À la suite des travaux de démolition menés par l’Hôtel de ville de Kinshasa, plusieurs familles dorment désormais à la belle étoile à la gare de Kintambo. En plus d’avoir perdu leurs habitations, elles se retrouvent démunies, ne sachant où aller.
Selon le gouvernement provincial, cette opération vise à récupérer les espaces publics spoliés par des particuliers.
Un décor désastreux
Les acteurs de mise en œuvre du projet « Yesenjeu » ont lancé officiellement, ce mardi 29 avril 2025 à Ouagadougou, une campagne de sensibilisation portée par les jeunes eux-mêmes. Ce, afin de construire un avenir fondé sur la paix, l'inclusion et le dialogue au Burkina et, partant de là, dans tout le Sahel. Le lancement officiel de la campagne de sensibilisation a été présidé par la cheffe de service de l'inclusion de la femme aux actions de paix et de sécurité, Alice Sawadogo/Nabollé. C'était aussi en présence des représentants du consortium d'ONG et du partenaire financier et technique qui mettent le projet en œuvre au Burkina, Alain Magloire Koussoubé et Guillermo Fernandez Marcomingo.
Yesenjeu est un projet régional dédié à l'engagement de la jeunesse et exécuté dans six pays du Sahel, dont le Burkina Faso, avec l'accompagnement financier et technique de l'Union européenne à hauteur de plus de trois milliards de FCFA.
En lançant officiellement cette campagne, la présidente de la cérémonie, la cheffe de service de l'inclusion de la femme aux actions de paix et de sécurité, Alice Sawadogo/Nabollé, a fait savoir que l'objectif visé, c'est de mobiliser les communautés locales, en particulier les jeunes, afin d'encourager une culture du dialogue, de l'acceptation mutuelle et du respect des différences. Ce qui permettra, dit-elle, de renforcer le dialogue interculturel et interreligieux en créant des espaces d'échanges et de médiation pour prévenir les conflits et encourager le vivre-ensemble.
Outre cela, il permettra aussi de valoriser la diversité linguistique et culturelle en favorisant l'apprentissage et la reconnaissance des langues locales et des pratiques culturelles communes. Aussi, il permettra de lutter contre les discriminations et les discours de haine en sensibilisant sur leurs conséquences et en promouvant des valeurs de tolérance et d'inclusion. Et la liste n'est pas exhaustive.
Ce projet Yesenjeu sera mis en œuvre dans quatre régions du Burkina, à savoir le Centre, le Plateau central, le Centre-nord et le Centre-ouest pour une durée de cinq années. C'est un projet exécuté par deux ONG que sont ACRA et CISV (Communauté, service, engagement, volontariat), dont le représentant résident, Alain Magloire Koussoubé, en s'exprimant, est revenu sur ce qui sera fait de façon concrète sur le terrain durant ces cinq années. Selon lui, il s'agit de donner à la jeunesse l'opportunité d'expression, mais aussi d'investir en elle pour qu'elle joue son rôle de moteur de développement et de l'accompagner dans la promotion de la cohésion sociale, de la paix, du vivre-ensemble, etc.
Le présidiumTout en rappelant qu'au niveau du Burkina, le projet lancé en mai 2024 va tourner autour de quatre catégories d'activités. La première catégorie d'activités est l'élaboration d'une cartographie des organisations intervenant pour la jeunesse. C'est-à-dire de faire le point de toutes les organisations de jeunesse actives dans les différentes thématiques au niveau du Burkina.
Le deuxième volet du projet va consister au renforcement des capacités des organisations de jeunesse et des structures qui les accompagnent, notamment des centres d'écoute et de dialogue qui sont d'ailleurs partenaires de ce projet, afin de renforcer leurs capacités techniques et matérielles afin de pouvoir offrir des services de qualité. Le troisième pan de ce projet va concerner les subventions de la mise en œuvre des différentes thématiques citées plus haut, comme la tolérance religieuse, le dialogue interreligieux, le vivre ensemble, le changement climatique et autres, accompagnées de coachings rapprochés.
La dernière catégorie d'activités, selon M. Koussoubé, sera l'octroi de bourses d'études aux étudiants afin qu'ils puissent parfaire leurs études, mais également le financement de projets de recherches en lien avec des thématiques évoquées plus haut.
