Comme la Monusco au Congo démocratique, dotée d’une brigade d’intervention, notre gouvernement avait toujours souhaité que le mandat de la Minusma soit renforcé par des interventions musclées contre les terroristes. Mais tant que les victimes étaient des Maliens, le Conseil de sécurité se montrait sourd et s’en tenait à la résolution créant la Minusma, qui a tout l’air d’une force sans âme. Aujourd’hui, la triste réalité du terrain rattrape les Nations unies. M. Ki-moon crie même haro sur le baudet. Il accuse les mouvements armés d’être les complices des terroristes.
Vivement donc la Minusma renforcée au service d’une plus grande sécurité pour tous au Mali.
DAK
Source: L’indicateur du Renouveau
Le tribunal correctionnel de Paris abrite ce vendredi, à partir de 13h, un procès inédit intenté par Abdelaziz Bouteflika au journal Le Monde. Le président algérien accuse le quotidien français de diffamation suite à la publication de sa photo dans le cadre du scandale des Panama Papers.
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En cas d’un éventuel départ de Modibo Kéïta, ils sont, principalement, trois personnalités à être dans la course pour la Primature. A savoir, le ministre de la Décentralisation et de la Réforme de l’Etat, Mohamed Ag Erlag, le ministre de la Solidarité, de l’Action Sociale et de la Reconstruction du Nord, Hamadou Konaté et, enfin, l’ancien ministre de la Défense d’IBK, Soumeylou Boubèye Maïga. Voici, en effet, trois sérieux prétendants à la succession du Premier ministre Modibo Kéïta, si celui-ci venait à être remercié par le chef de l’Etat, Ibrahim Boubacar Kéïta.
Les trois personnalités dans le starting-block pour la Primature
S’agissant du ministre Mohamed Ag Erlaf, sa probable nomination à la Primature avait été évoquée, une première fois, au lendemain de la signature de l’Accord pour la paix et la réconciliation au Mali, intervenue à Bamako le 15 mai et le 20 juin 2015. Après cet événement capital dans la vie de la nation, plusieurs observateurs avaient pensé à la nécessité pour le chef de l’Etat de « frapper un coup fort » dans le sens du retour de la confiance entre le Gouvernement et les ex-Mouvements rebelles, principalement, la CMA. En nommant à la Primature ce ressortissant de la région de Kidal.
Cela, compte tenu du rôle important et de la mission patriotique que le ministre Ag Erlaf n’a de cesse joué depuis la fin de la rébellion des années 90. Ce grand commis de l’Etat a été plusieurs fois ministre dans des Gouvernements successifs de l’ancien président de la République, Alpha Oumar Konaré. Avant de diriger, sous le régime ATT, la puissante Agence nationale d’investissement des collectivités territoriales (ANICT) dotée d’un fonds de plusieurs milliards FCFA. C’est une personnalité connue pour sa générosité et sa connaissance approfondie des réalités du Mali, nord comme sud. Il apparait dès lors comme une sorte de trait d’union entre le nord et le sud du pays.
Quand au ministre de la Solidarité, de l’Action humanitaire et de la Reconstruction du Nord, Hamadou Konaté, il semble se plaire plutôt dans son rôle de numéro 2 du Gouvernement à la tête d’un super ministère dont l’action est déterminante dans ce Mali convalescent. En tête des sondages, il y a de cela quelques semaines, il a été récemment talonné par les deux autres prétendants précités. Toutefois, son éventuelle nomination à la Primature ne devrait point surprendre ; dès lors que cette personnalité intègre et exigeante bénéficie de la confiance totale du chef de l’Etat, IBK. C’est dire qu’il a encore toutes les chances de succéder à Modibo Kéïta au cas où ce dernier est appelé à faire ses valises.
Après le récent voyage express (aller-retour en 72 heures) à Paris de l’ancien ministre Soumeylou Boubèye Maïga, les rumeurs sont allées dans tous les sens. Si pour les uns, c’est la France qui exigerait sa nomination à la Primature, pour les autres, c’est bien le chef de l’Etat lui-même qui veut, désormais, la présence de ce grand stratège à ses côtés. Cela, compte tenu de la situation sécuritaire qui se dégrade au jour le jour et du front social et l’atmosphère politique qui s’échauffent. Favori des sondages il y a deux semaines seulement, il est récemment retombé au même niveau que ses présumés concurrents, à savoir les ministres Mohamed Ag Erlaf et Hamadou Konaté. Toutefois, il garde encore ses chances pour prendre les rênes de la Primature en cas de départ de l’actuel titulaire du portefeuille.
