At 14:15 on 6 November, while positioned on the western edge of Bolotene (government-controlled, 22km north-east of Luhansk), the Mission heard four bursts of small-arms fire at an assessed range of less than 50m south of its position. SMM patrol members immediately re-entered their vehicles.
A few seconds later, while driving away, the Mission observed soldiers of the Ukrainian Armed Forces firing into the air and saw a grey non-SMM mini-unmanned aerial vehicle flying over positions of the Ukrainian Armed Forces and then over the SMM patrol at an assessed altitude of 100-150m, despite the ban on the operation of any aerial vehicles included in the 22 July 2020 agreement on Measures to strengthen the ceasefire. As the patrol continued to drive away, at 14:16, it heard and saw one impact explosion at an assessed range of 20-30m south-east of its position.
The shooting and the explosion both occurred very close to the SMM patrol and represent serious security incidents for the Mission. The SMM patrol immediately left the area and returned safely to its base in Stanytsia Luhanska (government-controlled, 16km north-east of Luhansk).
The SMM notes that OSCE Permanent Council Decision No. 1117 specifies that the SMM shall have safe and secure access throughout Ukraine. Unrestricted and unconditional access to all areas is essential to ensure effective monitoring and reporting of the security situation, the ceasefire, the withdrawal of weapons, demining, as well as disengagement. The mandate also tasks the Mission to report on any restrictions of its freedom of movement or other impediments in the fulfilment of its mandate.
Après les élections locales prévues pour le 27 novembre prochain, une réunion tripartite (Gouvernement-Syndicat-Patronat) se tiendra afin d’étudier le dossier de la pension de retraite en Algérie pour l’année 2022.
Parmi les propositions qui seront présentées par l’Union générale des travailleurs algériens (UGTA), lors de cette rencontre, figure le retour au système de retraite après 32 ans de service. C’est ce qu’a été rapporté en tout cas le 23 octobre dernier par les médias nationaux.
Dans ce contexte, le ministre du Travail, de l’Emploi et de la Sécurité sociale Abderrahmane Lahfaya a chargé une commission sectorielle d’étudier le dossier de la retraite anticipée suspendue depuis plusieurs années.
La décision du ministre a été annoncé jeudi passé, 4 novembre 2021, devant les membres de la commission de la santé, des affaires sociales, du travail et de la solidarité nationale du Conseil de la Nation, a rapporté le quotidien Echorouk.
Un droit et une solution au chômage des jeunesÀ ce sujet, le vice-président du Sénat Fouad Sebouta a fait savoir que des milliers de travailleurs et syndicalistes plaident pour le retour de ce système. C’est le cas en effet de l’Union générale des travailleurs algériens (UGTA) qui considère la retraite anticipée comme étant un des droits fondamentaux des travailleurs et une solution efficace au problème du chômage.
Dans une déclaration à la Chaîne I de la Radio algérienne, Ferhat Chabekh, membre dirigeant a la Centrale syndicale avait indiqué le 23 février dernier qu’il est « illogique d’imposer à un employé de continuer d’exercer au-delà des 32 ans de service jusqu’a l’âge légal de départ a la retraite à 65 ans ».
Sachant que le gouvernement a mis fin à la retraite anticipée en raison du déficit de la CNR, Ferhat Chabekh estime que l’exécutif doit trouver une alternative au lieu d’obliger l’employé de travailler après 32 ans de service.
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L’Organisation des Nations Unies vient de rendre ses premières conclusions concernant l’affaire de l’assassinat des trois ressortissants algériens au Sahara Occidental. Il s’agit de la confirmation du lieu du déroulement de l’attaque.
Dans un point de presse tenu ce samedi, le porte-parole adjoint du secrétaire général de l’ONU, Farhan Haq déclare : « Nous pouvons maintenant confirmer que le site du bombardement se trouve dans la partie orientale du Sahara occidental près de Bir Lahlou ».
Dans les détails, il précise que « la Mission Minurso a observé deux camions portant des plaques d’immatriculation algériennes stationnés parallèlement l’un à l’autre ». Et d’ajouter que « les deux camions ont subi d’importants dommages et ont été carbonisés ».
Il convient de noter que la confirmation livrée ce samedi par Farhan Haq est basée sur un constat établi par une patrouille de la Minurso, dépêchée au lieu de l’attaque le 3 novembre, soit 24 heures après en avoir été informé, selon le porte-parole adjoint.
L’Algérie saisit plusieurs instances internationalesPour rappel, la présidence de la République a indiqué, mercredi dernier, que trois ressortissants algériens ont été lâchement assassinés par un « bombardement barbare » de leurs camions, alors qu’ils faisaient la liaison Nouakchott-Ouargla.
Selon la même source, plusieurs facteurs désignent « les forces d’occupation marocaines au Sahara Occidental comme ayant commis, avec un armement sophistiqué, ce lâche assassinat ».
