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Rumänien führte die Ersten Steuer Kontrollen in den Touristik Gegenden durch

Balkanblog.org - Thu, 01/09/2016 - 08:14
Romanian anti-fraud inspectors check companies from seaside resorts 31 Aug 2016 by Irina Popescu Leave a comment Inspectors from the Fiscal Anti-fraud Division (DGAF), which is part of Romania’s tax agency ANAF, checked 2,080 companies that operate in seaside resorts between July 1 and August 26. Following these checks, the tax inspectors issued fines and confiscated cash and goods with a total value of RON 10.32 million (over EUR 2.3 million), according to a statement from DGAF. The tax inspectors issued 2,444 contravention sanctions (2,001 fines and 443 warnings), the total value of the fines amounting to RON 9.66 million (EUR 2.1 million). They also confiscated cash and goods worth RON 696,337 (over EUR […]
Categories: Balkan News

«Il faut de toute façon partir un jour»

HU-LALA (Hongrie) - Thu, 01/09/2016 - 08:11
Comme de nombreuses régions rurales du pays, le département de Somogy est frappé par le déclin démographique. A la frontière avec la Croatie, les villages se désertifient, les habitants partent travailler en Angleterre…et les écoles ferment.

La version originale de cet article écrit par Péter Hardi, a été publiée le 12 août 2016 dans Szabad Föld sous le titre «Egyszer úgyis menni kel». La traduction en français a été réalisée par Paul Maddens. Máté et Beátá. Photo de Németh András Péter (Szabad Föld).

A Vízvár, longtemps on n’a pas voulu y croire : le cycle supérieur de l’école générale (primaire et collège rassemblés ¹) n’ouvrira pas cet automne et il est à craindre que dans peu de temps les classes inférieures ferment aussi et que pour finir un cadenas soit aussi posé à l’óvoda (le jardin d’enfants). Les habitants du village maugréent car le transport des enfants vers d’autres écoles leur causent toutes les peines du monde. Les décideurs parlent d’égalité des chances, mais en vérité les charges des enfants s’accroissent.

Deux jeunes âgés de dix ans déambulent dans la cour de l’école, une fille et un garçon, Beáta et Maté. Beáta vient de terminer la sixième année (ndlr : ce qui correspond au CE2) et Máté la septième (ndlr : le CE1). A côté de la piste de gymnastique asphaltée, nous cherchons une place pour les prendre en photo. La petite fille se débrouille remarquablement bien avec ses patins à roulettes aux pieds.

– J’en fait depuis que je suis petite – répond-elle à mes paroles élogieuses en hochant la tête. Si c’est possible, je ne les enlève même pas.

– C’est avec ça que tu vas aller aussi à Csurgó ? (Sous-entendu à l’école de Csurgó qui les accueillera une fois l’école de Vízvár fermée) ?

Beáta se méprend sur le sens de ma question. Elle répond en souriant :

– Je serai interne, mais je les emmène avec moi.

Nous marchons dans Vízvár, dans le Sud du département de Somogy. Dans la commune, c’est justement maintenant qu’ils suppriment le cycle supérieur de l’école.

– Pourquoi à Csurgó ? – je demande à Beáta.

– Là-bas il y a un internat. La vérité c’est que je ne suis pas une bonne élève, mais ma mère a dit que là-bas ils vont s’occuper de moi – rit elle.

Máté est un garçon sérieux. Il écoute notre discussion avec attention.

– Et toi ? – je le regarde – toi aussi tu vas à Csurgó ?

– Non, moi à Barcs. C’est aussi loin que Csurgó, environ 25-30 kilomètres, mais dans l’autre direction. Je pourrais aller moins loin, à Babócsa, mais là-bas c’est mal fréquenté, ajoute-t-il, en connaissance de cause

Babócsa a été désigné comme secteur scolaire pour les habitants de Vízvár. Autrement dit si quelqu’un se présente là-bas, il ne peut être refusé. Parmi les parents des quarante enfants, quatre ont choisi cette école.

– Alors tu seras externe. A quelle heure il faudra te lever ?

– A 5h30 car le bus part à 6h30.

– Jusqu’à maintenant à quelle heure tu te levais ?

– Jusqu’à maintenant 7h00 suffisait.

Dans la cour de l’école, malgré l’interruption estivale, on perçoit un peu de vie : dans la cuisine, ils préparent à manger pour les bénéficiaires de l’aide sociale et de la nourriture chaude arrive d’ici aussi sur certains lieux de travail. Nous arrivons à midi. En dehors de Beáta et de Máté nous rencontrons par hasard quelques parents concernés par la fermeture de l’école. Alors que les enfants commentent avec le calme des observateurs leur destinée engendrée par la décision des adultes, je perçois sur les parents des signes de colère.

Photo de Németh András Péter (Szabad Föld).

