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Addressing a high-level audience of government officials, ambassadors, and private sector representatives as a guest speaker at the February 18th “Rendezvous Series” at Capital Club Bahrain, IPI MENA Director Nejib Friji highlighted key IPI initiatives that focus on managing risk and building resilient societies.
Mr. Friji called for further commitment for achieving regional cooperation and integration through sustainable development and peace in the MENA region. He stressed the importance of integrating universal values of diplomacy and dialogue across all sectors of society.
Pointing to the European Union’s formation following the World Wars as an example of regional integration, Mr. Friji stressed the need for a “homegrown” initiative in the Middle East and North Africa.
“We must engage regional players to find solutions to regional problems that are connected to wider global issues,” he stated. He underlined the formation of IPI’s Taskforce on Regional Cooperation and Integration in the MENA Region as a core project aiming to produce concrete, actionable ideas for cooperation.
Highlighting IPI’s mission promote peace through multilateralism, Mr. Friji referred to the Independent Commission on Multilateralism Report (ICM), an international, multi-stakeholder process organized by IPI and chaired by former Australian Prime Minister Kevin Rudd for its role in making the United Nations more “fit for purpose.”
Mr. Friji also emphasized the value of IPI’s Water Diplomacy and Energy Security initiatives as two fundamental areas of focus within the Taskforce project.
During an interactive slide-show presenting the Global Leaders Series, Mr. Friji said, that the initiative’s aim “is to engage in debate that will nurture a constructive and dynamic exchange of views on a range of issues—peacebuilding, development and security.”
Mr. Friji pointed to an initiative running parallel to IPI’s Global Leaders Series, the Future Leaders Series, which provides a platform to actively involve and empower youth as writers and key actors in the promotion of the Culture and Education of Peace.
He also noted the recent book launch of 17 SDGs (UN Sustainable Development Goals) by 12-year old Adam Jade Kadia, the youngest peace writer in the region, which was held at IPI MENA as part of the Future Leaders Series program. The book launch convened dozens of schoolchildren to discuss their contribution to promoting the SDGs within their societies.
Concluding the interactive session, Mr. Friji urged participants to invest in human resources to build sound and resilient societies.
La Cour Suprême vient de se déclarer incompétente au sujet du rejet des dossiers des partis Forces cauris pour un Bénin émergeant (Fcbe) et de l'Union sociale libérale (Usl) par le Ministère de l'intérieur.
Les militants des Fcbe et de l'Usl sont fixés sur leur sort. La chambre administrative du tribunal d'instance compétent pour statuer sur le dossier est le Tribunal de Première Instance de Cotonou. Ainsi, leur recours contre la notification de non conformité formulée par Sacca Lafia, ministre de l'intérieur et de la sécurité publique n'a pas prospéré. Incompétente, la chambre administrative de la Cour suprême s'est déclarée ne pourra statuer en premier ressort. C'est dire simplement que la participation de l'USL et des FCBE aux élections legislatives est plus que jamais compromise.
A l'issue de la délivrance de certificat de non conformité aux Forces Cauris pour un Bénin Émergent et l'Union Sociale Libérale, les responsables de ces formations politiques ont saisit la chambre administrative de la Cour Suprême. Attendant une suite favorable à leur requête voilà que l'audience de ce mardi 26 février 2019 s'est déclarée incompétente en premier ressort.
La CENA clôture le dépôt des dossiers de candidature ce jour à minuit. Ce qui sous-entend pour le moment que ces partis sont mis hors jeu pour les législatives prochaines.
G.A.
On the morning of 26 February, an SMM patrol consisting of six members and two armoured vehicles was positioned on the western edge of Zolote-5/Mykhailivka (non-government-controlled, 58km west of Luhansk), about 500m east of the eastern edge of the Zolote disengagement area. The patrol was monitoring the security situation in the area to enable repair works to water pipes in Zolote-5/Mykhailivka. Three patrol members were standing next to the vehicles and the others were inside them. Six employees of the Luhansk Water Company were conducting the repair works about 100m west-north-west of the SMM’s position.
Despite security guarantees having been provided, at 12:18, the SMM patrol members who were standing next to their vehicles heard about five shots of small-arms fire approximately 200m west-north-west, followed by the sound of bullets flying about 10m over their heads; subsequently, they heard and saw the bullets hitting at least one tree about 5-10m south-east of the SMM’s position. The three SMM patrol members took cover on the ground and then inside their vehicles and saw the Luhansk Water Company employees taking cover behind a tractor. At 12:20 the SMM patrol and the Luhansk Water Company employees departed the area. No injuries or damage to property were reported. The SMM patrol returned safely to its base in Kadiivka (formerly Stakhanov, non-government-controlled 50km west of Luhansk).
L’objectif du public n’est pas toujours d’acheter : il peut s’agir, simplement, de profiter de l’ambiance particulière aux ventes en enchères.
“Une fois ! Deux fois ? Trois fois, adjugé !” La formule des commissaires-priseurs résonne dans les ruelles étroites de ce quartier tendance d’Istanbul, interpellant les passants qui découvrent avec surprise qu’on peut y faire de bonnes affaires. Une aubaine, en ces temps économiques troublés.
