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Agrégateur de flux

Letter of congratulations from President Donald Tusk to Andrej Plenković on his appointment as Prime Minister of Croatia

European Council - mer, 19/10/2016 - 15:29

On behalf of the European Council, I would like to convey my warm congratulations on your nomination as Prime Minister of the Republic of Croatia.

I am confident that through your commitment and professionalism, Croatia will continue to build on its position as a reliable partner in tackling the many challenges that face Europe today. I have no doubt that your knowledge and understanding of the European Union from your previous roles will help you in this process, producing positive outcomes for your country, for Europe and beyond.

I would like to take this opportunity to wish you every success in your term as Prime Minister, and I look forward to welcoming you at the European Council tomorrow.

Catégories: European Union

Publications - Urgency Resolutions : OCTOBER I 2016 - STRASBOURG - Subcommittee on Human Rights

Parliament condemns any act of intimidation, arrest, detention or prosecution of opposition party leaders, members and activists in Rwanda, the ongoing indiscriminate bombing of civilians and human rights breaches in Sudan, and the guilty verdict against worker's rights defender Andy Hall in Thailand, in three separate resolutions voted on Thursday.
Rwanda, the case of Victoire Ingabire
Sudan
Thailand, notably the case of Andy Hall
Press Release
Source : © European Union, 2016 - EP
Catégories: Union européenne

Publications - Urgency Resolutions : SEPTEMBER 2016 - STRASBOURG - Subcommittee on Human Rights

Parliament condemns the current wave of extrajudicial executions and killings in the Philippines, deteriorating security and widespread intimidation in Somalia, and growing violence against demonstrators and breaches of human rights in Zimbabwe, in three resolutions voted on Thursday.


Philippines
Somalia
Zimbabwe
Press release
Source : © European Union, 2016 - EP
Catégories: Union européenne

Vallon bodicsek az EU-kanadai szabadkereskedelemnek

Bruxinfo - mer, 19/10/2016 - 15:13
Továbbra is teljes a bizonytalanság az EU és Kanada közötti szabadkereskedelmi megállapodás jövő heti aláírása körül, miután a kereskedelmi miniszterek keddi válságtanácskozása nem hozott áttörést, és még gyarapította is a problémák számát. Magyarország veszítene azzal, ha nem jönne létre a megállapodás – szögezte le Szijjártó Péter külügyminiszter.

Exit le VBCI : La British Army pencherait pour le véhicule blindé ARTEC Boxer

Zone militaire - mer, 19/10/2016 - 14:53

En septembre 2015, à l’occasion du salon de l’armement DEES 2015, un responsable du ministère britannique de la Défense (MoD) avait indiqué qu’un appel d’offres serait lancé afin de choisir le futur véhicule de combat d’infanterie de la British Army. Plus d’un an plus tôt, le Premier ministre britannique, qui était alors David Cameron, avait […]

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Catégories: Défense

Macedonia Prosecution Seizes 'Skopje 2014' Documents

Balkaninsight.com - mer, 19/10/2016 - 14:52
Macedonia’s Special Prosecution, SJO, has seized documents from the Culture Ministry linked to the construction of the government-sponsored grand revamp called 'Skopje 2014' - which could lead to a criminal investigation into the whole project.
Catégories: Balkan News

Bassora, la ville qui se donne en sacrifice

Le Monde Diplomatique - mer, 19/10/2016 - 14:52

Sur le papier, Bassora, deuxième ou troisième plus grande ville d'Irak, aurait toutes les raisons d'être une métropole plus dynamique que Dubaï, Abou Dhabi, Doha ou Koweït, et pourrait dominer le golfe Arabo-Persique. Son port, Oum Qasr, connecte au reste du monde l'un des principaux pays producteurs de pétrole, qui se trouve être aussi un vaste marché de consommateurs en puissance. Dans la zone, les hydrocarbures abondent et sont particulièrement peu coûteux à exploiter, laissant des marges importantes quelles que soient les variations du prix du baril.

Il n'y a pas si longtemps, la société basraouie était connue pour son cosmopolitisme, ses élites intellectuelles et sa tradition ouvrière — constituant une « vraie ville » qui aurait dû être une plate-forme du commerce régional et une puissance manufacturière. Son arrière-pays, très fertile, se prête à une culture de riz et de dattes autrefois réputée. Et pourtant, quand, à l'arrivée à l'aéroport, on lit sur une banderole « Bassora, paradis de l'investissement », on ne peut que rire et désespérer.