Mamadou FOFANA
Source : L’Intelligent Mali
O.D
KOULIKORO : le prix de la viande a enregistré une hausse
Le prix de la viande a enregistré une hausse hier matin à Koulikoro. La viande avec os est désormais vendue à 2200 francs au lieu de 2000 alors que le filet est passé lui de 2500 à 3000 FCFA. Cette augmentation fait suite à l’avertissement lancé par l’association des bouchers de Koulikoro qui a menacé de revoir à la hausse le prix de la viande si elle n’obtient pas de subvention de l’état durant le carême.
BOA-MALI
Une cotation en bourse hors pair
Le mardi 31 mai 2016 s’est tenue à l’hôtel Salam de Bamako, la cérémonie de première cotation en bourse des actions de la Bank of Africa-Mali à la cote de la Bourse régionale des valeurs mobilières (BRVM). En quatre heures, les offres ont atteint le plafond en bourse, soit 7 %.
Cette introduction en bourse fait suite à l’ouverture de son capital au public en décembre 2015 par une offre publique de vente de 400 000 nouvelles actions sur les 8 pays de la zone Uémoa. Les 400 000 actions ont été entièrement souscrites en une journée. La demande globale a été 7 fois supérieure à l’offre de départ.
La première cotation vient marquer la fin du processus d’introduction en bourse de BOA-Mali qui a démarré le 17 décembre 2015. Il nous a été rapporté qu’en quatre heures d’opérations la BRVM a été obligée de mettre fin à l’offre.
Selon un interlocuteur, le taux des offres avait atteint la limite fixée à 7 %. Ce qui témoigne la bonne marche de l’établissement bancaire et de l’économie malienne.
A noter que la BOA est la première entreprise malienne cotée en bourse et la quarantième à être listée à la BRVM. La BOA-Mali dispose d’un réseau de 54 points de vente.
O.D avec la BOA-Mali
Source: L’indicateur du Renouveau
La fraude pendant les examens est pire que le Sida. C’est du moins ce qu’on retient de cette conférence-débat qui a été enrichie par des propositions de solution par différents intervenants au cours des débats.
Placée sous le haut parrainage du ministre de l’Education Nationale, M. Kénékou dit Barthélémy TOGO, la cérémonie d’ouverture était présidée par Monsieur Abou DIARRA, Conseiller Technique au Ministère de l’Education qui a salué l’initiative de l’AMEM surtout en cette fin d’année scolaire, période des examens.
L’AMEM est consciente que les enseignants doivent être une barrière contre toute pratique de fraude pendant les examens. C’est pourquoi, dit Mahamane Touré, Président de l’AMEM dans son allocution à l’ouverture de la conférence, «la présente conférence-débat a pour objectif de sensibiliser l’ensemble des acteurs et structures de l’éducation à savoir, les enseignants, les élèves et étudiants, les parents d’élèves, le corps administratif des écoles, les promoteurs d’écoles, les Centres d’Animation Pédagogique (CAP), les Académies d’Enseignement (AE), pour accompagner le ministre de l’Education nationale à travers le Centre National des Examens et Concours afin de relever le défi d’un examen réussi sans fraude, gage de la formation des citoyens compétents pour un développement harmonieux du pays».
Le conférencier quant à lui a insisté sur la récompense du mérite quand bien même que l’école forme les cadres de demain. Autres faits, autres réalités, les tenues indécents pendant les examens. Chose qui a été donnée tant par le conférencier que par des intervenants lors de la séance questions/réponses et contribution.
L’AMEM est une association mise en place par les enseignants de tous les niveaux et de tous les secteurs (préscolaire-fondamental-secondaire-professionnel-supérieur, du secteur public et privé et dans les medersas) pour apporter leur contribution dans l’amélioration de la qualité de l’éducation dan notre pays, gage de tout développement.
Il est utile de préciser que l’AMEM été mise en place suite à des constants négatifs qui sont entre autres : le niveau insuffisant des élèves et étudiants maliens, la dépravation des mœurs dans les milieux scolaires et universitaires, la fraude organisée pendant les examens, la problématique de la formation des enseignants, la démission des parents d’élèves dans l’éducation de leurs enfants.
En tous les cas, cadres de l’administration scolaire, enseignants, parents d’élèves sont tous appelé à une prise de conscience et à un mouvement d’ensemble afin de bannir la fraude pendant les examens. Chose qui, à n’en pas douter, permettra de former de cadres valables afin d’assurer la relève, la jeunesse étant l’avenir de toute nation.
