Un notable de la localité de Kisharo, dans le groupement de Binza (territoire de Rutshuru, Nord-Kivu), a été tué à l’arme blanche dans la nuit du dimanche 26 au lundi 27 octobre par des hommes armés non identifiés.
Ce nouveau meurtre porte à deux le nombre de cadres de base tués en l’espace d’une semaine dans cette zone sous occupation de l’AFC/M23.
Le tribunal militaire garnison de Kinshasa/Gombe a entamé ce mardi 28 octobre l’instruction dans l’affaire du braquage déjoué le 16 octobre à la Rawbank, située à la place Victoire, dans la capitale congolaise. Ce procès en flagrance met en cause Honorine Porsche, une citoyenne allemande, poursuivie pour vol à mains armées de 10 000 USD, terrorisme et association des malfaiteurs.
L’ancien Premier ministre Sélom Klassou a été élu ce mardi président de l’Assemblée nationale du Togo. Figure majeure du parti au pouvoir, l’Union pour la République (UNIR), il a obtenu 109 voix sur 109, sans aucun vote contre ni abstention, signe d’un large consensus autour de sa candidature.
Ce retour au premier plan de Sélom Klassou est perçu comme une volonté de consolider la stabilité politique et de doter le Parlement d’une direction expérimentée, à un moment crucial de la vie institutionnelle du pays.
La nouvelle Constitution confère désormais à l’Assemblée nationale des prérogatives renforcées, notamment dans la nomination du chef du gouvernement et le contrôle de l’action publique. Dans ce contexte, la mission du nouveau président s’annonce déterminante.
Sélom Klassou aura pour tâche de diriger une institution qui devient l’un des piliers du nouvel équilibre des pouvoirs, dans une République où le Parlement occupe un rôle central.
La séance plénière de ce mardi a également marqué l’installation de nouveaux députés. Quatorze (14) sièges ont été pourvus à la suite de la nomination de plusieurs parlementaires au sein du nouveau gouvernement ou à des postes administratifs de haut niveau.
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Six députés du principal parti d'opposition Les Démocrates ont adressé, mardi 28 octobre 2025, un message au duo candidat conduit par le Ministre Romuald Wadagni pour l'élection présidentielle de 2026
« Le processus électoral vient de passer un cap qui consacre définitivement l'élimination du duo de notre parti », ont reconnu les députés membres du parti d'opposition Les Démocrates.
Dans la déclaration lue ce 28 octobre 2025 par l'ancien député Yves Patrick Djivo, les six députés ont évoqué « les dysfonctionnements internes et les guerres de leadership » qui ont fragilisé leur camp.
Les parlementaires ont également adressé un message de responsabilité au duo conduit par le ministre d'État Romuald Wadagni, favori du scrutin. Ils l'ont invité à « conduire le destin du pays durant les cinq prochaines années » avec un sens aigu de la justice sociale et du bien commun.
« Nous souhaitons que le processus en cours aille à son terme dans la paix et la concorde, et que le duo en tête ne perde pas de vue les attentes sociales du plus grand nombre », ont indiqué Chantale Adjovi, Elise Aïhe, Do-Rego Léansou, Joël Godonou, Denise Houmènou, et Akim Radji.
M. M.
Ce mardi, une importante cérémonie diplomatique s’est tenue au Palais d’El Mouradia. En effet, le président de la République, Abdelmadjid Tebboune, a officiellement remis les […]
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Le Parlement européen a continué de verser des indemnités à Ioannis Lagos, ancien eurodéputé grec du parti Aube dorée, plusieurs mois après sa condamnation pour appartenance à une organisation criminelle. Une situation rendue possible par un vide juridique.
