Dans le souci permettre à la population Béninoise le paiement des factures à bonnes dates et d'éviter les longues files d'attentes devant les guichets lors des paiements de diverses factures en occurrences celles d'eau et d'électricité, le cabinet d'ingénierie informatique NG-MEDIAS à mis en place une plateforme mobile pour le paiement de factures au Bénin.
Appeler Paiementfacture, la plateforme développée par un groupe d'ingénieurs permet de commander le paiement de vos factures en un clic. Accessible via internet et à partir de tous téléphones portables, ordinateurs ou tablettes à l'adresse www.paiementfacture.com ou www.payementfacture.com, la plateforme se veut assez simple, sécuriser et pratique pour les populations. En ce moment, elle intègre le paiement des factures d'électricité et d'eau. A en croire le Directeur du cabinet M. CAPO-CHICHI Yévèdo, le paiement de facture d'autres structures seront bientôt intégré. Il est à noté que cette plateforme n'est pas un partenariat entre les sociétés émettrices de vos factures et le cabinet NG-MEDIAS.
Toutes les factures dont les paiements sont commandés sont payées réellement tous les jours ouvrables aux guichets à 15h par l'équipe du cabinet et les quittances sont disponibles et téléchargeables dans le compte de l'utilisateur sur la plateforme.
Pour accéder à la plateforme paiementfacture, il suffit, de se connecter à l'une des adresses www.paiementfacture.com ou avec un téléphone portable, un ordinateur ou une tablette. www.payementfacture.com ou encore de télécharger l'application Paiement Facture sur Google Play Store pour ceux qui disposent d'un téléphone ou tablette android.
Nous souhaitons tous longue vie à ce service !
Une coalition d'opposants a désigné dimanche à Kinshasa l'ex-gouverneur Moïse Katumbi comme "candidat commun de l'opposition" à l'incertaine présidentielle censée se tenir avant la fin de l'année en République démocratique du Congo.
La Côte d'Ivoire veut mettre fin au monopole des sociétés de distribution d'électricité et d'eau et libéraliser ces secteurs clés dans l'espoir de faire baisser les prix, a annoncé
Après le "G7" en septembre, une autre coalition d'opposants - l'Alternance pour la République - a désigné dimanche à Kinshasa l'ex-gouverneur Moïse Katumbi comme "candidat commun de l'opposition" à l'élection présidentielle, censée se tenir avant la fin de l'année au RD Congo.
Cet article Présidentielle en RD Congo : une nouvelle coalition de l’opposition fait bloc derrière Moïse Katumbi est apparu en premier sur JeuneAfrique.com.
La Côte d'Ivoire veut mettre fin au monopole des sociétés de distribution d'électricité et d'eau et libéraliser ces secteurs clés, a annoncé dimanche le président Alassane Ouattara. Objectif : faire baisser les prix après la forte augmentation de janvier qui avait provoqué la colère des consommateurs.
Cet article Pour faire baisser les prix de l’électricité et de l’eau, la Côte d’Ivoire s’attaque au monopole de la distribution est apparu en premier sur JeuneAfrique.com.
Crédit : Daniel Badagbon-Zogbé
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Une cargaison de pétrole libyen exportée illégalement par les autorités non reconnues de ce pays a été rapatriée et placée sous le contrôle du gouvernement d'union reconnu inter
Une Ghanéenne, Rebecca Asamoah, est devenue ce week-end l
Branle bas à la grande muette !!! Le haut commandement militaire est dans tous ses états. Et pour cause, le ministre de la défense nationale, Candide Armand-Marie Azannaï vient de donner un ultimatum de 48 heures à compter du lundi 2 mai 2016, pour retrouver ou mobiliser, les fonds des hommes de rang détournés par la hiérarchie militaire dans le cadre des dernières élections présidentielles.
Pour rappel, dans le cadre de ces élections, il était prévu une sommes de 160 mille francs CFA pour chaque hommes de rangs à raison de 80 mille f CFA pour le premier tour et 80 mille francs Cfa pour le second tour. Hors les éléments n'ont perçu que 15 mille pour chacun des tours. Soit 30 mille pour les deux tours. Dès lors, l'autorité en charge de la défense nationale a sommé le haut commandement militaire de retrouver ou de mobiliser les 130. 000. F CFA restant qui devront revenir à chaque militaire sous 48 heures.
