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Un pilote de Tigre HAD aux commandes de son appareil. photo J.Redouane ECPAD 18/06/2015 DICoD Le Salon du Bourget se poursuit et les visites se succèdent. Après le président de la République et le ministre de la Défense, c’est le secrétaire d’État chargé...

Le secteur aéronautique ne peut plus ignorer la menace des cyberpirates 17 juin 2015 Liberation.fr (AFP) Avions détournés à distance par un cyberpirate ou depuis un siège passager en perturbant les commandes de vol... constructeurs et experts testent...

photo Armée de l'Air 18/06/2015 Aspirant Julie Beck - Armée de l'air « Développer la formation aérospatiale des ingénieurs de demain » telle est la devise de la convention entre le groupe ISAE (ISAE-SUPAERO ; ISAE-ENSMA ; ESTACA ; École de l’air), le...

June 18, 2015 (KHARTOUM) – The son of the Democratic Unionist Party (DUP) chief Mohammed Osman al-Mirghani was sworn in as senior presidential assistant, almost two weeks after missing the oath ceremony for cabinet members before president Omer Hassan al-Bashir.

Mohamed al-Hassan al-Mirghani

Al-Hassan has attributed his absence to pressing family obligations in the city of Sinkat in eastern Sudan.

Mohmed al-Hassan was sworn in with the presence of Chief Justice Haidar Dafalla and the Minister of the Presidency Salahuddin Wansi.

In dismissing that he was unhappy about the posts offered to the DUP, al-Hassan said that he had received news of his appointment from Bashir personally.

In a press statements after the oath, al-Hassan underscored his party's support for the national dialogue to achieve political stability.

The April general elections brought the DUP in second place to the ruling party with 25 seats in parliament.

They were awarded three federal ministries and 2 ministers of state along with the post of senior assistant to the president.

(ST)

Das umstrittene Gesetz über ein stärkeres Mandat für US-Präsident Barack Obama bei den Verhandlungen über die geplanten Freihandelsabkommen mit dem Pazifikraum (TPP) und der EU (TTIP) wandert vom Repräsentantenhaus zurück in den Senat.

Dänemarks Mitte-links-Bündnis von Ministerpräsidentin Thorning-Schmidt ist bei der Parlamentswahl abgewählt worden. Der Mitte-rechts-Block des liberal-konservativen Oppositionsführers Rasmussen errang laut offiziellem Endergebnis 90 der insgesamt 179 Parlamentssitze. Stärkste Kraft im rechten Lager wurde mit einem Rekordergebnis allerdings die ausländerfeindliche Dänische Volkspartei (DF).

L’Aravis peint aux couleurs de l’ONU tel qu’il a été présenté au Gabon (Crédits photo : Nexter) 16 juin, 2015 Pierre Brassart (FOB) Alors que l’attention est portée sur le salon du Bourget, une petite présentation a eu lieu aujourd’hui de l’autre côté...

Bár Kovács Zoltán, a magyar kormány külügyi sajtófelelősének elmondása szerint az illetékesek több mint egy éve közölték a szerb államvezetés képviselőivel, hogy Magyarország végső esetben a zöldhatár teljes hosszában kiépítendő kerítéssel próbálja megállítani a menekültáradatot, Aleksandar Vučić szerb miniszterelnök megrökönyödve fogadta a határzárról szóló hírt.

„Oroszország gazdasága  a kellő mértékben ellenálló a nyugati szankciókkal szemben, tekintet nélkül a növekedés mértékének visszaesésére”-mondta Elvira Nabiullina az orosz Központi Bank elnöke. „A szankciók valóban negatív hatást fejtenek ki mindenkire, akire csak kiterjesztették, hiszen szétverik a hagyományos kereskedelmi kapcsolatokat, csökkentik a gazdaság fejlődésének lehetőségét és a munkahelyteremtés módjait is”-jegyezte meg Naibullina a CNBC TV csatornának adott interjújában.

Die EU wird nach Angaben von Angela Merkel die britischen Reformwünsche ernsthaft prüfen. Dass schon beim kommenden EU-Gipfel über konkrete britische Anliegen gesprochen wird, erwartet sie jedoch nicht.

June 18, 2015 (KHARTOUM) – The National Intelligence and Security Services (NISS) seized print runs of al-Tayar and al-Jareeda newspapers on Thursday without stating reasons.

Members of Sudanese Journalists Network (SJN) hold banners outside the National Council for Press and Publication (NCPP) premises in Khartoum in protest against repeated seizure of newspapers, on May 26, 2015 (ST photo)

Sudanese newspapers frequently complain of fierce clampdown carried out by NISS that include confiscation, suspension and pre-publication censorship. They assert that these measures are used by authorities to overburden the newspapers with financial losses alongside other non-financial pressures.