La ville fait très exactement l'effet d'une dystopie de ce qu'on appelait le « tiers-monde ». L'État est à peu près absent, si ce n'est sous la forme d'un gouvernorat. Celui-ci, qui se plaint de ne pas avoir eu de budget depuis 2013, essuie chaque semaine les invectives de manifestants qui n'en démordent pas mais qui ne mobilisent pas vraiment non plus. La multiplication des milices à caractère confessionnel éclipse presque entièrement la maigre présence de forces de sécurité officielles. Les sociétés pétrolières étrangères sont elles aussi invisibles : au mieux, elles recrutent des manœuvres localement quand telle ou telle tribu recourt à la violence pour garantir un peu de redistribution.

L'économie infernale de la ville glisse vite d'aspects déjà ambigus, comme la rente publique (quand les salaires sont payés et les projets financés) et la consommation de biens importés (notamment les voitures), vers les réalités morbides de la corruption endémique, du trafic d'hydrocarbures et du marché de la drogue. Cependant, l'explosion démographique se poursuit dans une urbanisation sauvage.

Bassora est précisément l'inverse d'une cité-État — ce modèle antique qui semble resurgir à mesure que celui de l'État-nation se défait, et qui voit des villes riches en ressources s'organiser de façon autonome. Ici, ceux qui font la loi viennent d'ailleurs. Le gouvernorat reste tributaire d'un système hypercentralisé. Les décisions, même triviales, sont prises à Bagdad, où Bassora dispose de peu de relais : un seul ministre dans un gouvernement rassemblant une trentaine de portefeuilles, et 9 % des élus au Parlement. La classe politique locale représente des partis et des milices exogènes, qui ont à la ville un rapport parasitaire.

La présence massive des tribus est liée à trois phases de migration : l'exploitation des petits paysans par de grands propriétaires terriens durant la première moitié du xxe siècle ; l'assèchement des grands marais du sud de l'Irak par le régime de Saddam Hussein dans les années 1980 et 1990 ; et les bouleversements provoqués par l'invasion américaine en 2003. Certaines tribus particulièrement turbulentes et influentes sont justement celles qui ont apporté avec elles l'habitus le plus éloigné des us citadins : c'est le cas des Garamsha, porteurs d'une forte tradition d'insubordination qui a mûri dans le maquis qu'ont longtemps été les marais (1).

En somme, Bassora se retrouve dans la situation banale de nombreuses zones riches en ressources naturelles, spoliées par leurs propres autorités nationales, qui les traitent comme des colonies : le Baloutchistan pakistanais, l'Est syrien et saoudien, le Sud marocain ou le delta du Niger au Nigeria. Souvent, le sentiment d'injustice qui en découle débouche sur des formes de défiance à l'égard du pouvoir central, voire des rêves d'autonomie. Mais à Bassora, au contraire, les plaintes sont convenues, les menaces de sécession velléitaires, et les initiatives qui suggéreraient une ville prête à en faire davantage pour elle-même inconnues au bataillon.

Les Basraouis donnent plutôt l'impression d'être écartelés entre leurs fantasmes de ce que la ville pourrait être et une résignation totale à son statut de laissée-pour-compte, peut-être parce que l'écart entre espoirs et réalités est devenu tel qu'ils ne sauraient imaginer par où commencer. Les canaux de celle qu'ils aimaient qualifier de « Venise d'Orient » sont désormais remplis de poubelles ; le majestueux Chatt Al-Arab, confluent du Tigre et de l'Euphrate, a des reflets de mazout et sent le gras de poisson. Autant construire tout de suite, diront certains, la plus grande tour du monde, toute une ville verticale qui s'arracherait au bourbier, qui se rêverait dans les étoiles.

En attendant, Bassora est en armes. Des convois paramilitaires circulent sans cesse, hérissés de canons. Les portraits de « martyrs » sont partout. Leurs enterrements rassemblent la société dans des cérémonies très intenses. Et les jeunes combattants se portent généralement volontaires bien plus qu'ils n'y sont contraints. Pourtant, la cause qu'ils épousent est bien lointaine : des batailles à l'autre bout de l'Irak contre l'Organisation de l'État islamique (OEI), qui a si peu sévi à Bassora que les quartiers généraux des milices chiites s'y passent de toute fortification. Il s'agit donc d'une étrange campagne pour sauver un pays qui n'a jamais rendu à la ville la monnaie de sa pièce.

