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Allgemeines : "Es ist leicht, Europa oder dem Schengen-Raum die Schuld für Sicherheitsprobleme in unseren Mitgliedstaaten in die Schuhe zu schieben und die trügerische Hoffnung zu wecken, dass ein Rückzug hinter nationale Grenzen in irgendeiner Weise vor - oft einheimischen - Terroristen schützt", betonte Parlamentspräsident Schulz vor Beginn des EU-Gipfels vom 17. und 18.12. Die Staats- und Regierungschefs befassen sich unter anderem mit der Flüchtlingskrise, dem Terrorismus und dem britischen Referendum.

Quelle : © Europäische Union, 2015 - EP

Securico, la société de convoyage de fonds créée voilà quinze ans par Divine Ndhlukula, est le premier employeur de femmes du pays. Le magazine "Réussite" s'intéresse au modèle de la société qui s'est depuis diversifiée dans le gardiennage, les services de contrôle d'accès et la surveillance électronique.

Cet article Transport de fonds : au Zimbabwe, les banques s’en remettent aux femmes est apparu en premier sur JeuneAfrique.com.

Formateurs de peshmergas néerlandais (Crédit : MOD Pays-Bas)

(B2 – exclusif) Il y a un mois, Jean-Yves Le Drian, le ministre français de la Défense, arrivait au Conseil des ministres de l’Union européenne avec un message très simple, se résumant à quelques mots : je demande l’invocation de la clause de l’article 42.7. Une clause, parfois dénommée clause de solidarité, plus souvent clause de d’assistance ou de défense mutuelle, dont même les spécialistes européens avaient un peu oublié l’existence (lire : La France peut-elle déclencher une clause de solidarité de ses alliés ? Quel intérêt ?).

B2 a enquêté sur la mise en oeuvre de cette clause. Tous les détails ont été publiés il y a quelques jours dans notre édition professionnelle, article plusieurs fois remis à jour, en dernier lieu aujourd’hui (Lire aussi : La clause d’assistance mutuelle activée. Qui se mobilise ? Comment ? Enquête (maj3)). Au bout d’un mois, on peut tracer un premier bilan et donner quelques explications supplémentaires.

Un bilan pour l’instant mitigé

Tout d’abord, on perçoit une tendance de fond. Le soutien politique est entier parmi les 28. Et la prise de conscience réelle. Mais, au-delà des mots, l’engagement effectif est très diversifié. Ensuite, il est souvent difficile de dégager ce qui correspond réellement à un engagement nouveau — répondant à la clause d’assistance mutuelle —, et ce qui correspond juste à du recyclage d’une décision déjà prise ou la « réorientation » d’une mission déjà engagée ou déjà décidée. Il y a souvent un mélange des deux, dans une confusion savamment entretenue par nombre de gouvernements, pour des raisons à la fois internes et externes. Enfin, il s’agit bien souvent d’un premier jet. Plusieurs pays ont indiqué qu’ils entendaient approfondir le sujet et faire d’autres propositions l’année prochaine. Pour certains pays, redéployer des financements des hommes et des financements (déjà planifiés et entérinés dans les mandats votés par leurs assemblées) n’est pas toujours facile

Trois alliés rapidement engagés

L’engagement effectif a été fait de façon majeure par trois alliés : Allemagne, Belgique, Royaume-Uni. Chacun pour différentes (bonnes) raisons internes.

A Londres, la demande française a constitué une excellente fenêtre d’opportunité pour David Cameron. Le Premier ministre qui avait essuyé un échec notable à la Chambre des communes en août 2013 revient ainsi dans la ‘course’ et retrouve, surtout, un rôle  dans la coalition internationale dirigée par les Américains. Le Royaume-Uni était, de fait, marginalisé ; la place d’allié « fidèle » étant conquise par la France. Au plan interne, il lui a permis également d’enfoncer un coin dans le camp travailliste.

