La coalition militaire menée par les États-Unis pour combattre le groupe État islamique a tué le 26 novembre un cadre de l'organisation jihadiste, Boubaker El Hakim, dans un bombardement aérien mené à Raqa, en Syrie, a indiqué le Pentagone samedi 10 décembre.
Cet article Le Pentagone confirme la mort du Franco-Tunisien Boubaker El Hakim, un cadre de l’État islamique est apparu en premier sur JeuneAfrique.com.
François Burgat, politologue, est directeur de recherche au CNRS. Il répond à mes questions à l’occasion de la parution de son ouvrage Comprendre l’islam politique : une trajectoire de recherche sur l’altérité islamique, 1973-2016 aux Éditions La Découverte.
En quoi vous éloignez-vous de l’interprétation de l’islam politique que font, dans un genre différent, Gilles Kepel et Olivier Roy ?
Gilles Kepel et Olivier Roy accordent leur caution universitaire à deux grandes approches du phénomène djihadiste. La première, de très loin la plus répandue parce que très proche du sens commun, est celle de Kepel. Elle considère les djihadistes comme des “fous de Dieu”, c’est-à-dire des individus pervertis par une doctrine religieuse radicale, clivante, qui les place irrésistiblement sur la pente du terrorisme : le salafisme, qui viendrait briser le beau rêve du pacte républicain français. La seconde, que porte Olivier Roy, revient en quelque sorte à faire des djihadistes des “fous “ tout court, c’est-à-dire des individus atteints d’une pathologie psycho-sociale “nihiliste”. Cette approche s’oppose à celle de Kepel en ce qu’elle réfute la centralité de la variable religieuse, prenant notamment appui sur la fragilité de la culture et de la pratique religieuses des révoltés, réputés étrangers aux préoccupations de leurs coreligionnaires. Mais ces deux interprétations ont en commun de nier ou « euphémiser » la part de responsabilité des “interlocuteurs” non musulmans (ou, s’agissant des leaders autocrates, musulmans) des djihadistes. Ce faisant, elles évacuent une causalité qui, à mes yeux, est absolument décisive : la persistance des multiples manifestations des rapports de domination Nord-Sud et les failles béantes qu’elles nourrissent, aussi bien à l’échelle internationale que française, dans notre “vivre ensemble”.
Roy disqualifie très explicitement cette hypothèse en la qualifiant de “vieille antienne tiers-mondiste”. Pour reprendre ses termes, il ne saurait ainsi être question de corréler l’origine du phénomène djihadiste avec « la souffrance postcoloniale, l’identification des jeunes à la cause palestinienne, leur rejet des interventions occidentales au Moyen-Orient et leur exclusion d’une France raciste et islamophobe”. Si l’intention (exonérer la majorité des musulmans de toute relation avec la violence djihadiste) est fort noble, le prix analytique à payer est à mon sens terriblement élevé : cela n’aboutit qu’à extraire la dynamique djihadiste de toute détermination sociale et politique.
Avec G. Kepel et le sens commun mon désaccord est encore plus profond. Alors qu’il pense que c’est le salafisme qui brise le pacte républicain, j’ai pour ma part, sans nier la dimension clivante de cette interprétation de la foi musulmane, l’intime conviction que la causalité est inverse : c’est notre façon très égoïste et très unilatérale de mettre en œuvre ce pacte républicain, le plafond de verre auquel se heurtent les musulmans dans l’ascenseur social et, tout autant, les grossières manipulations de leur représentation qui .. »fabriquent » des salafistes ! Or Kepel, non seulement évacue ces causalités, mais il criminalise ceux qui les prennent en compte ! Chez les musulmans qui les revendiquent, il dénonce avec ironie un inacceptable “penchant à adopter une posture victimaire”. Et c’est à tous ceux qui tentent de corriger en les dénonçant les dérives islamophobes de nos élites qu’il entend paradoxalement faire porter la responsabilité de la fracture républicaine. Kepel se focalise en fait sur l’étude pointilleuse des modalités de la violence djihadiste : la généalogie de ses médiateurs humains, de ses vecteurs idéologiques ou technologiques. Mais cette volonté de tout savoir sur le « comment » de cette violence cache à mes yeux une propension à ne rien vouloir entendre de son « pourquoi ». Or c’est sur ce « pourquoi » que je m’efforce d’attirer l’attention des analystes et des politiques.