In February, NISS seized entire print runs of 14 newspapers in one day without stating the reasons for its decision.

The security apparatus accuses newspapers of breaching the "red lines" by publishing news affecting the national security of the country.

The chief editor of al-Jareeda newspaper Ashraf Abdel-Aziz told Sudan Tribune that he will reach out the NISS media department to find out the reason behind the confiscation decision today.

But Abdul Aziz speculated that the statements they published by the state secretary at the Ministry of Health in which she claimed that 80% of drugs in the country are "unsafe" and explained that they highlighted the story on their front page with the title "80% of drugs are counterfeited".

He said that an NISS officer at the economic security department called him and told him that the word “counterfeited” is sensational.

Sudanese newspapers are now censored for stories related to social and service issues after the focus in the past was on political, security and military affairs.

However, the mass confiscations has become the new NISS style in punishing newspapers with the most recent one being last month that affected 10 newspapers because of a story on cases of sexual harassment and rape in school buses.

Four of those newspapers were suspended indefinitely.

Journalists for Human Rights (JHR) network said in a report last May that during the period from May 3, 2014 to May 2, 2015 there were 66 cases of confiscation or suspensions against Sudanese newspapers and 13 physical attacks on journalists.

(ST)

Auf dem Höhepunkt der griechischen Schuldenkrise hat ein vom Parlament eingesetzter Prüfausschuss die Zahlungsforderungen der internationalen Gläubiger an Athen als "illegal" eingestuft. Griechenland müsse daher nicht zahlen, heißt es in einem vorläufigen Prüfergebnis, das am Donnerstag im griechischen Parlament erörtert wurde.

Un sous-marin pourrait être utilisé dans l’opération. L’avantage sa discrétion. Cet outil avait été utilisé contre les pirates. Ici le Zee Leuw néerlandais à l’action en 2010 (crédit : marine NL / archives B2)

(BRUXELLES2) Sauf surprise de dernière minute, l’opération européenne de lutte contre les passeurs et trafiquants de clandestins en Méditerranée (EUNAVFOR Med) va être lancée le 22 juin, par les ministres des Affaires étrangères de l’UE, mais uniquement dans sa phase 1 (comme annoncé dans notre édition « Pro » B2 Club, lire : L’opération EUNAVFOR lancée en phase 1 uniquement).

Du renseignement et de l’information

La phase 1 concerne uniquement le renseignement et échanges d’information. Elle ne nécessite donc pas de résolution du Conseil de sécurité des Nations-Unies ni d’invitation du gouvernement libyen. Deux décisions qui n’ont pu être obtenues à temps (ce qui était une gageure très difficile à atteindre). L’arraisonnement en haute mer de navires suspects et encore plus la pénétration dans les eaux territoriales libyennes est donc remis à plus tard. Mais tous les moyens de surveillance, « d’intelligence », d’analyse vont être employés assure-t-on du côté des militaires : des drones aux satellites en passant par les avions de patrouille maritime, voire des Awacs, jusqu’aux sous-marins, aux navires de patrouille équipées de toutes les possibilités d’écoutes (téléphoniques, radars, etc.).

Une décision sans débat

Pour éviter tout débat de dernière minute, au plan politique, l’accord va être entériné entre ambassadeurs et au sein du comité militaire. Il reste encore un certain nombre de détails à résoudre dans les derniers jours. Mais tout devrait être prêt d’ici dimanche. Ce qui permettra alors aux ministres d’entériner le lancement, sans discussion, en « point A » dans le jargon européen, lors de leur réunion à Luxembourg.

Un pari gagné pour Mogherini… et pour Renzi

Quoi qu’il en soit La Haute représentante de l’UE, l’Italienne Federica Mogherini, aura ainsi gagné son pari : lancer une opération navale militaire en Méditerranée pour manifester la solidarité européenne en matière de lutte contre les trafiquants aux côtés de l’opération civile coordonnée par l’agence Frontex qui a un objectif plus clairement affirmé de secours et sauvetage en mer des migrants (lire notamment : Le sauvetage de milliers de migrants par les marines européennes continue). Elle offre à Matteo Renzi, le Premier ministre italien, de brandir une victoire. Car sur la question de la relocalisation des migrants, c’est beaucoup plus compliqué. Et les débats sont là beaucoup plus ardus qu’en matière militaire.

Une phase 1 à durée indéterminée ?

Reste à savoir combien de temps va durer la phase 1. Et, là est toute l’ambiguité – et le pari sur l’avenir de l’opération. Selon les experts militaires, elle devrait durer au minimum plusieurs semaines, au moins jusqu’à septembre, date prévue pour la pleine capacité opérationnelle de la mission. D’ici là, il faudra arracher aux Libyens et aux Russes leur accord, condition principale pour obtenir le feu vert du Conseil de sécurité à la seconde phase. Mais la présence dans les eaux territoriales libyennes et encore plus la possibilité d’y neutraliser des navires parait loin d’être acquise.