A Berlin, l’engagement allemand, proposé par la ministre de la Défense Ursula von der Leyen, a été arbitré au plus haut niveau par Angela Merkel, et rapide. Ce qui est à remarquer particulièrement et marque la détermination allemande de se trouver aux côtés de la France (tout comme de trouver une place d’allié sûr dans la coalition internationale, motivation semblable aux Britanniques sur ce point). Certes il reste en soutien logistique mais ce soutien est très utile et bien ciblé (surveillance aérienne, satellitaire, ravitailleurs en vols, maritime…) sans compter ce qui n’est pas dit (l’engagement des renseignements allemands, du BND, particulièrement actifs dans la zone). Son coût (134 millions d’euros pour un an) témoigne de la valeur de l’engagement. Une décision prise en quelques jours. Ce qui prouve qu’on peut allier réactivité et consultation démocratique quand il y a une volonté politique et un contexte favorable.

L’engagement belge doit aussi être noté. Certes il s’agit en partie d’une réorientation de la mission du Leopold Ier plus qu’un engagement nouveau mais il s’accompagne d’une mise en réserve dès 2016 de nouveaux moyens notables pour un pays de ‘petite’ taille (environ 300 hommes pour une opération au Sahel). Pour un pays de taille plus moyenne, c’est un engagement notable,

Des contributions modestes mais utiles

Une bonne douzaine d’autres pays ont procédé assez rapidement à des prises de décision, chacun selon ses contraintes internes et possibilités. Les uns ont proposé des heures de vol d’avions de transport stratégique type C17 ou gros porteurs Antonov An124 (Suède, Luxembourg, Finlande).

D’autres (Bulgarie, Estonie, Lettonie, Lituanie, Luxembourg, Roumanie, Slovaquie, Slovénie et rép. Tchèque) ont annoncé un petit renfort de personnel supplémentaire dans les deux missions déployées au Mali — la mission européenne EUTM Mali pour la formation de l’armée malienne et les casques bleus de la MINUSMA. Pour la FINUL au Liban, la France pourra compter sur la Finlande qui devrait dégager un effectif important.

Peu de pays se sont engagés pour la mission en Centrafrique, EUMAM RCA, qui ne suscite pas beaucoup d’enthousiasme (Roumanie, Suède). La Croatie a offert des munitions.

Ces engagements paraissent souvent assez limités. Mais additionnés les uns aux autres, ils forment un tout qui n’est pas négligeable. Mis bout à bout, on compte environ une trentaine de personnels de plus pour EUTM Mali et 4 personnels pour EUMAM RCA, ainsi que 120 heures de vols stratégiques.

NB : nous ne mentionnons pas le Danemark car l’engagement dans la MINUSMA était déjà engagé et décidé au moment de l’invocation de la clause de solidarité (le vote au Parlement a eu lieu le 17 novembre). Il concourt certes au même objectif : la stabilisation du Mali. Mais on ne peut pas parler d’effectif ou moyens supplémentaires comme le mentionnent certains…

Ceux qui n’ont rien proposé

Une dizaine de pays n’ont, pour l’instant, apporté aucune réponse officielle à la demande française. Parmi eux, on retrouve quatre puissances ‘moyennes’ disposant d’un corps d’armées important (Espagne, Italie, Pays-Bas, Pologne) qui pourraient donc mettre des moyens.

Certains ont de ‘bonnes’ raisons. L’Espagne est en période électorale. L’Italie veut garder un focus sur la Méditerranée, la Somalie et la Libye. Les Pays-Bas, déjà engagés au Mali (dans la MINUSMA) et au Moyen-Orient, examinent de près l’option de s’engager plus avant en étendant leur mission de F-16 au-dessus de l’Irak vers la Syrie (pour La Haye, c’est davantage une question de temps). Pour d’autres comme la Pologne, c’est plus confus, tout comme la Hongrie, qui n’a pas répondu précisément.

L’Irlande a manifesté sa bonne volonté mais n’a pas concrétisé, tout comme l’Autriche. D’autres pays (Grèce, Portugal) ont de sérieuses difficultés économiques et de vraies difficultés à s’engager ou n’ont pas vraiment de moyens (Chypre, Malte).