Jeudi dernier, le ministère des Affaires étrangères Ramtane Lamamra a indiqué que le « lâche assassinat » de trois ressortissants algériens par les forces d’occupation marocaines a eu lieu dans le territoire sahraoui libéré.
Suite à cet incident, l’Algérie a officiellement saisi plusieurs organisations internationales par le biais du chef de la diplomatie. En effet, Lamamra a adressé des messages à plusieurs instances internationales.
Il s’agit du Secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres, du Président de la Commission de l’Union africaine, Moussa Faki Mahamat, du Secrétaire général de la Ligue des États arabes, Ahmed Aboul Gheit, et du Secrétaire général de l’Organisation de la coopération islamique, Youssef Ben Ahmed Al-Othaimeen.
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Dans un entretien accordé au journal allemand Der Spiegel, le président de la République a fait état de perspectives de plusieurs grands projets en partenariat avec l’Allemagne. Entre autres, il a parlé du projet de réalisation d’un grand hôpital à Alger.
D’emblée, le chef de l’État a évoqué les secteurs de coopération pouvant être développés, citant à titre d’exemple, les énergies renouvelables et la santé. Sur ce dernier point, il a cité l’exemple de la construction d’un grand hôpital à Alger.
« Je voudrais que nous construisions ensemble un grand hôpital à Alger. Un établissement qui couvre toutes les spécialités de la médecine », a-t-il précisé. En outre, il a souligné que l’Algérie serait disposée à financer une « grande partie » de ce projet.
Concernant le volet des énergies renouvelables, il a indiqué qu’il y a « beaucoup de potentiel dans ce domaine ». « Avec l’aide de l’Allemagne, nous pourrions approvisionner l’Europe en énergie solaire », a-t-il affirmé.
Tebboune se félicite de la qualité des relations politiques avec l’AllemagneÀ une question sur ses attentes par rapport au prochain gouvernement allemand dans le domaine de la coopération bilatérale, Tebboune a déclaré : « tout ce qui est possible », affirmant que « l’Allemagne est un modèle pour nous à bien des égards ».
Dans le même sillage, il s’est félicité de la qualité des relations politiques entre les deux pays. « Les Allemands nous ont toujours traités avec respect, ils ne nous ont jamais traités avec arrogance, et il n’y a jamais eu de désaccord sur la politique étrangère », a-t-il souligné.
Évoquant les relations avec la France, Tebboune estime que les propos Macron vont laisser des traces durables dans les relations entre les deux pays et hypothéquer une reprise des contacts à court terme.
À ce propos, il affirme : « Je ne vais pas être le premier à faire le pas, sinon je perds tous les Algériens ». Pour lui, « c’est un problème national, ce n’est pas un problème du président de la République ».
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L’approche des élections locales est l’occasion idéale pour faire sortir les partis politiques algériens de leur mutisme. Ayant démarré jeudi passé, 4 novembre, la campagne électorale s’annonce timidement dans un contexte socio-politique inédit.
Hier, vendredi 5 novembre, le secrétaire général du Front El Moustakbal, Abdelaziz Belaid, a plaidé depuis Bouira pour un élargissement des prérogatives au profit des élus locaux. Aujourd’hui, c’est l’ex-parti unique qui débute sa campagne électorale.
En effet, le secrétaire général du FLN Abou El Fadl Baadji a fait une déclaration pour le moins étonnante, d’autant plus que le parti en question a connu cette année des tiraillements au sein de sa base militante.
Selon Baadji, » le FLN est l’héritier de la résistance populaire depuis l’ère de l’émir Abdelkader jusqu’à la guerre de libération ». Ce parti « ne sera jamais remis au musée, étant donné qu’il est protégé par le peuple. Il a remporté les dernières législatives et aura son dernier mot à dire lors des prochaines élections locales du 27 novembre en cours », déclare le politicien controversé.
Ce dernier n’a pas manqué d’évoquer le récent attentat ayant ciblé trois civils algériens au Sahara Occidntale, plus précisément sur l’axe Nouakchott-Ouargla. Baadji a fortement fustigé le Makhzen accusé d’être derrière le lâche assassinat.
La crise interne au sein du FLN persisteIl convient de rappeler par ailleurs que le secrétaire général de l’ex-parti unique fait objet d’une plainte qui a été déposé contre lui par les membres du comité central de son propre parti. Raison pour laquelle le tribunal de Sidi M’Hamed dans la capitale Alger a décidé de convoquer Abou El Fadl Baadji.
Cette convocation constitue un nouveau rebondissement dans la crise que connait le FLN depuis des mois, et ce, après une dizaine de manifestations, de sit-in et d’attaque ayant ciblé le siège du parti politique. Une situation critique pour le FLN qui vient tout juste de lancer sa campagne électorale.
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