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Le Bénin adopte une marque-pays

24 Heures au Bénin - Wed, 06/12/2024 - 17:10

Le gouvernement du président Patrice Talon a adopté, mercredi 12 juin 2024, en Conseil des ministres, la marque-pays du Bénin.

« UN MONDE DE SPLENDEURS », c'est désormais la marque-pays du Bénin. Elle a été instituée par le gouvernement dans le cadre de la dynamique de la promotion touristique en cours. Le Bénin, souligne le gouvernement, « dispose non seulement de multiples atouts économiques, touristiques, artistiques, cultuels, culturels, naturels, sportifs, numériques et éducatifs, mais aussi d'un potentiel remarquable ». Pour le gouvernement, « dans un environnement mondial concurrentiel, la mise en place d'une telle marque permet de se différencier des autres nations en adoptant une stratégie de promotion distinctive ». L'objectif est de « renforcer l'attractivité du Bénin et de le promouvoir comme destination touristique de premier plan aussi bien à l'échelle nationale qu'internationale ».

L'initiative vise notamment à faire de la marque-pays une plateforme de promotion des attractions touristiques du Bénin, attirant de ce fait un flux accru de visiteurs internationaux ; créer une identité visuelle forte et promouvoir les valeurs et les richesses du Bénin, en contribuant à renforcer le sentiment d'appartenance des citoyens béninois envers leur pays. L'objectif est aussi de contribuer à attirer les professionnels qualifiés et les talents internationaux en projetant une image attractive du Bénin, pour accroître la compétitivité du pays sur le marché mondial ; de renforcer, à travers une marque-pays forte et bien positionnée, la confiance des investisseurs envers le Bénin, tout en mettant en avant les opportunités commerciales et les secteurs d'excellence du pays, favorisant ainsi les investissements étrangers et les exportations.

« Le ministre du Tourisme, de la Culture et des Arts, en lien avec le ministre de l'Economie et des Finances, prendra les mesures nécessaires à la vulgarisation du logotype ainsi que la marque du pays », informe le Conseil des ministres.

Akpédjé Ayosso

Categories: Afrique

Indemnisation des personnes affectées par les travaux de l'échangeur de Vedoko

24 Heures au Bénin - Wed, 06/12/2024 - 17:10

Le gouvernement a approuvé mercredi 12 juin 2024, la mise en œuvre du plan d'action de réinstallation des personnes affectées par les travaux de construction de l'échangeur du carrefour Vêdoko dans la ville de Cotonou.

Les personnes affectées par les travaux de construction de l'échangeur de Vêdoko seront bientôt dédommagées. Le gouvernement a approuvé un plan de réinsertion mercredi 12 juin 2024 en Conseil des ministres.
Selon le communiqué du gouvernement, la libération des emprises en vue de la réalisation de ce projet destiné à améliorer les conditions de mobilité dans la ville, a mis en évidence quelques constructions, terrains et installations diverses frappés de servitude de reculement. Selon les résultats du comité dédié, 190 personnes affectées par le projet ont été recensées dans le périmètre concerné pour être éligibles à l'indemnisation.

Categories: Afrique

Ehua Agripa Bénin SA agréée au Code des investissements

24 Heures au Bénin - Wed, 06/12/2024 - 17:09

Le gouvernement a autorisé en Conseil des ministres, mercredi 12 juin 2024, l'agrément de la société Ehua Agripa Bénin SA au Code des investissements du Bénin.

La société Ehua Agripa Bénin SA a obtenu le bénéfice des avantages du régime B du Code des investissements. C'est dans le cadre de la réalisation de son projet de mise en place d'une unité intégrée moderne d'élevage avicole pour la production de poussins d'un jour dans la commune de Tori-Bossito. La mise en œuvre de ce projet va générer de nombreux emplois.

« L'effectivité du projet permettra aux acteurs de la filière avicole de s'approvisionner sur place en poussins d'un jour, limitant ainsi les importations massives observées jusqu'ici », informe le Conseil des ministres.

