La hiérarchie militaire et toutes les parties impliquées dans la lutte contre le terrorisme au Bénin ont pris part du mercredi 03 au jeudi 04 juillet 2024 à Parakou, à un séminaire d'évaluation des actions menées. Les participants à ces assises ont également identifié au cours des travaux, les meilleures tactiques pour arriver à bout de l'ennemi.
Les actions menées dans le cadre de la lutte contre le terrorisme jusqu'au 31 mai 2024, ont été examinées lors d'un atelier d'évaluation à Parakou, du mercredi 03 au jeudi 04 juillet 2024. Le but visé est de faire le point de ces actions, et de les réorganiser pour plus d'efficacité. Plusieurs communications ont été développées au cours des assises.
Sur l'acquisition et l'anticipation dans la lutte contre le terrorisme, le Commandant AHANHANZO GLELE selon une publication du gouvernement, a exposé les forces et faiblesses du système de renseignement, et le soutien logistique et sanitaire dans la lutte contre le terrorisme.
Pour le président du comité scientifique du séminaire, le Colonel Alfred ASSOGBA, ces assises doivent rechercher des solutions plus adaptées pour rendre plus efficiente l'opération MIRADOR. « Au nombre des résultats attendus, le mode d'action ennemis et leurs facteurs de succès, le mode d'action amis capable de briser les velléités des terroristes est bien identifié, les besoins logistiques adéquatement formulés et satisfaits dans les meilleurs délais », lit-on dans la publication.
Les participants doivent également œuvrer à identifier les meilleures tactiques face à l'évolution et aux modes d'actions fluctuantes et changeantes des ennemis, et l'accent devra être mis sur la stratégie de communication et le soutien sanitaire.
L'atelier ouvert par le ministre de la défense, a connu la participation du Général de Division, Fructueux GBAGUIDI, Chef d'État-Major Général des Forces Armées Béninoises, l'État-Major de l'opération MIRADOR, les chefs des groupements tactiques interarmes, les chefs divisions de l'État-Major Général, les représentants des organismes interarmes, le chef de l'opération de lutte contre le terrorisme, le cabinet militaire du Président de la République, la direction de la sécurité de liaison de la documentation, les représentants des différentes armées, les sous-Officiers ayant occupé des postes de responsabilité dans MIRADOR et plusieurs autres acteurs.
F. A. A.
Nous accueillons enfin le week-end après une longue semaine. Ce vendredi est une journée spéciale, car l’Algérie célèbre aujourd’hui le 62ᵉ anniversaire de la Fête […]
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Le sélectionneur des Guépards du Bénin, Gernot Rohr, s'est prononcé sur le groupe D dans lequel est logé le Bénin pour le compte des éliminatoires de la CAN 2025.
Le tirage au sort de la 35e édition de la CAN a eu lieu ce jeudi à Johannesburg en Afrique du Sud. Le Bénin retrouvera deux adversaires très familiers que sont le Rwanda et le Nigéria. La Libye est l'autre équipe qui complète le groupe D.
Comme à son habitude à chaque tirage au sort, Gernot Rohr a réagi. Pour le sélectionneur du Onze national, c'est un tirage difficile pour le Bénin.
"C'est un tirage difficile, parce qu'il y a le Nigeria encore. Et nous avons le Rwanda, un adversaire qu'on connait bien et dont on se méfie. Il y a également la Libye qui a une bonne équipe, ça sera un déplacement difficile là-bas.", a-t-il avoué avant de se livrer sur les retrouvailles à préparer avec les Super Eagles du Nigéria.
"Oui, encore des retrouvailles avec le Nigeria. Ça va faire encore trois matchs avec eux. Ce sont des retrouvailles contre une très bonne équipe. Mais on a pris confiance et on sait qu'on peut les battre.", a martelé Rohr.
Le Nigéria sera même le premier adversaire des Guépards lors de la première journée des éliminatoires en Septembre. Rohr et ses poulains se déplaceront en Libye pour le compte de la deuxième journée.
