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Forces aériennes stratégiques : démonstration réussie

Le 11 juin 2015, les forces aériennes stratégiques (FAS) ont mené, durant plus de quatre heures, une mission rassemblant toutes les phases caractéristiques d’une mission de dissuasion aérienne. 
Categories: Défense

Article - EP this week: cloning, capital markets, copyright

European Parliament (News) - Mon, 15/06/2015 - 11:33
General : A possible ban on cloning farm animals, copyright protection and capital markets are only some of the topics being dealt with by Parliament this week. An EP delegation is also participating in the ACP-EU Joint Assembly in Suva, while EP President Martin Schulz is visiting London to meet UK Prime Minister David Cameron. In addition the international trade committee is meeting on Monday evening to decide what should happen regarding Parliament's recommendations on EU-US trade deal TTIP.

Source : © European Union, 2015 - EP
Categories: European Union

Crash d'Albacete : un braquage de trim involontaire

Le mamouth (Blog) - Mon, 15/06/2015 - 11:31
C'est un braquage de trim "involontaire" sur le F-16 grec qui a conduit au crash de cet appareil sur le
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Categories: Défense

Madagascar country profile

BBC Africa - Mon, 15/06/2015 - 11:30
Provides an overview, basic information and key events for this island nation which lies off Africa
Categories: Africa

Programm für die Interoperabilität digitaler Dienste (ISA2²) – Rat legt seinen Standpunkt fest

Europäischer Rat (Nachrichten) - Mon, 15/06/2015 - 11:25

Der Rat hat am 12. Juni 2015 eine allgemeine Ausrichtung zu einem Programm festgelegt, das den Mitgliedstaaten helfen soll, interoperable digitale Dienste bereitzustellen (ISA2²). Es soll sichergestellt werden, dass die europäischen öffentlichen Verwaltungen untereinander und mit den Bürgern und Unternehmen reibungslos elektronisch interagieren können. ISA2 wird sowohl grenzüberschreitende als auch sektorenübergreifende Interaktion unterstützen. Als Laufzeit ist der Zeitraum von 2016 bis 2020 geplant.


Besserer Zugang zu öffentlichen Diensten in der gesamten EU

Unterstützung für Interoperabilität und bessere Koordinierung über alle elektronischen Behördendienste hinweg ist von entscheidender Bedeutung für eine größere unionsweite Mobilität der Bürger und Unternehmen. Hierzu ist häufige elektronische Interaktion mit den öffentlichen Verwaltungen der Mitgliedstaaten erforderlich. 

Eine größere Interoperabilität wird die angebotenen Dienste verbessern, Kosten senken und Verwaltungsaufwand verringern. Gleichzeitig wird damit ein Beitrag zum reibungslosen Funktionieren des Binnenmarkts geleistet. 

Derzeitiges ISA-Programm als Ausgangspunkt 

ISA2 wird das derzeitige ISA-Programm, das Ende 2015 auslaufen soll, ersetzen und ausweiten. Zu den im Rahmen des ISA-Programms unterstützten Maßnahmen zählen Instrumente zur Erstellung und Überprüfung elektronischer Signaturen, grenzüberschreitende elektronische Gesundheitsdienste und quelloffene Software zur Unterstützung der europäischen Bürgerinitiative. 

Das neue Programm ISA2 

Der Finanzrahmen für ISA2 im Zeitraum 2016-2020 beläuft sich auf rund 131 Mio. €.   

Mit dem Programm werden Maßnahmen zur Beurteilung, Verbesserung und Weiterverwendung bestehender Interoperabilitätslösungen und zur Entwicklung neuer Lösungen unterstützt. Unterstützbar sind auch Maßnahmen zur Beurteilung der IKT-Implikationen vorgeschlagener oder erlassener EU-Rechtsvorschriften oder zur Ermittlung von Rechtsetzungslücken, die die Interoperabilität zwischen europäischen öffentlichen Verwaltungen beeinträchtigen. 

Gegenüber dem ursprünglichen Kommissionsvorschlag werden mit dem Kompromisstext des Vorsitzes Bestimmungen zur klareren Fassung der Finanzierungskriterien für ISA2²-Maßnahmen sowie Kriterien für Prioritätensetzung eingeführt.  Vorgesehen sind jetzt auch Bestimmungen zur Vermeidung von Überschneidungen und zur Gewährleistung der Kohärenz und der Koordinierung mit anderen EU-Programmen.