Akpédjé Ayosso

Categories: Afrique

Macron attacks ‘extremes’ and conservatives as he enters campaign race

Euractiv.com - Wed, 06/12/2024 - 17:07
Emmanuel Macron lashed out at political extremes and the conservative leadership’s decision to ally with the far-right, dubbing them “anti-Republican,” in a two-hour long press conference on Wednesday (12 June) that marked the president’s first steps in the snap elections campaign.
Categories: European Union

German car industry, government react against EU EV tariffs as BMW faces 21% duty 

Euractiv.com - Wed, 06/12/2024 - 17:06
The German car industry association VDA and senior government ministers criticised the EU’s preliminary tariffs on China-made electric cars announced today (12 June), which will also hit European companies producing in China, such as BMW and Dacia. 
Categories: European Union

Passage à l’électrique : les voitures de fonction toujours à la traîne, selon un rapport

Euractiv.fr - Wed, 06/12/2024 - 16:22
Selon un nouveau rapport de l’ONG Transport & Environment publié mardi (11 juin), les entreprises européennes peinent à faire passer leurs flottes de véhicules à l’électrique, faisant moins bien à cet égard que les consommateurs privés, et ce pour la troisième année consécutive.
Categories: Union européenne

The Brief – France’s political scene in chaos

Euractiv.com - Wed, 06/12/2024 - 16:20
Three days after the European elections and Emmanuel Macron's dissolution of the National Assembly, the French political landscape is a field of ruins.
Categories: European Union

Que se passe-t-il lorsque l'on consomme trop de caféine ?

BBC Afrique - Wed, 06/12/2024 - 16:11
La caféine est un ingrédient actif de certaines des boissons les plus appréciées au monde et a un effet puissant sur le corps humain. Que se passe-t-il si vous en consommez trop ?
Categories: Afrique

The 'magnetic' Malawi vice-president who inspired hope

BBC Africa - Wed, 06/12/2024 - 16:04
Saulos Chilima has died at the age of 51 in a plane crash.
Categories: Africa

Politique agroalimentaire : les eurodéputés à surveiller pour la prochaine législature

Euractiv.fr - Wed, 06/12/2024 - 15:52
Au lendemain des élections européennes, la composition des membres du Parlement européen qui façonneront la politique agricole au cours de la nouvelle législature se précise.
Categories: Union européenne

A River’s Contrasts and Inequalities in the Arid Lands of Brazil

Africa - INTER PRESS SERVICE - Wed, 06/12/2024 - 15:50

Osnir da Silva Rubez prepares the furrows that will take water from the São Francisco river to irrigate his crops in the Brazilian Semi-arid ecoregion. He refuses to join the local drip or micro-sprinkler irrigation system, which is more efficient in water use, fertilisation and soil protection. Credit: Mario Osava / IPS

By Mario Osava
JUAZEIRO, Brazil , Jun 12 2024 (IPS)

Osmir da Silva Rubez refuses to join the drip system, and is the only one among the 51 families living in the Mandacaru Public Irrigation Project in Juazeiro, a municipality in the state of Bahia, in the Northeast region of Brazil, to maintain the furrows that carry water to their crops.

The São Francisco River, which rises in the state of Minas Gerais, near the centre of Brazil, and flows northeast, has boosted irrigated agriculture in its 2,863 kilometres, much of it in semi-arid territory, with rainfall averaging between 200 and 800 millimetres per year.

It is a privileged basin, located in a region that suffers from water scarcity, especially in the increasingly recurrent droughts, when small rivers and streams dry up.

Water availability, immense due to the river’s large flow, was increased by the construction of two hydroelectric dams North and South of Juazeiro, a city of 238,000 people, which has developed a fruit-growing industry, mainly for export.

Mangoes and grapes are the main local crops, grown on large private farms and in the irrigation projects of the state-owned São Francisco and Parnaíba Valley Development Company (Codevasf). Export activity highlights the contrasts and inequalities of the so-called Semi-arid ecoregion.