Du reste, la lutte est principalement encadrée par des partis islamistes qui n'inspirent que dégoût ou par des forces paramilitaires souvent inféodées à l'Iran, un voisin encombrant qui suscite moins de sympathie que de critiques : « Les Iraniens méprisent les Arabes, qu'ils soient chiites ou non. Ils nous en veulent toujours pour la guerre des années 1980. Et ils laissent faire les trafics, notamment de drogue, pour s'enrichir à nos dépens. » En glorifiant leurs nombreuses victimes, ces formations se vantent aussi, quelque part, de l'ampleur de leurs pertes. Dans une guerre conventionnelle, un tel affichage de morts à n'en plus finir aurait sur la société un effet profondément démoralisant.

Il n'empêche : le ralliement populaire est plus dynamique et unanimiste que dans n'importe quelle autre partie du pays. Les Basraouis se targuent volontiers de fournir plus de la moitié du mouvement de mobilisation populaire (hashad shaabi en arabe) né de la fatwa lancée en juin 2014 par l'ayatollah Ali Al-Sistani, appelant les Irakiens à soutenir l'appareil de sécurité face à la progression de l'OEI. Quel que soit le chiffre exact, la ville vit au rythme du hashad. Pourquoi tant de sacrifices ?

La réponse renvoie toujours à l'obligation religieuse, au devoir d'obéissance dû à M. Al-Sistani, la « référence suprême » (marja'iyya) au sein du clergé chiite irakien. Or ses avis sont fréquemment ignorés par ailleurs, s'ils contreviennent aux intérêts prosaïques de la classe politique, aux coutumes d'un chiisme populaire vivace, voire exubérant, ou à d'autres normes sociales dominantes. Il peut toujours s'époumoner, appeler les partis à faire des concessions nécessaires et évidentes, ou interdire formellement l'autoflagellation lors des pèlerinages, les obsèques exagérément dispendieuses et le recours au droit tribal : tous ceux qui ont entendu haut et clair l'appel à la mobilisation font subitement la sourde oreille (2).

En effet, le hashad est à l'opposé d'une conscription : c'est un vrai mouvement social, ancré dans un imaginaire et des pratiques structurantes au sein d'une société chiite qui se sent trahie par ses élites et cherche ses repères. La guerre contre l'OEI, qui se prête d'autant plus à revêtir une dimension métaphorique que l'on vit loin du front, entre en résonance avec un moment fondateur du chiisme, à savoir le massacre de Hussein, fils d'Ali, le cousin et le gendre du Prophète, et de ses partisans au cours de la bataille de Kerbala, en 680 (3). C'est principalement autour de cette tragédie que s'organisent la religiosité populaire et la psyché chiites.

Traditionnellement, elle se rejoue chaque année durant Mouharram, le premier mois du calendrier lunaire — et plus particulièrement durant les célébrations de l'Achoura —, dans des pièces de théâtre (tazi'eh) et d'autres formes de commémorations, comme les automutilations symboliques. Celles-ci permettent de revivre intensément le sacrifice de Hussein, pièce centrale d'une culture victimaire qui envisage le chiisme comme une résistance circulaire, à la fois triomphale et suicidaire, face à l'agression et à l'oppression. Aujourd'hui, la scène se répète au jour le jour dans la lutte contre une OEI qui concentrerait tous les ennemis supposés du chiisme : un sunnisme dominateur, un Occident impérial manipulant l'adversaire et, comme dans toute bonne théorie du complot, Israël. Les martyrs qui tombent pour que le chiisme puisse vivre sont dépeints dans une iconographie propre à Hussein. Le combat eschatologique revêt désormais une forme plus littérale que théâtrale, dans une sorte de snuff movie où les acteurs ne font plus semblant de mourir mais trépassent véritablement.