Les ventes aux enchères ont la réputation d’être la chasse gardée de quelques riches flâneurs en quête d’une toile de maître ou d’un vase antique, où chaque pièce proposée au public est aussi unique que coûteuse, se chiffrant régulièrement en millions d’euros.
Ce n’est pas le cas à Balat, un quartier du coeur historique d’Istanbul. Habité naguère par les minorités chrétienne et juive, c’est aujourd’hui un lieu prisé des touristes et des jeunes branchés qui assiègent ses cafés hipsters et ses églises anciennes.
Depuis 2014, les ventes aux enchères bon marché de Balat sont devenues une attraction à part, attirant le week-end des foules avides de trésors sortis tout droit des greniers, des meubles fatigués aux jouets anciens.
Pour la population locale, ces enchères sont aussi l’occasion de faire de bonnes affaires et de ménager ainsi leur porte-monnaie alors que la situation économique s’est dégradée l’an dernier, dans un contexte de forte hausse des prix.
Certains se débarrassent ainsi de leur mobilier ou mettent en vente des biens hérités de leurs grands-parents. Et pour nombre de personnes rencontrées dans les salles bondées, comme Murat qui vient d’acheter pour son fils un stylo-laser à 10 livres turques (moins de deux euros), c’est une découverte : “J’étais ici en train de me promener avec mon fils, quand on a entendu les cris et vu les écriteaux nous invitant à entrer. On est entrés par curiosité pour voir à quoi ressemblent les ventes aux enchères”, explique Murat. “Je n’en avais jamais vu auparavant, je croyais que c’était pour les riches. J’aime vraiment l’atmosphère ici, c’était assez amusant et les prix sont plus que raisonnables”, ajoute-t-il. “Je vais revenir, c’est sûr.”
Spectacle
Dans cette salle de ventes aux enchères comme dans la dizaine d’autres à Balat, tout est fait pour attirer le chaland qui hésite sur le pas de la porte, se hissant sur la pointe des pieds pour jeter un coup d’œil sans oser entrer. C’est là que le commissaire-priseur, Ali Tuna, entre en scène : il invite les néophytes à s’asseoir, les met à l’aise avec une plaisanterie, se déplace entre les sièges pour montrer de plus près les petits objets comme des stylos, une dague ou un miroir en argent. “Je dois faire en sorte que l’ambiance reste dynamique. Je ne peux pas laisser l’énergie s’évanouir”, explique-t-il à l’AFP.
La performance de M. Tuna, équipé d’un micro-cravate, ressemble à celle d’un humoriste livrant son spectacle. Certains habitués viennent ici juste pour voir cet homme au chapeau qui interpelle des clients par leur prénom et raconte l’histoire des objets mis en vente. Mais en dépit de sa virtuosité, M. Tuna n’est pas un commissaire-priseur professionnel : directeur marketing dans une entreprise, il a fait de la vente aux enchères sa passion. “Ce boulot est une sorte de passe-temps pour moi”, explique-t-il. “On rencontre des gens différents, certains viennent pour étancher leur soif d’antiquités, d’autres pour trouver des bibelots à trois sous”. Il est l’heure pour lui de reprendre le spectacle : “10 livres, j’ai dit 10, mais maintenant je veux 15, 20 maintenant, 35 ! 40, 50…”, égrène-t-il avec un débit saccadé en montrant un modèle réduit de voiture.
La Ford bleue sera vendue à 50 livres (6 euros) à Nil Su, une étudiante qui veut l’offrir à son petit frère. “La compétition a été rude. J’aurais pu l’acheter pour bien moins que cela, s’il n’y avait pas eu ce monsieur”, sourit-elle en désignant un homme âgé assis au premier rang.
“Bonne qualité, prix raisonnables”
Yavuz est un client qui, parfois, vend aussi des objets aux enchères. “Ici, les prix sont très corrects. On peut acheter des objets de bonne qualité à des prix raisonnables parce que les mises commencent très bas”, se félicite-t-il, alors que “le pouvoir d’achat des gens a beaucoup diminué en Turquie”.
L’an dernier, l’inflation a atteint des niveaux record depuis 15 ans et la livre turque s’est effondrée, perdant près de 30% de sa valeur face au dollar. Mais les ventes ne débutent pas toujours à quelques euros, nuance Ercan Altan, propriétaire d’une autre salle de vente aux enchères à Balat, aménagée dans un ancien café qu’il a reconverti. “Pour certains objets, comme ce gramophone, il est impossible de commencer à 10 livres”, dit-il. “On commence, disons, à 1 500 livres (250 euros), et on vend à un prix pas très éloigné de la mise de départ”.
L’objectif du public n’est pas toujours d’acheter : il peut s’agir, simplement, de profiter de l’ambiance particulière aux ventes en enchères. Une buvette (payante) aussi a été aménagée dans certains de ces lieux. “Pour moi, c’est comme une sortie”, sourit Hülya Sahin, la quarantaine. “On s’amuse vraiment beaucoup ici.”
Par Fulya OZERKAN (AFP)
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