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Face à une surproduction record de pommes de terre, les agriculteurs algériens redoutent désormais des pertes considérables. Les chambres froides débordent, les prix menacent de […]
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Le ministère de la Transition digitale, des postes et des communications électroniques a ouvert, ce mardi 28 octobre 2025 à Ouagadougou, la conférence inaugurale sur l'Intelligence artificielle (IA). Co-présidée par la ministre de la transition digitale, des postes et des communications électroniques, Dr Aminata Zerbo/Sabané, et le ministre de la communication, de la culture, des arts et du tourisme, Pingdwendé Gilbert Ouédraogo, cette rencontre marque le lancement officiel d'une vaste campagne nationale de sensibilisation et de renforcement des capacités sur les enjeux stratégiques de l'IA pour le Burkina Faso.
Le Burkina Faso a décidé d'accélérer sa transformation numérique et d'inscrire l'intelligence artificielle au cœur de sa stratégie de développement. Dans un contexte de reconquête de la souveraineté nationale sous toutes ses formes, le gouvernement place cette technologie au service de la modernisation de l'État, du renforcement de la sécurité, de la promotion de l'innovation locale et de l'amélioration du bien-être des populations.
Organisée à l'université Joseph Ki Zerbo, la conférence inaugurale a réuni plusieurs acteurs : communicateurs institutionnels, journalistes, universitaires, responsables de systèmes d'information, innovateurs, acteurs de la société civile et étudiants.
Ousmane Ouattara, secrétaire général du gouvernement et du conseil des ministres, a insisté sur la cohérence et l'efficacité de l'action publique à l'ère de l'intelligence artificielleAu nom du ministre de l'enseignement supérieur, de la recherche et de l'innovation, Adjima Thiombiano, l'un des co-parrains de cette conférence inaugurale, le secrétaire général du gouvernement et du conseil des ministres, Ousmane Ouattara, a ouvert les échanges. Il a insisté sur la nécessité de faire de l'intelligence artificielle un instrument d'efficacité et de cohérence de l'action publique. Selon lui, « l'intelligence artificielle est un enjeu de cohérence et d'efficacité de l'action de l'État ».
La salle PSUT de l'université Joseph Ki-Zerbo a accueilli du monde pour cette conférence inaugurale sur l'intelligence artificielleOusmane Ouattara a illustré cette vision par LegiChat, une plateforme d'intelligence artificielle développée pour faciliter l'accès aux textes législatifs et réglementaires du pays. « Ce n'est pas seulement un outil technologique, mais un symbole de notre volonté d'affirmer notre souveraineté numérique », a-t-il souligné, avant d'appeler à la mise en place d'un cadre éthique, juridique et sécuritaire solide pour encadrer le développement de cette technologie.
Pour sa part, la ministre de la transition digitale, Dr Aminata Zerbo/Sabané, a replacé le débat dans une perspective géopolitique mondiale. « L'intelligence artificielle est désormais un instrument de puissance, un déterminant majeur de la souveraineté des nations qui redéfinit les équilibres du monde », a-t-elle déclaré. Elle a mis en garde contre le risque de dépendance technologique si les pays africains ne s'approprient pas rapidement cette révolution numérique : « Notre pays ne peut pas rester en marge de cette vision. Nous avons choisi de ne pas subir les menaces, mais de saisir les opportunités », a-t-elle martelé.
« Investir dans l'intelligence artificielle aujourd'hui, c'est investir dans notre indépendance de demain », Aminata Zerbo/SabanéLa campagne nationale qui s'ouvre vise à démocratiser l'usage de l'intelligence artificielle, à développer des compétences locales et à encourager les initiatives innovantes dans tous les secteurs d'activité.
Le ministre de la communication, de la culture, des arts et du tourisme, Pingdwendé Gilbert Ouédraogo, a quant à lui attiré l'attention sur les risques d'ingérence numérique. « L'intelligence artificielle peut devenir une arme de déstabilisation massive », a-t-il averti, évoquant la désinformation algorithmique et la manipulation de l'opinion publique. Il a également insisté sur la nécessité de préserver l'identité culturelle nationale : « L'intelligence artificielle n'est pas seulement une question d'algorithmes ; c'est une question d'âme et d'identité culturelle », a-t-il ajouté, appelant à développer des modèles enracinés dans les langues et les valeurs burkinabè.