La mobilisation doit aussi être comprise dans sa dimension sociale : une jeunesse désœuvrée, souvent sans perspectives d'emploi ou de mariage, trouve ainsi les moyens d'une réalisation de soi. L'héroïsme des morts est une source d'émulation entre pairs et fait la fierté des parents. Il leur rapporte aussi quelques ressources, puisque les autorités locales à Bassora sont les seules dans le pays à payer des compensations, dont le montant dérisoire — environ 750 euros — donne une idée précise du cours de la vie sur le marché du nihilisme. Les funérailles soudent la communauté plus que tout autre événement, en activant une série de traditions plus ou moins réinventées qui créent du sens et du lien : les tribus défilent, la solidarité de quartier joue, on tire en l'air comme à la noce, et les exploits des martyrs sont chantés comme des épopées.

Cette vitalité morbide a des ressorts politiques. Les représentants supposés du chiisme irakien n'ont rien fait de l'occasion offerte par le renversement de Saddam Hussein. L'avènement d'une ère nouvelle, attendue et fantasmée pendant des siècles de domination, a fait long feu. Plus personne ne croit en l'avenir, ce qui facilite une régression par défaut vers une réédition du passé en boucle fermée.

Paradoxalement, le complexe victimaire né d'une soumission séculaire peut aujourd'hui s'exprimer en toute liberté. Rien ne s'y oppose ; c'est lui qui s'impose à tous, occupe l'espace public, structure la société, définit la légitimité politique. Toute figure du leadership chiite doit faire déférence, au moins en apparence, à l'expression d'un chiisme décomplexé, souvent en contradiction avec les idéologies plus structurées et les calculs plus cyniques des élites. C'est d'ailleurs ce que M. Al-Sistani a appris à ses dépens. Son appel à défendre la nation s'inscrivait dans une logique étatique et non confessionnelle, puisqu'il encourageait tous les Irakiens à s'unir pour soutenir les forces armées. Mais sa voix s'est vite perdue dans la caisse de résonance des émotions populaires.

C'est au fond la leçon plus générale que nous enseigne Bassora. Cette ville potentiellement florissante, qui a tant de problèmes immédiats auxquels se consacrer, se laisse accaparer et entraîner par une quête qui la dépasse — la construction d'une identité chiite dans un cycle d'échecs de plus en plus auto-infligés. Et qui s'apaisera peut-être en trouvant les moyens de s'ouvrir sur l'avenir.

(1) Refuge pour les insurgés chiites contre le régime de Saddam Hussein, ces marais étaient presque totalement asséchés au milieu des années 1990. Depuis 2003, les autorités de Bagdad, aidées par les Nations unies, tentent de recréer ces étendues aquatiques, notamment en faisant sauter les digues érigées par l'ancien pouvoir.

(2) Une réalité qui a poussé l'intéressé à annoncer en février 2016 sa décision de limiter ses interventions publiques dans le champ politique.

(3) Dans la longue guerre de succession qui a suivi le décès du prophète Mohammad (Mahomet), la bataille de Kerbala a consacré la victoire du calife omeyyade Yazid contre les partisans de Hussein. Cette défaite est le point de départ d'un martyrologe dont s'est emparé le chiisme et qui perdure à ce jour.

Csaknem 1500 külföldi munkahelyet kínál a román állampolgároknak a munkaerő-foglakoztatási ügynökség

Erdély FM (Románia/Erdély) - mer, 19/10/2016 - 14:40

Közleménye szerint Spanyolországba várják a legtöbb, főként szakképzetlen dolgozót mezőgazdasági munkára, de szükség van kamionsofőrökre és masszőrökre is. Összesen 816 megpályázható állás van Spanyolországban, amelyeket romániai jelentkezőknek szánnak. Olaszországba és Németországba főként ápolókat, gondozókat várnak. Magyarországon a faiparban van szükség munkavállalókra, Izraelben ácsoknak, kovácsoknak, kőműveseknek kínálnak munkát.

