Analyse sur le rapport du gouvernement camerounais sur l’attaque de Ngarbu : De L’art de mentir avec la force de l’autorité. Mentir c’est cacher la vérité ou refuser de la reconnaître. Mais l’imposer avec autorité et vouloir que c’est elle qui soit connue, c’est faire triompher la volonté de la force au détriment de celle […]
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En Conseil des ministres ce mercredi 22 avril 2020, le gouvernement a pris plusieurs grandes décisions.
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Au titre des mesures normatives, il y a la transmission à l'Assemblée nationale, pour examen et vote, du projet de loi portant création de la Chambre des Métiers de l'Artisanat du Bénin (CMA-Bénin) ; les modalités d'identification des utilisateurs de services de communications électroniques en République du Bénin et la réquisition de plages horaires sur les radios et télévisions dans le cadre de l'organisation de la campagne, en vue des élections municipales et communales du 17 mai 2020, par voie médiatique.
Les communications portent sur l'approbation de la troisième Stratégie nationale de développement de la statistique et les modalités de mobilité des acteurs impliqués dans l'organisation et le déroulement des élections municipales et communales du 17 mai 2020.
Le gouvernement a également procédé à trois nominations au ministère de l'Agriculture, de l'Elevage et de la Pêche et au ministère des Petites et Moyennes Entreprises et de la Promotion de l'Emploi.
A. A. A.
Le Conseil des ministres s'est réuni ce mercredi 22 avril 2020 sous la présidence du Chef de l'Etat, Patrice Talon. Plusieurs nominations ont été prononcées au ministère de l'Agriculture, de l'Elevage et de la Pêche et au ministère des Petites et Moyennes Entreprises et de la Promotion de l'Emploi.
Au ministère de l'Agriculture, de l'Elevage et de la Pêche :
Directeur du Conseil agricole, des Innovations et de la Formation entrepreneuriale : M. Macaire Jules FABOSSOU
Directeur de la Législation rurale, de l'Appui aux Organisations professionnelles et à l'Entrepreneuriat agricole : M. Abdel Rachid NOUHOUM
Au ministère des Petites et Moyennes Entreprises et de la Promotion de l'Emploi :
Inspecteur général du ministère : M. Mamadou Adam DJAOUGA
Le bilan de ce mercredi 22 avril 2020 annoncé par le comité scientifique de suivi de l’épidémie du Covid-19, a fait état de 52 cas de guérison et 10 nouveaux décès. Ainsi, le total des victimes du coronavirus en Algérie a atteint 402 décès à ce jour. Quant aux cas rétablis, et avec les 52 […]
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Au cours d'une séance de travail tenue ce mercredi 22 avril 2020, les conseillers de la Haute autorité de l'audiovisuel et de la communication (Haac) ont défini de nouvelles mesures pour la gestion de la campagne médiatique dans le cadre des élections communales et municipales du 17 mai prochain.
Selon les nouvelles dispositions, l'institution chargée de régulation des médias au Bénin interdit aux organes de presse la diffusion de chansons, jeux, spots, communiqués, proverbes, récits satiriques, caricatures et toute autre production qui sont de nature à inciter à la haine, à mettre en péril la cohésion nationale, à dénigrer ou à s'attaquer à un parti politique ou un candidat. A cela s'ajoute la diffusion de sondages en rapport avec les élections communales, et la revue de presse quelque soit la langue, ne sera diffusée.
L'autre décision importante de la Haute autorité de l'audiovisuel et de la communication est l'interdiction formelle de couverture d'activités politiques à des fins propagandistes des partis politiques.
Conscient de la difficulté que pourrait provoquer ces mesures aux organes de presse, le président de la Haac, Rémi Prosper Moretti, invite les médias à faire ce sacrifice. Une subvention avec l'aide de l'Etat leur sera accordée pour compenser le manque à gagner, a-t-il annoncé.
F. A. A.
Le principe des tunnels de désinfections anti Covid-19 n’a pas convaincu. Ces passages à travers un tunnel pour désinfecter et supprimer toutes traces d’éventuels coronavirus sur une personne humaine ont été interdits par le gouvernement du Maroc en raison des dangers liés à l’exposition aux produits utilisées. C’est par un communiqué conjoint des ministères de […]
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Written by Mihalis Kritikos,
© Shutterstock
As the coronavirus (Covid-19) pandemic intensifies, technological applications and initiatives are multiplying in an attempt to limit the spread of the disease, treat patients and facilitate the work of overworked healthcare workers. At a time when everyone needs better information, including epidemic disease modellers, state authorities, international organisations and people in quarantine, measures such as social distancing, and digital information and surveillance technologies have been unleashed in an unprecedented manner to collect data and reliable evidence in support of public health decision-making.
Countries around the world are authorising clinical trials involving experimental techniques such as gene editing, synthetic biology and nanotechnologies, in a race to prepare and testing future vaccines, treatments and diagnostics. Artificial intelligence, robots and drones are helping to track the disease and enforce restrictive measures while service robots are being deployed in various ways in hospitals.