Damit der Beschluss angenommen werden kann, muss er vom Rat und vom Europäischen Parlament gebilligt werden. Das Parlament hat seinen Standpunkt noch nicht festgelegt.

Categories: Europäische Union

Egy hét alatt 5 milliárd dollárral nőtt az orosz arany és devizatartalék

Orosz Hírek - Mon, 15/06/2015 - 11:23

Az Orosz Központi Bank adatai szerint az elmúlt héten 5.1 milliárd dollárral emelkedett az ország arany- és devizatartaléka - írja a Kommerszant.

Categories: Oroszország és FÁK

L'hommage de la PAF aux FAFL

Le mamouth (Blog) - Mon, 15/06/2015 - 11:23
La Patrouille de France va voler symboliquement à 12 avions le 14 juillet prochain, en ouverture du
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Categories: Défense

Daech, une guerre aussi économique que financière

Politique étrangère (IFRI) - Mon, 15/06/2015 - 11:22

Laurent Marchand, éditorialiste pour Ouest France, consacre sa chronique « Tout un monde »  à l’article écrit par Myriam Benraad dans le nouveau numéro de Politique étrangère, « Défaire Daech : une guerre tant financière que militaire ».

Comme une masse liquide injectée dans le grand Proche Orient, les territoires conquis par le groupe État islamique fluctuent sur les cartes du renseignement international. Ce que ces cartes ne montrent pas c’est l’assise économique et financière qui explique la fulgurante montée en puissance de Daech et sa force de frappe. L’organisation pèserait environ 2 milliards de dollars. Dans le numéro d’été de Politique étrangère, la revue de l’Institut international des relations internationales, Myriam Benraad, chercheuse au CERI-Sciences-Po, se penche sur « les rouages économiques et financiers » et la précarité socio-économique qui régnait en Irak qui ont permis à Daech, « dès son émergence sur la scène irakienne à l’automne 2006, de conquérir un vaste territoire ». Elle décrit la mise en place de réseaux de contrebande qui « préexistaient au renversement même de Saddam Hussein ». Elle énumère les différentes sources d’enrichissement de l’organisation : trafics d’armes, de biens, d’œuvre d’art, exploitation du gaz et du pétrole, « méthodes de levée et de transfert de fonds extrêmement sophistiquées », attaques contre des dizaines de banques, racket, rançons, commerce avec les agents d’Assad… 

Nous avons tous en tête désormais la rapidité de la montée en puissance de cette organisation nouvelle durant l’année 2014, à cheval entre la Syrie et l’Irak. On insiste moins d’ordinaire sur ses origines, y compris sous l’angle économique. Or, l’article de Myriam Benraad décrit très bien cette évolution depuis 2006. « Le marché noir d’hydrocarbures, de biens et d’armes est édifiant : les réseaux de contrebande passés sous le contrôle de l’État islamique d’Irak dès 2006, ne remontent pas à l’occupation étrangère ; ils préexistaient au renversement de Saddam Hussein qui en avait confié la gestion à certaines tribus loyales en échange d’un maintien de l’ordre dans des territoires qui, au temps de l’embargo, échappaient déjà à l’autorité de la capitale ».

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« Si l’on rapporte son mode d’action à celui d’Al-Qaïda, on constate que l’État islamique ne dérive pas ses revenus de dons extérieurs. Il les génère »… Myriam Benraad de poursuivre. « Dès les premiers jours, les djihadistes se sont dotés d’un “ministère” de l’Économie et d’un comité financier appuyés sur un réseau de sympathisants chargé de la collecte de fonds en Irak et à l’extérieur. »

***

« En 2014, l’organisation aurait produit et vendu entre 30 000 et 50 000 barils de brut par jour, avec un revenu quotidien avoisinant les 850 000 dollars… »