Kihirdette az államfő a törvényt, amely szerint 5 évre visszamenőleg kifizethető a társadalombiztosítási hozzájárulás

Erdély FM (Románia/Erdély) - mer, 19/10/2016 - 14:39

A parlament a múlt hónapban fogadta el az RMDSZ jogszabály-módosító javaslatát, amely lehetővé teszi azon személyek számára, akik a nyugdíjkorhatár küszöbén állnak, de nem rendelkeznek a nyugdíjazáshoz szükséges társadalombiztosítási befizetéssel, hogy visszamenőleg maximum 5 évre kifizessék a társadalombiztosítási járulékot. A jogszabály nem érvényes azokra, akik korábban voltak abban a helyzetben, hogy nem tudták befizetni a társadalombiztosítási járulékot saját hibájukon kívüli okokból. A törvény hatálya korlátozott, azaz mindössze fél éven át lesz lehetőség visszamenőleg egyenlíteni a járulékot, amint a jogszabály megjelenik a Hivatalos Közlönyben. Kerekes Károly, a törvény kezdeményezője korábban híradónknak elmondta, hogy az érintettek a lakhely szerinti megyei nyugdíjpénztárnál egy biztosítási szerződést kötnek, amelynek alapján fél év alatt be lehet fizetni a társadalombiztosítási járulékot egy összegben vagy részletekben. A befizetendő társadalombiztosítási járulék legkisebb értéke a bruttó minimálbér után számított összeg.

Histoire et mémoire de la Première guerre mondiale

Courrier des Balkans / Serbie - mer, 19/10/2016 - 14:23

Histoire et mémoire de la Première guerre mondiale
Mercredi 19 octobre - 15h Zaječar, Mairie de Zaječar, salle d'honneur, Trg oslobođenja 1 En serbe et en français avec traduction. Entrée libre.
En octobre 1918, à la suite de la percée du Front de Salonique, les villes de Zaječar et de Negotin en Serbie de l'Est ont été libérées par les troupes franco-serbes sous le commandement du général Jouinot-Gambetta. Dans l'entre-deux-guerres, la mémoire de la participation française à la libération des deux villes (...)

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Catégories: Balkans Occidentaux

Histoire et mémoire de la Première guerre mondiale

Courrier des Balkans - mer, 19/10/2016 - 14:23

Histoire et mémoire de la Première guerre mondiale
Mercredi 19 octobre - 15h Zaječar, Mairie de Zaječar, salle d'honneur, Trg oslobođenja 1 En serbe et en français avec traduction. Entrée libre.
En octobre 1918, à la suite de la percée du Front de Salonique, les villes de Zaječar et de Negotin en Serbie de l'Est ont été libérées par les troupes franco-serbes sous le commandement du général Jouinot-Gambetta. Dans l'entre-deux-guerres, la mémoire de la participation française à la libération des deux villes (...)

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Catégories: Balkans Occidentaux

Tripartite Social Summit, 19 October 2016

European Council - mer, 19/10/2016 - 14:22

The Autumn Social summit held a discussion on "Addressing Europe's common challenges: generating growth, creating jobs and ensuring fairness". More particularly, participants at the Summit expressed their views on the following sub-themes: 

  • the main challenges in view of the annual growth survey 2017;
  • putting the New Skills agenda for Europe into practice: the key role of the social partners;
  • the integration of refugees into the labour market and society: lessons learnt so far. 

In his opening statement, the President of the European Council, Donald Tusk, underlined that: " The Brexit referendum had some characteristics unique to Britain. But we would be foolish to dismiss what the vote told us about the popular view  of globalisation. It is a very negative assessment also widely shared across Europe. Responding to this is the key motivation behind the Bratislava declaration. Bratislava means a necessary shift of emphasis away from lecturing citizens about the benefits of European integration and taking far more seriously their genuine fears about security. Both in the hard sense of securing borders and public order, but also in a soft sense, of securing people's prosperity and way of life. We need a Europe that protects its citizens, a Europe which they can look to as a place of shelter. The summit was also clear that the European Union has a shared responsibility to create a promising economic future for all."

 The President of the European Commission, Jean-Claude Juncker stressed: "The EU has a clear roadmap and a strong commitment to deliver jobs, growth and social fairness in Europe. Many actions have been undertaken over the last two years - from the Investment Plan for Europe, the deepening of the Single Market based on clear and fair rules, the roll-out of the Youth Guarantee, the launch of a new Skills Agenda, to the ongoing consultation on a European Pillar of Social Rights. Unemployment is decreasing but there is still a long way to go. Social partners have a key role to play and the recent agreement on a "new start for social dialogue" should pave the way for further actions at EU and national level. We look forward to discussing EU priorities at this important point in time."   