Pingdwendé Gilbert Ouédraogo appelle à défendre l'identité culturelle burkinabè dans l'espace numérique mondialCette conférence marque le point de départ d'un processus participatif associant les secteurs public et privé, le monde académique, la jeunesse et la société civile. Selon Dr Aminata Zerbo/Sabané, « investir dans l'intelligence artificielle aujourd'hui, c'est investir dans notre indépendance de demain ».
Photo de familleLe Burkina Faso entend ainsi tracer sa propre voie vers la souveraineté numérique, en s'appuyant sur une intelligence collective nationale et en veillant à ce que la technologie serve le développement humain, social et culturel du pays.
Anita Mireille Zongo (stagiaire)
Lefaso.net
Le ministre de la fonction publique, du travail et de la sécurité sociale, Mathias Traoré, a officiellement lancé ce mardi 28 octobre 2025 l'application mobile eCNSS Burkina. Le lancement de cette application mobile s'inscrit dans le processus de digitalisation des prestations engagées par la CNSS. eCNSS a pour objectif de simplifier l'accès aux services de la CNSS, de fluidifier les échanges entre les usagers et la Caisse et de renforcer la transparence et la confiance grâce à des services en temps réel. eCNSS est disponible sur Playstore.
L'application eCNSS constitue la version mobile de la plateforme eCNSS lancée en novembre 2023. Elle permet aux assurés et aux employeurs de rester en contact permanent avec la Caisse nationale de sécurité sociale (CNSS). Le lancement ce jour de cette application, témoigne selon le directeur général de la CNSS, Dr Hermann Yacouba Nacambo, de l'engagement continu de la Caisse à moderniser ses services et à améliorer l'accessibilité pour tous les assurés, de son dévouement à l'innovation et de sa réactivité aux besoins évolutifs de ses parties prenantes.
Dans une ère définie par la transformation numérique, la CNSS a voulu saisir l'occasion qu'offre la technologie pour combler les écarts et améliorer l'efficacité de ses prestations. " C'est pourquoi l'application mobile eCNSS est conçue pour rapprocher nos services de nos partenaires sociaux, où qu'ils soient. Avec la généralisation des téléphones intelligents, nous avons voulu mettre cette application à portée de main de tout Burkinabè, où qu'il soit", a laissé entendre Dr Hermann Yacouba Nacambo.
Selon le directeur général de la CNSS, Dr Hermann Yacouba Nacambo, l'application eCNSS offre de nombreux avantages aux employeurs et employésUne facilité d'accès aux prestations pour toutes les parties prenantes
A en croire le directeur général de la CNSS, eCNSS offre des avantages pour les employeurs, les employés et pour la CNSS elle-même. En ce qui concerne les employeurs, il indique que l'application permet de voir la carrière de leurs employés ; payer des cotisations par ordre de virement bancaire, par mobile money, par carte Visa ; demander un calendrier de paiement ; disposer d'une attestation de situation financière ; demander des bulletins de présence des travailleurs ; etc.
Les employés quant à eux peuvent consulter leurs comptes individuels, ainsi que leurs dossiers de prestations et les paiements ; déposer des pièces de maintien de droits ; demander des avances sur prestations ; simuler le calcul de la pension ; consulter leurs paiements ; etc. Les travailleurs de la diaspora qui, souhaitent adhérer à l'assurance volontaire peuvent désormais grâce à cette application interagir directement avec les services de la CNSS.
La CNSS peut à travers l'application mobile, consulter toutes les situations des employeurs ; consulter toutes les situations des travailleurs ; prendre la position GPS de l'employeur en vue des contrôles ; etc. " En définitive, la plateforme eCNSS et eCNSS mobile sont une opportunité pour la CNSS du Burkina Faso de venir à bout de l'épineuse et récurrente problématique de la mise à jour du compte individuel des assurés ; améliorer les délais de liquidation des prestations, voir liquider une pension en une journée ; mettre fin aux files d'attente à nos guichets en faisant gagner du temps précieux à nos assurés et partenaires", conclut le directeur général.