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« L’agriculture vient parachever ce tableau, en particulier dans les plaines fertiles de la province irakienne de Ninive et les zones rurales qui entourent le sanctuaire syrien de l’État islamique, Raqqa, où les fermiers ont vu leurs récoltes de blé, de céréales, et leur bétail confisqués pour les affamer – surtout lorsqu’il s’agissait de chrétiens. »

« La mise sous contrôle d’usines entières de production agricole et de l’exploitation du phosphate et du soufre dans la province d’Al-Anbar en Irak, mais aussi du ciment à Deir Ezzor en Syrie, a généré des centaines de millions de dollars de revenus. »

***

Myriam Benraad évoque enfin les limites à cette puissance économique de Daech, le fait notamment que la richesse des djihadistes n’a pas été réalloué aux populations civiles mais souvent captée par ses élites dirigeantes ou réinjectés dans des circuits mafieux.

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Central Asia Is a Sitting Duck for Islamic State

Crisisgroup - Mon, 15/06/2015 - 11:17
The appearance of Colonel Gulmurod Khalimov in an Islamic State propaganda video on May 27 sent a chill across Central Asia. The head of Tajikistan's Special Assignment Police Unit (OMON), a key element in President Emomali Rahmon's security apparatus, had disappeared shortly before. In the video he promised to return to wage violent jihad.

Data Protection: Council agrees on a general approach

European Council - Mon, 15/06/2015 - 11:15

On 15 June 2015, the Council reached a general approach on the general data protection regulation that establishes rules adapted to the digital era. The twin  aims of this regulation are to enhance the level of personal data protection for individuals and to increase business opportunities in the Digital Single Market. 

Latvia's minister for justice Dzintars Rasnačs said: "Today we have moved a great step closer to modernised and harmonised data protection framework for the European Union. I am very content that after more than 3 years of negotiations we have finally found a compromise on the text. The new data protection regulation, adapted to the needs of the digital age, will strengthen individual rights of our citizens and ensure a high standard of protection.

A general approach means that the Council has a political agreement on the basis of which it can  now begin negotiations with the European Parliament with a view to reaching overall agreement on  new EU data protection rules. A first trilogue with the Parliament is planned for 24 June 2015

"I salute the readiness of the European Parliament to start the trilogue negotiations already next week. Hopefully we will come to the final agreement rapidly so that our citizens can enjoy the benefits of the reform as soon as possible", said Latvia's minister for justice Dzintars Rasnačs

The incoming Luxembourg Presidency indicated that, in parallel to the negotiations on the regulation, works on the data protection directive in the law enforcement area would be accelerated with the aim to find a general approach in October. Luxembourg Justice minister Felix Braz said: "This reform is a package and we have the firm intention to conclude by the end of this year".


Main elements of the agreement An enhanced level of data protection 

Personal data must be collected and processed lawfully under strict conditions and for a legitimate purpose. Data controllers (those responsible for the processing of data) must respect specific rules, such as the requirement for unambiguous consent by the data subject (the individual whose personal data is being processed), in order to be allowed to process personal data. 

Strengthened data protection rights give data subjects more control over their personal data: 

  • easier access to their data.
  • more detailed information about what happens to their personal data once they decide to share it: data controllers must be more transparent about how personal data is handled, for example by informing individuals about their privacy policy in clear and plain language.
  • a right to erasure of personal data and "to be forgotten", enabling anyone for example to require that a service provider remove, without delay, personal data collected when that individual was a child.
  • a right to portability enabling easier transmission of personal data from one service provider, for instance a social network, to another. This will also increase competition among service providers.
  • limits to the use of 'profiling', i.e. automated processing of personal data to assess personal aspects, such as performance at work, economic situation, health, personal preferences etc.

 To ensure improved legal redress, data subjects will be able to  have any decision of their data protection authority reviewed by their national court, irrespective of the member state in which the data controller is established. 

Increased business opportunities in the Digital Single Market 

A single set of rules, valid across the EU and applicable both to European and non European companies offering their on-line services in the EU will prevent conflicting national data protection rules from disrupting  cross-border exchanges of data. Moreover, increased cooperation between the supervisory authorities in the member states will ensure coherent application of those rules throughout the EU. This will create fair competition and encourage companies, especially small and medium-sized enterprises, to get the most out of the Digital Single Market

To reduce costs and provide legal certainty, in important transnational cases where several national supervisory authorities are involved, a single supervisory decision will be taken. This one-stop-shop mechanism will allow a company with subsidiaries in several member states to limit its contacts to  the data protection authority in the member state where it is established. 