From the side of the rotating presidency, Slovakia's Prime Minister, Robert Fico, said that "We need to improve the communication with each other - among Member States, with EU institutions, but most importantly with our citizens. We should inject more clarity into our decisions. Use clear and honest language. Focus on citizens' expectations, with strong courage to challenge simplistic solutions of extreme or populist political opposition in our countries. Social dialogue can contribute to social harmony and to implementation of the commitments which we set ourselves at the Bratislava Summit. We offer to our citizens in these months a vision of an attractive EU they can trust and support. Today's tripartite social summit will allow us to become familiar with the opinions of the social partners on this important subject. The social partners in particular are in direct contact with working people, employees, and they know the situation on the labour market as well as the business environment, which can help to address today's challenges". 

BusinessEurope's President, Emma Marcegaglia, representing employers, said " Europe is at a crossroad. We need strong and efficient EU institutions pulling in the same direction to strengthen the EU three key economic pillars:  the single market, the common international trade policy and the euro. Delivering trade agreements negotiated in compliance with the mandates given to the EU is essential for the credibility of the EU and for job creation. Productive private and public investment must increase. We therefore support the extension of the Juncker investment plan and urge the EU and all its member states to remove obstacles to investment. The EU social partners also underlined that companies and workers must not pay the price for Brexit. Our aim is to maintain as close as possible economic relations between the European Union and the United-Kingdom, while preserving the integrity of the Single Market. Cherry-picking between free movement of goods, services, capital and people is not an option". 

For the European Trade Union Confederation (ETUC) General Secretary, Luca Visentini, said “Trade unions and employers agree that European solutions are needed to the many crises facing Europe. We call for more public and private investment across Europe to drive growth and quality jobs. Such investment requires a golden rule to exclude it from EU deficit  and debt targets, and call on the European Commission to develop an ambitious industrial policy for Europe. We support the closest possible economic relations between the EU and the UK without compromising the single market and the free movement of people. We want to engage with the negotiators to find solutions that minimise the damage to companies and workers, and workers' rights. The EU needs to strengthen social protection, and give social Europe the same importance as the EU's economic governance.”     

The views cited in this text are those of the individual / organization concerned and do not collectively constitute the point of view of the Council or the European Council.

Catégories: European Union

Hochrangige Tagung zu Beziehungen EU-Irak: Beratungen über weitere Herausforderungen und Zusammenarbeit

Europäischer Rat (Nachrichten) - mer, 19/10/2016 - 14:20

Der im Rahmen des Partnerschafts- und Kooperationsabkommens (PKA) zwischen der Europäischen Union und der Republik Irak eingesetzte Kooperationsrat ist am 18. Oktober 2016 in Brüssel zum zweiten Mal zusammengetreten. Die Tagung wurde von der Hohen Vertreterin der Union für Außen- und Sicherheitspolitik Federica Mogherini als Leiterin der EU-Delegation eröffnet. Die irakische Delegation stand unter der Leitung des irakischen Außenministers Ibrahim al-Jaafari; ihr gehörte ferner der Leiter der Abteilung Außenbeziehungen der Region Kurdistan-Irak, Falah Mustafa Bakir, an. Der Europäische Kommissar für humanitäre Hilfe und Krisenmanagement Christos Stylianides und der EU-Sonderbeauftragte für Menschenrechte Stavros Lambrinidis nahmen an den Beratungen zu einzelnen Themen teil.


Anlässlich der Kampagne zur Befreiung der Stadt Mossul von Da'esh konzentrierten sich die Beratungen der Minister anfänglich auf die unmittelbaren Herausforderungen bezüglich der humanitären Lage und der Stabilität in Irak. Im weiteren Verlauf der Tagung kamen auch die längerfristigen Bedürfnisse Iraks zur Sprache.

Die EU-Seite würdigte die Anstrengungen der irakischen Regierung zur Bewältigung der derzeitigen Krise. Sie gab einen Überblick über die Hilfe, die sie für die unmittelbaren Bedürfnisse Iraks im Rahmen von humanitärer Hilfe und Unterstützung für Vertriebene bereitstellt. Dabei geht es um sowohl kurz- als auch längerfristigen Bedarf, einschließlich Bildung für vertriebene Kinder. Die EU erörterte ferner mit den irakischen Vertretern die vorrangigen Bereiche der Unterstützung für die Stabilisierung der befreiten Gebiete in Irak, unter anderem die Beseitigung von Sprengfallen – sogenannten unkonventionellen Spreng- und Brandvorrichtungen –, die eine Voraussetzung für die Rückkehr der vertriebenen Menschen ist.