Bottom-up technologies, such as 3D printing and open-software solutions are being harnessed to address the growing need for medical hardware (e.g. masks, ventilators and breathing filters) and optimise the supply of the necessary medical equipment to hospitals. Blockchain applications can meanwhile track contagion, manage insurance payments related to the disease outbreak, sustain medical supply chains and facilitate the performance of much-needed EU-wide clinical trials in an effective, transparent and credible manner.
At the same time, throughout this pandemic crisis, telehealth technologies have emerged as a cost-effective means to slow the virus’s spread and to maintain hospital capacity, by operating as a triage system, keeping those with moderate symptoms at home and routing more severe cases to hospitals.
But are these technologies safe and effective in the context of Covid-19? Have they been tested before in a public health emergency context? Are they ready to provide tangible and operative solutions that could facilitate governments’ efforts to address the many challenges associated with this pandemic? Do they strengthen the evidence-based character of the response measures taken worldwide? Can possible regulatory hurdles concerning their authorisation be by-passed via ad hoc fast-track procedures? Does their extensive or immediate use involve risks and threaten our values and rights in the long run?
EPRS in-depth analysisThis well-timed EPRS publication on the ten technologies central to the fight against Covid-19 offers some well-informed answers to these crucial questions. More importantly, it constitutes a much-needed analysis of what is at stake, amid the Covid-19 pandemic, in technological terms world-wide, paying particular attention to applications that have either been put in use or are being tested before operational deployment.
The analysis presents a non-exhaustive overview of the technologies currently in use, highlighting their main features and significance in the response to the coronavirus pandemic but also their possible limitations. It examines a wide range of technological applications developed to monitor and contain the rapid spread of the disease but also to ensure that public health institutions maintain their capacity to meet the ever-increasing needs generated by the pandemic.
However, given that most of these technological applications have been mainstreamed or put forward in a hasty decision-making environment where decisions are extremely reactive, careful thought must also be given to their potential repercussions. In the context of the current pandemic, governments have launched numerous data-collection and location-tracking technological applications by means of emergency laws that involve the temporary suspension of fundamental rights, triggering questions about the potential future impact on hard-won civil liberties and concerns about state authorities maintaining heightened levels of surveillance even after the pandemic has ended. Medical devices and in-vitro diagnostics vaccines are meanwhile in the pipeline for fast-tracked authorisation although most of these technologies have never been applied in a medical emergency context before. Furthermore, all this also raises the question of whether the fight against Covid-19 will facilitate even more aggressive automation of daily life when everything returns to ‘normal’.
The analysis addresses the possible lasting legal and ethical questions that policy-makers, legislators and expert groups that advise governments and international organisations and will be confronted with very soon and brings forward some preliminary considerations. It illustrates the main regulatory and socio-ethical dilemmas that the manifold use of these technologies poses when used in a public-health emergency context such as the current one but also those that will arise once the virus has subsided. The analysis identifies the legal challenges that emerging technologies, such as those currently employed in the context of Covid-19 pose to existing EU legislation, examines possible legal gaps and proposes options for the emergency authorisation of some of the technological applications under consideration.
Although the focus of this analysis is on technological applications presenting solutions to pressing pandemic-related problems, this piece of work does not aim to reinforce ideas of techno-solutionism. In other words, technological applications in their own right cannot solve complex societal challenges, such as those associated with the current pandemic. Rather, the main findings of the analysis indicate that technology cannot in itself replace or make up for other public policy measures but it does have an increasingly critical role to play in emergency responses in a variety of domains.
The current crisis has demonstrated not only the vulnerability of global public health systems but also the potential of certain emerging technological pathways to fight this pandemic disease at the levels of prevention, containment and treatment. The first major pandemic of our century, Covid-19 represents an excellent opportunity for policy-makers and regulators to reflect on the legal plausibility, ethical soundness and effectiveness of deploying emerging technologies under extreme time pressure. Striking the right balance will be crucial when it comes to maintaining the public’s trust in evidence-based public health interventions and for safeguarding the potential of promising – albeit immature – technologies to serve the public interest.
Read the complete ‘in-depth analysis’ on ‘Ten technologies to fight coronavirus‘ in the Think Tank pages of the European Parliament.
Par décret présidentiel paru dans le dernier numéro du journal officiel, le chef de l’Etat Abdelmadjid Tebboune, a fixé les missions et attributions du secrétaire général du ministère de la défense nationale. En effet, « le secrétaire général du ministère de la défense nationale est chargé, sous l’autorité du ministre de la défense nationale, de veiller […]
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Quatre vingt dix neuf (99) personnes ont été infectées par le coronavirus en Algérie, dont Dix (10) décès ont été recensés lors des derniers 24 heures , a annoncé, mercredi le 22 avril 2020, le ministère de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière. En effet, lors du point de presse quotidien […]
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La France a appelé, hier mardi 21 avril, au respect de la liberté de la presse en Algérie après la censure de plusieurs médias en ligne du pays actifs dans la couverture du mouvement populaire antirégime “Hirak”. « La France défend le respect de la liberté de la presse et d’opinion partout dans le monde […]
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