– Ils nous ont longtemps trompé en nous disant que tout ira bien. C’est seulement début mai que leur véritable intention s’est révélée, quand il était définitivement trop tard pour faire quelque chose.

La femme a également inscrit à Barcs sa fille qui était en 7ème année (CE1). Selon elle le plus gros souci, c’est le transport. En effet, le bus scolaire ne vient pas de la ville (Barcs) jusqu’à Vízvár, mais seulement jusque Bolho d’où il repart vers Barcs après un quart d’heure d’attente. En plus, il n’est pas sûr que son enfant pourra toujours trouver une place dans le bus bondé du matin.

Il y aurait besoin d’un bus scolaire jusqu’à Vízvár mais le KLIKK (ndlr : organe central de gestion du système scolaire) n’a passé commande que pour Babócsa et, selon la règlementation, le parent qui inscrit son enfant ailleurs doit se débrouiller pour le transport.

L’autre parent a choisi Csurgó pour son enfant. La petite fille sera interne car pour aller à Csurgó le transport est encore plus difficile que pour Barcs. Le bus part le matin à 5h20. Pourquoi Csurgó ? Parce qu’elle a un enfant lycéen qui va déjà là-bas et pourra faire attention à sa petite sœur.

– Et vous savez ce qui est le plus rageant dans tout cela ? –me demande la maman en me fixant – c’est qu’ils économisent en tout et pour tout 13 millions de forints (ndlr : environ 43 000 euros) avec cette réorganisation.

Le maire, László Kozma, se tient à côté de nous, de temps en temps il opine de la tête. Je l’avais rencontré aussi à la mairie où il m’avait présenté les grandes lignes du processus conduisant à la fermeture du cycle supérieur. Il fut un temps où tout allait bien tout au moins pour Vízvár… Encore au milieu des années 70, quand ils ont construit ici l’école y compris pour deux communes voisines, Bélavár et Heresznye. Vízvár se trouve entre les deux à quelques kilomètres.  De ces trois communes venaient toujours largement assez d’élèves pour le maintien de l’école. Puis leur nombre a diminué…et maintenant il n’en vient plus du tout.

Quand László Kozma a été élu pour la première fois en 1998, il y avait encore 824 habitants à Vízvár. Aujourd’hui ils ne sont plus que 500 (400 Bélavár et 300 à Heresznye).  Cela suffirait pour « alimenter » l’école si les trois villages ne vieillissaient pas dangereusement. 64 élèves seulement ont terminé l’année scolaire présente et parmi eux plus de 40 dans le cycle supérieur.

– L’an dernier en Novembre ils ont signalé pour la première fois qu’il y aura des changements, continue le maire. Même dans nos cauchemars nous ne pensions pas que cela signifie la fermeture des classes supérieures. Pourtant, à ce moment il aurait été encore possible de faire quelque chose : nous aurions dû devenir une école de « nationalité » (2). Quand nous avons appris cela cette année, il était trop tard. La loi stipule le rattrapage scolaire, mais en vérité elle mutile le village.

– Mais en ville les possibilités des enfants sont meilleures – je prends sur moi le rôle d’avocat du diable.

– En aucune façon. Notre école est aussi bien équipée et les enseignants sont grosso modo les mêmes. Les professeurs spécialisés allaient d’une école à l’autre pour avoir leur nombre d’heures. Maintenant ce sont les enfants qui vont à eux.

Après cet exposé des faits, nous partons pour une visite de l’école. L’école et la maison communale sont à peu près à deux cents mètres l’une de l’autre. Le soleil déverse une chaleur torride que l’asphalte rediffuse par en-dessous. Les platanes de la cour de l’école forment un refuge.

– C’est nous qui les avons plantés dans les années 70 au moment de l’ouverture de l’école quand j’étais élève de l’école générale – le maire poursuit le fil de ma pensée. Quelques décennies se sont écoulées et il se peut que maintenant ce soit moi qui la ferme – sa voix se voile. Mais le platane mutilé bourgeonne, j’ai dit cela à la fête de fin d’année.

Sur le côté de la maison communale il y a la poste, dessus une inscription : à vendre. De l’autre côté de la rue, l’église par contre est en bon état. Les habitants de Vízvár sont catholiques romains, mais le maire a négocié avec le lycée protestant de Csurgó, c’était une partie du combat mené pour l’école… Si seulement cela avait pu en être une partie. Mais finalement il n’est pas allé présenter son idée au prêtre, car celle-ci avait déjà échoué au niveau du corps professoral. Ce n’est pas tant qu’ils avaient un grief contre l’église, mais ils auraient perdu leur statut de fonctionnaire, ce qui n’est pas sans importance à un an ou deux de la retraite. Justement, ils renouvellent en ce moment les meubles de l’église, une partie d’entre eux gît sur le gazon de la cour transformée en parc. Le prêtre Tamás Bencik et le dirigeant du conseil municipal de la minorité rom Péter Bogdán discutent ensemble.