J.S
Après consultation du Conseil supérieur de la magistrature, le président de la République, Abdelmadjid Tebboune, a signé, ce jeudi, deux décrets présidentiels d’une grande portée. […]
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La nuit est tombée sur Sèmè-Kpodji, ville bouillante qui borde l'océan Atlantique, au sud-est du Bénin. De nombreux citadins vaquent encore à leurs occupations, comme Fatima Hounkanrin, la trentaine, qui tient un petit commerce. Son activité se poursuit désormais dans la nuit grâce à l'éclairage public et ses articles – constitués essentiellement de produits de première nécessité : savon, tomate, piment et quelques paquets de sodas – attirent encore quelques clients. « Avant, nous n'avions pas d'éclairage dans la zone et nous arrêtions de vendre la nuit tombée. Aujourd'hui avec l'électricité, nous sommes aidés et nous sommes très contents. Nous pouvons mener notre commerce jusqu'à tard dans la nuit », se réjouit la jeune dame, jetant de temps en temps un coup d'œil furtif sur son téléphone portable à peine chargé.
« Nous remercions vivement nos bienfaiteurs pour ce qu'ils font pour nous », poursuit-elle et d'ajouter : « Il y a des localités qui n'ont pas encore pu bénéficier des bienfaits de ce projet, nous vous prions de penser à eux, car c'est la lumière qui fait le développement », plaide-t-elle.
« Il y a quelques jours, des agents de la société d'électricité sont venus s'entretenir avec nous. Ils nous ont informé qu'un projet était en cours d'exécution et il allait nous fournir de l'électricité. Peu de temps après, cela s'est réalisé et nous en sommes tous très heureux. Nous remercions les bailleurs pour ce bonheur qu'ils nous procurent », salue de son côté, Bertrand Éric Lokossou, un résident de Sèmè-Kpodji.
« Les demandes de compteurs ne trainent plus comme autrefois, la pose des compteurs ne prend plus de temps. C'est une bonne avancée et nous en sommes très heureux », se félicite encore ce père de famille.
Martine Adonon, épouse Padonou, et sa famille ont utilisé pendant de longues années des lampes réchauds et des lampes solaires avec beaucoup de peine. « Le courant était faible. Entre-temps, nous avons dû solliciter un de nos lointains voisins pour qu'il nous partage son courant parce que nous n'avions pas les moyens pour le branchement. Cela n'a pas été facile du tout. Il y avait de fréquentes baisses de tension et des coupures presque permanentes au point où la vieille dame qui est avec moi à la maison s'était cogné la tête un jour suite à une coupure. Elle a eu très mal et on a dépensé beaucoup d'argent pour ses soins. Heureusement que le projet d'électrification a pensé à nous en permettant que nous disposons aujourd'hui du courant en permanence avec notre propre compteur. Nous rendons gloire à Dieu », raconte Martine.
Fatima, Éric et Martine font partie des premiers bénéficiaires du Projet de restructuration et d'extension du système de répartition et de distribution de la Société béninoise d'énergie électrique (http://apo-opa.co/4cR5dDf). Le projet, financé grâce à un prêt de 9,08 millions de dollars américains et un don de 7,28 millions de dollars du Fonds africain de développement (http://apo-opa.co/3zsBt0V), a bénéficié aussi d'un prêt de 17,79 millions de dollars de l'Agence française de développement pour sa mise en œuvre. Le gouvernement béninois a contribué pour 3,68 millions de dollars à travers la Société béninoise d'énergie électrique, l'entreprise publique responsable de la production, de la distribution et de la commercialisation de l'électricité au Bénin.
Lancé en 2018, le projet, qui s'achèvera à la fin 2024, vise à accroître l'accès à l'électricité au Bénin spécifiquement dans les villes et environs de Cotonou et de Porto-Novo, les deux principales villes du pays, mais aussi dans des villes secondaires comme Abomey, Bohicon et Lokossa. L'autre objectif du projet est d'améliorer la qualité de la fourniture d'électricité et de réduire les pertes d'énergie dans les réseaux de répartition de la Société béninoise d'énergie électrique, évaluées à 23 % en 2015.