Plusieurs usagers sont venus assister au lancement de cette application qui va simplifier les processuseCNSS, une preuve de la modernisation continue des prestations de la CNSS
Pour le ministre de la fonction publique, du travail et de la protection sociale, Mathias Traoré, l'application eCNSS est en adéquation avec le chantier de modernisation des services publics à travers la dématérialisation des actes administratifs et une digitalisation des prestations publiques, entrepris par le gouvernement.
" eCNSS permet aux citoyens de prendre le contrôle de leurs informations de sécurité sociale, de rester informés de leurs droits et obligations, et d'interagir avec la Caisse nationale de sécurité sociale de manière transparente et sécurisée. L'introduction de cette application représente une avancée significative dans nos efforts collectifs pour moderniser les services publics et améliorer l'écosystème de la sécurité sociale au Burkina Faso", a-t-il souligné.
Mathias Traoré n'a pas manqué d'encourages la CNSS et les autres organismes de prévoyance sociale à poursuivre les efforts de modernisation, pour non seulement améliorer leur efficacité opérationnelle, mais également offrir des services plus accessibles et plus conviviaux aux assurés.
Le ministre du travail, Mathias Traoré, a encouragé les parties prenantes à adopter cette nouvelle applicationTout en encourageant tous les citoyens, employeurs et assurés à adopter l'application mobile eCNSS Burkina, le ministre s'est engagé à suivre deux mois durant le fonctionnement de l'application, et a même invité toute personne qui rencontrerait des difficultés dans l'installation ou l'utilisation de la plateforme, à contacter ses services.
Le directeur général de la CNSS a indiqué que plusieurs autres projets sont en cours, toujours dans le souci d'offrir de meilleurs services aux assurés. Il s'agit du système d'archivage électronique, de la modernisation des cartes d'affiliation des chauffeurs routiers, de la mise en œuvre d'agents conversationnels avec l'intelligence artificielle pour la plateforme eCNSS, le site Web de la CNSS ainsi que les pages Facebook et de l'intégration du système biométrique dans la gestion de ses pensionnés.
Armelle Ouédraogo
Lefaso.net
Les matchs des éliminatoires de la Coupe du monde Afrique 2026 ont enthousiasmé les supporters, les enchantant avec des buts spectaculaires et des remontées époustouflantes.
Combien d'équipes africaines se qualifient pour le Mondial 2026 ?
L'élargissement de ce prestigieux tournoi a permis à l'Afrique de bénéficier de davantage de places pour la phase finale. Toutes les équipes ont été réparties en neuf groupes de six. Les vainqueurs se qualifieront directement pour le Mondial, tandis que les quatre meilleurs deuxièmes passeront par les barrages pour une place aux éliminatoires intercontinentaux, où sera déterminé le participant final.
Groupe A
L'Égypte a bouclé les éliminatoires de la Coupe du monde sans le moindre revers : huit victoires et deux nuls. Mohamed Salah, comme toujours, a été le joueur monumental des « Pharaons ». Le « Roi d'Égypte » a inscrit neuf buts et délivré trois passes décisives, devenant ainsi le meilleur buteur de son équipe et surpassant Didier Drogba au classement des meilleurs buteurs de tous les temps des qualifications africaines.
Le Burkina Faso a offert aux supporters le scénario le plus spectaculaire des qualifications. Les « Étalons » ont fêté leur passage vers la phase à élimination directe après un succès convaincant 3-1 contre l'Éthiopie au dernier tour. Mais le triomphe a ensuite cédé la place à la déception : l'Érythrée s'est retirée de la compétition préliminaire, ce qui a conduit à la décision de ne pas prendre en compte les points obtenus contre les lanternes rouges des poules, l'une d'elles comptant seulement cinq équipes. De ce fait, le Burkina Faso a quitté le top quatre des deuxièmes et s'est retrouvé derrière le Nigeria par différence de buts.