Actuellement, c'est la liesse populaire dans les casernes. Les hommes de rangs sont très contents de cette décision du ministre Azannaï et le prie de les aider à améliorer leur condition de vie et de travail.
Selon d'autres indiscrétions, on apprend que certains hauts gradés qui se reprochent des choses dans cette histoire, se démerdent déjà comme ils peuvent pour restituer les parts qu'ils ont eu dans ces sous détournés. D'autres encore, vendent déjà certains de leurs biens meubles ou immeubles afin de restituer les sous détournés. Affaire à suivre.
Amir NABIL
Une cargaison de pétrole libyen exportée illégalement par les autorités non reconnues de ce pays a été rapatriée et placée sous le contrôle du gouvernement d'union reconnu internationalement, a indiqué dimanche la Compagnie nationale pétrolière (NOC).
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(Par Roger Gbégnonvi)
Le 26 avril 2016 à Paris, lors de sa conférence de presse conjointe avec son homologue français, qu'il a appelé au secours, le Chef d'Etat béninois a déclaré en substance que le Bénin était un désert de compétence. Grise mine dans le Landerneau, non sans raison, puisque François Hollande venait juste de faire un clin d'œil à Patrice Talon en évoquant les Béninois qui contribuent à l'essor de la France. Malgré les apparences, il n'y a pas la moindre contradiction entre les deux dirigeants. On sait en effet que, hors de chez lui, le Béninois est gros travailleur pour se faire de l'argent. Le président Houphouët Boigny rêvait de n'avoir que des cadres béninois, toujours brillants, au service de sa Côte d'Ivoire. Mais chez lui, le cadre béninois, brillant pour Houphouët Boigny, est gros fainéant pour se faire de l'argent, et devient, pour le président Kérékou, un ‘‘intellectuel taré''. Voilà la distance (cadre brillant ailleurs, intellectuel taré chez lui) interrogée par Patrice Talon.
Nous sommes en 2016, dans un bureau de l'administration béninoise. Cela fait bien 10 mn que M. attend que Mme ait fini de papoter et de rigoler, avant qu'il ne lui demande des nouvelles de son dossier. Devenu comme impatient, il tente d'interrompre la jeune dame, dont le sang, alors, ne fait qu'un tour : ‘‘Quoi donc Monsieur ! Vous ne voyez pas que je suis au téléphone ?'' Arrogance crasse. Voilà, aujourd'hui, la ‘‘compétence'' au Bénin.
Nous sommes en 2010-2011. En 4ème année de Linguistique à l'Université d'Abomey-Calavi, l'étudiant reprend, à l'oral, une matière littéraire. Le professeur qui l'interroge a soudain l'impression que son étudiant ignore tout du plus illustre des Senghor du Sénégal. Intrigué, il lui demande de bien vouloir lui écrire ce nom sur un bout de papier. Effaré, il lit : ‘‘singor''. Sans majuscule. Ignorance crasse. Voilà, pour demain, la ‘‘compétence'' au Bénin.
Tout Béninois, d'un certain âge, a rencontré, sur son chemin, en des dizaines d'exemplaires, quelque dame téléphoniste et quelque étudiant non senghoriste. Dame et étudiant sont peut-être adeptes fervents, chantants et dansants, de quelque Eglise établie, ou d'Eveil ou du Réveil, où l'on prêche, sur fond strident, l'amour du prochain et l'amour du travail bien fait, le tout pour l'amour de Dieu. Le cas échéant, que font-ils de ce triple amour qu'ils se font hurler en payant en quêtes généreuses ? Ou n'est-ce que récréation dans un pays où les occasions de se distraire ne sont pas légion ? L'étudiant en 4ème année, pour justifier son insoutenable abîme, renverra peut-être à son cours primaire, quand ses maîtres lui enseignaient qu'il y a du bon à écrire les mots comme on les entend, et il ajoutera sans doute que les multiples tares de l'Ecole Nouvelle et des Nouveaux Programmes l'ont essoré et fait de lui le vide que le professeur a sous les yeux : futur cadre béninois sans contenu.
Mais la dame téléphoniste et l'étudiant non senghoriste (il est singoriste) ne peuvent plus s'en prendre à qu'à eux-mêmes car, à partir de 18 ans, chacun devient responsable de son propre visage et doit, en son âme et conscience, s'il a ces attributs essentiels à l'humain, entreprendre de combler les vides et de réparer les ratés de son éducation-formation.