Commentaire : On retrouve là le gros problème de la défense européenne. D’une part, il n’y a pas de planification globale des engagements extérieurs. Chacun fait comme il veut, selon ses convictions, les opportunités qui se présentent, sans réellement de stratégie. En gros c’est un gigantesque foutoir … et souvent pas mal de gaspillage financier tout comme opérationnel. D’autre part, les pays ayant à la fois des capacités militaires réelles (celles disponibles et non celles figurant sur les livrets d’Etat-major), des possibilités financières et volontaires politiquement, se comptent sur les doigts d’une main (et demi). Les autres sont, un peu comme des passagers clandestins. Ils peuvent fournir quelques personnels (pas plus de 5 en général), pour des opérations supplémentaires, mais déjà engagés dans d’autres opérations de l’OTAN ou de l’ONU (voire pas du tout), ne peuvent pas dégager de moyens supplémentaires. Ils bénéficient de la sécurité globale, sans vraiment s’engager…

(Nicolas Gros-Verheyde)

(maj) article mis à jour ven 18.12 et sam 19.12 (Finlande, Rép. Tchèque)

The new Circular Economy package includes no fewer than 54 legislative and non-legislative actions to be completed in the next years with a view to “close the loop” of product lifecycles and bring benefits for both the environment and the economy. To help you understand how the actions interact and their impact on business, we have mapped all of them for you.

Time will tell us whether the EU can actually deliver on Circular Economy and beyond, on Better Regulation. Let’s not forget indeed that this package is one of the most striking examples of the Commission’s efforts to make its services work together and turn the Better Regulation agenda into reality.

Circular Economy Timeline

Are higher recycling targets more ambitious?

 The Circular Economy package’s legislative proposals mainly focus on reducing waste and establishing targets. Whilst the Action Plan has been generally positively welcomed by different groups, the lowering of some of the waste reduction, reuse and recycling  targets – compared to the 2014 withdrawn proposal – has already been criticized by some as being “not ambitious”. And indeed, what better way for the EU to show strong commitment towards reducing and recycling waste than higher targets?

Things may however be slightly more complex. Taking into account the significant differences that exist between Member States, one could also question whether setting higher targets would be realistic and, perhaps more importantly, the most effective way to actually reduce waste and improve waste management in Europe. With its new package, the Commission seems to have followed the latter reasoning. First, the waste proposals show that ambition can be served by more than higher targets. Improving EPR schemes and acknowledging that a few Member States may need more time to deliver are just a few examples. Second, it is not only about waste as most proposed actions support a long-term strategy that addresses the full product cycle.

Does it close the loop?

Whereas the previous Circular Economy proposal from 2014 was criticized for being too much “waste-focused”, ultimately leading to its withdrawal, the Commission has clearly taken a more holistic approach by working across a number of different policy areas. The Action Plan for the Circular Economy establishes a novel programme with measures covering the whole cycle: from production and consumption to waste management. No fewer than 54 legislative and non-legislative actions are foreseen to be completed in the next years with a view to “close the loop” of product lifecycles and bring benefits for both the environment and the economy.

On paper then, the Commission has delivered. Will these actions ever come to reality and more importantly will they contribute to building a new socio-economic model everyone seems to be calling for? Time will tell us whether the Commission will keep the same momentum and circular economy is more than another buzz word in the EU bubble.

First hints from the Parliament and the Council

As codecision is about to start on the waste proposals, the European Parliament and the Council already gave us a taste of how discussions could look like. In the Parliament, it looks like the EPP and the S&D will be able to work together. While we should of course expect disagreements of several specific points, both groups have stated that the package constitutes a good starting point.  The Greens however, and some voices in the ALDE group, have unsurprisingly expressed more disappointment. Meanwhile in the Council, Member States have welcomed the package. When reacting to Commissioner Vella’s presentation though, criticism appeared. The UK raised concerns about not only the role and ambition-level of the targets, but also over the differentiated targets. Sweden, on the other hand, questioned the ambitiousness of the package and stated that Substances of Very High Concern need to be phased-out and called for a landfill ban. Italy responded in a more technical manner and asked for clarification on the definition of waste and the methods for calculating urban waste and recycling targets.

 What’s next?

The ambitious programme of actions will now have to be executed in the next few years. The annex to the action plan sets out a timeline showing when we can expect the Commission to get started on each action. Clearly, timing is not as precise as it could (should) be. One thing is very clear though: 2016 is a critical milestone for Circular Economy. It is next year that a significant amount of the activities will be kicked off, covering all stages of the product lifecycle as well as various sectorial actions.

