• Plus de 3 000 élèves prêts à être sensibilisés aux grossesses en cours de scolarité, répartis dans 17 établissements dans la commune de Houndé.
• 14,5 millions FCFA mobilisés pour la mise en œuvre de la campagne.
• Une initiative régionale en pleine expansion ayant déjà bénéficié à plus de 3 000 parents et enfants.
Houndé, le 25 octobre 2025 – Le Groupe Endeavour Mining, à travers sa Fondation Endeavour, a procédé ce samedi au lancement officiel de sa campagne Je Choisis Mon Avenir, ciblant plus de 2 500 élèves et parents issus des communautés riveraines de la mine de Houndé.
Organisée avec le soutien technique de l'Association pour la Promotion de la Santé Communautaire et le Développement Social Intégré (A.S.Co.S.I), cette initiative vise à informer les jeunes élèves et leurs parents sur les conséquences des grossesses en cours de scolarité, afin de contribuer à la réduction de leur taux au sein des communautés locales.
Une campagne pour protéger l'avenir des jeunes filles
S'inscrivant dans la stratégie de développement durable du Groupe, la campagne Je Choisis Mon Avenir illustre l'engagement renouvelé de la Fondation Endeavour en faveur de l'éducation, de la santé et de la protection des jeunes filles.
Le programme se déploiera sur plusieurs semaines autour de deux volets principaux :
• Sensibilisation communautaire à travers des causeries éducatives, ciné-débats, théâtres-forums et conférences dans les établissements scolaires ;
• Renforcement des capacités des enseignants et pairs éducateurs pour assurer un accompagnement durable en matière d'éducation sexuelle et de santé reproductive.
Parallèlement, des clubs de santé scolaire seront créés dans 17 établissements afin de favoriser le dialogue, prévenir les grossesses précoces et encourager le leadership féminin au sein des écoles.
Intervenant au nom de la Fondation Endeavour, M. Nassé Ouedraogo, Responsable du département de la Performance Sociale de Houndé Gold Operations (HGO), a rappelé qu'« empêcher une jeune fille d'aller au bout de sa scolarité, c'est amputer l'avenir de toute une communauté. La campagne Je Choisis Mon Avenir est une main tendue pour donner aux jeunes filles les outils de la connaissance, de la santé et de l'autonomie. »
Des activités soutenues dans 17 établissements scolaires
Le projet, d'un budget global de 14,5 millions FCFA, couvrira 17 établissements scolaires de la commune de Houndé.
Jusqu'à la fin décembre 2025, plusieurs actions concrètes sont prévues :
• Formations ciblées pour les enseignants et pairs éducateurs ;
• Sessions d'éducation sexuelle pour les élèves ;
• Journées de plaidoyer avec les autorités locales ;
• Formations de rattrapage pour les jeunes filles-mères ;
• Production et diffusion de supports éducatifs et de communication sur la santé sexuelle et reproductive.
Ces activités seront accompagnées par une campagne médiatique et communautaire afin de maximiser la portée du message auprès des familles et des leaders d'opinion.
Une initiative régionale en pleine expansion
Depuis son lancement en 2023, Je Choisis Mon Avenir a déjà bénéficié à plus de 3 000 élèves et parents dans les communautés situées autour des sites d'Endeavour Mining en Côte d'Ivoire, notamment à Zouan-Hounien, Lafigué et Tanda, grâce à un partenariat avec l'ONG Overcome Women.
Le déploiement de cette nouvelle édition au Burkina Faso traduit la volonté de la Fondation Endeavour d'étendre son impact à l'échelle régionale, en consolidant les efforts engagés pour protéger les jeunes filles, renforcer l'éducation et promouvoir des communautés plus fortes et plus résilientes autour de ses sites miniers.
À propos de la Fondation Endeavour
Créée en 2021, la Fondation Endeavour est chargée de mettre en œuvre des projets de développement durable à l'échelle régionale, nationale et internationale. Elle concentre ses actions sur les domaines prioritaires des pays hôtes d'Endeavour Mining, tels que la santé, l'éducation, l'accès à l'eau et à l'électricité, ainsi que le développement socio-économique des communautés.