Pourquoi estimez-vous que la dimension stratégique de l’islam politique soit occultée au profit d’un aspect culturaliste ?
Quiconque qui, dans une situation de domination, est confronté à une forme de révolte a tendance à préférer les explications qui l’exonèrent de sa responsabilité. Et le fait de penser la violence djihadiste comme un des penchants propres à l’Autre, inhérent à sa culture ou spécifique à sa pratique religieuse, offre bien cet avantage ! Cela nous permet par exemple d’occulter une donnée aussi essentielle que celle-ci : nous n’avons subi aucun attentat en France avant de déclarer unilatéralement la guerre à Daech en Irak puis en Syrie ! À l’inverse, une lecture plus politique permet de réintroduire une variable incontournable : pour se révolter, se radicaliser, il faut être deux ! Et le rôle du “second” ne saurait être purement escamoté – comme c’est le cas quand on limite la recherche des causalités à la seule personnalité de l’agresseur.
Comment expliquer ces « difficultés françaises à gérer rationnellement l’altérité islamique » ?
J’identifie deux catégories de spécificités françaises dans ce domaine. D’abord, la violence de notre passé colonial n’a jamais été assumée. Après la formule de Nicolas Sarkozy en 2007 (“le rêve de civilisation”), celle de François Fillon en 2016 (“le partage des cultures”) le souligne à l’évidence ! C’est ensuite l’actuel dévoiement très nationaliste de la laïcité à la française qui contribue à construire le curieux cocktail hexagonal de notre relation à l’Autre musulman : sa présence dans le tissu national est prise entre l’enclume de l’islamophobie droitière, qui conteste la concurrence d’un dogme qui n’est pas celui de notre mémoire collective, et le marteau de l’islamophobie “de gauche”, qui dénonce, fût-ce de façon très sélective, l’illégitimité de la présence de la religiosité dans l’espace public.
Derrière ces deux crispations très françaises, il y a le fait que nos élites intellectuelles et politiques ont été jusqu’à nos jours enivrées par la fugitive centralité de nos « Lumières », érigées en modèle intangible et rigide d’universalité. Peut-il être « des nôtres », celui qui « ne critique pas sa religion comme nous autres » ? Nos élites sont incapables de faire un pas de côté pour observer l’histoire du point de vue des sociétés dominées et de concevoir que la référence religieuse puisse y jouer en 2016 un rôle très différent de celui qu’elle a joué chez nous au XVIIIe et au XIXe siècle. Dans une France en lutte contre l’absolutisme politico-religieux de la monarchie, la référence religieuse jouait clairement dans le camp du refus de la modernité politique. Mais dans les sociétés musulmanes aujourd’hui, elle joue un rôle substantiellement différent : dans une démarche de mise à distance de la domination que le monde occidental continue de faire peser sur elles, elle a valeur de référent identitaire. Elle est le support d’une affirmation culturelle qui prolonge et complète les volets politique et économique de la décolonisation. C’est cela que nos élites peinent à admettre : que l’histoire de la planète ne s’écrit pas, partout et toujours, avec le seul lexique de “notre” vieille révolution.
Les Coptes d’Egypte célébraient lundi les funérailles des 24 personnes tuées la veille dans un attentat à la bombe dans l’église Saint-Pierre et Saint-Paul du Caire, ont constaté des journalistes de l’AFP.
Plusieurs centaines de fidèles se sont rassemblés dans l’église de la Vierge Marie, où les cercueils des victimes étaient alignés près de l’autel.
Prenant la parole, le pape Tawadros II, chef de l’Eglise copte, a qualifié l’attentat de « coup dans le cœur de l’Egypte ». « Nous sommes très peinés » par la mort des fidèles « mais aussi par tout ce mal dépourvu de toute humanité », a-t-il déclaré, les larmes aux yeux.
Le bilan de l’attentat est passé lundi à 24 morts, a indiqué le ministère de la Santé égyptien, qui avait fait état d’un précédent bilan de 23 morts dimanche soir.
Par ailleurs, selon le communiqué du ministère, 24 blessés avaient quitté les hôpitaux lundi matin et 21 sont toujours hospitalisés. La plupart des victimes sont des femmes.
L’explosion a eu lieu dimanche vers 10H00 (08H00 GMT) à l’intérieur de l’église, contiguë à la cathédrale copte Saint-Marc, siège du pape Tawadros II.