By Lara Visser, Pauline Tawil and Malte Helligsoe

Conclusion of the Stabilisation and Association Agreement between the European Union and the European Atomic Energy Community and of Kosovo
Source : © European Union, 2015 - EP

A kiíró a tűzoltóság, a tűzoltói hivatás népszerűsítésére "Szelfi Szent Flóriánnal" címmel pályázatot hirdet.

"AZ ÉV LAKBERENDEZŐ TEAMJE 2015" cím elnyerése.

“AZ ÉV PÁLYAKEZDŐ LAKBERENDEZŐJE 2015” cím elnyerése.

A kiíró pályáztot hirdet új magyar musical megírására.

Fülemüle tehetségkutató informatika verseny 2016.

A kiíró olyan kirándulásokat szervez, ahol a fiatalok játszva tanulják meg, hogyan lehetnek sikeresebbek a kapcsolataikban, és hogyan élhetnek meg minél több örömet egy közösségben.

Aláírták a líbiai egységkormány megalakításáról szóló megállapodást az észak-afrikai ország két parlamentjének képviselői.

A pályázat célja, hogy önkormányzatok, kistérségi települések, TDM szervezetek és egyéb turisztikai-, valamint településfejlesztéssel foglalkozó létesítmények nagyobb beruházás, illetve önerő befektetése nélkül is tudjanak turisztikai helyszíneket és/vagy településeket fejleszteni.

Jomo Kwame Sundaram is the Coordinator for Economic and Social Development at the Food and Agriculture Organization and received the 2007 Wassily Leontief Prize for Advancing the Frontiers of Economic Thought.

By Jomo Kwame Sundaram
ROME, Dec 17 2015 (IPS)

With the increased frequency and severity of extreme weather events adversely affecting agricultural outputs and farmers’ incomes, commercial crop insurance has been touted as the solution for vulnerable farmers all over the world. Financial and farm interests have been promoting US crop insurance as the solution. It is instructive to consider lessons from the 2012 drought.

Jomo Kwame Sundaram. Credit: FAO

Driven by the expectation of high maize prices, owing to the maize bio-ethanol mandate introduced almost a decade ago, US farmers planted a record 96.4 million acres in the spring of 2012 – even planting on previously fallow and marginal fields. Farmers also knew that crop insurance would guarantee a handsome return on their investment even in the event of crop failure.

Unexpectedly low crop yields caused by the drought in much of the US significantly drove up global cereal prices by mid-year. By July 2012, more than 55 per cent of the US was in a state of moderate to extreme drought – the worst since 1956. US maize yield fell far short of the 166 bushels per acre that the US Department of Agriculture had projected in the spring. The USDA rated only 31 per cent of the crops “good” or “excellent”, while 38 per cent were rated “poor” or “very poor.”

When bad weather destroys part or all of their crop, those with a harvest-price clause in their insurance policies are compensated for most of their expected crop at the market price. When farmers can earn more from insurance at higher prices, they have an incentive to behave in ways that may raise prices even more, e.g. by delivering less.
Insurance payments for lost yields are based on current market prices, not some pre-agreed prices. Given the structure of these payoffs, it is not surprising that 85 per cent of all planted US farmland was insured in 2012, up from 75 per cent a decade ago, and only 25 per cent in 1988. Hence, many US maize farmers had their highest incomes ever despite the harvest failure!

By reducing the harvest, the drought drove up prices, boosting farmers’ incomes from insurance payments. If farmers with good insurance coverage make claims instead of harvesting, even less maize gets to market, raising prices – and insurance payments – further. When farmers planted in the spring, the maize price was less than 5 dollars a bushel.

Indeed, with highly subsidized crop insurance, if prices rise high enough, American farmers can earn far more from a failed harvest, than from a successful harvest. As insurance paid 80 per cent of current harvest prices, many farmers made more from insurance when prices rose above 6.25 dollars, than with a full harvest.