Le père Bencik est arrivé dans la commune il y a 6 ans et a déployé une grande énergie pour ramener les jeunes vers l’église, bien sûr sans les forcer, sachant qu’avec la force il n’arriverait à rien.

Nous regardons la cave située sous le presbytère. Il fut un temps où ils entreposaient les pommes de terre dans cet endroit très humide, aujourd’hui elle a été transformée en salle commune. Quand il a pris la direction de la paroisse, il s’occupait de 25 enfants, cette année il en a déjà 60.

– S’ils suppriment le cycle supérieur, mon travail sera beaucoup plus difficile – il se plaint avec un dépit perceptible – les enfants se lèvent tôt et rentrent le soir fatigués. Ils se dispersent, ils feront partie d’autres communautés. Sans école le village est condamné à la mort –affirme-t-il avec conviction.

Nous nous asseyons avec Péter Bogdán sur les bancs qui longent les escaliers menant à l’église pour discuter. Lui est encore confiant : à son avis le ministre Zoltán Balog (ndlr : pasteur protestant et ministre des ressources humaines) peut, avec une seule signature, modifier ce qui paraît impossible à changer. Il en veut pour preuve l’exemple de Pálmajor où un cycle inférieur avec 6 enfants a démarré parce que le ministre le voulait ainsi.

– La rumeur circule selon laquelle les parents aussi ont voté en faveur de l’arrêt du cycle supérieur.

Il n’est pas surpris par mon intervention, il sort un papier, me demande un stylo.

– Il faut que vous sachiez que l’école de Vízvár est une annexe de l’école générale (1) Déak Ferenc de Barcs. 500 enfants vont là-bas, ici 60.  Ils ont demandé l’opinion des parents, élèves et professeurs. Bien sûr la majorité a voté en faveur de l’arrêt du cycle supérieur, la majorité constituée de ceux de Barcs, car ceux de Vízvár se sont battus pour rester. Par ailleurs, vous savez de quoi il y aurait besoin ? De conditions égales.

J’entends souvent ce genre de choses de la part de dirigeants de conseil de nationalités². Cependant Péter Bogdán ne le mentionne pas dans le sens habituel.

– Des conditions égales pour les Hongrois (note : le mot « hongrois » employé par le représentant des roms, signifie hongrois « non rom »), car s’il suffit de quelques enfants pour ouvrir une classe de « nationalité », cela n’est pas le cas pour la majorité hongroise.

S’ils ne sauvent pas maintenant le cycle supérieur, à la rentrée prochaine peut être l’école n’ouvrira pas non plus car maintenant il reste à Vízvár 14 enfants dont l’âge correspond au cycle inférieur mais seulement 9 ont été inscrits par leurs parents, 5 l’ont été dans d’autres communes avec leur frère ou sœur plus âgé.

L’óvoda (ndlr : le jardin d’enfants) non plus n’a pas grand avenir, craint Gábor Kolics maire de Heresznye :

– Nous ne sommes pas sûrs non plus d’emmener là-bas nos quelques enfants qui vont au jardin d’enfants. Ils ont apporté une contribution de plusieurs millions de forints jusque maintenant pour l’entretien du jardin d’enfants de Vízvár. Par contre, ils peuvent s’en tirer à meilleur prix s’ils se tournent dans une autre direction, vers Bolhó.

– Il n’y a pas d’enfants, c’est l’essentiel, résume-t-il quand je l’interroge sur la cause du phénomène. Ce qui a nous a touché dans le passé a atteint Vízvár : il y a 30-40 ans, il y avait 800-900 habitants à Heresznye, aujourd’hui 260-270. Alors que veut Vízvár ? Tous ceux qui pouvaient en sont partis. Il n’y a pas de travail chez nous non plus.

Il fonde tout de même quelqu’espoir sur la création d’un atelier de couture. Ces quelques femmes qui peuvent et sont disposées à travailler peuvent accéder à un salaire.

– Et les terres ?

– Les terres ? Presque tout est la propriété d’une seule famille. Elle a son parc de machines, elle cultive les terres. Regardez la carte Google : côté croate de la frontière, la terre est partagée en plus petites parcelles et les villages ne se dépeuplent pas comme chez nous.

Les photos de Beáta et de Máté sont faites. Depuis ils ont fermé la cantine.

– N’oublie pas ici la gamelle ! Máté avertit Beáta qui est étourdie. Nous l’accompagnons jusqu’à la maison. Nous ,’avons pas à marcher beaucoup car à Vízvár les distances ne sont pas grandes. Nous remettons la petite fille aux patins à roulettes à sa mère.