Pour cela, elle noue de nombreux partenariats avec des acteurs du monde associatif, des grandes ONG de renommée internationale jusqu'aux associations œuvrant au niveau local. Depuis sa création, la Fondation Endeavour accompagne des projets au Burkina Faso, en Côte d'Ivoire et au Sénégal. Pour plus d'informations : www.endeavourmining.com//fondation-endeavour
Des combats ont éclaté dimanche 26 octobre à Kalangira, dans la chefferie de Baswagha (Nord-Kivu), entre des jeunes armés identifiés comme Wazalendo et les rebelles de l’AFC/M23. Selon le gouverneur du Nord-Kivu, les FARDC ne sont pas impliquées et continuent de respecter le cessez-le-feu en vigueur dans le cadre des processus de paix de Washington et Doha.
Le Conseil supérieur de la magistrature (CSM) annonce le début, le 10 novembre 2025, d’une formation de 15 jours pour 2 500 magistrats récemment nommés. Cette session, qui sera organisée à Kinshasa, Lubumbashi et Kisangani, vise à renforcer l’efficacité, l’éthique et la compétence du service judiciaire.
Les taximen et motocyclistes de Matadi ont observé, ce lundi 27 octobre, une grève pour protester contre la baisse des tarifs de transport décidée par le maire.
Le prix d’une course à moto est passée de 1 000 à 500 francs congolais, celui du taxi de 700 à 550 francs congolais.
Quelques activistes congolais ont lancé, ce lundi 27 octobre à Kinshasa, une dynamique de réflexion intitulée « Front pour la Quatrième République ».
À travers cette initiative, ils affirment vouloir améliorer les textes qui régissent le pays afin de tracer la voie vers un développement durable.
La ville de Kinshasa accueille du 27 au 30 octobre la première édition de la Semaine nationale du climat.
Ce forum offre aux Congolais l’opportunité de faire de l’environnement un pilier du développement de leur pays. Pour y parvenir, la ministre de l’Environnement encourage chaque citoyen à s’impliquer activement dans la lutte contre le changement climatique.
Saurez-vous reconstituer l'image complète ?
Deux pièces du puzzle sont manquantes…
À vous de jouer : quelles sont les deux bonnes pièces parmi les options proposées ?
Notez vos réponses en commentaire sous la forme :
Exemple : B et E
#lonab #tourdufaso #jeu #divertissement #lonabet #fasoloto #lafortuneendirect
Le cancer du sein représente aujourd'hui la première cause de cancer chez la femme dans le monde. S'il résulte d'une combinaison de facteurs génétiques, hormonaux, environnementaux et comportementaux, l'alimentation occupe une place centrale dans sa prévention, son accompagnement thérapeutique et la réduction du risque de récidive.
I. L'alimentation : un outil majeur de prévention
Une alimentation saine, équilibrée et riche en nutriments protecteurs contribue à réduire les processus inflammatoires et le stress oxydatif, deux mécanismes clés dans la genèse et la progression du cancer du sein.
Principales recommandations diététiques :
Augmenter la consommation de fruits et légumes frais (idéalement issus de productions locales et biologiques), riches en antioxydants, vitamines et composés phytochimiques protecteurs.
Privilégier les légumineuses locales (haricot, pois de terre, soja, lentilles), excellentes sources de fibres et de protéines végétales, favorisant la régulation hormonale et le maintien d'un bon microbiote intestinal.
Choisir les céréales complètes (mil, sorgho, riz complet, maïs non raffiné) qui facilitent l'élimination des déchets métaboliques et stabilisent la glycémie.
Intégrer régulièrement le poisson, source d'acides gras oméga-3 reconnus pour leurs propriétés anti-inflammatoires et cardioprotectrices.
Consommer des graines oléagineuses (sésame, arachide, noix, amandes) riches en graisses insaturées et en vitamine E, qui protègent les cellules du stress oxydatif.
Utiliser les épices fonctionnelles telles que le curcuma, le gingembre, l'ail ou le persil, dont les effets antioxydants et anticancérigènes sont largement documentés.
