August 31, 2015 (JUBA) – The newly appointed caretaker governor of the oil-rich Upper Nile state, Chol Thon, has announced readiness of his administration to support president Salva Kiir in the implementation of the peace agreement he signed with former vice president, Riek Machar, the leader of the armed opposition faction of the Sudan People's Liberation Movement (SPLM-IO).
Governor Thon, according to Upper Nile state's information minister, Peter Hoth Tuach, was the first senior official in the state to welcome the signing of the agreement and sent his congratulatory messages to the head of state on behalf of the people of the state.
“The new governor and the government of Upper Nile state was the first to welcome and sent congratulatory message to the president on the signing of the peace [agreement]. The governor on behalf of the people of Upper Nile state affirmed readiness of the leadership of the state to stand behind the decision of the president and pledged unwavering support in the implementation because signing the peace is one thing and the implementation is another thing,” minister Tuach told Sudan Tribune on Monday.
He accused the opposition forces of allegedly launching attack on the position held by government in and around Malakal in violation of the permanent ceasefire which the rival leaders declared and came into force midnight, Saturday.
“The rebels are claiming that they were attacked by our forces. It is not true. It is just propaganda to cover their behaviours. You know that rebels are always very fast to come out and accuse our forces even when they are known to have carried out the attack,” he further claimed.
The question remains, is Malakal under whose control, the government or the rebels? Malakal has been in the hand of the government and it is being known by IGAD. The rebel claim is baseless and unfounded because if Malakal is being attacked, who is attacking it? Can the government attack itself,” asked Tuach.
Rebels however dismissed claims that their forces attacked Malakal town, saying it was the government forces in Malakal that shelled their positions on the west bank of the River Nile.
South Sudan's military spokesman, Colonel Philip Aguer, told reporters that government forces were attacked by opposition fighters on Monday in Unity and Upper Nile states.
SPLA-IO REFUTES ALLEGATION
Opposition forces under the leadership of Machar refuted allegations by the government and said they were only fighting in self-defence, blaming the government for violations of the permanent ceasefire.
The newly appointed military spokesperson for the rebels, Colonel William Gatjiath Deng, in a press statement extended to Sudan Tribune on Monday said the opposition forces came under separate attacks in Upper Nile and Unity states.
He also claimed that one of the government's barges carrying troops and mounted with heavy weapons has been destroyed by the opposition fighters.
“The government troops have attacked our forces in Tonga county [Upper Nile state] this late afternoon [Monday]. One of the government's barges has been burned by our forces and the fighting is still going on now,” Deng said in the statement.
He said in Unity state, government troops moving in the river with three barges and 7 gunboats shelled Wathkech payam, accusing the government of carrying out offensive despite peace deal.
“We want to inform the people of South Sudan that government is sabotaging the implementation of the peace deal,” he said.
Deng called upon the IGAD Plus, AU and international community to take action by investigating what was going on as the government continued to violate the ceasefire.
(ST)
Après huit ans de négociations, de procédures et de travaux, le SEM-REV, exploité conjointement par l’Ecole Centrale de Nantes et le CNRS, a été officiellement inauguré le 25 août. Implanté au large du Croisic, il s’agit du premier centre d’essais en mer français dédié aux énergies marines renouvelables.
Après deux mois de négociations, les représentants de la SCOP SeaFrance, d’Eurotunnel et de DFDS sont enfin parvenus à s’entendre, laissant espérer une sortie de crise. Après 8 heures de discussions, un protocole d’accord a été signé hier soir au ministère des Transports. Au final, 402 des 487 anciens salariés de la société coopérative, qui assurait l’exploitation des trois navires de MyFerryLink et a été liquidée le 31 juillet, doivent être repris par DFDS et Eurotunnel (soit 5 de moins que le texte proposé fin août).
Réalisé par le constructeur japonais Mitsubishi Heavy Industries, le nouveau paquebot de la compagnie allemande AIDACruises a débuté ses essais en mer samedi dernier. Des vidéos montrent en effet le navire appareillant de Nagasaki, assisté de plusieurs remorqueurs, avant de prendre le large par ses propres moyens.
