Les Champions d’Afrique sont désormais qualifiés aux matchs barrages de la Coupe du Monde 2022 au Qatar. En effet, et après un sacré match nul (2-2) face au Burkina Faso, les Fennecs ont pu décrocher leur billet de qualification.
Sur ce, un tirage au sort est prévu le 18 décembre prochain, afin de définir l’équipe adverse des Verts, parmi les cinq sélections suivantes : l’Égypte, le Cameroun, le Ghana, le Mali ou la République démocratique de Congo, et ce, dans une rencontre footballistique programmée au mois de mars de l’année prochaine.
À cet effet, l’ex-international algérien et l’ancien sélectionneur de l’équipe nationale, Rabah Saâdane, a accordé dernièrement un entretien à une chaine de télévision, où il a abordé plusieurs points et a fait plusieurs déclarations.
Ce dernier a confirmé qu’affronter l’Égypte et le Mali au tour décisif ne sera pas dans l’intérêt des Fennecs, en raison que les deux équipes en question, sont des sélections qualifiées de « très fortes ». » La confrontation face au Mali ou l’Égypte ne nous aidera pas beaucoup « , déclare Saâdane.
» Nous avons une bonne équipe » (Rabah Saâdane)En outre, Saâdane a également déclaré que l’équipe nationale aura tout intérêt à affronter des équipes du deuxième niveau du classement de la FIFA, ajoutant ainsi : » qu’il n’y a pas d’équipe facile, quelle que soit l’identité de l’équipe à laquelle nous serons confrontés « .
Par ailleurs, l’ancien sélectionneur des Verts a affirmé : » nous sommes la meilleure équipe d’Afrique, avec le Sénégal, le Maroc et la Tunisie « . Il a même souligné : » la chance que nous avons, c’est que nous n’affrontons pas les meilleures équipes, car elles sont dans le deuxième classement « .
» Parce que le match décisif est difficile, ce que je peux dire, c’est que c’est une chance pour l’Algérie qu’elle occupe une bonne position. Nous avons une bonne équipe et je suis sûr qu’elle a tiré de nombreuses leçons après les erreurs commises lors du match contre le Burkina Faso « , explique-t-il.
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Le président américain Joe Biden organisera un sommet américano-africain l'année prochaine, indiqué vendredi le service de presse Maison Blanche.
Selon le communiqué, "le président Biden convoquera les dirigeants africains pour un deuxième sommet américano-africain l'année prochaine pour revitaliser les partenariats et les alliances mondiaux." La réunion sera conçue pour "renforcer les liens avec les partenaires africains, en s'appuyant sur les principes de respect mutuel, ainsi que sur des intérêts et des valeurs communs", a indiqué le service de presse. Selon le service de presse, le sommet permettra d'évoquer les perspectives de coopération dans "des domaines clés que les États-Unis et l'Afrique considèrent comme critiques pour l'avenir du continent et de la communauté internationale".
Le premier sommet américano-africain a eu lieu en 2014 sous la présidence de Barack Obama.
TASS
Les cas de contamination à la covid-19 repartent à la hausse, suscitant ainsi les inquiétudes des spécialistes et des responsables du secteur de la santé. Une quatrième vague serait déjà dans sa première étape en Algérie, la flambée ne serait donc pas loin, estiment plusieurs experts.
Le Pr Sanhadji, président de l’Agence nationale de sécurité sanitaire, est parmi les spécialistes qui mettent en garde contre une nouvelle vague depuis plusieurs semaines. Selon ce spécialiste, la nouvelle vague est désormais parmi nous, bien qu’elle soit encore à ses commencements.
Intervenant sur les ondes de la Radio Nationale, le Pr Sanhadji a affirmé que cette flambée prochaine risque de faire rentrer l’Algérie dans un nouveau confinement sanitaire. Pour cet expert, plusieurs mesures pourraient cependant voir le jour, et ce, afin d’aider le pays à sortir de cette prochaine vague avec le moins de dégâts.