II. Les aliments à limiter
Certaines habitudes alimentaires favorisent l'inflammation, le déséquilibre hormonal et la prise de poids, qui sont les trois facteurs aggravants du risque de cancer du sein.
Il est donc recommandé de réduire significativement :
La viande rouge et les charcuteries, riches en graisses saturées et en nitrites.
Les produits ultra-transformés, contenant des additifs, des sucres ajoutés et des graisses industrielles.
La consommation d'alcool, même modérée, dont l'effet cancérigène sur le sein est prouvé.
Les boissons gazeuses, les fritures répétées et les fast-foods, qui favorisent le surpoids et le stress oxydatif.
III. Pendant le traitement : soutenir l'organisme
Les traitements anticancéreux (chimiothérapie, radiothérapie, hormonothérapie) entraînent souvent une perte d'appétit, des troubles digestifs ou une altération du goût.
Un suivi diététique personnalisé est alors essentiel pour maintenir un bon état nutritionnel, réduire les effets secondaires et renforcer le système immunitaire.
Conseils diététiques adaptés :
Fractionner les repas pour améliorer la tolérance digestive.
Privilégier des préparations simples, digestes et riches en protéines maigres (poisson, œuf, volaille et les légumineuses).
Consommer des aliments riches en fer, en zinc et en antioxydants pour favoriser la récupération.
Veiller à une hydratation suffisante (eau, bouillons clairs, infusions naturelles).
Adapter les textures (purées, compotes, potages) selon la tolérance et la fatigue du patient.
IV. Après le traitement : consolider la rémission
Une alimentation équilibrée et un mode de vie sain contribuent à la stabilisation du poids, à la prévention des rechutes et à une meilleure qualité de vie.
Objectifs nutritionnels post-thérapeutiques :
Maintenir un poids de santé stable.
Favoriser une alimentation majoritairement végétale, riche en fibres et antioxydants.
Pratiquer une activité physique régulière adaptée à l'état de santé.
Éviter les régimes restrictifs non encadrés par un professionnel.
L'alimentation ne se limite pas à un simple apport énergétique : elle constitue un outil thérapeutique à part entière dans la lutte contre le cancer du sein.
Bien conduite, elle soutient les traitements médicaux, renforce les défenses immunitaires et améliore la qualité de vie des patientes.
Chaque repas peut devenir un acte de prévention, de guérison et d'amour de soi.
Nourrir son corps sainement, c'est aussi nourrir sa force intérieure.
Yasmine Ouédraogo/Zerbo
Diététicienne
La ville de Cotonou dispose désormais de fourrières municipales capables d'accueillir des véhicules réprimés pour diverses infractions au Code de la route. Ces nouvelles infrastructures ont été lancées, vendredi 24 octobre 2025, par le premier adjoint au maire, en présence des commissaires de Police, et des élus locaux.
Conformément aux dispositions des articles 35, 38 et 105 du Code de l'administration territoriale en République du Bénin, la mairie de Cotonou s'est dotée de deux fourrières municipales. Une fourrière à Agbondjèdo à Akpakpa, dans le 8e arrondissement, et destinée à accueillir les véhicules légers et les motocyclettes, et la seconde, à l'Abattoir dans le 1er arrondissement, réservé aux camions. Les deux fourrières ont été lancées vendredi 24 octobre dernier.
Ces fourrières municipales selon le premier adjoint au maire de la ville de Cotonou, répondent à la volonté des élus de contribuer à une meilleure gestion de la sécurité routière et de la mobilité urbaine. Pour eux, il s'agit d'outils d'incitation au respect du code de la route, et des espaces propices capables d'accueillir des véhicules réprimés pour diverses infractions au Code de la route et les stationnements abusifs et dangereux.
Après avoir salué le professionnalisme de la Police pour le maintien de l'ordre et de la sécurité dans la ville, Romain Ahoundjinou a rassuré que la municipalité de Cotonou à travers le service technique, jouera sa partition pour la fourniture des moyens logistiques et humains indispensables en vue d'une meilleure coordination des activités.