A l’issue d’une dernière croisière en Méditerranée, le paquebot MSC Lirica a rejoint cette nuit le chantier Fincantieri de Palerme, en Sicile. C’est là qu’il va être refondu, à l’instar des MSC Armonia, MSC Sinfonia et MSC Opera. Comme eux, le MSC Lirica, en service depuis 2003, va être coupé en deux, une nouvelle section de 24 mètres étant intégrée en son centre.
Bien que très discret depuis un an, le projet de construction d’un nouveau paquebot France n’est pas abandonné. « J’y crois toujours, et même de plus en plus quand je vois l’évolution du marché de la croisière », affirme Didier Spade, qui porte l’idée depuis 2009 et espérait alors que le navire pourrait naviguer dès 2015. Même s’il reconnait que le calendrier continue de glisser et que le bouclage du montage financier est complexe, l’entrepreneur parisien n’en démord pas : « Je suis persuadé que nous sommes dans le bon timing, même si cela prend plus de temps que prévu.
En provenance des chantiers espagnols de Murueta, la nouvelle drague de Bayonne doit rejoindre demain son port d’attache, où elle accostera au quai Edmond Foy. Baptisée Hondarra, ce qui signifie « sable » en Basque, le navire avait été commandé en janvier 2014 par la Chambre de Commerce et d’Industrie de Bayonne Pays Basque, gestionnaire du port. Longue de 62 mètres pour une largeur de 12.8 mètres et un tirant d’eau de 4.2 mètres, la nouvelle drague arrivera sous pavillon espagnol.
Dans le cadre du projet de nouvelles corvettes de la marine polonaise, DCNS fait monter son offre en gamme. Le groupe naval français ne propose plus la Gowind 1000, comme c’était le cas l’an passé, mais la puissante Gowind 2500, dont il a déjà vendu quatre exemplaires à l’Egypte et six à la Malaisie.
A l’instar du Montcalm (1982), qui ne sera retiré du service qu’en 2017 après 35 ans de carrière, le Jean de Vienne (1984) est prolongé d’un an et naviguera donc jusqu’en 2018. Ces reports sont liés aux changements intervenus dans le programme des nouvelles frégates multi-missions (FREMM), qui a vu la vente de l’ex-Normandie à l’Egypte. Ce bâtiment a été remplacé à Brest (où il devait retrouver la tête de série, l’Aquitaine, qui y est basée depuis la fin 2012) par la Provence, livrée en juin et prévue initialement pour Toulon afin de succéder l'année prochaine au Montcalm.
Le porte-avions USS Ronald Reagan a appareillé le 31 août de San Diego, où il était basé depuis 9 ans, afin de rejoindre le Japon. Il remplacera à partir de la fin de l’année l’USS George Washington, qui avait succédé fin 2008 à l’USS Kitty Hawk dans l’archipel nippon suite au désarmement de ce dernier. Comme ses prédécesseurs, l’USS Ronald Reagan sera basé à Yokosuka, la 7ème flotte américaine disposant dans cette partie de la zone Asie-Pacifique d’un groupe aéronaval avancé.
Le voilier école australien Young Endeavour a franchi vendredi dernier le goulet de Brest en vue d’une escale de plusieurs jours à la pointe du Finistère. Avant de rejoindre la Penfeld le lendemain, le navire s’était d’abord rendu au mouillage sous Roscanvel afin de se préparer à son accostage dans la base navale après un transit un peu agité depuis les Pays-Bas, où il a participé à Sail Amsterdam.
Az éjszakai fotózás izgalmas lehetőségeket kínál, a teliholdas éjszakának ezen belül is megvannak a maga különleges lehetőségei. Egyfajta kísérletezés, tapasztalatszerzés ilyen körülmények között - ez hajtotta ki a LégierőBloggert a hétvégén a teraszra. Soha nem lehet tudni, hogy ezeket az ismereteket mikor lehet az Air Power kollekciós erőfeszítések során hasznosítani :-)
A Travel Service 737-ese dél felé fordult 31-es indulást követően Ferihegyről.
A szárnyak tövénél lévő fényszórók fénye a törzsről visszaverődve kellemesen megvilágítja a hajtóműgondolák peremét, azok lapított formájából azonosítható a típus is...