– Ce qu’ils ont fait avec l’école est une honte, s’indigne Sasvári Jenőné, pourtant nous avons tout essayé.  Nous sommes 48 à avoir signé pour l’ouverture d’une école de nationalité croate, mais en vain.

– Vous êtes croate ? – Je lui demande.

– Pas du tout.

D’ailleurs je n’ai entendu aucun mot croate à Vízvár. Il y a seulement quelques inscriptions dans cette langue.

Dans la cour il y a un jeune homme, Pál, le frère de Beáta. Il a 19 ans, il apprend le métier de menuisier, mais il ne trouve pas de place dans cette branche.

– C’est fini pour ce village. Moi aussi je pars à l’usine de crabes.

– Où donc ?

– A l’usine de crabes, en Angleterre. On travaillera à la transformation des crabes. Mon ami est déjà là-bas, il m’a dit qu’il allait me trouver une place.

– Et le Brexit ne sera pas un problème ?

– Le Brexit ? C’est quoi ?

– La séparation de la Grande Bretagne d’avec l’Union.

Visiblement le thème laisse froid le jeune homme.

– Finalement ce n’est pas un si grand mal qu’ils ferment le cycle supérieur – intervient Beáta.

Tout le monde la regarde avec étonnement.

– De toute façon, tout le monde doit partir un jour, pas vrai ?

(1) L’école générale hongroise correspond au primaire et au collège rassemblés dans un même établissement)

(2) Ici le mot « nationalité » fait référence à des minorités reconnues officiellement par l’État hongrois (croate, rom, allemande…). Cette reconnaissance donne des droits de représentation dans les communes et des possibilités d’ouverture de sections scolaires spécifiques.

Traduction réalisée par Paul Maddens.

Categories: PECO

Gabon : le QG de l'opposant Jean Ping attaqué, deux morts selon son camp

France24 / Afrique - Thu, 01/09/2016 - 07:47
Au lendemain de la réélection d’Ali Bongo au Gabon, les tensions restent très vives à Libreville, la capitale du pays. L’opposant Jean Ping a affirmé sur France 24 que son QG avait été pris d’assaut par les militaires et deux personnes tuées.
Categories: Afrique

Brussels Briefing: The trouble with TTIP

FT / Brussels Blog - Thu, 01/09/2016 - 07:07

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TTIP is in a sorry state.

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Categories: European Union

Afrique : la FAO insiste sur l'importance d'océans sains pour stimuler la prospérité

Centre d'actualités de l'ONU | Afrique - Thu, 01/09/2016 - 07:00
A l'occasion d'une conférence ministérielle à l'île Maurice sur l'économie des océans et le changement climatique en Afrique, le Directeur général de l'Organisation des Nations Unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO), José Graziano da Silva, a insisté jeudi sur l'importance d'océans sains pour stimuler la prospérité.
Categories: Afrique

Gabon : Ban Ki-moon appelle tous les acteurs politiques et le peuple à la retenue

Centre d'actualités de l'ONU | Afrique - Thu, 01/09/2016 - 07:00
Le Secrétaire général de l'ONU, Ban Ki-moon, a appelé jeudi tous les acteurs politiques et le peuple du Gabon à la retenue sur fond de crise électorale après l'annonce des résultats provisoires de l'élection présidentielle.
Categories: Afrique

La Hongrie veut que la Serbie entre dans l’UE au plus vite

HU-LALA (Hongrie) - Thu, 01/09/2016 - 06:50
Rencontre très cordiale mercredi à Budapest entre diplomates Hongrois et Serbes. La diplomatie hongroise a une nouvelle fois plaidé pour une accession rapide de la Serbie, son voisin du sud, à l’Union européenne. Photo: Márton Kovács / Ministry of Foreign Affairs and Trade.

A l’issue d’une rencontre mercredi à Budapest avec la ministre serbe en charge de l’intégration européenne, Jadranka Joksimović, le ministre hongrois des Affaires étrangères, Péter Szijjártó, a réclamé que les institutions de l’Union européenne complètent les négociations d’adhésion de la Serbie à l’horizon 2020 au plus tard.

M. Szijjártó a ajouté que toute tentative par les institutions européennes ou des États membres de ralentir le processus d’intégration de la Serbie est “inacceptable”, estimant que la Serbie a rempli toutes les conditions pour l’ouverture de ces négociations.

La Hongrie fait tous les efforts pour soutenir les négociations d’adhésion de la Serbie car la stabilité de l’Europe du Sud-Est est une question de sécurité et dans l’intérêt économique de la Hongrie, a-t-il affirmé.

Le ministre s’est aussi félicité du traitement réservé par Belgrade à la minorité hongroise qui vit dans le nord de la Voïvodine (environ 250 000 personnes). Selon sa formule : le bassin des Carpates serait un meilleur endroit si tous les voisins de la Hongrie faisaient autant que la Serbie pour leur minorité hongroise.