Drip irrigation hoses on an Agrodan farm on an island in the São Francisco River, in Brazil’s arid Northeast. The company claims to be the country’s largest mango producer and exporter. Credit: Mario Osava / IPS

Flood irrigation

“The ditches that were initially used for irrigation are wasteful in their use of water. Drip irrigation is mostly used nowadays, since it uses only the necessary water, is monitored by computers and measures of soil humidity,” explained Humberto Miranda, chair of the Bahia Federation of Agriculture.

“Before, only 30 per cent of the water was used, today more than 90 per cent is used, which means that little is lost,” he said during an IPS tour of various localities in Juazeiro to visit farms and organisations involved in the irrigation project.

In Mandacaru, the system that enabled the switch to drip irrigation, with ponds and pumping, was implemented in 2011, explained Manoel Vicente dos Santos, one of the first settlers in the project launched in 1973. “Irrigation by furrows was unstable, bringing more water to one plant than to others, a waste,” he recalled.

But Rubez resists the change. In addition to the investment required in pumps and hoses, the drip system uses a lot of electricity, about 1,000 reais (200 dollars) a month. “And I have no heirs to leave the system to,” the 60-year-old single man joked with IPS.

Suemi Koshiyama, a Japanese immigrant who became a large producer of grapes and mangoes in the São Francisco river valley, in arid lands in the municipality of Juazeiro, in northeastern Brazil, shows the hose that irrigates his vineyard, drip-fed from above and not on the ground. Credit: Mario Osava / IPS

The drip system is a step forward in these irrigation projects. Apart from saving water, it improves soil management, reducing erosion and controlling chemical fertilisation by directing it to the roots through the water, says José Moacir dos Santos, general coordinator of the non-governmental Regional Institute for Appropriate Small Farming (Irpaa).

But irrigation projects, whether Codevasf or private, do not favour local development, concentrate income, nor offer seasonal jobs during harvests, and they promote inequality, Dos Santos criticised.

Prosperity for the few

The wealth amassed by export fruit farming stays in the hands of a few, but creates a perception of prosperity that attracts many poor people to Juazeiro and neighbouring Petrolina, a city of 387,000 people separated by the São Francisco river and linked by a bridge.

Migration to these two fruit-growing capitals of the Brazilian Northeast “swells their populations, especially their poor and infrastructure-poor peripheries, while emptying nearby cities,” said the activist, son of Manoel Vicente, one of the project’s settlers.

In his opinion, an “injustice” has been done, because the river supplies the fruit-growing industry that exports its water contained in the fruit to Europe, the United States and Japan. But it does not do the same for the entire riverside population, which also has to resort to other, more distant springs.

Water pumping station from the São Francisco river to irrigate fruit farming at a project near Juazeiro, a production and export hub for fruit, especially mangoes and grapes, in Brazil’s arid northeast. Credit: Mario Osava / IPS

In addition, most of the farmers have no irrigation. Communities encouraged by the government many years ago and traditional farmers in the basin have no access to water from the river, nor to the financing or other public project perks.

The dominant monoculture of fruit trees forces food imports. Juazeiro and Petrolina, with a combined population of 625,000, produce less food for local consumption than Campo Alegre de Lourdes, a municipality 350 kilometres away with only 31,000 inhabitants, compared Dos Santos, an agricultural technician.

The flow of goods, with fruits leaving and other products arriving from various parts of Brazil, has transformed the Juazeiro Producer Market into Brazil’s second largest agricultural trade hub, surpassed only by São Paulo, a metropolis of 12 million inhabitants – 22 million if its large metropolitan area is added.

“The fruit-growing hub is an artificial system that concentrates the best soils and water of São Francisco on islands and generates the illusion of growth in Greater Juazeiro and Petrolina, where only 5 per cent of the land is suitable for irrigation, with water for only 2 per cent,” said Roberto Malvezzi, an activist with the Catholic Pastoral Land Commission.

Maciela de Oliveira Silva in the shop where she sells products from the Mossoroca and Region Family Farming Cooperative, such as sweets, jellies and liqueurs made from native fruits from the so-called “grassland fund”, a collective area where farmers extract fruit, produce honey and raise goats and sheep. Credit: Mario Osava / IPS

Suitable alternatives

For Malvezzi, who has a degree in philosophy and theology, the Semi-arid region’s main economic and productive vocation is small livestock, such as goats and sheep, rather than agriculture.