Samakoro KONE
Source : Le Progrès
Raison pour laquelle il est souhaitable voire nécessaire que le chef de l’Etat libère ses ministres du poids de l’anxiété qui les hante. Les uns n’arrivant même plus à travailler à cause de la hantise d’une éventuelle sortie du Gouvernement. Ce qui est aussi valable pour les membres de leurs cabinets, de même que pour les directeurs de services centraux et autres personnalités nommés en Conseil des Ministres.
Même une simple petite phrase du président IBK, prononcée au détour d’un discours comme ce fut le cas relativement au « retour d’Att », pourrait édifier désormais lasse sur la vie ou la fin de vie de l’équipe Modibo Kéïta.
MF
Source : L’Intelligent Mali
“Bogou est une plateforme de télé-expertise ou télédiagnostic qui permet aux professionnels de la santé (sage-femme, infirmier ou médecin généraliste) isolés, c’est-à-dire à l’intérieur de nos pays africains, devant des cas difficiles, de demander un avis d’expert à distance”, explique ce professeur d’informatique médicale.
Cette application qui existe depuis une dizaine d’années est utilisée dans les pays membres du Réseau en Afrique francophone pour la télémédecine (RAFT) ainsi qu’en Bolivie et au Népal.
Grâce à Bogou, la fréquentation des centres de santé dans les zones isolées a augmenté et les patients dépensent moins.
“Des publications scientifiques ont montré que dans les hôpitaux où l’application a été utilisée, la fréquentation a augmenté parce que les patients ont de plus en plus confiance, car on arrive à les prendre en charge”, a-t-il indiqué.
Dr. Bagayoko évoque également l’impact macro-économique de cet outil. “Sur un intervalle d’un an avec 215 patients qui ont été pris en charge grâce à l’application, il y avait une échelle d’économie de près de 65 millions F CFA”. Le patient qui devait se rendre dans la capitale, ne paye que le prix de la consultation.
Accessible via un ordinateur connecté à internet, l’application Bogou sera bientôt disponible sur téléphone portable. Les spécialistes seront donc alertés par SMS lorsqu’un cas arrive.
Selon Dr. Cheick Oumar Bagayoko, le prix “RFI Challenge App Afrique” qu’il vient de remporter permettra de finaliser cette version. Bogou est disponible en français, en anglais, en espagnol et en portugais.
Le Sahélien
Source: L’indicateur du Renouveau
Pour coller à l’actualité, le chef de l’Etat a émis le vœu d’une éventuelle rencontre avec son prédécesseur en exil à Dakar, au Sénégal, depuis le coup d’Etat qui a chassé ce dernier du pouvoir le 22 mars 2012. L’ancien chef de l’Etat est pourtant toujours poursuivi « pour haute trahison » par le régime IBK qui le rend, en quelque sorte, responsable de la perte du nord du Mali qui a commencé en janvier 2012 par l’attaque d’Aguel hoc où une centaine de nos militaires ont été massacrés par des rebelles du MNLA.
Lors de cette grande rencontre des acteurs du monde rural, IBK a déclaré : « Je suis reconnaissant à mon jeune frère Amadou Toumani Touré pour avoir instauré la Journée du Paysan au Mali…Beaucoup de choses se disent sur nos relations, mais je sais qu’il n’y a ni intrigues ni méchancetés entre nous. ATT, à bientôt ».
L’ex-chef d’Etat dubitatif
Ces propos d’IBK interviennent après le meeting que le RPM et le PS Yeleen Kura (dans l’opposition à l’époque) ont tenu, le 21 mai dernier, pour la paix et la réconciliation et pour le « retour d’ATT ». L’opposition républicaine avait organisé, le même jour, une « marche pour le Mali » pour dénoncer la mauvaise gouvernance mais pour demander aussi le retour au bercail de l’ex-chef d’Etat, le Général Amadou Toumani Touré.
En tout cas, voilà un véritable fonds de commerce pour les uns, quand d’autres se servent de la popularité de l’ex-chef d’Etat pour essayer de redorer leurs blasons.
Selon des sources concordantes, sensible à toutes ces sollicitations en vue de son retour au bercail, le principal concerné ne serait pas du tout pressé de fouler la terre natale. Au motif qu’il pourrait être taxé d’opposant au régime IBK quand ses propres partisans et tous ceux qui sont déçus par la gouvernance IBK – sans pour autant être des thuriféraires d’ATT – vont aller vers lui avec des intentions plus ou moins avouées. Difficile sera également pour l’ancien chef d’Etat d’observer le même mutisme que celui afficher par l’ex-président Alpha Oumar Konaré depuis son départ du pouvoir en 2002.