La communauté copte égyptienne n’avait pas connu d’attentat aussi meurtrier depuis l’attaque suicide qui avait fait plus d’une vingtaine de morts le 1er janvier 2011 à la sortie d’une église à Alexandrie.
Les Coptes d’Egypte constituent la communauté chrétienne la plus nombreuse du Moyen-Orient et l’une des plus anciennes. Cette importante minorité, qui a fait l’objet de diverses attaques en Egypte, est faiblement représentée au gouvernement et s’estime tenue à l’écart de nombreux postes de la justice, des universités ou encore de la police.
Après un premier projet en 2007, la Banque européenne d'investissement va financer le développement et la modernisation du réseau d'alimentation en eau potable de Cotonou afin d'en permettre l'accès à 600 000 personnes d'ici neuf ans.
Cet article Bénin : la BEI investit 30 millions d’euros dans l’approvisionnement en eau de Cotonou est apparu en premier sur JeuneAfrique.com.
Une boule d’acier vient en chasser une autre dans le claquement sec d’un « carreau » parfait. Dans les rues d’Antananarivo, la scène est commune: chez les nouveaux champions du monde de la discipline, la pétanque est une véritable religion.
Il n’est pas encore midi, en pleine semaine, et des dizaines de boulistes amateurs tirent et pointent sur un terrain de fortune au bord du majestueux lac Anosy, au centre de la capitale malgache.
L’imposante racine qui trône au milieu de ce boulodrome improvisé perturbe à peine la précision des joueurs, qui rivalisent d’ingéniosité pour faire la meilleure approche. Dans un tableau digne de Pagnol sous les tropiques, des curieux s’arrêtent pour observer et surtout commenter la partie.
« Les gens qui jouent ici sont presque tous des chômeurs. La pétanque, c’est très, très important, c’est tout pour nous ! », clame Andry Maminirina, qui a créé ce terrain sauvage il y a trois ans.
De l’autre côté du lac, au pied de la colline où les lettres Antananarivo s’étalent sur l’horizon à la manière de celles d’Hollywood à Los Angeles, l’activité bat également son plein au « Club bouliste de Tana » (CBT).
Ici, pas de racine pour compliquer les trajectoires, les terrains sont bien entretenus. Une centaine de passionnés de pétanque, hommes et femmes réunis, viennent tous les jours y taquiner le cochonnet.
A l’ombre des pins, les retraités côtoient les jeunes dans une joyeuse mixité sociale.
« J’ai joué pour la première fois à la pétanque en 1964 alors que j’étais encore dans l’armée française », se souvient Clet Ramamonjisoa, 75 ans, en rappelant que la popularité du jeu de boules est née avec la colonisation française.
Au CBT, les joueurs s’affrontent avec des boules d’occasion, souvent récupérées auprès de leurs familles expatriées en France.
« Ici, on n’a pas l’occasion d’avoir du matériel, même les boules manquent à Madagascar. Et s’il y en a, elles sont très chères », regrette Michel Ranarivelo entre deux parties.
– ‘Comme le foot au Brésil’ –
En ce vendredi de la fin novembre, l’excitation était à son comble, à une semaine du coup d’envoi à Madagascar des championnats du monde de pétanque, les premiers mondiaux tous sports confondus jamais organisés sur la Grande Ile.
Ils se sont soldés le 4 décembre par la victoire en finale de Madagascar sur le Bénin, lequel avait sorti en demi-finale la France jusque-là favorite et invaincue depuis 2001. Une sensation.
Déjà champion du monde en 1999, Madagascar ne compte qu’une vingtaine de professionnels mais le pays avait toutefois accumulé les titres de numéro 2 ces dernières années.
« La pétanque à Madagascar, c’est comme le foot au Brésil ! Au début c’était un loisir, mais la victoire de 1999 a permis de vulgariser le jeu dans les différentes villes du pays », se réjouit Beryl Razafindrainony, le président de la fédération.
Au Club bouliste de Tana, plusieurs joueurs évoquent les problèmes de « corruption » qui gangrènent la pétanque de haut niveau dans le pays, avec des finales « vendues » à des adversaires pour quelques milliers d’euros, une somme astronomique dans un pays où le salaire moyen dépasse à peine 45 euros mensuels.
Pour éviter qu’un tel scénario ne se renouvelle, les boulistes malgaches ont été mis au vert dans un lieu tenu secret avant les Mondiaux à Madagascar, leurs portables confisqués et toute communication, y compris avec les familles, interdite.