F. A. A.
C'est à travers un Séminaire spécialisé, grand creuset d'échanges et de discussion entre étudiants, personnel administratif et enseignants, que l'Ecole Supérieure de Management (ESM-BENIN) a effectué la rentrée solennelle au titre de l'année académique 2025-2026, ce vendredi 24 octobre 2025. « Economie sociale et solidaire », était le thème principal de discussion.
Ça y est, c'est fait ! La rentrée académique 2025-2026 est officiellement lancée à l'Ecole Supérieure de Management. Le premier Séminaire spécialisé qui a eu pour cadre, le site d'Abomey-Calavi dans le département de l'Atlantique.Etudiants des sites de Cotonou, de Cocotomey, d'Akpakpa et de Porto-Novo ont pris part aux échanges riches et inspirants sur une thématique au cœur des enjeux contemporains de développement.
Pour Geoffroy DJENOUKPO, Directeur des Etudes de ESM-BENIN Calavi, la séance incarne bien plus qu'un simple moment académique. « L'évènement qui nous réunit ce jour, aussi anodin qu'il puisse paraître, est une source de motivation pour plus d'un. Pour ESM, c'est la concrétisation d'une vision exprimée depuis ses origines : former des cadres compétents susceptibles de faire face à tous les enjeux », a-t-il rappelé. D'après lui, la conférence constitue non seulement un outil de motivation pour les étudiants, mais aussi un gage de confiance pour les partenaires, et une confirmation de l'engagement de l'école à l'excellence. Le choix du thème a-t-il poursuivi, n'est pas anodin. Il vise selon le DE, à doter les apprenants d'une compréhension solide de l'économie en général, et de l'économie sociale et solidaire en particulier.
L'entrepreneuriat social, une voie d'avenir pour la jeunesse
S'adressant aux étudiants, le Directeur Général de l'ESM-BENIN a insisté sur la nécessité de repenser la réussite professionnelle. « L'avenir ne dépend plus seulement de vos diplômes, mais de votre capacité à créer de la valeur sociale et économique. Dans un monde où les emplois traditionnels se raréfient, l'entrepreneuriat social et solidaire apparaît comme une voie d'émancipation et d'innovation », a souligné Dr Isidore HOUNHUEDO. Une déclaration qui résonne particulièrement dans un contexte où la jeunesse béninoise est appelée à innover, à entreprendre et à participer activement au développement durable du pays.
Après avoir exposé les innovations de la nouvelle année, il a exhorté les parents ainsi que les nouveaux bacheliers à rejoindre ESM-BENIN, symbole d'excellence et d'innovation. L'école, a-t-il rassuré, est autorisée et dispose de l'agrément pour former les étudiants dans les filières porteuses d'avenir telles que le Génie civil et la Topographie ; l'Hôtellerie, Tourisme, et Restauration ; Système informatique et logiciel. Les filières Administration des finances ; Administration des Impôts ; Administration du Trésor, sont également ouvertes, a ajouté Isidore HOUNHUEDO exhortant les nouveaux bacheliers et les parents encore hésitants, à envoyer leurs enfants à ESM-BENIN qui forme non pas des diplômés, mais des hommes et des femmes capables de prendre leur avenir en main dès la première année.
La conférence animée par Christian AHOYO, enseignant à ESM-BENIN, a permis de mieux comprendre les fondements et les enjeux de ce modèle économique. « L'économie sociale et solidaire constitue une voie durable de développement capable d'accompagner la dynamique impulsée par le gouvernement du président Patrice TALON », a-t-il affirmé. Pour le conférencier, cette approche permettrait de consolider les performances économiques du pays — déjà notables en termes de PIB, de maîtrise de l'inflation et de réduction du déficit budgétaire — tout en renforçant les progrès sociaux. L'objectif visé selon l'enseignant, est que chaque étudiant, à la fin de son cursus, puisse devenir un acteur du développement et non un simple demandeur d'emploi.
Cette rentrée solennelle a été marquée par une prestation de l'artiste Vano Baby, une des figures emblématiques du Rap béninois, et plusieurs autres animations culturelles assurées par des groupes de jeunes de ESM-BENIN qui, pendant ce séminaire, ont égayé les participants.
ESM-BENIN, LE CHEMIN VERS L'EMPLOI !