Was die längerfristigen Herausforderungen angeht, so ist der Prozess der Friedenskonsolidierung und Aussöhnung in einem geeinten und inklusiven irakischen Staat ein zentrales und unvermeidbares Thema aller Beratungen über Irak. Gleichzeitig wiesen die Minister darauf hin, dass die derzeitige Krise in Irak und die längerfristigen Aussichten des Landes auf Stabilität und Wohlstand eng miteinander verknüpft sind, und berieten daher eingehend darüber, wie langfristig Wohlstand für Irak gesichert werden kann und wie die Beziehungen zwischen der EU und Irak dazu beitragen können, dass das Land sein Potenzial vollständig entfaltet. Somit ging der Kooperationsrat nicht nur auf die Notwendigkeit der politischen, sondern auch der wirtschaftlichen und sozialen Inklusivität ein. Dabei hob er insbesondere hervor, dass auf den parallel verlaufenden Bemühungen der EU und Iraks zur Stärkung von Demokratie und Menschenrechten, zur Förderung von Wirtschaft und Handel und zur Gewährleistung der umfassenden Nutzung des Energiepotenzials Iraks aufgebaut werden muss.

Neben der Überprüfung der bestehenden Zusammenarbeit wurde auf der Tagung auch das weitere Vorgehen erörtert, einschließlich der Einsetzung einer Arbeitsgruppe zur Sondierung der Zusammenarbeit zu Energiefragen sowie die Möglichkeit eines informellen Dialogs über Migrationsfragen.

Schließlich befasste sich der Kooperationsrat EU-Irak auch mit den Beziehungen Iraks zu seinen Nachbarn in der Region. Die EU bekräftigte, dass sie die Souveränität und territoriale Unversehrtheit Iraks und sein Recht, diese zu erhalten, uneingeschränkt unterstützt. Ferner betonte sie, wie wichtig die Förderung des Dialogs zwischen Irak und den Ländern der Region ist.

Catégories: Europäische Union

Bukom - Ghana's champion boxer factory

BBC Africa - mer, 19/10/2016 - 14:14
All of Ghana's five boxing world champions come from the Accra suburb of Bukom.
Catégories: Africa

Illegális bevándorlás - Új útvonalon érkeztek migránsok Horvátországba

Magyar Szó (Szerbia/Vajdaság) - mer, 19/10/2016 - 14:10

Új útvonalon, Bosznia-Hercegovinán keresztül érkeztek migránsok Horvátországba - írta a Jutarnji List című horvát napilap szerdán.

Csökkent a munkanélküliség Szabadkán

Magyar Szó (Szerbia/Vajdaság) - mer, 19/10/2016 - 14:07

A Nemzeti Foglalkoztatási Szolgálat szabadkai fiókintézetének adatai alapján az észak-bácskai körzetben, mely felöleli Szabadkát, Topolyát és Kishegyest, az öt évvel ezelőtti népszámlálási adatok szerint összesen 186 906 lakos van. Szabadkán 141 554-en élnek és ebből 45 447 személy áll munkaviszonyban, a foglalkoztatási szolgálatnál 12 066 munkanélkülit tartanak nyilván. Az észak-bácskai körzetben az augusztusi átlagfizetés 41 182 dinár, Szabadkán pedig 42 654 dinár volt.

EU–Irak kapcsolatok: magas szintű megbeszélés a kihívásokról és az együttműködésről

Európai Tanács hírei - mer, 19/10/2016 - 14:01

Az Európai Unió és az Iraki Köztársaság közötti partnerségi és együttműködési megállapodás keretében létrejött Együttműködési Tanács 2016. október 18-án, Brüsszelben tartotta második ülését. A találkozót Federica Mogherini, az Unió külügyi és biztonságpolitikai főképviselője, az uniós delegáció vezetője nyitotta meg. Az iraki delegációt Ibrahim al-Dzsafári iraki külügyminiszter vezette, és tagja volt Faláh Musztafa Bakir, az Iraki Kurdisztáni Régió külügyi hivatalának vezetője is. A tematikus megbeszéléseken Hrísztosz Sztilijanídisz humanitárius segítségnyújtásért és válságkezelésért felelős biztos és Sztávrosz Lambrinídisz, az EU emberi jogi különleges képviselője is részt vett.