Groupe B
Le Sénégal a fait preuve de stabilité et de sang-froid, terminant à seulement deux longueurs de la RD Congo. À l'instar de l'Égypte, les Lions de la Téranga ont terminé le tournoi invaincus, avec Sadio Mané, ancien coéquipier de Mohamed Salah à Liverpool, comme principale force offensive. La RD Congo a terminé parmi les quatre premiers du classement et continuera de se battre pour une place aux barrages. Les Léopards retrouveront le Cameroun au premier tour des éliminatoires.
Groupe C
Pour l'Afrique du Sud, une qualification réussie a failli tourner au désastre. Teboho Mokoena, suspendu pour le match contre le Lesotho, est entré en jeu, ce qui a coûté les trois points aux Bafana Bafana. Cependant, l'Afrique du Sud s'est rattrapée lors du dernier tour en battant le Rwanda 3-0, prenant un point d'avance sur le Nigeria. La tragicomédie de l'élimination de l'Érythrée a joué en faveur des « Brésiliens d'Afrique », qui se sont hissés aux séries éliminatoires, où ils rencontreront le Gabon.
Groupe D
Le Cap-Vert a été l'une des plus grandes révélations du tournoi préliminaire, en battant le Cameroun, bien plus prestigieux, dans la course au billet direct pour la Coupe du monde 2026. Les « Requins Bleus » disputeront la phase finale de la compétition pour la première fois. Ils savent créer la sensation. Prenons l'exemple de Roberto Lopez, repéré par les recruteurs de la sélection en 2019 via LinkedIn. Né en Irlande, ce défenseur central a accepté de représenter la patrie de son père, devenant ainsi l'un des principaux artisans du succès du Cap-Vert.
Groupe E
Le Maroc retrouve le sommet : l'équipe de Walid Regragui a écrasé ses adversaires en remportant ses huit matchs de qualification. Les Lions de l'Atlas ont décroché 16 victoires de suite, battant ainsi le record de l'Espagne établi en 2008-2009.
Groupe F
Les champions d'Afrique en titre ont planté 25 buts lors des qualifications, devenant ainsi l'équipe la plus prolifique. Ils ont également conservé leur cage inviolée à 10 reprises. Malgré cette performance impressionnante, la Côte d'Ivoire n'a terminé qu'avec une unité d'avance sur le Gabon.
Le dernier tour de qualification a été un véritable test pour l'équipe Azingo : son leader, Pierre-Emerick Aubameyang, a été expulsé après avoir scoré quatre fois contre la Gambie (4-3) et suspendu pour le dernier match. Cependant, le Gabon a vaincu le Burundi sans son joueur vedette et a finalement tiré son épingle du jeu.
Groupe G
L'Algérie s'est facilement qualifiée pour la Coupe du monde 2026 et a par ailleurs révélé le talent de buteur de Mohamed Amoura. Auteur de 10 réalisations, l'attaquant de Wolfsburg est devenu le meilleur buteur du tournoi, devant Mohamed Salah. Autre sensation : Luca Zidane, le fils du légendaire Zinédine Zidane, a fait ses débuts dans les buts de l'équipe nationale algérienne.
Groupe H
La défense tunisienne peut être comparée à celle de la plateforme de paris sportifs AfroPari Afrique : elle neutralise habilement toutes les menaces. En 10 matchs de qualification, les Aigles carthaginois n'ont encaissé aucun but, récoltant près de deux fois plus de points que la Namibie, deuxième.
Groupe I
Le Ghana s'est qualifié sans problème (8 victoires en 10 matchs) et sera l'une des équipes les plus prometteuses de la phase finale de la Coupe du monde. Antoine Semenyo et Mohammed Kudus sont en excellente forme et ont littéralement pulvérisé la Premier League. Un équilibre parfait entre jeunesse et expérience est un atout majeur pour les Black Stars, qui devrait les aider à redresser la barre après avoir loupé leur prestation à la Coupe du monde au Qatar.
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La Coupe du monde 2026 accueillera un nombre record d'équipes africaines, dont des sélections expérimentées (Maroc, Sénégal et Égypte) et des débutants prometteurs (Cap-Vert). Nous attendons également avec impatience les matchs éliminatoires – la dernière chance pour le Gabon, la RD Congo, le Cameroun et le Nigeria. Suis l'action avec AfroPari, où le sport est à portée de main. La plateforme offre une protection maximale à chaque étape du jeu, de l'inscription au retrait.