Depuis son démarrage jusqu'en mars 2024, le projet a permis de placer environ 1 545 poteaux haute tension et 1 378 poteaux basse tension. Les travaux de renforcement des sous-stations de 63/15 kilovolts existantes à Akpakpa et à Gbégamey à Cotonou, la construction de lignes électriques et de postes de 63 kilovolts à Lokossa-Hagoumey ont été achevés. Le projet a aussi réalisé des travaux de renforcement et d'extension des réseaux de distribution de haute tension/basse tension à Cotonou, Sèmè-Podji, Porto-Novo, Akpro-Missérété (lot 1) et à Lokossa, Dogbo, Toviklin, Djakotomey, Klouékanmè, Abomey, Bohicon, Zogbodomey (lot 2).
Vissi Arnaud Adikpeto, coordonnateur du projet a précisé : « À terme, le projet assurera une alimentation électrique fiable aux habitants des treize communes concernées et de leurs périphéries, y compris aux établissements scolaires, aux centres de santé, ainsi qu'aux entreprises commerciales et industrielles. Les ouvrages à moyen terme permettront à la Société béninoise d'énergie électrique de compter 40 000 nouveaux abonnés supplémentaires, incluant au moins 51 % de femmes ».
« Concernant les sous-stations, les travaux de génie civil sont achevés. Tout le matériel de fabrication étrangère est fabriqué, les essais en usine sont effectués et les matériels sont réceptionnés sur site, explique Éric Prégnon, le chef du projet à la Banque africaine de développement. Une fois que les sous-stations seront opérationnelles, que le reste des poteaux ainsi que des compteurs auront été installés, le projet aura atteint son objectif ».
À propos du Groupe de la Banque africaine de développement :
Le Groupe de la Banque africaine de développement est la principale institution de financement du développement en Afrique. Il comprend trois entités distinctes : la Banque africaine de développement (BAD), le Fonds africain de développement (FAD) et le Fonds spécial du Nigeria (FSN). Représentée dans 41 pays africains, avec un bureau extérieur au Japon, la Banque contribue au développement économique et au progrès social de ses 54 États membres régionaux. Pour plus d'informations : www.AfDB.org
Mahrang Baloch during a public appearance. The 30-year-old has emerged as a prominent figure in the Baloch movement. Credit: Mehrab Khalid/IPS
By Karlos Zurutuza
ROME, Jul 4 2024 (IPS)
A 30-year-old woman speaks before tens of thousands gathered in southern Pakistan. Men of all ages listen to her speech in almost reverential silence, many holding up her portrait and chanting her name: Mahrang Baloch.
This took place on January 24 in Quetta, the provincial capital of Balochistan, 900 kilometers southwest of Islamabad. The large, predominantly male crowd that gathered to welcome a group of women was unexpected for many. However, the reasons behind it were compelling.
They were welcomed back home after leading a women’s march towards Islamabad that lasted several months, demanding justice and reparations for missing Baloch people. In a phone conversation with IPS from Quetta, Mahrang Baloch provides the context behind what became known as the ‘march against the Baloch genocide’.
“For two decades, Pakistani security forces have been conducting a brutal military operation against political activists, dissenters, journalists, writers, and even artists to suppress the rebellion for an independent Balochistan, resulting in thousands of disappearances.”
Divided across the borders of Pakistan, Iran, and Afghanistan, the Baloch people number between 15 and 20 million, with their own language and culture.
Following Britain’s withdrawal from India, they declared their own state in 1947, even before Pakistan did. However, seven months later, that territory was annexed by Islamabad. Today, they live in the country’s largest and most sparsely populated province in the country, also the richest in resources, yet plagued by poverty and violence.
Mahrang Baloch, a surgeon by profession, recalls being fifteen years old when her father, an administration official known for his political activism, was arrested in 2009. Two years later, his body was found in a ditch after being savagely mutilated.
“There is no Baloch family that has not lost one of their own in this conflict,” says the prominent activist. Remaining silent, however, doesn’t seem to be an option for them.
“We at the Baloch Unity Committee (BYC) will fight against the Baloch genocide and defend Baloch national rights with public power in the political arena. However, we will continue our struggle outside the so-called parliament of Pakistan, which lacks a true mandate from the people and facilitates the Baloch genocide,” explains the mass leader.