En retour, Jadranka Joksimović a déclaré que la Hongrie est l’un des amis les plus sincères de la Serbie et appuie fermement l’accession à l’Union européenne de son pays. La Serbie poursuivra son approche humanitaire face à la crise des migrants, a-t-elle confirmé. Mais elle s’est refusée à critiquer la Hongrie qui vient pourtant d’annoncer la construction d’une seconde barrière et fait de la Serbie un cul-de-sac pour plusieurs milliers de migrants bloqués sur son territoire.

Sources : kormany.hu, agence serbe Tanjug.

Categories: PECO

Rap queen

BBC Africa - Thu, 01/09/2016 - 06:35
Zimbabwe's rap queen tells Newsbeat how she's using hip-hop to help other women in her country.
Categories: Africa

40 éves a légi kutató-mentő szolgálat

Air Base Blog - Thu, 01/09/2016 - 06:00

Magyarországon 40 éve, 1976. szeptember 1-én, Szentkirályszabadján állt fel a 24 órás légi kutató-mentő szolgálat az alábbi személyzetekkel és helikopterekkel:

Nappal

Földesi Ferenc hadnagy, gépparancsnok

Vaczula Ferenc hadnagy, másodpilóta

Szilágyi Lajos százados, fedélzeti technikus

Helikopter: 130-as oldalszámú Mi-8T

*

Éjszaka

Antal István főhadnagy, gépparancsnok

Zubik Pál hadnagy, másodpilóta

Talla János törzsőrmester, fedélzeti technikus

Helikopter: 428-as oldalszámú Mi-8T

Az elsőként kutató-mentő szolgálatba állított helikopter, a 130-as oldalszámú Mi-8T. A gépről készült festmény Vincze Ferenc munkája. A helikoptert a pápai Repülést Biztosító Század műszakijai újítják fel kiállítási célra.

* * *

Fotó: Szórád Tamás


Categories: Biztonságpolitika

Academic Discussion on Status of Local Government in the Transition Period

Hanns-Seidel-Stiftung - Thu, 01/09/2016 - 05:44
Academic Discussion on Status of Local Government in the Transition Period

Afghanistan’s Government Revenue: Continuing robust growth in the face of economic weakness

The Afghanistan Analysts Network (AAN) - Thu, 01/09/2016 - 04:00

The Afghan government has continued to increase the amount it collects in revenue – by 22 per cent last year and 33 per cent in the first six months of this year. This revenue growth well exceeded expectations and projections. Thirty-seven per cent of the total revenue increase in the first half of 2016 was due to the greater revenue mobilisation efforts of the government and new or higher tax rates imposed in the latter half of last year, as opposed to one-off windfalls or currency depreciation – indicating robust underlying revenue growth estimated at 12.4 per cent. The continuing high revenue growth, however, is not due to any significant improvement in the economy, raising significant issues for the future. AAN Guest authors Bill Byrd and M Khalid Payenda* take a look at the figures and explain what they mean for Afghanistan ahead of the Brussels conference where new pledges of aid to the country are expected.

Afghanistan’s turnaround in revenue in 2015 was impressive and has continued into 2016. In the first half of 2016, revenue rose to nearly Afs 70 billion (just over US $1 billion), an extraordinary 33 per cent increase in nominal local currency terms compared to the same period of last year. (1) Nevertheless, revenue still comprises well under half of total budget expenditure—the lion’s share of spending continues to be financed by aid.

Twenty-six per cent of the revenue increase reflects the estimated impact of the 18 per cent depreciation of the Afghan currency: customs duties on imports and other revenues levied on foreign exchange flows have had their Afghani value increase artificially due to the weakening Afghani. (2) Another 24 per cent consisted of one-time revenue injections from public enterprises (including Afs 2.14 billion in recoveries of lost or stolen Kabul Bank funds and transfers of about Afs 1 billion each from public enterprises under the Ministry of Urban Development and Ministry of Agriculture, Irrigation, and Livestock), which do not represent regular revenue and are not necessarily sustainable. Finally, although they are genuine revenues, the large increases in proceeds from the sale of state-owned land and buildings and from passport fees, accounting for 13 per cent of the total revenue increase, are also unlikely to be sustainable. Indeed, the latter may be a concerning sign of economic weakness and prospective human flight.

The remaining 37 per cent of the total revenue increase can be reasonably attributed to a combination of strong revenue mobilisation efforts and the impact of new taxes and higher rates implemented in the latter part of 2015. Their full impact is being felt this year. These new taxes and rates include, in particular, a doubling of the main rate of the Business Receipts Tax (BRT) from two to four per cent, a new 10 per cent levy on mobile phone top-ups, an increase in overflight charges for using Afghan airspace and new levies (road toll fees) on imported oil and natural gas. In sum, after excluding all of the factors discussed in the previous paragraph, the estimated underlying revenue growth in the first half of the current fiscal year was a robust 12.4 per cent.