IBK a maintenant besoin des fidèles d’ATT
En tout cas, malgré ATT lui-même, il pourrait se trouver, une fois de retour au bercail, au cœur de l’action de certaines formations politiques pour lesquels il constitue une référence voire un fonds de commerce. Pour ne donc pas gêner le pouvoir IBK, ATT n’envisagerait pas son retour au pays jusqu’à ce que la situation le permette.
C’est dire que le retour d’ATT est désormais renvoyé à une date que personne ne connait pour le moment. Même si la voie pour cela est désormais ouverte.
En tout cas, l’intervention d’IBK à cette édition 2016 de la Journée du Paysan atteste de la solidité des liens qui unissent ces deux personnalités. La balle est maintenant dans le camp d’ATT. Toute erreur d’appréciation étant également à exclure pour éviter que ce retour d’ATT dans la situation actuelle n’aille réveiller de vieux démons de la politique politicienne.
Serrer la main tendue d’IBK
Même s’il est conscient de cette réalité, ATT pourrait difficilement refuser la main tendue de son grand frère IBK qui a plus que besoin de lui et de ses partisans pour élargir la base de son régime et consolider son pouvoir confronté aux assauts de l’opposition mais également à d’énormes défis non encore transcendés.
D’autre part, ayant été confronté aux dures réalités de l’exercice du pouvoir, l’actuel chef d’Etat a dû certainement réviser certaines de ses certitudes, de ses croyances et son appréciation sur la gestion de la question du nord par le régime ATT. D’où ce revirement spectaculaire de sa position vis-à-vis de la gestion globale du pouvoir par son prédécesseur. Il se trouve maintenant que dans le cadre des futures élections communales et même présidentielle de 2018, IBK a besoin de renforcer son parti, le RPM, en piochant, pour cela, largement dans la masse des partisans d’ATT dont l’écrasante majorité est aujourd’hui plus que jamais esseulée.
Ainsi, selon notre source, ATT et son épouse sont incessamment attendus à Bamako. Ils effectueront le voyage à bord de l’avion d’IBK et se rendront ensuite à Mopti pour visiter la famille et présenter leurs condoléances suite au décès notamment de la tante de l’ancien président de la République.
Ensuite, ils retourneront à Dakar pour préparer leur retour définitif au bercail, selon des sources concordantes. Pourvu qu’il en soit ainsi.
Mamadou FOFANA
Source : L’Intelligent Mali
La direction des services militaires a reçu mercredi la visite du chef d’état-major de l’armée (Cemga), le général de division Mahamane Touré. Il était parti remonter le moral des troupes et féliciter les sportifs pour les exploits réalisés à l’intérieur comme à l’extérieur du pays. Il s’agissait aussi, pour le chef d’état-major, de galvaniser les équipes pour les échéances à venir.
Après la traditionnelle cérémonie militaire, les pratiquants des différentes disciplines sportives dans l’armée se sont retrouvés autour du chef d’état-major. Il a salué les efforts des uns et des autres dans l’atteinte des résultats attendus par les autorités. Il a signifié le soutien de la hiérarchie et démontré qu’il est de cœur avec les uns et les autres sur tous les théâtres d’opération.
Le directeur des services militaires, Moussa M. Traoré, a remercié le chef d’Etat major pour tout son soutien. Aux termes de cette rencontre, le général s’est fait remettre une médaille. En retour, il a offert une enveloppe aux sportifs.
La Mali peut se targuer d’un palmarès impressionnant en sports militaires. Il est entre autres trophées détenteur de la Coupe d’Afrique des nations (Can), remportée il y a quelques années par l’Union sportive des forces armées et de sécurité (Usfas).
O.D.
Source: L’indicateur du Renouveau
Le vice-président nigérian Yemi Osinbajo a lancé jeudi la plus vaste opération de nettoyage jamais entreprise dans le Delta du Niger, région de production de pétrole et théâtre de violences, où le président Muhammadu Buhari a finalement renoncé à se rendre.
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Il s’agit, en effet, d’une dame – pour ne pas la citer à cette phase de nos investigations – employée au protocole de la République qui serait en relations amoureuses très poussées avec l’ambassadeur d’un grand pays d’Afrique au Mali. Ce dernier, en partance pour un autre pays de sa juridiction, s’est fait accompagner par sa douce moitié – officielle cette fois-ci.
