Moult essais, tentatives et efforts ont été déployés par l’Europe depuis des années, dans le but d’e bloquer ou du moins réduire le passage des migrants clandestins, en vain.
Certains comme la France, tentent de lutter contre l’immigration clandestine en s’attaquant au nombre de visas accordés, réduit de 50% récemment, c’était la réponse de l’Hexagone jugée nécessaire pour pousser l’Algérie à reprendre ses ressortissants en situation illégale. D’autres décident de mettre en place des barrières anti-migrants.
Une décision drastique, mais indispensable à leurs yeux, pourtant, cette dernière ne s’est pas montré efficace au cours des dernières années. Des dépenses astronomiques sont consacrées à ce mur qui, n’empêche pas pour autant les migrants de passer.
Pour rappel, 12 pays de l’Union Européenne ont fait parvenir une demande de financement à le 8 octobre à la Commission européenne à travers leurs ministres de l’intérieur, et ce, pour construire les barrières anti-migrants.
Une énième solution pour contrer le flux migratoireC’est en visitant le camp fermé pour migrants établi à Samos en Grèce que l’idée est venue à la tête du ministre de l’intérieur français, Gérald Darmanin : l’ouverture de camps fermés aux frontières sud de l’Europe à savoir l’Espagne, Malte et l’Italie. Dans ces camps, les demandeurs d’asile ne peuvent sortir que de 8 heures à 20 heures, ils doivent présenter leurs empreintes digitales et un badge électronique au portail magnétique à l’entrée.
Inspiré du modèle grec, Darmanin félicite cette gestion de l’immigration clandestine et propose d’installer ces camps aux frontières sud de l’Europe pour « faire comme les grecs et contrôler davantage les frontières extérieures » a-t-il déclaré dans un entretien avec l’Agence France-Presse (AFP).
Il explique également à l’AFP « nous aimerions que tous les pays qui sont aux frontières de l’Europe puissent avoir la même politique de contrôle et d’enregistrement des personnes qui entrent sur le territoire européen ».
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Dans le cadre des Championnats d’Afrique de natation, déroulés dans la capitale ghanéenne, Accra, l’Algérie a obtenu plusieurs médailles, et ce, depuis le premier jour du lancement de la compétition.
En effet, les Championnats d’Afrique de natation sont une compétition de natation où s’affrontent les représentants de pays africains, dans le cadre d’un certain nombre d’épreuves. Ils sont organisés par la Confédération africaine de natation (CANA).
À cet effet, le nageur algérien Djawed Sayoud a remporté la médaille d’Or au 100 mètres papillon, lors de la deuxième journée des Championnats d’Afrique de natation à Ghana. À cela s’ajoute une médaille en Bronze, obtenue par la nageuse algérienne Amel Mellih, au 50 mètres papillon.
Six médailles en deux jours pour l’AlgérieL’Algérie détient désormais un score de six médailles, grâce à ces deux médailles ajoutées, et ce, durant seulement deux jours du lancement de ces compétitions.
Par ailleurs, la nageuse algérienne, Amel Mellih en l’occurrence, a remporté durant la première journée desdits championnats deux médailles, à savoir une médaille d’Argent et une autre en Bronze, au 50 mètres dos et au 100 mètres nage libre, surmontant ainsi sa déception lors des derniers Jeux Olympiques de Tokyo.
Pour rappel, les deux nageurs algériens, à savoir Abdellah Ardjoune et Djawed Sayoud ont remporté lors de la première journée des Championnats d’Afrique de natation, la médaille bronze, et ce, lors du même jour.
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