Vers l’instauration du Pass sanitaireToujours lors de la même émission radiophonique, le Pr Sanhadji a clairement affiché des prédictions pessimistes. Il a notamment confié que le non-respect des mesures barrières par les citoyens, ainsi que leur refus d’aller se faire vacciner va, sans aucun doute, influencer grandement la courbe ascendante des contaminations au coronavirus en Algérie.
Pour éviter la catastrophe, toujours selon le même intervenant, le choix du retour au confinement n’est pas du tout à écarter, et reste très probable. Cette décision, ajoute-t-il, est toutefois entre les mains des hautes autorités de l’état.
Le Pr Sanhadji a également insisté sur la vaccination, seule porte de sortie de la pandémie qui s’offre à nous selon lui. Le Professeur a notamment invité les citoyens à aller se faire vacciner tout en indiquant que l’instauration des pass sanitaires pour accéder aux lieux publics n’est pas du tout écarté.
L’instauration des pass sanitaires est une mesure qui a refait surface ces derniers jours après que la réticence aux vaccins est devenue la norme au sein des Algériens. Selon le Pr Nibouche, il ne faut plus « s’attendre à ce que les Algériens aillent se faire vacciner volontiers », il ajoute qu’il faut « changer de stratégie ».
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Paru en février 2020 aux Éditions Rocher, le livre du journaliste Farid Alilat, retraçant la vie de l’ancien président Abdelaziz Bouteflika, vient de se distinguer en France. Il obtient un prix consacré à la littérature française.
« Bouteflika, l’histoire secrète » a, en effet, obtenu le Prix Paul Bouteiller 2021 de l’Académie des sciences d’outre-mer. Ce prix de l’Académie des sciences d’outre-mer est un prix littéraire français créé en 2011 sous l’impulsion de l’Académie des sciences d’outre-mer.
Le Prix Paul Bouteiller est attribué annuellement à une œuvre littéraire traitant de l’histoire et l’évolution récente d’un département ou territoire d’outre-mer français. Il concerne également plusieurs autres pays dont l’Algérie, le Sénégal, le Congo-Brazzaville, le Gabon, le Tchad, la République centrafricaine, le Cameroun, le Djibouti, le Comores, Vanuatu…
Cette année, ce prix littéraire vient d’être discerné au livre biographique de l’ancien président algérien décédé le 17 septembre 2021. Le récit du journaliste algérien Farid Alilat retrace, non seulement la vie de Bouteflika, mais il est aussi accompagné d’étapes de l’évolution du pays.
Il s’agit du résultat de deux années d’enquêtes et de reportages dans les secrets du pouvoir. Le livre se base également sur des dizaines d’entretiens menés avec de hauts responsables politiques et militaires, des diplomates ou des intimes de l’ancien président, qui ont choisi de garder l’anonymat.
La vie de Bouteflika est « un roman à rebondissements »Ainsi, de 1999 à 2019, le livre retrace 20 ans de règne qui ont pris fin suite au fabuleux soulèvement populaire de février 2019. « Présenté comme le sauveur d’une Algérie meurtrie par la guerre civile qui a fait près de 100 000 morts, il est contraint d’abdiquer à l’issue d’une révolution pacifique qui a drainé chaque vendredi des millions d’Algériens dans les rues », peut-on lire dans la présentation du livre.
Le journaliste n’a pas manqué de rappeler que Bouteflika « voulait mourir président, avoir des funérailles nationales et entrer dans la postérité ». Mais, « il finit dans sa résidence de Zéralda, seul avec sa sœur Zhor qui l’a toujours veillé, mais sans son frère cadet Saïd, jeté en prison en mai 2019 pour complot contre l’armée et l’État ».
Ce fruit d’une longue enquête menée entre Alger, Oujda, Paris et Genève, retrace donc la vie du président déchu « de son enfance au Maroc jusqu’à sa chute brutale », une vie décrite par l’auteur comme « un roman à rebondissements ».
Farid Alilat est un journaliste algérien âgé de 55 ans. Il exerce au sein du média Jeune Afrique depuis octobre 2004. Licencié en lettres anglaises de l’Université d’Alger, il a enseigné la civilisation américaine au sein du même établissement, ainsi qu’à Bejaïa. Il s’est lancé dans le journalisme en mars 1991.
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