Sammi Deen Baloch in Dublin after receiving a human rights award last June. She has not heard from her father since his kidnapping in 2009. (Photo provided by SDB)
Harassment
International organizations such as Amnesty International or Human Rights Watch have consistently accused Pakistani security forces of committing serious human rights violations, including arbitrary detentions and extrajudicial executions.
Pakistani authorities declined to respond to questions posed by IPS via email. Meanwhile, the Voice for Missing Baloch People (VBMP), a local platform, cites more than 8,000 cases of enforced disappearances in the last two decades.
The secretary general of that organization is Sammi Deen Baloch, a 25-year-old Baloch woman who led last winter’s march to Islamabad alongside Mahrang Baloch. Baloch is a common surname in the region. The two women are not related.
Sammi Deen also participated in previous marches conducted in 2010, 2011 and 2013. Her father disappeared in 2009, and she has not heard from him ever since. “Fifteen years later, I still don’t know if I am an orphan, and my mother doesn’t know if she is a widow either,” says the young activist.
Last May, Sammi Deen travelled to Dublin (Ireland) to collect the Asia Pacific Human Rights Award, which is given annually to outstanding human rights defenders.
However, bringing Balochistan into the international spotlight always comes at a cost.
“They resort to all kinds of strategies to silence us, from smear campaigns to threats which are also directed against our families. They even file false police reports against us constantly,” Sammi Deen Baloch told IPS over the phone from Quetta.
Mahrang Baloch visited Norway last June after receiving an invitation from the PEN Club International, a global association of writers with consultative status at the UN. Even in the Scandinavian country she was harassed during her stay, forcing the Norwegian police to intervene on several occasions.
Despite the pressure endured by these women, Sammi Deen points to “significant progress” in the attitude of her people after the last march.
“Until very recently, most of the thousands of affected families remained silent out of fear of reprisals, but people massively joined the last protest. Today, more and more people are raising their voices to denounce what is happening,” claims the activist.
Khair Bux Marri at his residence in Karachi in 2009. Until his death in 2014, he was one of the most influential and respected leaders of the Baloch people. Credit: Karlos Zurutuza/IPS
Thirst for Leadership
Baloch society has historically been organised along tribal lines. Some of its most charismatic leaders, such as Khair Bux Marri, Attaullah Mengal or Akbar Khan Bugti, eventually paid with imprisonment, exile and even death for their opposition to what they saw as a state of occupation by Pakistan.
Muhammad Amir Rana is a security and political economy analyst as well as the President of the Pakistan Institute of Peace Studies. In a telephone conversation with IPS from Islamabad, Rana points to a certain “need for leadership” as one of the keys behind the massive support for Baloch activists.
“The problem is that all those historical leaders are already dead, and those who remain in Balochistan are seen as people close to the establishment by a large part of Baloch society. They no longer represent their people,” explains the analyst.
He also highlights the presence of an “emerging” Baloch civil society structured around the Baloch Unity Committee (BYC), the Baloch Students Organization (BSO Azad ) or the VBMP.
“Mahrang Baloch is a young woman with an academic background who has managed to put the issue of the missing Baloch people in the spotlight, but who also brings together the feelings of her people and seems to be able to channel that into a political movement,” says the expert.
Karima Baloch used to hide her face for security reasons. The student leader went into exile in Canada, where she died in 2020 under circumstances not yet clarified (Photo: BSO Azad)
It’s an opinion shared by many, including Mir Mohamad Ali Talpur, a renowned Baloch journalist and intellectual.
“The mainstream parties often try to supplant the civil society but they, with their limited aims, are too shallow to take up the mantle. As for the tribal chiefs that remain, they are stooges of the government and their power stems from the governmental support and from the tribes,” Talpur tells IPS over the phone from Hyderabad, 1,300 kilometres southwest of Islamabad.
He also highlights the changes the last march led by women produced.
“Since the last march, all abductions have resulted in protests which include blockades of roads and other similar actions. Mahrang and Sammi have a charismatic aura and emulating them is considered honourable in both urban and tribal sections of society,” explains Talpur. He also stresses that both women give “continuity to Karima Baloch´s legacy.”