The supply shortfall pushed up maize prices to more than 8 dollar per bushel. As more land had been planted than ever before, many had expected a bumper crop, aggravating the low yield’s impact on prices. As the US is, by far, the world’s largest maize producer, and maize is the most popular animal feed, the poor harvest raised other food prices as well.

Nevertheless, this is very big—and very good—business for the insurance companies. Every year between 2000 and 2010, US crop insurers collected more in premiums than they paid out. But insurance companies also have little incentive to deter excessive payouts as the US government covers roughly three-fifths of premiums and reimburses private crop-insurance companies for administrative and operating costs exceeding a fifth of total premiums. Thus, the larger the nominal losses to insurers, the greater the share of payouts the government covers.

In 1989-2009, crop insurance cost US taxpayers 68.7 billion dollars, rising from 2 billion dollars in 2002 to 9 billion dollars in 2011, with more frequent and devastating extreme weather events. In 2011, when drought hit Texas and the US Southwest, total indemnified agricultural losses amounted to 10.8 billion dollars. But, as the government subsidized both premiums and re-insurance, private insurers still made a profit of 1.7 billion dollars. With the greater severity of the 2012 drought, the payout was much larger.

The federal government subsidy to crop insurance has since increased with the latest US farm bill. Yet, US policymakers have no reason to change things. Farm incomes account for a relatively small share of the US economy. In the run-up to national elections, powerful farm lobbies regularly call for even more federal protection. With candidates from both major parties vying for farm votes, neither side will discuss the perverse effects of US crop insurance or even its effect on the fiscal deficit – much less its impact on food prices and the world’s poor.

Instead, crop insurance is still touted as the best means to reduce farmer vulnerability, or even to combat poverty in developing countries. In Europe, the crop insurance lobby is calling for a “level playing field” by emulating US arrangements — by raising the level of support from the current 20 per cent to the US’s 70 per cent!

As such generous underwriting is allowed under WTO rules, and most developing countries cannot afford to subsidize crop insurance to the same extent, their farmers will consequently be at a further disadvantage. In any case, most poor farmers in developing countries are unlikely to be able to afford even the subsidized premiums offered by commercial insurance.

The “success” and popularity of US crop insurance is clearly due to high levels of government subsidy, beyond the means of most developing country governments.

While the risk-sharing that crop insurance offers is undoubtedly attractive, commercial insurance companies would not participate if they were really sharing risk. Surely, there are better options for protecting farmers — in the US and elsewhere.

(End)

Hosszú hónapok, valójában a migrációs válság kezdete óta hangsúlyozom, hogy a határok védelmének nincs igazán jó alternatívája. Ezért nagy megelégedettséggel üdvözlöm a külső határaink megerősítésére irányuló európai bizottsági javaslatot. A határellenőrzés ugyanis minden migrációs politika elengedhetetlen feltétele.  

A határok védelme elsősorban a tagállamokra hárul és rájuk kell hárulnia. Ezért alapos vizsgálat tárgyává kell tennünk azt a nagyon vitatott elképzelést, hogy az európai határőrség szuverén államok területére lépjen.

Ugyanakkor Európa nem maradhat sebezhető akkor sem, ha a schengeni államok nem képesek eredményesen védeni a határaikat. Ha elutasítjuk a Bizottság javaslatát, akkor egy másikat kell találnunk, de attól tartok, az is hasonlóan fájdalmas megoldás lesz.

Természetesen szintén kiemelkedő fontosságú az Egyesült Királysággal kapcsolatos ügy. A tagállamokkal folytatott konzultációim során minden érintett fél részéről jó szándékot tapasztaltam, de ez nem változtat azon, hogy a brit javaslat egyes részei elfogadhatatlannak tűnnek. Ugyanakkor, ha David Cameron miniszterelnöknek ma este sikerül meggyőznie az uniós vezetőket arról, hogy együtt képesek vagyunk megoldást találni mind a négy követeléscsomag tekintetében, akkor tényleges esélye van annak, hogy februárban megállapodás szülessen.

Végezetül a GMU-t illetően az a meglátásom, hogy még ha Európa számára jelenleg óriási megterhelést is okoz a migrációs válság, akkor sem halogathatjuk a szükséges reformok bevezetését. Ezen a csúcstalálkozón egyértelművé kell tenni, hogy a tagállamok készek-e meghozni a bankunióval és a gazdasági kormányzással kapcsolatos nehéz döntéseket.