In order to reduce compliance costs, data controllers can, on the basis of an assessment of the risk involved in their processing of personal data, define risk levels and put in place measures in line with  those levels. 

More and better tools to enforce compliance with the data protection rules 

Increasing responsibility and accountability of data controllers will improve compliance with the new data protection rules. Data controllers must implement appropriate security measures and provide, without undue delay, notification of personal data breaches to the supervisory authority as well as to those significantly affected by the breach. Controllers and processors may designate data protection officers in their organisation. Moreover, Union or national law can require them to do so. 

Data  subjects, as well as,  under certain conditions, data protection organisations can lodge a complaint with a supervisory authority or seek judicial remedy in cases where data protection rules are not respected. Furthermore, when such cases are confirmed, data controllers face fines of up to €1 million or 2% of their global annual turnover. 

Guarantees regarding transfers of personal data outside the EU 

The protection of transfers of personal data to third countries and international organisations is ensured through adequacy decisions. The Commission, with the involvement of member states and the European Parliament, is competent to decide whether the level of data protection offered by a third country or an international organization is adequate. In cases where no such decision has been taken, the transfer of personal data may only take place if the appropriate safeguards (standard data protection clauses, binding corporate rules, contractual clauses) are in place.

Categories: European Union

Musique militaire : une histoire française

Tandis que la fête de la musique approche à grand pas, les différentes musiques de l’armée de Terre se préparent pour donner une touche de panache à l’événement. L’occasion pour nous de revenir sur l’âme de ces formations, leur destinée et leur histoire.
Categories: Défense

Wochenplan von Präsident Donald Tusk

Europäischer Rat (Nachrichten) - Mon, 15/06/2015 - 11:05

Montag, 15. Juni 2015 
15:00  Treffen mit dem apostolischen Nuntius bei der EU Alain Paul Lebeaupin
17:00  Treffen mit dem Präsidenten der Europäischen Zentralbank Mario Draghi

Dienstag, 16. Juni 2015
13:00 Sitzung zum WWU-Bericht (Berlaymont)

Mittwoch, 17. Juni 2015
14:00  Empfang zur Verabschiedung des Generalsekretärs des Rates Uwe Corsepius
15:30  Treffen mit dem Premierminister von Papua-Neuguinea Peter O'Neill (Fototermin)
18:00  Treffen mit dem Generalsekretär von Amnesty International Salil Shetty

Categories: Europäische Union

Football, un espace médiatique et géopolitique

IRIS - Mon, 15/06/2015 - 11:02

Pendant une semaine, l’actualité mondiale n’a tourné qu’autour du « Fifagate ». Le reste est passé au second plan, ce qui en dit long sur l’importance que le football occupe désormais sur la scène mondiale. Un scandale comparable, concernant une autre fédération sportive ou lié au football il y a vingt ou trente ans, n’aurait jamais occupé un tel espace médiatique. L’enquête n’en est qu’à son début et de futures révélations sont à venir. Si Sepp Blatter a décidé de démissionner de lui-même, après avoir été réélu confortablement, c’est bel et bien qu’il avait compris que sa position ne serait pas tenable pour les quatre ans qui viennent.