(Nicolas Gros-Verheyde)

lire aussi sur Le Club (édition pro de B2 Pro) : L’opération EUNAVFOR lancée en phase 1 uniquement

Lire sur le sujet :

• Opération de l’UE en Méditerranée. Du vrai, du faux. Pour tordre le cou à quelques coucous
• Le plan d’opération d’EUNAVFOR Med révélé par Wikileaks. Vraiment ?
• EUNAVFOR Med : Pourquoi le renseignement est important ? Pourquoi peu de problème de moyens?
• Des « Boots on the ground » en Libye, le grand phantasme ?
• Une tactique politique remarquable. Le voile se lève sur EUNAVFOR Med
• Lutte contre les trafics d’immigration clandestine : l’inspiration « Atalanta »

photo Airbus HC 17.06.2015 Par Guy Dutheil - Le Monde.fr | Pour une fois, au Salon du Bourget, c’est le bruit des hélices des hélicoptères qui couvre celui des moteurs d’avions. L’américain Sikorsky a lancé un mouvement de restructuration du secteur....

Der Bericht der Rühe-Kommission zum Parlamentsvorbehalt ist nur ein erster Beitrag zu der Frage, wie Deutschland mit den Folgen vertiefter europäischer Verteidigungsintegration umgehen könnte. Christian Mölling und Alicia von Voß über die Themen, mit denen sich der Bundestag nun befassen muss.

EXKLUSIV Die EU-Kommission will im nächsten Jahr strengere Gesetze zur EU-Energieeffizienz einführen, sagt Energiekommissar Maroš Šefčovič. Auch die Durchsetzung der bestehenden Regulierung wird weiter verstärkt. EurActiv Brüssel berichtet.

June 18, 2015 (ADDIS ABABA) – US-based powerful lobby and human rights organizations have filed a petition with US president, Barrack Obama, urging his administration to impose targeted sanctions on individuals responsible for the genocide and war crimes and perpetuating the ongoing civil war in South Sudan.

US president Barack Obama (Photo: Getty Images)

The six organizations that include American Jewish World Service, United to End Genocide, Humanity United, Human Rights Watch, The Enough Project and National Association of Evangelicals said it was time for the US administration to further operationalize the Executive Order 13664 of April 2014 which called for sanctions on South Sudan.

US earlier imposed travel ban and assets freeze on two commanders from the sides of president Salva Kiir's government and armed opposition leader, Riek Machar. The group however urged there was need to designate and target many other individuals responsible for the continuation of the war.

“We write to urge you to impose targeted sanctions against more individuals from all parties to the ongoing conflict in South Sudan who are responsible for serious violations of human rights and humanitarian law,” partly reads the letter.

They criticized the Obama administration for only condemning the ongoing situation but not taking a swift action to punish those responsible.

It said the US Treasury Department should collect more evidences about individuals that should be hit with sanctions. It also called on the administration to push both the United Nations (UN) and individual countries around the globe to impose sanctions on the belligerent parties in the young nation.

“In order to shift the calculation of the warring parties in advance of renewed peace talks, and to provide a form of accountability for widespread and horrific violations that have taken place in the conflict, the U.S. needs to take action to ensure the people of South Sudan do not bear the cost of war alone,” it urged.

The call by the rights groups came days before the African Union's (AU) Peace and Security Council (PSC) called for targeted sanctions during this week's summit of heads of state and government in Johannesburg, South Africa, and urged the Sanctions Committee of the United Nations Security Council (UNSC) to designate individuals who should be sanctioned.

A UN team is reportedly already on the ground in South Sudan touring states for the task of designating individuals responsible for the gross human rights abuses and perpetuation of the 18-month long civil war.

(ST)

La Mission multidimensionnelle intégrée des Nations Unies pour la stabilisation au Mali (MINUSMA) a salué vendredi la décision annoncée la veille au soir par les groupes armés dits de la Plateforme de se retirer de la localité de Ménaka, dans la région de Gao, conformément à l'Arrangement sécuritaire pour une cessation des hostilités, signé le 5 juin 2015 à Alger.

Le calendrier des élections démocratiques au Burundi ne pourra être fixé que si les citoyens ont la possibilité de faire librement leur choix, a déclaré vendredi le Rapporteur spécial des Nations Unies sur la promotion de la vérité, de la justice, de la réparation et des garanties de non-répétition, Pablo de Greiff.

The United Nations relief arm has called for over one billion dollars in funding in order to lift Yemen from a devastating crisis that has plunged the country into severe food insecurity and left it on the brink of an all-out humanitarian disaster, the Organization today confirmed, as national stakeholders from the Gulf state wrapped up UN-backed political consultations in Geneva, Switzerland.