Ne se doutant de rien, le diplomate arrivé à l’aéroport international Bamako-Sénou fut surpris de se retrouver nez-à-nez avec cette dame employée du protocole de la République – une structure rattachée à la présidence de la République mais sous tutelle du Département des affaires étrangères – qui assurait la permanence au salon VIP. Certainement que l’épouse officielle avait eu vent de cette relation amoureuse entre son mari et cette dame du protocole de la République que nous allons appeler par ces initiales Y.Z.
Dès la vue de Y.Z., l’épouse de l’ambassadeur bondit sur elle. Commença alors un corps-à-corps qui surprit tout le monde. Quel différend pourrait-il opposer cette employée du protocole de la République et l’épouse de ce diplomate ? Ne cessaient de s’interroger les autres passagers de ce vol sur la capitale d’un pays de la sous-région.
Le ministre Abdoulaye Diop attendu pour faire toute la lumière.
Quelques jours après l’incident, la Sécurité d’Etat était dans les locaux du protocole de la République pour en savoir davantage. A cet effet, le ministre Abdoulaye Diop était attendu pour faire toute la lumière. Car, aux dernières nouvelles, nous apprenons que le diplomate ne serait pas le seul amant de la dame concernée. Ce qui n’est pas encore le plus grave dans cette affaire.
Des choses étranges se seraient également passées dans le salon présidentiel de l’aéroport international Modibo Kéïta-Sénou. D’où ce brusque et grand intérêt des services de renseignement pour cette histoire d’amour qui aurait bien pu continuer dans le plus grand secret si l’épouse de Son Excellence l’Ambassadeur de ce grand pays ami du Mali n’avait pas décider d’accompagner – ce jour-là – son mari présumé volage en partance pour ce pays voisin…la Côte d’Ivoire.
MF
Source : L’Intelligent MaliRESOLUTIONS :
Au terme des deux jours d’intenses travaux, les participants au forum en termes de résolution :
-S’engagent à œuvrer inlassablement pour la consolidation de la paix, la sécurité et la stabilité du Mali ;
-S’engagent à lutter vigoureusement contre le radicalisme et l’extrémisme religieux avec l’implication des femmes ;
-Appellent tous les jeunes musulmans du Mali à appuyer les efforts des autorités du pays dans le cadre de la consolidation de la paix, la réconciliation et l’unité nationale du Mali ;
-Se réjouissent de la création, par les Hautes Autorités du Mali, du Ministère des Affaires Religieuses et du Culte et saluent les actions dudit Ministère ;
-Félicitent le Président de la République Son Excellence Ibrahim Boubacar KEITA, Chef de l’Etat pour l’initiative de la formation des Imams et Prêcheurs au Maroc et exhortent les autorités du Pays à multiplier les initiatives du genre ;
-Félicitent le Gouvernement du Mali à travers le Ministère de l’Emploi, de la Formation Professionnelle et de la Reconstruction Citoyenne pour la tenue de l’atelier de validation de l’étude sur la problématique de l’emploi des arabophones et la mise en œuvre avancée de ses recommandations ;
-S’inquiètent de l’implication progressive des leaders religieux Musulmans dans la politique et adhèrent aux dispositions de la loi électorale relatives à l’interdiction des campagnes électorales dans les lieux de culte ;
Les participants au présent forum recommandent :
-La création d’un centre de formation continue des Imams et Prêcheurs au Mali ;
-L’ouverture d’une université arabo-islamique au Mali basée sur notre réalité ;
-L’inscription de l’UJMMA au titre des associations d’utilité publique ;
-La recherche d’autres partenariats pour l’octroi des bourses d’études aux arabophones ;
-La création d’un centre de documentation et d’information islamique ;
-La création d’un centre multimédia (Radio, Télé et journal)
-L’accélération du processus de création de la cellule d’appui à la formation et à l’emploi des arabophones ;
-La mise en place d’un mécanisme de régulation et de suivi des prêches et discours religieux ;
-La culture de la tolérance religieuse au Mali à travers la réalisation des activités conjointes ;
-La mise en œuvre des sketchs de sensibilisation télévisuelle et radiophonique à l’intention des femmes et des jeunes dans le cadre de la lutte contre le radicalisme religieux ;
-La mise en œuvre des recommandations du forum du Groupement des Leaders Spirituels Musulmans du Mali
Fait à Bamako, le 08 mai 2016
Le Forum
Source : Le Progrès