D’ores et déjà, on parle de la remise en cause de l’attribution des Coupes du monde 2018 et 2022 à la Russie et au Qatar. Pour le moment, il n’y a pas de preuves que ces décisions soient liées à la corruption massive. Il faut donc attendre que les rumeurs se transforment en preuves. On a appris que l’attribution des Coupes du monde 2006 et 2010 avait été entachée de fraude en faveur de l’Allemagne et de l’Afrique du Sud. En fait, cette décision d’attribuer la Coupe du monde à la Russie et au Qatar a été critiquée dès le départ dans certains cercles. Par les perdants de la compétition (l’Angleterre contre la Russie et les États-Unis contre le Qatar), mais aussi par une partie des responsables occidentaux, qui estimaient que ce choix n’était pas valide pour des raisons politiques. Ces adversaires mettaient en avant la nature des régimes politiques russe et qatari pour s’opposer à ce qu’ils organisent la Coupe du monde. Problème : ces événements ne peuvent-ils avoir lieu que dans des démocraties occidentales ? Le but de la Fifa est d’étendre le football au niveau mondial. Il y a chez certains la nostalgie d’une période où l’Occident dominait la planète comme le monde du sport. Mais, aujourd’hui, les jeux Olympiques peuvent ne pas être organisés uniquement en Europe et aux États-Unis, et la Coupe du monde en Europe et en Amérique du Sud. Il est donc logique que, dans un monde où les pays émergents se font de plus en plus entendre, l’organisation de compétitions sportives se mondialise également. Dès le départ, Poutine a critiqué une justice américaine qui a pour habitude de chercher à étendre sa juridiction au-delà de ses frontières. Après les jeux Olympiques d’hiver de Sotchi, la Coupe du monde de 2018 est un objectif stratégique important pour Poutine en termes d’image.

Le retrait de cette compétition, suite à une enquête déclenchée aux États-Unis, constituerait un nouvel épisode dans la crispation des relations entre Washington et Moscou, sur fond de différends ukrainien et syrien. Par ailleurs, il faudra probablement attendre l’élection du prochain président de la Fifa pour rouvrir le dossier. Le temps paraît court vis-à-vis de l’objectif 2018, tant le calendrier que l’importance de la Russie sur la scène mondiale semblent protéger le maintien de la compétition dans ce pays. Le Qatar s’est également placé sur un plan géopolitique. Il met en avant que certains n’avaient pas digéré le fait qu’un pays arabe puisse organiser un événement sportif mondialisé, tout en niant toute mauvaise conduite. La position du Qatar est plus fragile parce que l’objectif est plus lointain dans le temps et que le Qatar n’a pas le poids stratégique de la Russie. Le retrait de la compétition de ce pays nourrirait très certainement le sentiment d’un complot américain et/ou occidental pour humilier les nations arabes. On peut toujours contester l’attribution de la compétition à tel ou tel pays. La lui retirer après la lui avoir attribuée aurait un impact tout à fait différent et, au-delà de l’aspect sportif, un impact stratégique réel.

Article - Cette semaine au Parlement : clonage des animaux, marchés de capitaux, copyright

Parlement européen (Nouvelles) - Mon, 15/06/2015 - 10:59
Général : Cette semaine, les commissions discuteront du clonage des animaux, de la protection des droits d'auteur et des marchés de capitaux de l'UE. Une délégation du Parlement participera à l'Assemblée parlementaire paritaire ACP-UE à Suva. Mario Draghi se rendra au Parlement pour évoquer les dernières évolutions économiques et la question de la Grèce, et Martin Schulz rencontrera David Cameron à Londres. La commission du commerce international discutera lundi soir des prochaines étapes du TTIP.

Source : © Union européenne, 2015 - PE
Categories: Union européenne

Les secrets de la Mer

MARTOLOD (Blog d'information marine) - Mon, 15/06/2015 - 10:56
Rêver est certainement un moyen de voyager mais aussi de s’inventer des aventures.

Ce livre est le résultat d’une rencontre peu ordinaire entre une ancienne élève de l’Ensemble scolaire Charles de Foucauld devenue Enseigne de Vaisseau au sein de la Marine nationale et de trois classes de Cours moyen première année qui ont relevé, avec les enseignantes, ce défi, toutes voiles dehors.
Découvre avec Tom les secrets de la mer!
Tu vas tout apprendre de l’histoire de la Marine en plongeant au cœur des océans. Tu vas parcourir le monde en croisant des pirates, des bateaux de guerre et même des animaux sous-marins !
Après avoir lu ce livre, tu seras un vrai moussaillon.

Découvre avec Tom les secrets de la mer …

Categories: Défense

Russia Develops 'Microwave Gun' Able to Deactivate Drones, Warheads

RIA Novosty / Russia - Mon, 15/06/2015 - 10:42
Russia has developed super-high-frequency gun capable of deactivating unmanned aerial vehicles (UAV) and the warheads of precision weapons at an impact range of ten kilometers which ensures 360 degrees of perimeter defense.