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Au lendemain de la proclamation des résultats provisoires donnant Alassane Ouattara largement vainqueur, l'opposant Tidjane Thiam a dénoncé une élection « non conforme aux standards démocratiques ». Plusieurs figures de l'opposition partagent son constat, pointant un processus « verrouillé » et une faible participation.
L'opposant ivoirien Tidjane Thiam a réagi avec fermeté après la publication des résultats provisoires de la présidentielle. Dans une vidéo diffusée sur ses réseaux sociaux, le président du PDCI-RDA a estimé que le scrutin du 25 octobre « n'a pas été une véritable élection », dénonçant un processus entaché par la peur et la démobilisation des électeurs.
« Ce qui vient de se passer n'est pas une véritable élection et ce à quoi nous avons assisté ne fait pas honneur à notre pays », a déclaré l'ancien banquier international, avant d'appeler à « rejeter la violence et à œuvrer pour la paix ».
Selon lui, le scrutin « a eu lieu dans un climat de peur et a été marqué par une faible participation, visible et reconnue de tous ». Il a également regretté que l'élection ait davantage divisé les Ivoiriens au lieu de les rassembler, appelant les acteurs politiques à « s'unir pour reconstruire la confiance ».
Une opposition divisée
Si Jean-Louis Billon, autre candidat de l'opposition, a reconnu sa défaite et félicité le président sortant, d'autres figures contestent la régularité du scrutin. L'ex-première dame Simone Gbagbo, candidate du Mouvement des générations capables (MGC), a dénoncé un « système électoral inéquitable et verrouillé », accusant la Commission électorale indépendante (CEI) d'être « sous l'influence écrasante du pouvoir ».
Dans une dépêche de l'Agence ivoirienne de presse (AIP), elle évoque un fichier électoral « truffé de doublons » et une opposition « minée par ses propres divisions ». Selon elle, certains acteurs ont contribué à « créer un climat de peur et de violence » ayant découragé de nombreux électeurs à se rendre aux urnes.
Tout comme Tidjane Thiam, elle a condamné les violences signalées dans plusieurs localités du pays et invité les autorités à la clémence envers les militants interpellés pendant le scrutin.
Selon les chiffres provisoires publiés par la Commission électorale indépendante, le président sortant Alassane Ouattara a été réélu dès le premier tour avec 89,77 % des suffrages exprimés. Il devance Jean-Louis Billon (3,09 %), Simone Gbagbo (2,42 %), Ahoua Don Mello (1,97 %) et Lagou Adjoua Henriette (1,15 %).
Samira Ouédraogo
Lefaso.net
La session d'octobre 2025 de l'examen du Certificat de qualification aux métiers (CQM) a démarré, ce lundi 27 octobre 2025, au CEG Les Pylônes à Cotonou. 41.934 candidats composent pour divers corps de métiers.
L'examen du Certificat de qualification aux métiers (CQM), étape cruciale de reconnaissance officielle des compétences des artisans et apprentis dans divers corps de métiers, a démarré ce lundi 27 octobre 2025, et prend fin dimanche 02 novembre prochain. Pour cette session, 41.934 candidats dont 24 618 femmes affrontent les différentes épreuves.
Selon le gouvernement, 2111 sites de composition répartis dans 109 centres d'examen sont prévus pour assurer le bon déroulement de l'examen. Le fait notoire de cette session relève de la participation de 176 pensionnaires des centres pénitentiaires, et de 136 candidats en situation de handicap.
Procédant au lancement des épreuves, la ministre des enseignements secondaire, technique et de la formation professionnelle, Véronique TOGNIFODE a félicité les candidats pour leur détermination. Elle a rappelé l'engagement du gouvernement à faire de la formation technique et professionnelle, un levier de développement économique et social.