Available preliminary data for the first eight months of this fiscal year show continuing rapid revenue growth, with total revenue up by 32.9 per cent, compared to 33.3 per cent in the first six months alone. (3) Revenue growth for the full 2016 fiscal year appears to be on-track to reach well into double digits for the second year in a row.

Revenue collection and the state of the economy

How was this continuing high revenue growth in the first half of 2016 achieved? Not, unfortunately, due to any substantial improvement in the economy; of this, there is no significant sign in the revenue data nor in the macroeconomic indicators. Also worrying, and in contrast to its strong performance in 2015, collection of customs duties has been weak this year, showing virtual stagnation in nominal Afghani terms compared to the first half of 2015. Excluding the impact of currency depreciation, there was an estimated decline of 15.6 per cent in customs duties receipts. The extent to which this is due to lower imports or worsening collection is not yet clear, but preliminary data indicate that the deterioration in customs duties collections has continued in recent months. This is a problem area in an otherwise generally good picture, and needs to be both monitored and addressed in the coming months.

Revenue buoyancy has been most prominently reflected in the categories where new taxes/fees or increased rates were introduced last year. As mentioned earlier, these include, most notably, the doubling of the main Business Receipts Tax (BRT) rate levied on imports, sales, contracts, etc from two to four per cent (with BRT levied on imports comprising the lion’s share of the increased receipts), as well as the new 10 per cent telecommunications service fee, higher overflight charges (raised from $400 to $500 per flight), new road toll fees for imported fuel and natural gas (3 Afghanis per litre of fuel or kilogramme of gas). Taken together, these new or increased revenues accounted for over 40 per cent of the total revenue increase, or more than all of the 12.4 per cent underlying revenue growth in the first half of 2016, ie after the impact of depreciation and other one-time/unsustainable factors was excluded. The strong growth in revenue from these categories more than offset declines in some other categories, such as customs duties.

Income tax collections also increased, primarily due to 16.5 per cent growth in receipts of withholding tax taken from employees’ wages. Receipts from the 10 per cent BRT on selected services also rose by 26 per cent, without any rate increase in this case. In the absence of significant growth in the economy, revenue increases in these two categories most probably reflect intensified collection efforts.

The strong revenue growth in the first half of this year coincided with some other markers of progress, including among others, Afghanistan’s official accession to the World Trade Organization (on 29 July 2016), successful completion of the IMF Staff-Monitored Program (on 13 May 2016), the agreement on and approval of a new three-year IMF program (on 20 July 2016), and achievement of many of the performance benchmarks under the Afghanistan Reconstruction Trust Fund Incentive Program and USAID’s New Development Partnership. In addition, the Afghan government has focused on improving governance, including inter alia the centralisation of major procurement under the new National Procurement Committee and submission of declarations of their assets by 95 per cent of top government officials as called for under Afghanistan’s Constitution.

These developments are setting the stage for the upcoming Brussels international conference on Afghanistan (to be held on 5 October 2016), at which donor countries and international organisations are expected to reaffirm their continuing commitment to support Afghanistan and pledge or indicate civilian aid funding for the country over the next four years. Brussels follows the NATO summit in Warsaw on 9 July 2016, at which a total of around $4.5 billion per year was pledged by donors to support the Afghan national security forces (ANSF) through to 2020.

Despite these achievements, the Afghan economy remains weak, which is not surprising in view of ongoing war and political uncertainty in the country. Real GDP growth in 2015 is currently estimated to have been only 0.8 per cent – significantly lower than earlier estimates. In 2016, economic growth is projected at only two per cent. That is well below the rate of population growth, estimated at around 3 per cent per year, meaning that average per-capita income is continuing to decline. (For economic growth estimates and projections, as well as other macroeconomic data, see the most recent IMF Staff Report) Another sign of economic weakness is the low levels of business investment and new firm registrations, as reported by the Afghanistan Investment Support Agency (AISA). In this regard, there may be a risk that continuing aggressive revenue mobilisation vis-à-vis the relatively small formal sector of the Afghan economy, combined with a tight expenditure policy, could become a drag on economic revival and further weaken incentives for private sector investment. Creative approaches to stimulating at least a modest economic revival are called for.

Civilian versus military aid

Turning to aid prospects, the Warsaw NATO summit was financially successful in mobilising support for the ANSF, but there is a risk that civilian expenditure requirements will be underfunded, at the cost of Afghanistan’s development progress in areas such as infrastructure, education, and health. This would, in particular, be the outcome if the level of total annual civilian aid that has been discussed in some circles – around $3 billion per year – is what materialises in the end. This would be considerably less than the international community committed to at Warsaw in support of the ANSF ($4.5 billion per year), and also well below the international community’s civilian aid pledge at the Tokyo Conference on Afghanistan in 2012 ($4 billion per year). Moreover, it is substantially below current levels of civilian aid disbursements (which have been over $4 billion annually in the past several years). Depending in part on the composition of the aid, $3 billion per year would appear to be insufficient to close Afghanistan’s large structural fiscal gap. If civilian aid pledges turn out to be more than that and reach $4 billion per year, Afghanistan’s economy, development prospects, fiscal picture, and civil-military balance would all benefit.

