparancsnokság felállítását rendelte el.
Trump júniusban az Országos Űrkutatási Tanács tagjaival a Fehér Házban tartott megbeszélésen jelentette be egy új, hatodik katonai haderőnem, az űrhadosztály (Space Force) létrehozását, s akkor elnöki rendeletben utasította a Pentagont a világűrbe telepítendő amerikai haderő felállításához szükséges teendők megkezdésére. Ezt követően augusztusban Mike Pence alelnök fejtette ki, hogy az amerikai kormányzat 2020-ig létre akarja hozni az űrhaderőt. A kongresszus az idei védelmi költségvetésébe már be is építette az űrhaderő főparancsnoksága létrehozásának költségeit.

Az új főparancsnokság egyenrangú lesz az amerikai hadsereg többi főparancsnokságával, és egyesített harci főparancsnokság lesz, amely összehangolja az egyes haderőnemeknél – például a légierőnél – meglévő űrhadviseléssel kapcsolatos tevékenységet.

Miközben az elnök aláírta az űrhadosztály főparancsnokságának felállításáról szóló rendeletet, Mike Pence a floridai Kennedy Űrközpontban beszédet mondott, amelyben bejelentette: a kormányzat napokon belül bemutatja végleges tervezetét az űrhaderőről. “Az elkövetkező napokban Trump az új űrpolitikáról is aláír egy rendeletet, amely a hatodik haderőnem létrehozásának tervezetét és időpontjait tartalmazza majd” – fogalmazott az alelnök.

Patrick Shanahan, védelmiminiszter-helyettes szerint az űrhadosztály létrehozásának költsége valószínűleg öt-tíz milliárd dollár lesz.

Categories: Biztonságpolitika

Ha már fehér nem lehet, varázsoljuk zölddé a karácsonyt

Bumm.sk (Szlovákia/Felvidék) - Sat, 12/22/2018 - 14:00
Az ünnepek általában jelentős környezetterheléssel járnak: eszméletlenül sok hulladékot termelünk, az indokolatlan energiapazarlásról már nem is beszélve. Mutatunk néhány tippet a zöldebb és tudatosabb karácsonyért.

Télésud : L’Entretien du Jour avec El Hadj Fall, Porte-parole de Biram Dah ABEID

CRIDEM (Mauritanie) - Sat, 12/22/2018 - 13:51
Télésud - Interview d'El Hadj Fall, Porte-parole de Biram Dah ABEID, Président des réseaux IRA de par le monde, député...
Categories: Afrique

Schneider-Ammann will auf 250'000 Fr Rente verzichten: So teuer sind alt Bundesräte für den Bund

Blick.ch - Sat, 12/22/2018 - 13:47
Über 4 Millionen kostete 2017 die Renten von insgesamt 19 alt Bundesräten und alt Bundeskanzlern. Der Bezug des Ruhegehalts in der Höhe von 220 000 Franken pro Jahr ist aber an Bedingungen geknüpft.
Categories: Swiss News

Hollywoodi színésznő próbál javítani a magyar egészségügy állapotán, ha már az állam nem teszi

Bumm.sk (Szlovákia/Felvidék) - Sat, 12/22/2018 - 13:40
A SAS: Red Notice című filmet épp Budapesten forgató Ruby Rose, akit főleg Batwomanként ismerhetünk, nemrég kórházba került. A színésznőt teljesen ledöbbentette a kórházakban uralkodó áldatlan állapot.

Komi Koutché toujours en détention à Madrid

24 Heures au Bénin - Sat, 12/22/2018 - 13:31

Une fausse rumeur a très tôt circulé après l'arrestation à Madrid, le 14 décembre, à l'aube, de l'ancien Directeur Général du Fonds National de la microfinance (Fnm), Komi Koutché faisant état de ce que, ce dernier détenait un passeport diplomatique togolais.
Il s'agit d'une fausse information qui a rapidement fait le tour du monde via les réseaux sociaux.

En réalité, lors de son arrestation dans la capitale espagnole, l'ancien Ministre des finances du Bénin était détenteur d'un passeport béninois.

Indexées par les autorités béninoises d'avoir délivré un passeport diplomatique à un l'ancien Ministre et opposant recherché, les autorités togolaises précisément celles de la Direction générale de la police nationale, ont adressé le 16 décembre, un courrier urgent à leurs homologues de l'Interpol espagnol. Et à la police espagnol de leur répondre le 17 décembre, dans un message confidentiel que « Komi Koutché était détenteur d'un simple passeport béninois (n° B 0606668) au moment d'être arrêté », a précisé la source.
En attendant d'être fixé sur son sort, le ministre Komi Koutché est bien gardé dans une prison de la capitale espagnole depuis le 14 décembre date de son arrestation.
L'arrestation de l'ancien Directeur Général du Fonds National de la microfinance (Fnm) fait suite à un mandat d'arrêt international délivré à son encontre par la justice béninoise et notifié à Interpol.
Pour rappel, Komi Koutché est recherché pour les malversations financières constatées au Fonds National de la microfinance (Fnm) pendant qu'il était le Directeur général.

Marcel HOUETO

Categories: Afrique

Reptilienausstellung in Villeneuve VD: Diese zweiköpfige Schlange ist der Star

Blick.ch - Sat, 12/22/2018 - 13:30
Reptilienfans kommen derzeit im Kanton Waadt auf ihre Rechnung: Auf der grössten Wanderausstellung Europas können sie über 200 Tiere bewundern. Maskottchen ist die zweiköpfige Schlange «Tom und Jerry».
Categories: Swiss News

Presser Gábor is megtekintette és értékelte a Komáromi Jókai Színház A padlás című előadását

Bumm.sk (Szlovákia/Felvidék) - Sat, 12/22/2018 - 13:20
Nagy sikerrel mutatta be a Komáromi Jókai Színház társulata A padlás című musicalt Méhes László rendezésében.

Mauritanie : Les députés approuvent l’accord de partenariat avec la CEDEAO

CRIDEM (Mauritanie) - Sat, 12/22/2018 - 13:12
Alakhbar - L'Assemblée nationale mauritanienne a adopté mercredi l'accord de partenariat entre la Mauritanie et la Communauté économique des...
Categories: Afrique

Paysan, un métier toujours plus risqué

24heures.ch - Sat, 12/22/2018 - 13:05
Il y a eu une forte augmentation des accidents de travail mortels dans le domaine de l'agriculture en 2018.
Categories: Swiss News

Bezárt az utolsó szénbánya Németországban

Bumm.sk (Szlovákia/Felvidék) - Sat, 12/22/2018 - 13:00
Bezárt az utolsó szénbánya, és ezzel véget ért az ipartörténelem egy korszaka pénteken Németországban.

Európa legsikeresebb pártjává vált a Fidesz

EU Pályázati Portál - Sat, 12/22/2018 - 12:58
Nemcsak magyar, hanem európai viszonylatban is példátlan sikert aratott 2018-ban a Fidesz-KDNP pártszövetség ? mondta el Lánczi Tamás az Origónak a kormánypártok idei évéről. Lengyelországban és Olaszországban is láthatjuk, hogy Orbán Viktor kormányzása sikeres mintaként szolgál a regnáló kormánypártok számára. A miniszterelnök elleni nemzetközi politikai hadjáratnak az oka pontosan az, hogy egyre több országban válik mintává ? fogalmazott a Századvég vezető politikai elemzője.
Categories: Pályázatok

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