En d'autres termes, ce projet veut valoriser la contribution de la jeunesse à l'édification de la paix en renforçant ses capacités et en lui donnant des opportunités d'emploi. « Ce qui va permettre non seulement d'occuper la jeunesse, mais aussi de l'amener à contribuer de manière significative à travers ses réflexions, ses points de vue et ses orientations. Et cela va l'amener à avoir un rôle important dans les politiques de décision, les choix, dans la création de richesse, parce qu'un seul jeune désœuvré est un problème majeur, parce qu'il peut amener plusieurs jeunes à être désœuvrés à leur tour », a-t-il expliqué.
Guillermo Fernandez Marcomingo, le chargé de programme à la délégation de l'Union européenneRappelons que ce projet régional prévu pour cinq ans sera accompagné financièrement et techniquement par l'Union européenne. Selon son chargé de programmes, Guillermo Fernandez Marcomingo, présent à la cérémonie, leur rôle dans ce projet précis, c'est de mettre en synergie les acteurs plus importants. Car la jeunesse représente un aspect prioritaire, parce qu'environ 70% de la population a moins de 35 ans.
« C'est donc une cible à prioriser si toutefois l'on veut réussir tous les projets de développement », a fait comprendre Magloire Koussoubé. Tout en soulignant qu'au-delà de la jeunesse, l'UE intervient aussi dans plusieurs autres domaines comme l'entrepreneuriat, le genre, la sécurité, etc.
Yvette Zongo
Lefaso.net
L’ONG Femme main dans la main pour le développement intégral (FMMDI) a remis ce lundi 28 avril des kits de réinsertion socioéconomique à plus de 80 femmes victimes de la milice Kamuina Nsapu, grâce à l’appui de l’agence coréenne de coopération (KOICA).
D’après la directrice pays de FMMDI, les personnes sélectionnées par rapport à leur degré de vulnérables ont été formées sur différentes matières notamment sur la comptabilité.
Un accident s'est produit ce mardi 29 avril 2025 aux environs de 12h05 à Banfora, sur la route reliant Banfora à Sindou. Un train a percuté un camion-benne immobilisé sur les rails, rapporte l'Agence d'information du Burkina (AIB).
Selon les premiers témoignages, le camion-benne, arrivé au niveau du passage à niveau, n'a pas réussi à s'arrêter à temps et a forcé la barrière de sécurité, juste au moment où le train arrivait.
Sentant le danger imminent, le conducteur a eu le réflexe d'abandonner le véhicule avant la collision.
Fort heureusement, l'accident n'a fait ni blessé ni victime. Seuls des dégâts matériels sont à déplorer.
Dans un communiqué, SITARAIL a précisé que « l'incident est consécutif au non-respect, par l'automobiliste, de la barrière de sécurité STOP située à ce point de croisement entre la voie ferrée et la route ». La compagnie ferroviaire a tenu à rappeler que « le code de la route accorde la priorité absolue au train au passage à niveau et qu'il est strictement interdit de forcer la barrière de sécurité quand celle-ci est fermée ou baissée ».
SITARAIL appelle à la vigilance et insiste : « Pour votre sécurité et celle de vos biens, il est impératif de respecter les dispositifs et consignes de sécurité édictés sur les emprises ferroviaires. »
Lefaso.net
Source : AIB & Sitarail
2 Timothée 4 verset 7 : « J'ai combattu le bon combat, j'ai achevé la course, j'ai gardé la foi. ».
30 avril 2024 - 30 avril 2025
Voilà déjà un (01) an, il a plu au Seigneur de rappeler auprès de lui, sa Servante Germaine SAWADOGO, archiviste-documentaliste à la retraite, ancienne Directrice du Centre National de Documentation Agricole (CNDA).