Schon seit vielen Monaten, nämlich seit Beginn der Migrationskrise, habe ich darauf hingewiesen, dass es keine wirkliche Alternative zum Grenzschutz gibt. Und daher begrüße ich mit großer Befriedigung den Vorschlag der Europäischen Kommission, unsere Außengrenzen zu stärken, da die Kontrolle der Grenzen in der Tat eine conditio sine qua non einer jeden Migrationspolitik ist. 

Für den Grenzschutz sind in erster Linie die Nationalstaaten zuständig - und sollten dies auch sein. Aus diesem Grund müssen wir uns mit dem sehr kontroversen Gedanken auseinandersetzen, dass europäische Grenzschutzbeamte das Hoheitsgebiet souveräner Staaten betreten.

Europa darf sich jedoch nicht weiter Gefahren aussetzen, nur weil Schengen-Staaten nicht in der Lage sind, ihre Grenzen wirksam zu schützen. Wenn wir den Vorschlag der Kommission ablehnen, müssen wir uns um eine andere Lösung bemühen, die – so fürchte ich – ebenso schmerzhaft sein wird.

Entscheidende Bedeutung kommt natürlich auch dem Thema des Vereinigten Königreichs zu. Die Konsultationen, die ich mit allen Mitgliedstaaten geführt habe, zeigen, dass alle Beteiligten guten Willens sind, was jedoch nichts an der Tatsache ändert, dass einige Teile des britischen Vorschlags inakzeptabel sind. Sollte es Premierminister Cameron allerdings heute Abend gelingen, die Staats- und Regierungschefs davon zu überzeugen, dass wir zusammen Lösungen für alle vier "Körbe" erzielen können, dann haben wir eine reelle Chance, im Februar zu einer Einigung zu gelangen.

Und schließlich die WWU. Selbst wenn die Migrationskrise derzeit das alles beherrschende Thema in Europa ist, können wir es uns nicht leisten, mit den notwendigen Reformen auf bessere Tage zu warten. Auf dem Gipfeltreffen sollte deutlich werden, ob die Mitgliedstaaten bereit sind, schwierige Entscheidungen zur Bankenunion und wirtschaftspolitischen Steuerung zu treffen.

Mariano Rajoy, c’est le symbole de la ténacité, de la persévérance. Pas étonnant pour un amateur de cyclisme, lisait-on en 2011, lorsque le leader de la droite espagnole fut le grand gagnant des élections législatives. Il y a quatre ans, le successeur de José Luis Zapatero s’imposait enfin comme le nouvel homme de la situation. Mais c’est avec discrétion que le Premier ministre s’installait au palais de la Moncloa, laissant derrière lui ses deux défaites, de 2004 et de 2008. Ce n’était "pas le moment de tout gâcher par un triomphalisme excessif !", commentait Le Figaro au lendemain du vote.

Dimanche 6 décembre 2015, un E-3F « Awacs » de la 36e escadre de commandement et de conduite aéroporté d’Avord a été ravitaillé en vol par un Boeing KC 767A italien. Une première en mission opérationnelle.

Why don’t they want Belgian chocolates? Or Italian spaghetti?

Europe’s frustration is mounting over its slow, difficult trade negotiations with Japan. The 15th round of talks is coming in February next year, and Europe is hungry for signs that it is worth carrying on.

In October, Japan joined the US and 10 other nations in sealing the Trans-Pacific Partnership, which covers 40 per cent of the global economy. But there is little sign of that momentum carrying over into a quick deal with Europe.

Mauro Petriccione, Brussels’ chief negotiator with Japan, warned on Thursday that enthusiasm for an accord with the world’s third biggest economy could wane if the deal is not finalised next year.

“If we don’t make it in 2016, we’ll have to explain why, and we cannot exclude a resurgence of the scepticism towards the possibility of a new Japan-EU [free trade agreement] that we had before we started,” he told reporters. “It took us a long time to persuade sceptics that it was worth trying this. If they see that we don’t succeed in 2016, they will start asking themselves questions again.”

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