He refers to that Baloch student leader forced into exile in Canada, where she died in 2020 in circumstances that have not yet been clarified. The BBC, the British public broadcaster, even included her in its list of “the 100 most inspiring and influential women of 2016.”
As for the more pressing present, Talpur is blunt about the social impact of the women-led march:
“The most significant change is that people have realized that remaining silent about the injustices perpetrated against them only allows things to worsen.”
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Les 09 membres de la 7e mandature de la Haute autorité de l'audiovisuel et de la communication (HAAC) sont connus depuis ce mercredi 03 juillet 2024. Le chef de l'Etat a fait l'option d'une HAAC professionnelle, en portant à la tête de l'institution, un professionnel des médias.
Le président Président TALON rétablit une injustice à la presse béninoise. Ce mercredi 03 juillet 2024 en Conseil des ministres, il a procédé à la nomination de ses représentants à la 7e mandature de la Haute autorité de l'audiovisuel et de la communication. Contrairement à la mandature précédente, il a porté un journaliste à la tête de l'institution.
Edouard LOKO est une figure emblématique de la presse béninoise. Consultant en communication, il auteur de plusieurs ouvrages dont « Yayi Boni : L'intrus qui connaissait la maison ».
L'homme dont les professionnels des médias attendent beaucoup sous cette 7e mandature, connait bien la HAAC, pour avoir occupé le poste de vice-président sous la 4e mandature.
Depuis 2016, il occupait jusqu'à sa nomination, le poste de chargé de mission du chef de l'Etat, responsable de la communication média.
Edouard LOKO et les quatre autres professionnels des médias nommés ou élus portent à cinq le nombre de journalistes au sein de cette nouvelle mandature de la HAAC.
Cette mandature révèle de la volonté du président de la République de changer les choses dans le secteur de la presse.
Au poste de président de la HAAC, Edouard LOKO va travailler avec Roukiatou BIO FAI, Mohamed BARE, Tossou Marcellin AHONOUKOUN, Ahokanou Fernand GBAGUIDI, N'tcha Gérard N'DAH, Armand Godonou HOUNSOU, Basile TCHIBOZO, et Lionel Astérix Todjié GBEGONNOUDE.
Sur eux, repose désormais l'espoir des journalistes béninois pour sortir la profession de l'état déplorable dans lequel elle est plongée depuis quelques années.
F. A. A.
L’Institut français d’Algérie a récemment annoncé le lancement des candidatures pour la troisième édition de son célèbre programme de bourses doctorales Jean Sénac. Six lauréats […]
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Comme annoncé il y a quelques mois, la cérémonie du tirage au sort des éliminatoires pour la 35e édition de la Coupe d'Afrique des Nations a été effective ce jeudi 04 juillet 2024 à Johannesburg en Afrique du Sud. Au terme de la cérémonie, les Guépards du Bénin sont logés dans le groupe D en compagnie d'un adversaire très familier, le Nigéria.
Voici le tirage au sort complet des éliminatoires de la CAN 2025 :
Groupe A
Tunisie
Madagascar
Comores
Gambie
Groupe B
Maroc (pays hôte, déjà qualifié)
Gabon
Centrafrique
Lesotho
Groupe C
Égypte
Cap-Vert
Mauritanie
Botswana
Groupe D
Nigeria
Bénin
Libye
Rwanda
Groupe E
Algérie
Guinée-Équatoriale
Togo
Liberia
Groupe F
Ghana
Angola
Soudan
Niger
Groupe G
Côte d'Ivoire
Zambie
Sierra Leone
Tchad
Groupe H
RDC
Guinée
Tanzanie
Éthiopie
Groupe I
Mali
Mozambique
Guinée-Bissau
Eswatini
Groupe J
Cameroun
Namibie
Kenya
Zimbabwe
Groupe K
Afrique du Sud
Ouganda
Congo
Soudan du Sud
Groupe L
Sénégal
Burkina Faso
Malawi
Burundi
Les éliminatoires démarrent en septembre prochain.
J.S