Figyelembe véve, hogy épp folyamatban van az a katonai művelet, melynek célja felszabadítani Moszult a Dáis általi megszállás alól, a megbeszélések elsősorban Irak közvetlen humanitárius, illetve a stabilitást érintő nehézségeire összpontosultak. A későbbiekben szó esett az ország hosszabb távú szükségleteiről is.

A találkozón az EU elismerését fejezte ki az iraki kormánynak a jelenlegi válsághelyzet kezelése érdekében tett erőfeszítéseiért. Felvázolta továbbá, hogyan járul hozzá az ország közvetlen szükségleteinek kielégítéséhez a lakóhelyüket elhagyni kényszerült személyeknek nyújtott humanitárius segítség és támogatás, ezen belül a lakóhelyüket elhagyni kényszerült gyermekeknek nyújtott oktatás révén, figyelemmel e személyek rövid és hosszabb távú szükségleteire egyaránt. Az EU és Irak képviselői megvitatták továbbá a megszállás alól frissen felszabadított területek stabilizálására vonatkozó prioritásokat, ideértve a rögtönzött robbanószerkezetek eltávolítását is, ami a lakóhelyüket elhagyni kényszerült személyek visszatérésének alapvető feltétele.

Nagyobb távlatokat tekintve minden Irakot érintő megbeszélésnek elengedhetetlen és központi elemét kell képeznie az egyesített, befogadó iraki állam és az ennek keretein belül folytatandó békeépítés és megbékélés kérdésének. Megállapítva ugyanakkor azt, hogy a jelenlegi iraki válság és az ország stabilitására és jólétére vonatkozó hosszabb távú kilátások szorosan összefüggenek, a miniszterek alaposan megvitatták Irak hosszú távú jólétének kérdését, valamint azt, hogy az EU–Irak kapcsolatok miként járulhatnak hozzá az ország lehetőségeinek teljes mértékű kiaknázásához. Az Együttműködési Tanács ezért nemcsak a politikai, hanem a gazdasági és társadalmi befogadás fontosságát is kiemelte. A résztvevők ezen belül külön hangsúlyozták, hogy az EU-nak és Iraknak egymással párhuzamosan kell erőfeszítéseket tennie a demokrácia és az emberi jogok előmozdítása, továbbá a gazdaság és a kereskedelem élénkítése érdekében, valamint azért, hogy Irak teljes mértékben kiaknázhassa energiapotenciálját.

A már meglévő együttműködés áttekintésén túl a találkozó résztvevői megvitatták a következő lépéseket is: megállapodtak többek között arról, hogy létrehoznak egy, az energiaügyi együttműködéssel foglalkozó munkacsoportot, valamint felmerült a migrációról szóló nem hivatalos párbeszéd elindításának lehetősége is.

Végezetül az EU–Irak Együttműködési Tanács áttekintette Irak regionális kapcsolatait. Az EU ismételten kijelentette, hogy kiáll Irak szuverenitása és területi integritása, valamint az ezek megőrzéséhez való joga mellett. Hangsúlyozta továbbá az Irak és a régió más országai közötti párbeszéd jelentőségét.

Tripartite Social Summit - October 2016

Council lTV - mer, 19/10/2016 - 14:00
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The Tripartite Social Summit for Growth and Employment is held on 19 October 2016 before the October European Council, to focus on "Addressing Europe's common challenges: generating growth, creating jobs and ensuring fairness".

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Catégories: European Union

A Béziers, Ménard fait adopter un projet hors la loi de référendum anti-migrants

L`Express / Politique - mer, 19/10/2016 - 13:52
Le projet de référendum du maire de Béziers a été adopté en Conseil municipal dans une ambiance tendue. Des opposants ont été expulsés par des policiers en début de séance.
Catégories: France

Díjátadás a rajzpályázat legjobbjainak

Magyar Szó (Szerbia/Vajdaság) - mer, 19/10/2016 - 13:43

Tegnap került sor a Magyarkanizsai Egészségházban annak a rajzpályázatnak az eredményhirdetésére és díjkiosztására, amelyet az egészséges életmód témakörben hirdettek meg közel egy hónapja.

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