A mistake that has cost it multiple crises and impoverishment, as well as the environmental destruction of the Semi-arid region, was the historical expansion of cattle in Northeastern Brazil, whose interior is mostly semi-arid.

The industrial and commercial chain for goats should be developed, including slaughterhouses and services such as technical assistance and health surveillance, said Malvezzi, who was born in the state of São Paulo, studied philosophy and theology there, but lives in the Northeast since 1979.

The Semi-arid is a region of family farming, and for nearly three decades has seen a transformation process seeking to adapt its development to local conditions, including the climate. “Living with the Semi-arid”, which means rejecting colonial influences and impositions of the past, is the goal.

Main canal supplying an irrigation project with water from the São Francisco river in the Semi-arid region. Secondary canals and local pumps in the fruit orchards complete the system that replaced irrigation by flood furrows, practically abolished because of the waste of water. Credit: Mario Osava/IPS

Small animal husbandry, instead of water-intensive cattle farming, and rainwater harvesting, both for human and animal consumption and for agricultural production, are some of the proven and effective ways.

In the state of Bahia, a traditional agrarian singularity has been institutionalised, the “grassland fund”, a large collective land, managed for the extraction of native products, such as fruits, and the raising of goats and sheep. Horticulture is expanding strongly throughout the Semi-arid region.

The Family Agricultural Cooperative of Massaroca and Region (Coofama), in the municipality of Juazeiro, is an example of a grassland fund, whose jellies, liqueurs and other native fruit products, such as umbu, and honey, are sold on the nearby highway and in cities.

‘Quiosco da Umbuzada’ is the name given to the roadside shop in the village of Massaroca, and ‘Central da Caatinga’, a shop in the city of Juazeiro, sell the products of Coofama and other family farming cooperatives.

“Goats survive better in prolonged droughts, they eat leaves even from tall trees,” Coofama farmer Maciela de Oliveira Silva, who runs the roadside shop, where she works from 8 a.m. to 5 p.m. on a minimum wage, equal to 280 dollars, told IPS.

Eggs are another viable and promising food production in the Semi-arid, according to the Association of Small Producers of Canoa and Oliveira, led by Gilmar Nogueira Lino, owner of some 1,000 hens, also in the south of Juazeiro.

The association’s 60 families produced 17,444 dozen eggs in 2023, said Lino. “The hens are faster than goats, start providing income in a few months and don’t require large spaces,” he told IPS.

On his half-hectare property, the farmer has chicken coops and a shop that sells food, drinks and cooking gas. He also donated the land for the association’s headquarters. He only had to overcome the prejudice that “raising chickens is a woman’s business.”

Categories: Africa

Pacte migratoire : les Vingt-Sept doivent préparer des plans de mise en œuvre d’ici décembre

Euractiv.fr - Wed, 06/12/2024 - 15:47
Les Vingt-Sept doivent préparer d’ici décembre leurs plans de mise en œuvre du pacte sur la migration et l’asile, une vaste réforme qui durcit le contrôle de l’immigration dans l’UE, a indiqué mercredi (12 juin) la Commission européenne.
Categories: Union européenne

Nouveau décret de la wilaya d’Alger : la fourrière pour les auteurs de cette infraction

Algérie 360 - Wed, 06/12/2024 - 15:46

Fin des incivilités sur les rails du tramway d’Alger ! Face à la recrudescence des comportements dangereux, tels que la conduite sur les rails, le […]

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Categories: Afrique

Extension du dragage du lac Ahèmé,de Docloboué à la bouche du Roy

24 Heures au Bénin - Wed, 06/12/2024 - 15:43

Après le dragage pilote du lac Ahémé et de ses chenaux réalisé avec satisfaction au niveau du carrefour de Djondji-Houncloun, le gouvernement autorise l'extension de Docloboué à la Bouche du Roy. La décision a été prise mercredi 12 juin 2024 en Conseil des ministres.