Categories: Russia & CIS

G-7: Klimapolitische Trendwende oder Worthülsen?

Bonn, 15.06.2015. Der österreichische Dichter Johann Nestroy befand, der Fortschritt sei ein Scheinriese und habe es so an sich, „dass er viel größer ausschaut, als er wirklich ist“. Das entspricht in der Regel noch heute unserer Erfahrung. Große Visionen und Erwartungen, oft gefolgt von kleinen Resultaten. Frei nach Horaz, der Berg kreißt und gebiert eine Maus. Vielleicht war es beim G-7-Gipfel in den bayerischen Bergen aber ganz anders. Es könnte nämlich gut sein, dass die klimapolitischen Teile der Abschlusserklärung im Rückblick eher an Bedeutung gewinnen werden. Haben wir es mit einer Trendwende zu tun?

Alter Wein in neuen Schläuchen…
Natürlich sind viele Absichtserklärungen des Schlussdokuments ‘alte Bekannte’. Das globale Ziel eines auf 2 °C begrenzten weltweiten Temperaturanstiegs wird zwar in unverbindlicher Form bestätigt, geht aber schon auf die Kopenhagener Klimakonferenz 2009 zurück. Auch die Finanzierungszusagen für Klimamaßnahmen in Entwicklungsländern (100 Mrd. USD jährlich ab 2020) wurden bereits in Kopenhagen akkordiert. Sie beziehen sich zudem etwas nebulös auf eine „Vielzahl sowohl öffentlicher als auch privater Quellen”, sind also im Zweifelsfall nicht in vollem Umfang steuerbar.

…mit einem bemerkenswerten Unterschied
Der vielleicht entscheidende Passus der Abschlusserklärung erscheint en passant und enthält die Forderung nach einer „Dekarbonisierung der Weltwirtschaft im Laufe dieses Jahrhunderts“. Das mag man zwar leicht als hehres und sehr langfristiges Ziel abtun. Es ist aber in seiner Signalwirkung keinesfalls zu unterschätzen. Das Ende der fossilen Wirtschaftsweise ist damit eingeläutet und wird sich auf der globalen Agenda festsetzen. Die Katze ist aus dem Sack.

Dekarbonisierung: Steigender Druck
Das globale CO2-Budget (gemessen am 2 °C-Ziel) ist weitgehend aufgebraucht. Die bekannten Reserven fossiler Energieträger (davon zwei Drittel in Form von Kohle) übersteigen deren bis 2050 tolerierbare Nutzung um das Fünffache. Damit ist jede Klimapolitik, die nicht auf radikale Dekarbonisierung setzt, reine Makulatur. Das bedeutet freilich eine schon heute spürbare Entwertung von Vermögenswerten, die der überkommenen CO2-Ökonomie geschuldet sind. Was im Energiesektor bereits manifest ist – die allmähliche Abdankung der Öl- und Kohlebarone – wird andere Sektoren bald ebenfalls erreichen. Die traditionellen Automobilhersteller sind ‘next in line’.

Einige wichtige Trends kommen hier zusammen: Da ist zum einen der zunehmende Druck der Finanzmärkte. Aktienkurse fossiler Energiekonzerne brechen bereits in einigen Märkten ein; institutionelle Anleger, wie z. B. der staatliche norwegische Ölfonds, schichten ihre Portfolios um und ziehen sich bereits heute aus Kohleinvestitionen zurück. Hinzu kommt die steigende Konkurrenzfähigkeit erneuerbarer Energien. Pläne eines auf EU-Ebene integrierten Netzausbaus könnten hier eine weitere Schubwirkung entfalten. Gleichzeitig fließen mehr öffentliche Mittel in die Förderung innovativer, umweltverträglicher Technologien. Schon werden Forderungen laut nach einem internationalen ‚Apollo-Programm‘ mit dem Ziel, Kohle durch saubere Energien zu ersetzen.

Optimismus mit Schönheitsfehlern
Im Kontext solcher finanziellen und technologischen Faktoren, die zunehmend in Richtung einer grünen Transformation wirken, kann die Bedeutung des G-7-Bekenntnisses zur Dekarbonisierung der Weltwirtschaft kaum überschätzt werden. Das gibt Anlass zu verhaltenem Optimismus. Die Schlinge um die Zukunft fossiler Unternehmen und Profite wird enger. Die politische Botschaft ist eindeutig: Kohle und Öl waren gestern. Einerseits.