Etaient aussi présents au lancement de l'examen, le ministre Modeste KÉRÉKOU, en charge des Petites et moyennes entreprises et de la promotion de l'emploi, le préfet du Littoral, Alain OROUNLA, le 2e adjoint au maire de Cotonou, Gatien ADJAGBONI, le président de la Chambre des métiers et de l'artisanat (CMA Bénin), Soufiyanou IMOROU, et des membres du bureau consulaire et des acteurs du secteur.
F. A. A.
Julien Nana, joueur de floorball du club Baobab de Saaba, a été distingué le 22 octobre 2025 par l'Association des journalistes sportifs du Burkina (AJSB). Le 26 octobre, le lauréat a présenté à sa fédération les prix qu'il a reçus lors d'une cérémonie à Ouagadougou.
Le 26 octobre 2025, la Fédération burkinabè de floorball (FBFL) a organisé une cérémonie sobre mais pleine de symboles, pour honorer son joueur Lucien Nana du club Baobab de Saaba. Pour la circonstance, le bureau fédéral, la Ligue du Centre de floorball, les membres du club Baobab de Saaba, des invités, étaient présents. L'objet de la cérémonie était la présentation par le joueur Lucien Nana de ses prix obtenus lors de la Nuit des champions (NDC AJSB), le 22 octobre dernier.
Le champion AJSB floorball Julien Nana, s'adressant à l'assistanceJulien Nana, joueur de Baobab de Saaba, a été reconnu méritant au vu de ses efforts ayant conduit son club au sacre de champion national. Premier à prendre la parole, le lauréat Julien Nana, tout ému, a remercié le bureau fédéral pour cette cérémonie en son honneur, de même que l'assistance présente. Il a laissé entendre que ce sont les contributions de tous, les coéquipiers, les encadreurs, le bureau fédéral, la ligue, qui lui ont permis de se transcender pour performer, et que sa consécration n'est pas uniquement la sienne, mais celle de toute la famille floorball.
Photo de famille du lauréat avec les membres fédéraux, de la ligue et de Baobab de SaabaÀ la suite du joueur, le président de la FBFL, Adama Kouenda, s'est exprimé : « Notre cérémonie a un double objectif. Le premier, ce sont nos félicitations à notre lauréat de la NDC AJSB 2025. Non seulement il a reçu le prix AJSB, et c'est lui qui a gagné le super prix des votes du public parmi plus d'une vingtaine de candidats, cela fait grandir non seulement son nom, mais le floorball, bien que la discipline ne soit pas encore connue, et soit toujours en phase de vulgarisation », s'est-il réjoui.
Les prix obtenus par Julien Nana, le trophée AJSB, le super trophée du public, des gadgetsDans le deuxième objet, le président Kouenda a tenu à remercier l'ensemble du bureau fédéral, pour les sacrifices consentis, il a relevé que le floorball est l'une des fédérations qui a toujours tenu son championnat national, en dépit du fait qu'il ne bénéficie pas encore de la subvention de l'État. Après ces interventions, le lauréat Julien Nana a présenté au président de la fédération ses prix composés du trophée AJSB, du trophée de super prix, de gadgets. Une collation a mis fin au cérémonial.
Barthélemy Kaboré
(collaborateur)
Huit ans jour pour jour après son retrait historique de la Cour pénale internationale (CPI), le Burundi a commémoré, ce 27 octobre 2025, cet acte symbolique à travers une conférence-débat placée sous le thème de la souveraineté judiciaire africaine. L'événement, organisé à Bujumbura, a réuni un large éventail d'acteurs issus du monde juridique, diplomatique, académique et de la société civile, venus réfléchir sur l'avenir de la justice sur le continent africain.
Le 27 octobre 2017, le Burundi devenait le premier pays au monde à se retirer officiellement du Statut de Rome, texte fondateur de la Cour pénale internationale. Huit ans plus tard, cette décision continue d'alimenter les débats sur la place du continent africain dans les instances judiciaires internationales.-
Au cours de cette rencontre, les participants ont échangé sur les défis et opportunités liés à la mise en place de mécanismes judiciaires africains capables de juger les crimes graves, tout en respectant les spécificités culturelles et les souverainetés nationales. L'objectif affiché : promouvoir une justice équitable, indépendante et véritablement ancrée dans les réalités africaines.