How aid is channelled and delivered is also very important. Assistance channelled through the Afghan government budget, especially aid that can be flexibly deployed by the government as opposed to aid earmarked for specific projects, in support of effective development programmes and with sound fiduciary controls (which are in place and can be further improved), will achieve more ‘bang for the buck’, in terms of results, as well as in benefiting the Afghan economy, while helping maintain fiscal balance.

From a medium to longer-term perspective, it is clear that Afghanistan will remain heavily aid-dependent for many years to come. Feasible increases in government revenue will not change this picture, though higher revenues will ease fiscal management and avoid fiscal crunches like that seen in late 2014. One factor would turn the economy around like no other. An end to the Taleban insurgency would yield a ‘peace dividend’ for Afghanistan. Even then, aid requirements would not decline rapidly, though the composition of aid could then shift away from security sector expenditures in favour of demobilisation, disarmament, and reintegration of combatants (DDR), reconstruction, and development.

Overall, continuing impressive revenue growth represents a significant achievement, especially in the challenging context of Afghanistan. A key policy issue is how, over time, to expand the tax base in Afghanistan – which currently consists primarily of imports and the very small formal sector – so that revenue would be more buoyant if and when economic growth revives, however modestly. There are concerns over the weak collections of customs duties, the heavy reliance on new levies and rate increases, as opposed to broadening the base of tax collection, and above all, the very weak economy which, among other adverse effects, harms revenue prospects. In any case, it is doubtful that this kind of revenue growth can be sustained over the next five years or decade (which would make a real difference in terms of reducing aid requirements), unless there are major improvements in the overall situation, of the kind that would be brought about by a peace agreement or, at least, a sharp reduction in the level of conflict, as well as greater political stability.

Bill Byrd is a senior expert at the US Institute of Peace. His last publication with AAN was the paper, Economic Management in Afghanistan: What worked, what didn’t, and why? (26 August 2015) M Khalid Payenda is senior adviser to Afghanistan’s Minister of Finance and leads the Macro-Fiscal Performance Department in the Ministry of Finance. The views expressed in this dispatch are the authors’ own.

 

(1) Afghanistan’s fiscal year is approximately 21 December-20 December. The first half of the current 1395 fiscal year ran from 21 December 2015 to 20 June 2016. The figure of nearly Afs 70 billion for total revenue of the first six months excludes a very sizable Afs 10.26 billion transfer from the Central Bank (Da Afghanistan Bank – DAB) to the budget, since this was the result of an increase in the local currency value of foreign exchange inflows due to depreciation and should not be considered revenue (it will be used not to finance expenditures, but rather to shrink the fiscal ‘hole’ resulting from the failure of Kabul Bank).

(2) The average exchange rate depreciated from 58.27 Afs per US dollar in the first half of the previous fiscal year to 68.67 in the first half of the current fiscal year. Import duties and other taxes levied on imports are collected in Afghanis, but since they are calculated as a percentage of the foreign exchange value of the imports concerned, the Afghani value of the customs duties and other taxes levied on imports increases proportionally to the extent of depreciation. In addition, overflight fees for use of Afghan airspace are levied in US dollars.

(3) Both of these figures exclude the Central Bank transfer referred to in footnote 1, so they are comparable.

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Oshkosh JLTV New Light Recon for US Army | US Lawmakers Call for Walk Back on Saudi Arms Deal | Mitsu Heavy Industries May Build Armored Vehicle with US Partner

Defense Industry Daily - Thu, 01/09/2016 - 01:58
Americas

  • The US Army is planning to make the Joint Light Tactical Vehicle (JLTV) its new Light Reconnaissance Vehicle platform and arm it with a variant of the M230 chain gun found on the AH-64 attack helicopter. Manufacturer Oshkosh won a $6.7 billion contract last fall to build the first 17,000 production models of the JLTV. In total, the Army and Marine Corps plan to buy a total of nearly 55,000 of the combat vehicles, including 49,100 for the Army and 5,500 for the Corps, to replace about a third of the Humvee fleets.

  • US lawmakers have called for a freeze on a $1.15 billion arms deal to Saudi Arabia citing concerns regarding the kingdom’s ongoing war against Houthi rebels in Yemen. Signed by 64 members of Congress, a letter was addressed to the Obama Administration asking them to walk back the August 8 approval of the sale, which would include replacing tanks destroyed in the Yemen campaign. The conflict has resulted in the deaths of 3,704 civilians and claims of war crimes have resulted in several Western governments having their Saudi weapons sales scrutinized.