Andererseits sind zwei Schönheitsfehler nicht zu übersehen. Erstens sind Absichtserklärungen für den Rest des Jahrhunderts wohlfeil. Was davon in der politischen Realität ankommt, wird sich zeigen müssen. Zudem lässt sich der Anachronismus der G7 im Klimakontext leicht quantifizieren: Alle Mitglieder dieses illustren Klubs waren 2013 für einen CO2-Ausstoß von 8.900 Megatonnen verantwortlich. Das ist viel, zu viel, keine Frage. Es ist aber gleichzeitig weniger als in China alleine und entspricht nur etwa einem Viertel der weltweiten CO2-Emissionen. So gesehen müssen die klimapolitischen G-7-Beschlüsse stark relativiert werden. Sie sind nicht mehr, aber auch nicht weniger, als ein Aufgalopp für die internationale Klimakonferenz COP 21 in Paris.

Verantwortliches globales Handeln ist unabdingbar. Nicht nur Experten wissen, dass das 2 °C-Limit kaum einzuhalten ist. Prognosen der Internationalen Energieagentur sehen den unvermeidbaren Temperaturanstieg bei knapp 4 °C – wesentlich bestimmt durch fossile Energie-, Transport- und Gebäudekapazitäten, die in ihren Auswirkungen nur ebenso langsam zu bremsen sind wie der sprichwörtliche Tanker auf See (‘carbon lock-in’). Sich mit einer Erwärmung von 4 °C bis zum Ende dieses Jahrhunderts einfach abzufinden, hätte jedoch buchstäblich katastrophale Folgen. Die G-7-Signale kommen genau zur rechten Zeit. Es bleibt zu hoffen, dass den Visionen Taten folgen.

Politische Erklärung, Brüsseler Erklärung und Aktionsplan des zweiten EU-CELAC-Gipfels

Europäischer Rat (Nachrichten) - Mon, 15/06/2015 - 10:05

Wir, die Staats- und Regierungschefs der Europäischen Union (EU) und der Gemeinschaft der Lateinamerikanischen und Karibischen Staaten (CELAC), sowie die Präsidenten des Europäischen Rates und der Europäischen Kommission sind am 10. und 11. Juni 2015 zum zweiten EU-CELAC-Gipfel – unserem achten bi-regionalen Treffen – zusammengekommen; Thema des Gipfels war die "Gestaltung unserer gemeinsamen Zukunft: Für eine prosperierende, durch Zusammenhalt geprägte und nachhaltige Gesellschaft für unsere Bürger".

Als Ausdruck unserer gemeinsamen Entschlossenheit, unsere Beziehungen weiter auszubauen und unseren Dialog zu vertiefen sowie angesichts der Bedeutung, die wir der bi-regionalen strategischen Assoziation beimessen, haben wir eine Erklärung zu einer "Partnerschaft für die nächste Generation" angenommen.

Categories: Europäische Union

Russian Chip and Pin Developed for New National Payment System

RIA Novosty / Russia - Mon, 15/06/2015 - 09:57
The chip, developed by the Russian firm Mikron, could be ready for use in credit or debit cards as early as autumn 2015.






Categories: Russia & CIS

Túlzónak tartják az orosz repülőgép-beszerzési terveket

JetFly - Mon, 15/06/2015 - 09:54
Oroszország közelmúltbeli bejelentéseit, melyek szerint újraindítanák a szuperszonikus Tupoljev Tu-160-as bombázó gyártását, számos szakértő szkeptikusan fogadta. A Tu-160-as mellett egyéb típusok gyártását is felpörgetnék az oroszok, azonban kérdéses, hogy képesek-e ezen a programok futtatására párhuzamosan. A leggyakrabban hangoztatott ellenérv, hogy ekkora volumenű munkához nem áll rendelkezésre elegendő, megfelelően képzett munkaerő, illetve az erre fordítható források is távol állnak az optimálistól.
Categories: Biztonságpolitika

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