En Conseil des ministres ce mercredi 12 juin 2024, le gouvernement a marqué son accord pour l'extension des travaux de dragage pilote du lac Ahémé et ses chenaux, de Docloboué à la Bouche du Roy. Le but visé selon le communiqué du Conseil des ministres, est de faciliter la navigation fluviale et la migration des espèces halieutiques entre l'océan et les eaux continentales.
Dans le cadre de la réhabilitation de ce lac et ses chenaux, le dragage pilote lancé au niveau du carrefour de Djondji-Houncloun a été mené à terme de façon satisfaisante. Le volume des sédiments dragués selon le gouvernement, a atteint 8.737.415 mètres cubes, soit 104,6% du volume estimé. « L'entreprise a par ailleurs réalisé 12,5 hectares de mangrove pour une superficie initialement envisagée de 10 hectares, soit un taux de réalisation de 125%. De même, les ouvrages prévus, constitués de deux passerelles à Mêko et Haata et de quatre embarcadères / débarcadères à Djondji, Houncloun, Mêko et Gonko, ont été exécutés. Deux réserves biologiques de repeuplement naturel du plan d'eau en défens de pêche et des étangs piscicoles ont également été construits », indique le compte rendu de la réunion hebdomadaire de l'exécutif.
A travers l'extension Docloboué à la Bouche du Roy, le gouvernement entend maximiser les gains de la première opération.

F. A. A.

Categories: Afrique

Construction de 460 logements sur le domaine de l'ex Camp Guézo

24 Heures au Bénin - Wed, 06/12/2024 - 15:34

Le gouvernement béninois a approuvé ce mercredi 12 juin 2024, en Conseil des ministres les modalités de réalisation et d'exploitation du projet de construction du complexe immobilier Camp Guézo à Cotonou.

En Conseil des ministres, le gouvernement béninois s'est penché sur le projet du complexe immobilier de Camp Guézo. Ce projet prévoit la construction de 460 logements sous forme d'appartements de type F4 de standings variés.

Il s'agit notamment de 208 appartements de type A avec une surface habitable de 83,98 m², 156 appartements de type B avec une surface de 178,21 m², 84 appartements de type C avec une surface de 231,68 m², 12 appartements de type D avec une surface de 323,64 m² ; le tout doté d'un centre commercial, des aires de jeux et piscine ainsi que d'espaces verts.

Selon le Conseil des ministres, pour favoriser la mise en œuvre du projet dans de brefs délai « les diligences menées ont déjà permis de sélectionner diverses entreprises pour les missions de maîtrise d'œuvre complète, de contrôle technique, d'étude d'impact environnemental et social, y compris le contrôle et le suivi ».
« En vue de la réalisation des travaux proprement dits, le Conseil a marqué son accord pour la contractualisation avec une société spécialisée puis instruit les ministres concernés de veiller à leur bonne exécution », informe la même source.

Akpédjé Ayosso

Categories: Afrique

La SNCF à la conquête du marché italien de la grande vitesse

Euractiv.fr - Wed, 06/12/2024 - 15:32
SNCF Voyageurs, la compagnie du groupe ferroviaire français SNCF chargée de l’exploitation des trains de voyageurs, va proposer des liaisons à grande vitesse entre les principales villes italiennes en 2026, attaquant ainsi sur son pré carré Trenitalia, qui s’est elle implantée en France fin 2021.
Categories: Union européenne

Griechenlands Parteien nach den EU-Wahlen im Krisenmodus

Euractiv.de - Wed, 06/12/2024 - 15:27
Die Ergebnisse der Europawahlen haben alle etablierten Parteien in Athen enttäuscht. Mit einer noch nie dagewesene Wahlenthaltung haben die Griechen den Politikern den Rücken gekehrt.
Categories: Europäische Union

Les Nigériens interpellés à Semé attendus devant le procureur

24 Heures au Bénin - Wed, 06/12/2024 - 15:27

Les cinq ressortissants nigériens interpellés sur la plateforme de Sèmè-Kpodji mercredi 07 juin dernier seront bientôt présentés au procureur de la République près la Cour de répression des infractions économiques et du terrorisme (CRIET).

