Paul Schwartz and I have published a new policy memo through PONARS Eurasia. Here’s a preview. Full memo may be found here, and the complete report that it summarizes was also published last week by IFRI.
—
To great fanfare, in May 2016, Russia hosted the third ASEAN-Russia Summit at the Black Sea resort of Sochi. Commemorating the 20th anniversary of Russia’s acceptance as an ASEAN dialog partner, this summit was intended to give new impetus to longstanding efforts by Russia and Southeast Asia to forge closer economic and security ties. Defying efforts by the West to isolate Russia, leaders from all ten ASEAN member states attended the summit.[1]Despite having recently skipped several high-level ASEAN summits, this time President Putin led the Russian delegation himself. He also met separately with the leaders of all ten ASEAN states. After the summit, Putin proclaimed that the two sides had reached agreement “on building a strategic partnership over the long term.” Demonstrating that this was not just mere rhetoric, the two sides also announced a raft of new measures during the summit, on topics ranging from security relations to closer political and economic ties. However, Russia’s ongoing Sino-centric focus, ASEAN’s limited ability to act collectively, and Moscow’s preference for bilateral relations will continue to predominate in its overall relations with the region.
A Pivot Toward Eastern Relationships?
In the aftermath of renewed conflict with the West over Ukraine, Russia sought to accelerate its much-discussed “turn to the East” in a bid to avoid isolation and to circumvent Western sanctions. This initiative, which was first launched after the 2008 financial crisis, was intended to allow Russia to reduce its dependence on the West, while harnessing the dynamic growth of the Asia-Pacific region as a means for modernizing the Russian Far East and ultimately Russia itself. The first concrete action to this effect was Russia hosting the APEC (Asia-Pacific Economic Cooperation) summit in Vladivostok in 2012, followed by an acceleration in efforts to increase economic cooperation. While Russia has consistently placed the highest priority on increasing its ties with China, it also sought to diversify its relations with other Asia Pacific countries in order to avoid becoming overly dependent on Beijing. Southeast Asia figured prominently in this effort, as Russia sought to build upon its existing relations with countries in the region, especially Vietnam, Indonesia, and Myanmar, to maintain its strategic independence. In a move reminiscent of its recent policy in the Middle East, it also sought to expand relations with countries long considered U.S. allies such as the Philippines, Malaysia, and Thailand.
The pivot to Asia came to include three components:
Please click here to read the rest of the policy memo
La réunion signalée pour ce lundi 4 mars 2019, entre les responsables de FCBE et la commission spéciale de la CEDEAO n'a pas eu lieu au siège du parti. Convoqués pour 7 heures, c'est au-delà de 11 heures que les militants ont été reçus avec une annonce des députés Noureini Atchadé et Justin Adjovi, selon laquelle la réunion ne pourra se tenir. D'après les informations, certains participants se sont mis en colère lorsqu'il a été proposé de payer les frais de déplacement des militants, fixés à 2.000 FCFA.
Le parti FCBE avait lancé d'urgence un appel à tous ses militants dans la soirée de dimanche 03 mars 2019, sur les réseaux sociaux. Selon le message, tous les leaders du parti FCBE de Cotonou et environs doivent prendre part ce lundi à une rencontre avec la délégation de la CEDEAO venue au Bénin dans le cadre d'une mission pré-électorale et d'évaluation de la situation politique. Mais, aucun membre de la commission de la CEDEAO n'était présent à cette rencontre. Face à cette situation, les députés à cette séance n'ont présenté que des excuses aux militants. Certains d'entre eux ont condamné la démarche des leaders FCBE.
Selon les informations, la plupart des militants ont été informés de la séance tard la nuit vers 1 heure du matin.
Au siège du parti ce lundi matin, il n'y avait que quelques militants dans la salle de réunion. Les interventions ont tourné autour d'un “mot d'ordre” que doivent donner les leaders FCBE afin que les populations passent à la désobéissance civile.
Mais rien n'y fit.
Aux dernières nouvelles, la rencontre de la commission spéciale de la CEDEAO avec les Fcbe et les autres partis de l'opposition est reportée dans l'après-midi de ce lundi ou dans la journée de mardi.
Akpédjé AYOSSO
Votre solution économique et environnemental pour les routes
La mission de la Communauté économique des Etats de l'Afrique de l'Ouest (CEDEAO) en visite au Bénin dans le cadre du scrutin du 28 avril prochain, a rencontré dans la matinée de ce lundi 04 mars 2019, le ministre de l'économie et des finances, le Garde des sceaux, ministre de la justice chargé des relations avec les institutions et enfin, la Cour constitutionnelle. A ces différents endroits, les autorités béninoises ont rassurés la mission conduite par la vice-présidente de la Cedeao, que tout est mis en œuvre pour que les élections se passent bien.
Selon le Commissaire à la paix et à la sécurité de l'organisation sous régionale, conformément au protocole additionnel de la CEDEAO sur la bonne gouvernance et la démocratie, à chaque fois qu'il y a élection dans l'un des 15 Etats membres dont le Bénin, la Commission envoie une mission d'information qui s'intéresse aux préparatifs desdites élections.
Le premier aspect de la mission, souligne le Commissaire, est de voir comment les élections législatives sont préparées dans le pays. Et par rapport à cela, s'il y a quelques remous sociopolitiques, elle déploie « Une diplomatie préventive ». Pour lui, la mission a un double aspect. Il s'agit premièrement de visiter les préparatifs de ces législatives et, deuxièmement, s'il y a des difficultés de compréhension sociopolitique, elle dresse le lit d'une diplomatie préventive pour éviter qu'il y ait des conflits après.
Selon le général Francis A Béhanzin, l'organisation sous-régionale a un cadre de prévention, de gestion des conflits. Ce qui fait que la paix règne un peu dans la sous-région. Il souligne que les élections ont toujours été des points d'achoppement pour les Etats. Pour le scrutin du 28 avril prochain, la Commission de la CEDEAO est entrain de voir comment elle peut les gérer de façon régionale afin que cela soulève moins de difficultés pour que la paix, la sécurité et l'Etat de droit règnent et que le développement accompagne.
Le Commissaire a annoncé que dans l'après-midi ou dans la journée du mardi 05 mars, la mission va rencontrer les organes de gestion des élections (la Cena, le Cos-Lépi), le chef de l'Etat Patrice Talon si possible ainsi que les partis de la mouvance présidentielle et ceux de l'opposition.
F. Aubin AHEHEHINNOU