Intervenant à distance depuis le Mali, Me Jassane Maguate, Magistrat de l'Ordre Judiciaire de la République du Mali, a salué la démarche du Burundi, qu'il a qualifiée de “courageuse et visionnaire”. Selon lui, “les pays africains doivent désormais s'assumer juridiquement et trouver leurs propres voies pour sanctionner ou juger certains crimes, sans dépendre exclusivement de structures extérieures”.
Il a également rappelé que les États membres de l'Alliance des États du Sahel (Mali, Burkina Faso, Niger) ont récemment annoncé, eux aussi, leur retrait du Statut de Rome, suivant ainsi la voie tracée par le Burundi. “J'espère qu'il y aura une coopération Sud-Sud plus dynamique afin de construire des alternatives africaines solides, capables d'incarner une justice souveraine, équitable et respectueuse des droits humains”, a-t-il ajouté.-
Les intervenants ont largement insisté sur la nécessité pour le continent africain de renforcer ses institutions judiciaires régionales. Plusieurs propositions ont été avancées, notamment la création ou le renforcement d'une Cour africaine de justice et des droits de l'homme, la mise en place de mécanismes de coopération interétatiques pour juger les crimes graves, ainsi que la promotion d'une éducation juridique panafricaine fondée sur les valeurs et traditions du continent.
L'événement a été marqué par la présence de M. Pontien Hatungimana, Secrétaire permanent au Ministère de la Solidarité nationale, des Affaires sociales, des Droits de la Personne Humaine et du Genre, ainsi que de M. Marcelino Nko Roku, Représentant et Chef de Bureau de Liaison de la Commission de la Communauté Économique des États de l'Afrique Centrale (CEEAC). Plusieurs autres personnalités issues du monde académique, diplomatique et associatif ont également pris part aux échanges.
Ces discussions ont permis de dégager plusieurs recommandations concrètes, notamment la création de cadres juridiques harmonisés entre les États africains et la valorisation des mécanismes traditionnels de règlement des conflits, en complément des juridictions modernes.
Au terme de cette conférence-débat, les participants ont exprimé le vœu de voir émerger, dans les années à venir, un véritable système judiciaire africain capable de traiter avec efficacité et indépendance les affaires relatives aux crimes graves commis sur le continent.
Ce 8ᵉ anniversaire du retrait du Burundi de la CPI n'a donc pas seulement été un moment de commémoration, mais aussi un appel à l'action collective pour repenser la justice internationale à partir de l'Afrique et pour l'Afrique.
Omar diallo
La Cour de répression des infractions économiques et du terrorisme (CRIET) a examiné une affaire d'escroquerie en ligne ce lundi 27 octobre 2025. La prévenue est accusée d'avoir soutiré la somme de 20 millions de francs CFA à sa victime, qui est une connaissance à elle.
Une chrétienne devant la CRIET pour des faits présumés d'escroquerie en ligne. Elle est accusée d'avoir soutiré une somme de 20 millions de francs CFA à l'une de ses connaissances.
Selon les faits, la plaignante et l'accusée s'étaient retrouvées au cimetière PK14 le 1er novembre 2024, à l'occasion de la fête de Toussaint. Après cette rencontre, la plaignante a été intégrée dans un groupe de prière que l'accusée dirige. Profitant de ce creuset, elle a commencé à soutirer de l'argent à la victime, prétextant financer des prières pour éviter la mort de sa fille.
De peur de perdre son enfant, la victime a effectué plusieurs transferts au profit de l'accusée qui prétendait agir au nom d'un prêtre que la victime n'a jamais rencontré. Le montant total des transferts effectués est estimé à 20 millions de francs CFA. En plus du numéraire, la prévenue aurait également reçu des téléphones portables, un matelas et divers appareils électroménagers.
A la barre, elle a nié une partie des faits. Le dossier est renvoyé au 19 janvier 2026.
F. A. A.