  • General Dynamics – Ordnance and Tactical Systems has been awarded a $39 million modification to a foreign military sales contract for various bomb bodies. The deal would see the production of 162 MK82-1 bomb bodies; 7,245 MK82-6 bomb bodies; and 9,664 MK84-10 bomb bodies for the governments of Saudi Arabia, United Arab Emirates, France, and Iraq. Completion is expected for December 2017.

Europe

  • General Atomic has lodged a protest with the German government over their plan to lease armed Heron UAVs for surveillance missions. The lawsuit is expected to result in significant delays to the UAV’s delivery. GA’s complaint has stemmed from Berlin’s decision to drop their MQ-1 Predator B drones in favor of the Heron lease to service the country’s surveillance needs until the development of a collaborative EU drone, due for 2025.

  • Ukroboronprom has confirmed that the indigenous Horlytsia unmanned aircraft system is ready for delivery to the Ukrainian armed forces in 2018 pending funding allocations from the government. The company’s deputy director Yuriy Paschenko told Interfax that “Works are being carried out within six months. As of today, the creation of the airframe has been completed. Before the end of 2016, we must complete the creation of the development type, complete all the research and development under the project in 2017, as well as the state tests, resulting in the adoption of the weapons.”

  • A Swiss F/A-18C pilot missing since Monday has been found dead. The crash occurred in the Alps during a routine training exercise. Authorities are still investigating the cause of the crash, the third by a Swiss Air Force F/A 18 in the past three years.

Asia Pacific

  • Raytheon and Lockheed Martin’s Javelin Joint Venture team has inked a letter of intent with India’s Tata Power Company to explore development of the Javelin missile under the Make in India initiative. The venture would see the collaboration also create a strategy to co-develop and produce the Javelin system while integrating platform mounts to meet Indian requirements. Fielded by the US Army and the US Marine Corps, the missile system has been approved for 15 foreign military sales customers.

  • Following their failure to secure a $40 billion contract to sell submarines to Australia, Mitsubishi Heavy Industries (MHI) is discussing the possibility of developing an armored vehicle with an undisclosed US company. If given the go ahead, it will mark the first time a Japanese firm builds arms for a foreign customer. While new territory for the company, potential foreign partners could be attracted by their armored vehicle technology, notably heavy-duty tank engines, gear technology, and water jet propulsion systems that could be used to drive amphibious vehicles.

Today’s Video

60 Years of the KC-135 Stratotanker:

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Croc of gold

BBC Africa - Thu, 01/09/2016 - 01:01
A look at Kenya's fast-growing crocodile farm industry, which is enjoying a big rise in demand for the animal's meat, led by China.
Categories: Africa

US Navy’s AN/AQS-20A mine-hunting sonar successfully upgraded

Naval Technology - Thu, 01/09/2016 - 01:00
Raytheon and the US Naval Undersea Warfare Center (NUWC) - Division Newport have successfully upgraded the US Navy’s AN/AQS-20A mine-hunting sonar to better identify and classify mines.
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US Navy’s littoral combat ship USS Coronado suffers engineering casualty

Naval Technology - Thu, 01/09/2016 - 01:00
The US Navy’s Independence-class littoral combat ship USS Coronado (LCS-4) is returning to Pearl Harbor after encountering an 'engineering casualty' during an independent deployment to the Western Pacific.
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Cubic to support aviation training for US Navy and USMC

Naval Technology - Thu, 01/09/2016 - 01:00
Cubic Global Defense has been contracted by the US Naval Air Warfare Centre (NAWC) to support aviation training for the US Navy and the US Marine Corps (USMC).
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Außenminister des Vatikans zu Gast: „Enger Austausch zwischen Religion und Politik“

Konrad Adenauer Stiftung - Thu, 01/09/2016 - 00:00
Religiöse Führer und Akteure müssten sich entschieden gegen jede Form von religiösem Extremismus einsetzen, so Erzbischof Paul Richard Gallagher in Berlin.

Parlament aufgelöst: Kroatien vor schwierigen Neuwahlen

Konrad Adenauer Stiftung - Thu, 01/09/2016 - 00:00
Mit der Auflösung des kroatischen Parlaments und der Festsetzung des Wahltermins auf den 11. September beginnt nun die heiße Phase des Wahlkampfes.

Konrad Adenauer - private Momente

Konrad Adenauer Stiftung - Thu, 01/09/2016 - 00:00
Der Monatskalender zeigt den ersten deutschen Bundeskanzler Konrad Adenauer von einer unbekannteren Seite, in privaten Momenten. Manchen Monaten sind außerdem Zitate von ihm beigefügt.

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