...aztán az elfordulás közben láthatóvá válik a svancon a THY festése.
Ryanair. A keresztező szögeken értelemszerűen lényegesen nehezebb a bemozdulásmentes kép ilyen alacsony zársebességeken.
Na, ezzel kisegíthetne valaki!
Ezüstösen csillognak a holdfényben ennek a közel párhuzamosan repülő két gépnek a kondenzcsíkjai.
Kondenzcsíkok Hold-ellenfényben.
Swiss Avrojet hajtóműveinek forró gázsugara töri a fényt a Holdkorong peremén.
Célzófolyadék és edénye a Holdfényben.
Zord
REUTERS/Alkis Konstantinidis
Les amabilités volent bas entre anciens camarades de Syriza, le parti de gauche radicale qui gouvernait la Grèce depuis le 25 janvier. À la suite du référendum du 5 juillet puis du compromis conclu avec les créanciers, le 13 juillet, son aile gauche a scissionné pour donner naissance à un nouveau parti encore plus à gauche, « Unité populaire » (LAE), qui est donné à moins de 5 % dans les sondages. Et depuis, les couteaux sont tirés.
Alexis Tsipras, le Premier ministre démissionnaire, a ainsi exécuté, dans un entretien télévisé, le 26 août, son ancien ministre des finances, Yanis Varoufakis, qu’il a démissionné le 6 juillet. « Je considère et je l’ai déjà affirmé que dans la première période, Varoufakis a apporté une dynamique aux négociations. À partir d’un certain moment, il a cessé d’être un atout. Je m’en suis rendu compte le 25 juin lors d’une séance de négociation difficile, peu avant de rentrer à Athènes pour convoquer le référendum. J’avais en face de moi Christine Lagarde, Mario Draghi et Jean-Claude Juncker et quand le ministre des Finances parlait, personne n’y prêtait attention. Ils étaient totalement débranchés, ils n’entendaient pas ce qu’il disait ». Une démonétisation que j’avais décrite depuis longtemps sur ce blog.
Il faut dire que Varoufakis, qui ne se représentera pas aux élections, n’est pas en reste pour taper sur son « ami ». Dans un entretien accordé à Die Welt et au Soir (25 août), il estime que Tsipras, qui n’a jamais fait autre chose que de la politique, est un « très bon politicien ». Gentil ? Que nenni. Juste avant, il explique qu’il n’est lui même pas un « politicien », ce qui est un « compliment » : « je crois aux politiciens réticents, aux amateurs et je ne crois pas en ceux qui veulent faire leur carrière en politique. Un politicien de cette trempe-là est quelqu’un qui ment, qui manipule la vérité pour s’adapter aux réalités ? En signant un mauvais plan de financement par exemple ». Ambiance.
Alexis Tsipras s’en est aussi pris à la présidente sortante de la Vouli (Parlement), Zoé Konstantopoulou, qu’il n’a jamais supportée. Celle qui est désormais membre de LAE avait estimé que la convocation d’élections anticipées était « non-démocratique et anticonstitutionnelle ». Réponse du Premier ministre, le 23 août : Zoé Konstantopoulou, « agit comme une dictatrice », une accusation qu’avait formulé sur ce blog l’historien grec Nikolas Bloudanis.
Les élections législatives anticipées du 20 septembre s’annoncent difficiles pour Tsipras, ce qui explique sans doute ces échanges d’amabilités. Même s’il faut prendre avec des pincettes les sondages grecs, Syriza, qui a explosé façon puzzle, a perdu plus de dix points dans les intentions de vote et ne devance plus que de deux points la droite (Nouvelle Démocratie). Autant dire qu’il est douteux que Tsipras puisse obtenir une majorité absolue à lui seul, d’autant que son partenaire de coalition, la droite radicale d’ANEL, devrait être rayé du Parlement, toujours selon les sondages.
Tsipras ayant exclu de gouverner avec un autre partenaire qu’ANEL, il y a de fortes chances que les Grecs soient à nouveau appelés aux urnes un mois plus tard, exactement comme cela s’est passé en juin 2012, après, déjà, une tentative de référendum avorté... La crise grecque saison 25 s’annonce passionnante.