L'enquête ouverte après l'interpellation de 5 Nigériens sur le site du Pipeline Bénin/Niger à Sèmè-Kpodji est presque achevée. Les mis en cause, dont la directrice adjointe de Wapco Niger, seront présentés à la CRIET ce mercredi 12, ou au plus tard jeudi 13 juin 2024, selon RFI. On leur reproche de s'être introduits frauduleusement sur la plateforme du Pipeline à Sèmè. Deux des mis en cause avaient sur eux de faux badges au moment de leur interpellation.

F. A. A.

Categories: Afrique

COMPTE RENDU DU CONSEIL DES MINISTRES DU 12 JUIN 2024

24 Heures au Bénin - Wed, 06/12/2024 - 15:24

Le Conseil des Ministres s'est réuni mercredi, le 12 juin 2024, sous la présidence de Monsieur Patrice TALON, Président de la République, Chef de l'État, Chef du Gouvernement.

Les décisions ci-après ont été prises :
I- COMMUNICATIONS.
I-1. Mise en œuvre du plan d'action de réinstallation des personnes affectées par les travaux de construction de l'échangeur du carrefour Vêdoko dans la ville de Cotonou.

La libération des emprises en vue de la réalisation de ce projet destiné à améliorer les conditions de mobilité dans la ville a mis en évidence quelques constructions, terrains et installations diverses frappés de servitude de reculement.
Il ressort des travaux du comité dédié que 190 personnes en sont affectées et ont été recensées dans le périmètre concerné pour être éligibles à l'indemnisation.
En approuvant le rapport soumis à son appréciation, le Conseil a instruit les ministres qui assurent la conduite du dossier de veiller à la prise en charge des intéressés et à la libération effective du champ des travaux.

I-2. Contractualisation pour l'extension des travaux de dragage pilote, de Docloboué à la Bouche du Roy, dans la zone du lac Ahémé et ses chenaux.

Dans le cadre de la réhabilitation de ce lac et ses chenaux, le dragage pilote lancé au niveau du carrefour de Djondji-Houncloun a été mené à terme de façon satisfaisante.
En effet, le volume des sédiments dragués a atteint 8.737.415 mètres cubes, soit 104,6% du volume estimé. L'entreprise a par ailleurs réalisé 12,5 hectares de mangrove pour une superficie initialement envisagée de 10 hectares, soit un taux de réalisation de 125%. De même, les ouvrages prévus, constitués de deux passerelles à Mêko et Haata et de quatre embarcadères / débarcadères à Djondji, Houncloun, Mêko et Gonko, ont été exécutés. Deux réserves biologiques de repeuplement naturel du plan d'eau en défens de pêche et des étangs piscicoles ont également été construits.
Pour optimiser les gains de cette opération, il s'avère nécessaire d'étendre le dragage au segment Docloboué - Embouchure Bouche du Roy à Avlo- plage afin de faciliter la navigation fluviale et la migration des espèces halieutiques entre l'océan et les eaux continentales.
Aussi, le Conseil a-t-il marqué son accord pour la contractualisation avec l'entreprise ayant exécuté la première opération en vue de la prise en charge de ce segment supplémentaire. Le ministre du Cadre de Vie et des Transports, chargé du Développement Durable veillera à la bonne réalisation des travaux.

I-3. Adoption du Document de Programmation budgétaire et économique pluriannuelle 2025-2027.