Compte tenu de ce que chacun sait des milliards évanouis à Maria-Gléta à cause de l'incurie des cadres béninois, Patrice Talon a-t-il ‘‘mal parlé'' le 26 avril 2016 à Paris ? Pour les uns, oui, parce que ‘‘le linge sale se lave en famille''. Pour les autres, non, parce que l'heure a sonné de ‘‘la vérité, toute la vérité, rien que la vérité''. Partout où besoin sera. La vérité dite, et si le nouveau départ post rupture trace avec courage les bonnes pistes pour la refonte du Béninois, l'heure aura sonné alors pour chacun d'éjecter de son âme et de sa conscience la dame téléphoniste et l'étudiant non senhgoriste qui y sommeillent. Cette auto-purification fera renaître le Bénin pour un bel avenir devant soi. ‘‘Oui, nous le pouvons''.
Dans une tribune publiée le 29 avril 2016 sur le site de Jeune Afrique et intitulée « Vers une croissance verte et inclusive des économies africaines »,http://www.jeuneafrique.com/321886/societe/vers-croissance-verte-inclusive-economies-africaines/, L'économiste du développement Maixent Accrombessi actuellement Directeur de Cabinet du Président de la République Gabonaise, décrit avec précision les enjeux pour une croissance durable des économies africaines :
− La diversification,
− La transformation locale de matières 1ères pour créer davantage de valeur sur le continent,
− La nécessité de concilier développement économique et préservation de l'environnement.
Le secteur du bois représente selon Accrombessi un exemple assez illustratif des enjeux de demain…
En effet, les trois quarts de la production du bois africain partent aujourd'hui vers l'Asie par le biais de près de trois cents entreprises, qui génèrent un chiffre d'affaires annuel estimé à 6 milliards de dollars. À l'image de Madagascar, qui a perdu 80 % de sa surface forestière en un siècle, 9 millions d'hectares de forêts ont ainsi disparu en Afrique entre 2000 et 2013.
Outre les conséquences désastreuses sur l'environnement et les populations locales, cette exploitation déraisonnable de nos ressources représente également l'équivalent de 10 milliards d'euros de recettes fiscales évanouies pour les pays producteurs, d'après les estimations de la Banque mondiale.
Ce constat qui est analogue dans divers secteurs d'exploitation minérale en Afrique, fait partie des préoccupations de l'économiste du développement Maixent Accrombessi pour lequel la responsabilité politique commande de remettre les questions environnementales au centre des politiques publiques.
Dans cette expression publique Maixent Accrombessi vante le nouveau modèle de développement promu par Ali Bongo Ondimba qui concilie croissance économique, bien-être social et préservation de l'environnement, pour offrir à tous les Gabonais une véritable égalité des chances.
Au cours des six dernières années, sous la direction du Président de la République gabonaise, Maixent Accrombessi a notamment piloté les réformes sociales qui ont permis l'égalité d'accès aux soins élémentaires à près d'un million de personnes. Le maillage intégral du territoire gabonais à travers l'extension continue du réseau routier qui assure désormais aux populations un égal accès aux opportunités commerciales et à l'emploi pour une plus grande inclusion des populations.
Cette dimension inclusive de la croissance économique s'inscrit dans une vision prospective consacrée dans la loi portant « Orientation du développement durable » promulguée le 1er août 2014 par Ali Bongo Ondimba.
Cette loi entérine définitivement l'intégration totale des dimensions économique, sociale et environnementale dans la mise en œuvre des politiques publiques au Gabon. Les bailleurs de fonds internationaux au 1er rang desquels le Fonds Monétaire International (FMI) s'accordent aujourd'hui pour saluer la pertinence des choix économiques du Gabon pour sortir d'une économie de rente pétrolière.
Plus encore que cette reconnaissance, les progrès socio-économiques enregistrés par le Gabon au cours de ces 5 dernières années plaident définitivement en faveur de la vision développée par Accrombessi dans sa tribune.
L'expérience gabonaise en la matière constitue une rupture qui doit servir d'inspiration aux pays africains dont les économies sont trop souvent exclusivement adossées sur les industries extractives et également aux pays développés qui réfléchissent actuellement aux modalités de mise en œuvre d'une transition énergétique économiquement vertueuse.
Eric Solly