« Il y a toujours des gens mal intentionnés pour venir emmerder nos joueurs », regrette Beryl Razafindrainony. « Les joueurs sont motivés (…) Mais la suspicion est toujours là et, pour éviter tout ça, nous les mettons en recul de la société ».
La méthode semble avoir porté ses fruits.
Profitant de l’élimination en demi-finale de la France, championne en titre depuis quinze ans, Madagascar n’a pas manqué l’occasion de reprendre sa couronne: dans une affiche plutôt inhabituelle pour le sport au niveau mondial, les joueurs malgaches, portés par une ambiance digne d’une finale de football, ont écrasé le Bénin 13 à 5.
Avec ce nouveau sacre, dix-sept ans après le titre qui a lancé la fièvre de la pétanque dans le pays, l’engouement des Malgaches pour cette discipline ne semble pas prêt de s’éteindre.
You can read here the article on the rise of populists, which was written by Professor George Pagoulatos. The commentary was published on 11 December 2016 in the Sunday edition of Kathimerini and is available in Greek.
Le jeudi 19 janvier 2017, le Centre de doctrine et d’enseignement du commandement organisera un colloque sur le thème "action militaire et souveraineté". Ce colloque de pensée militaire se tiendra, de 14h à 19h, dans l’amphithéâtre Foch à l’École militaire de Paris.
Les réflexions s’articuleront autour de deux tables rondes :
- Table ronde 1 : le rapport entre les forces armées et la souveraineté est-il remis en cause ?
- Table ronde 2 : quels rôles pour les forces terrestres au profit de la souveraineté en 2017 ?
Pratique:
bureau de coordination des relations extérieures : bcri-cdt.cdef@terre-net.defense.gouv.fr
Felsőzsolcai Polgármesteri Hivatal
Vezetők Munkáját Segítő Köztisztviselők Osztálya
a közszolgálati tisztviselőkről szóló 2011. évi CXCIX. törvény 45. • (1) bekezdése alapján
pályázatot hirdet
pályázati referens
munkakör betöltésére.
A közszolgálati jogviszony időtartama:
határozatlan idejű közszolgálati jogviszony.
Foglalkoztatás jellege:
Teljes munkaidő
A munkavégzés helye:
Borsod-Abaúj-Zemplén megye, 3561 Felsőzsolca, Szent István utca 20.
A közszolgálati tisztviselők képesítési előírásairól szóló 29/2012. (III. 7.) Korm. rendelet alapján a munkakör betöltője által ellátandó feladatkörök:
1. melléklet 32. Település-, terület és vidékfejlesztési, település-üzemeltetési feladatkör
Ellátandó feladatok:
Elkészíti a beruházási ütemtervet, ellátja az Önkormányzat beruházásainak előkészítésével kapcsolatos feladatokat. Az önkormányzat és azok szerveinek beruházásaival, szolgáltatások szervezésével, tevékenységek ellátásával kapcsolatos aktuális pályázati kiírásokat figyeli, arról folyamatos tájékoztatást ad a vezetők részére. Elkészíti a beruházási ütemterveket. Előkészíti a pályázatokkal kapcsolatos döntéseket a képviselő-testületi ülésre, azok végrehajtásáról beszámol. Határidőre elkészíti a benyújtandó pályázati dokumentációt, illetve a pályázathoz szükséges adatokat, információkat biztosítja. Közreműködik a szükséges közbeszerzési eljárás előkészítésében, kapcsolatot tart a közbeszerzési tanácsadóval. Részt vesz a közbeszerzési ajánlatok értékelésében és a megkötendő szerződések előkészítésében. Végzi a pályázati projekt komplex tevékenységi körére kiterjedő szakmai munka menedzselését, tevékenység-koordinálását és ellenőrzését, szakmai kapcsolatot tart a közreműködő szervezetekkel. Folyamatosan figyelemmel kíséri a támogatási szerződés szerinti teljesítést és lezárást, elkészíti a projekt-előrehaladási jelentéseket. Felügyeli a megkötött szerződések alapján a kivitelezés ellenőrzését, a pályázatok ütemezés szerinti megvalósulását. A beruházás, egyéb pályázatok folyamatos koordinációja (közműkezelőkkel, szakhatóságokkal, kivitelezőkkel, műszaki ellenőrrel, pályázatba bevont szereplőkkel). Menedzseli a pénzügyi elszámolásokat, azokat elkészíti, vagy közreműködik azok elkészítésében. Közreműködik a beruházások, egyéb pályázatok átadási eljárásában. Elkészíti a projekt-fenntartási időszakában kötelező monitoring jelentéseket és záró elszámolásokat.