Institué par la loi organique relative aux lois de finances, le Débat d'Orientation budgétaire a pour principal support le Document de Programmation budgétaire et économique pluriannuelle, accompagné des documents de Programmation pluriannuelle des dépenses qui constituent les principaux vecteurs de la performance.
L'ensemble de ces documents forme le rapport préparatoire au Débat qui participe du renforcement des pouvoirs de contrôle de l'institution parlementaire. Cette démarche permet d'améliorer son information à travers la présentation d'une première estimation de l'évolution de la situation économique et financière du pays à moyen terme.
C'est à cette fin que le présent Document de Programmation budgétaire et économique pluriannuelle a été adopté par le Conseil pour être transmis à la Représentation nationale.
Il postule que sur la période 2025-2027, la politique économique sera orientée vers la poursuite de la transformation de l'économie conformément au Programme d'Action du Gouvernement 2021-2026.
Plus précisément, l'État poursuivra les actions de diversification de l'économie, d'amélioration des capacités de production et de la productivité. Il est à noter qu'un accent particulier sera accordé au développement du secteur industriel, l'objectif étant de poursuivre la remontée des chaînes de valeurs par une transformation locale des produits agricoles et non agricoles. Dans ce cadre, l'État continuera le développement de la Zone économique spéciale de Glo-Djigbé et poursuivra son accompagnement au secteur industriel en général.
Sur le plan social, l'État s'investira dans l'extension des filets sociaux et les progrès vers l'atteinte des Objectifs du Développement Durable (ODD).
Le but visé est de faire bénéficier les fruits de la croissance au plus grand nombre et d'améliorer les conditions de vie des populations, notamment les plus vulnérables. A cet effet, la généralisation du projet Assurance pour le Renforcement du Capital Humain (ARCH) sera effective, les autres mesures sociales seront poursuivies et renforcées ; les projets à fort impact social et sur les ODD continueront de cristalliser l'attention.
S'agissant des finances publiques, l'État va maintenir un cadre financier soutenable. Pour ce faire, un accent sera mis sur la bonne conduite de son Programme économique et financier avec le Fonds Monétaire International (FMI) dont les revues à date se sont soldées par la réalisation de tous les critères de performance et des repères structurels.
En outre, les réformes engagées au niveau des entreprises publiques, des collectivités locales et des organismes de sécurité sociale seront consolidées afin de sauvegarder les acquis et d'optimiser leurs contributions à l'économie.
Enfin, l'ensemble des interventions de l'État se fera de manière à préserver la viabilité de la dette et la soutenabilité des finances publiques.

I-4. Adoption de la marque-pays du Bénin.

Notre pays dispose non seulement de multiples atouts économiques, touristiques, artistiques, cultuels, culturels, naturels, sportifs, numériques et éducatifs, mais aussi d'un potentiel remarquable qu'il convient de valoriser dans le cadre de la dynamique de sa promotion touristique en cours.
Aussi, le Gouvernement a-t-il convenu d'instituer une marque-pays. Les études et consultations menées ont permis de retenir la promesse de la marque « UN MONDE DE SPLENDEURS ».
En effet, dans un environnement mondial concurrentiel, la mise en place d'une telle marque permet de se différencier des autres nations en adoptant une stratégie de promotion distinctive.
La présente initiative a donc pour objectif de renforcer l'attractivité du Bénin et de le promouvoir comme destination touristique de premier plan aussi bien à l'échelle nationale qu'internationale.
Elle vise notamment à :
faire de la marque-pays une plateforme de promotion des attractions touristiques du Bénin, attirant de ce fait un flux accru de visiteurs internationaux ;
créer une identité visuelle forte et promouvoir les valeurs et les richesses du Bénin, en contribuant à renforcer le sentiment d'appartenance des citoyens béninois envers leur pays ;
contribuer à attirer les professionnels qualifiés et les talents internationaux en projetant une image attractive du Bénin, pour accroître la compétitivité du pays sur le marché mondial ;
renforcer, à travers une marque-pays forte et bien positionnée, la confiance des investisseurs envers le Bénin, tout en mettant en avant les opportunités commerciales et les secteurs d'excellence du pays, favorisant ainsi les investissements étrangers et les exportations.
Le ministre du Tourisme, de la Culture et des Arts, en lien avec le ministre de l'Economie et des Finances, prendra les mesures nécessaires à la vulgarisation du logotype ainsi que la marque du pays.

I-5. Agrément au Code des investissements.

Dans le cadre de la réalisation de son projet de mise en place d'une unité intégrée moderne d'élevage avicole pour la production de poussins d'un jour dans la commune de Tori-Bossito, la société EHUA AGRIPA BENIN SA a sollicité et obtenu le bénéfice des avantages du régime B du Code des investissements au regard des retombées du projet pour l'économie nationale et des nombreux emplois qui en découleront.
L'effectivité du projet permettra aux acteurs de la filière avicole de s'approvisionner sur place en poussins d'un jour, limitant ainsi les importations massives observées jusqu'ici.

I-6. Approbation des modalités de réalisation et d'exploitation du projet de construction du complexe immobilier Camp Guézo.

Le projet du complexe immobilier de Camp Guézo prévoit la construction de 460 logements sous forme d'appartements de type F4 de standings variés.
Il s'agit notamment de 208 appartements de type A avec une surface habitable de 83,98 m², 156 appartements de type B avec une surface de 178,21 m², 84 appartements de type C avec une surface de 231,68 m², 12 appartements de type D avec une surface de 323,64 m² ; le tout doté d'un centre commercial, des aires de jeux et piscine ainsi que d'espaces verts.
Pour favoriser sa mise en œuvre dans de brefs délais, les diligences menées ont déjà permis de sélectionner diverses entreprises pour les missions de maîtrise d'œuvre complète, de contrôle technique, d'étude d'impact environnemental et social, y compris le contrôle et le suivi.
En vue de la réalisation des travaux proprement dits, le Conseil a marqué son accord pour la contractualisation avec une société spécialisée puis instruit les ministres concernés de veiller à leur bonne exécution.

II- RENCONTRES ET MANIFESTATIONS INTERNATIONALES.
Il a été autorisé, sous cette rubrique, la participation du Bénin :
à la réunion de consultation avec les commissions nationales africaines pour I'UNESCO à Luanda, en Angola, du 18 au 2l juin 2024 ;
au 2ème Concours international de Compétences techniques « la ceinture et la route », à Chongqing, en Chine, du 24 au 26 juin 2024 ; puis
l'organisation à Cotonou, de la 25ème réunion statutaire des présidents des cours des comptes et des conseillers à la Cour des comptes de I'UEMOA, du 15 au 19 juillet 2024.

III- MESURES INDIVIDUELLES.
Les nominations ci-après ont été prononcées :
A la Présidence de la République
Haut-Commissaire à la prévention de la corruption : Monsieur Jacques MIGAN

Au ministère de la Justice et de la Législation
Directeur du Centre national du Casier judiciaire : Monsieur Kokou Agbezoungue Bernardin HOUNYOVI
Secrétaire général adjoint du Conseil supérieur de la Magistrature, cumulativement avec ses fonctions actuelles : Monsieur Kokou Lanan William Karmen KODJOH-KPAKPASSOU.

Fait à Cotonou, le 12 juin 2024,
Le Secrétaire Général du Gouvernement,
Edouard OUIN-OURO.

Categories: Afrique

Jacques Migan nommé Haut-Commissaire à la prévention de la corruption

24 Heures au Bénin - Wed, 06/12/2024 - 15:23

En Conseil des ministres, ce mercredi 12 juin 2024, l'avocat Jacques Migan a été nommé Haut-Commissaire à la prévention de la corruption.

Une nouvelle fonction pour Me Jacques Migan. Avocat au barreau du Bénin et ancien bâtonnier il a été nommé ce mercredi en Conseil des ministres, Haut-Commissaire à la prévention de la corruption. Avant son entrée en fonction, Jacques Migan est appelé à prêter serment le président de la République.

Selon la loi N˚2020-09 du 23 avril 2020, le Haut-Commissaire est nommé pour un mandat de 5 ans non renouvelable. « Le Haut-Commissaire dispose, dans l'exercice de ses fonctions, d'une indépendance vis-à-vis des institutions de la République. Il n'est soumis à aucune autorité hiérarchique. Il ne peut être démis de ses fonctions que pour faute lourde », stipule l'article 7.

Rattaché à la présidence de la République, le Haut-Commissariat à la prévention de la corruption a pour mission de suivre la mise en œuvre, au sein des institutions et administrations de l'Etat, des mesures de lutte contre la corruption, d'initier et de mettre en œuvre des actions de prévention de la corruption dans le secteur public comme privé.

Akpédjé Ayosso

Categories: Afrique

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