A munkakörhöz tartozó főbb tevékenységi körök:
Pályázati referensi feladatok teljes körű ellátása Felsőzsolca Város Önkormányzata és intézményei tekintetében.
Jogállás, illetmény és juttatások:
A jogállásra, az illetmény megállapítására és a juttatásokra a közszolgálati tisztviselőkről szóló 2011. évi CXCIX. törvény , valamint a(z) a jogállásra, juttatásokra Felsőzsolca Város Önkormányzat Képviselő-testületének 1/2013. (I. 31.) önkormányzati rendelete, a Felsőzsolcai Polgármesteri Hivatal Szervezeti és Működési Szabályzata továbbá az Ügyrend rendelkezései az irányadók.
Pályázati feltételek:
A pályázat elbírálásánál előnyt jelent:
A pályázat részeként benyújtandó iratok, igazolások:
A munkakör betölthetőségének időpontja:
A munkakör legkorábban a pályázatok elbírálását követően azonnal betölthető.
A pályázat benyújtásának határideje: 2016. december 19.
A pályázati kiírással kapcsolatosan további információt Kovács Zsuzsanna jegyző nyújt, a 46/584-010 -os telefonszámon.
A pályázatok benyújtásának módja:
A pályázati eljárás, a pályázat elbírálásának módja, rendje:
A formai és tartalmi követelményeknek megfelelő pályázatot benyújtók személyes meghallgatását követően a pályázatokról a jegyző dönt.
A pályázat elbírálásának határideje: 2016. december 23.
A pályázati kiírás további közzétételének helye, ideje:
A munkáltatóval kapcsolatban további információt a www.felsozsolca.hu honlapon szerezhet.
A KÖZIGÁLLÁS publikálási időpontja: 2016. december 9.
A pályázati kiírás közzétevője a Közszolgálati Személyzetfejlesztési Főigazgatóság (KSZF). A pályázati kiírás a közigazgatási szerv által a KSZF részére megküldött adatokat tartalmazza, így annak tartalmáért a pályázatot kiíró szerv felel.
De passage à Paris, le millionnaire malgache, à la tête du groupe familial Sipromad, un des plus importants conglomérats de la grande Île, nous a dévoilé ses ambitions sur le continent et au Moyen-Orient.
Cet article « Nous voulons être un groupe panafricain et international », Ylias Akbaraly, PDG du conglomérat malgache Sipromad est apparu en premier sur JeuneAfrique.com.
Állami Egészségügyi Ellátó Központ
Közbeszerzési Igazgatóság
a közszolgálati tisztviselőkről szóló 2011. évi CXCIX. törvény 45. • (1) bekezdése alapján
pályázatot hirdet
közbeszerzési referens
munkakör betöltésére.
A közszolgálati jogviszony időtartama:
határozott idejű minimum 2 évig tartó közszolgálati jogviszony.
Foglalkoztatás jellege:
Teljes munkaidő
A munkavégzés helye:
Budapest, 1125 , Diós árok 3.
A munkakörhöz tartozó főbb tevékenységi körök:
Jogállás, illetmény és juttatások:
A jogállásra, az illetmény megállapítására és a juttatásokra a közszolgálati tisztviselőkről szóló 2011. évi CXCIX. törvény rendelkezései az irányadók.
Pályázati feltételek:
A pályázat elbírálásánál előnyt jelent:
Elvárt kompetenciák:
Előnyt jelentő kompetenciák:
A pályázat részeként benyújtandó iratok, igazolások:
A munkakör betölthetőségének időpontja:
A munkakör legkorábban a pályázatok elbírálását követően azonnal betölthető.
A pályázat benyújtásának határideje: 2016. december 15.
A pályázatok benyújtásának módja:
A pályázat elbírálásának határideje: 2016. december 31.
A munkáltatóval kapcsolatban további információt a www.aeek.hu honlapon szerezhet.
A KÖZIGÁLLÁS publikálási időpontja: 2016. október 31.
A pályázati kiírás közzétevője a Közszolgálati Személyzetfejlesztési Főigazgatóság (KSZF). A pályázati kiírás a közigazgatási szerv által a KSZF részére megküldött adatokat tartalmazza, így annak tartalmáért a pályázatot kiíró szerv felel.