A l'occasion de ce douloureux anniversaire,
Le Tiib-soba de Gaoua (KAYA), les grandes familles SAWADOGO, OUEDRAOGO à Kaya (Gaoua), Tangasgo, Yaoghin, Sidéradougou, Ouagadougou, Abidjan, Lyon, Mulhouse ;
Les familles alliées SAWADOGO, OUEDRAOGO, NION, TRAORE, KAMBOU, à Kaya, Kongoussi, Kampala, Ouahigouya, Chicago, Philadelphie ;
M. Boukary SAWADOGO, Robert, Bernadette, Blandine, leurs frères et sœurs à Kaya ;
M. Basile SAWADOGO, ses frères et sœurs à Kaya, et à Ouagadougou ;
M. Yssouf SORE et frères à Ouagadougou et Kaya ;
Mme SAWADOGO Albertine, ses frères et sœurs à Ouagadougou et Kaya ;
M. SAWADOGO Honoré, ses frères et sœurs à Ouagadougou et Kaya ;
Les enfants : Servanne Clémence, Mireille Chantal, Kiswendsida Roméo, leurs frères et sœurs,
Les petits enfants : Alexandra, Joël, Yohann, Abigaël, Naël, Betshalel, Danielle, Germain et cousins,
très touchés par les nombreuses marques d'amour, de compassion, de soutiens moral, spirituel, matériel et financier manifestés lors du départ pour la Patrie Céleste le 30 Avril 2024 de leur bien aimée sœur, tante, belle-sœur, mère, belle-mère, et grand-mère, suivi de son inhumation au cimetière de Kosoghin le 03 mai 2024, vous réitèrent leurs sincères remerciements pour les soutiens multiformes dont ils ont été l'objet lors de cette douloureuse épreuve.
Ils se gardent de citer des noms, par crainte d'en oublier.
Puisse l'Éternel, le rétributeur Céleste, rendre à chacun (e), ses bienfaits au centuple.
Le Président Félix-Antoine Tshisekedi a affirmé ce mardi 29 avril à Kinshasa que la « Déclaration de principes », signé par la RDC et le Rwanda sous l’égide des Etats-Unis, « est un pas dans la bonne direction ».
Il l’a déclaré en conférence de presse qu’il animait avec son homologue de la Guinée Bissau, Umaro Sissoco en visite de travail ce mardi à Kinshasa.
La ligne électrique de la Société nationale d’électricité (SNEL) a été rétablie à Mbuji-Mayi (Kasaï-Oriental) la nuit de Vendredi à samedi 26 avril après deux mois de coupure. Des centaines de maisons résidentielles électrifiées par la SNEL sont de nouveau desservies.
Des déplacements massifs de population sont signalés depuis plusieurs jours dans différentes localités du Nord-Kivu, notamment à Bugamba 1 et Bugamba 2, dans le territoire de Nyiragongo, où les habitants fuient quotidiennement leur foyer.
Le Commissariat Central de Police de la Ville de Tenkodogo, dans la dynamique de la lutte contre l'incivisme routier, a effectué une mission de contrôle, dans la matinée du lundi 28 avril 2025, qui a conduit à l'interpellation de cent cinquante-quatre (154) contrevenants au code de la route et auteurs d'actes inciviques.
Le bilan de la mission fait état de cent huit (108) engins à deux roues, sept (07) véhicules automobiles, six (06) tricycles et neuf (09) bicyclettes saisis et mis en fourrière.
Conformément aux travaux d'intérêt général, ces auteurs d'actes inciviques ont été mobilisés et soumis aux nettoyages d'ordures dans plusieurs sites de ladite ville.
La Police Nationale, une force publique au service des citoyens !
Source : Police nationale
Trois personnes ont été tuées en trois jours à la suite des exactions des miliciens de la CODECO et du Zaïre dans la région minière de Mungwalu, territoire de Djugu (Ituri).
Selon des sources sécuritaires et coutumières locales, l’une des victimes est décédée des suites de ses blessures après avoir été torturée et fouettée par des miliciens de Zaïre à Djaiba.
Les équipes de Nestlé Burkina Faso et les jeunes étudiants de Bobo Dioulasso ont eu l'opportunité de se côtoyer ce samedi 26 avril 2025, à l'occasion d'un forum dédié aux stages. Cette rencontre a vu la participation de trois ministres en charge de différents départements ciblant les jeunes, de même que la participation de nombreuses entreprises.
Lors de ce forum, Nestlé Burkina a présenté aux jeunes sa plateforme YEP (Youth Entrepreneurship Platform), un espace numérique qui vise à doter les jeunes des connaissances nécessaires pour mieux comprendre le monde de l'entrepreneuriat. Accessible gratuitement sur https://nestleyouthentrepreneurship.com, les jeunes étudiants peuvent y suivre des cours d'entrepreneuriat en ligne et obtenir un certificat à tout moment.
"Nous tenons à présenter et à équiper les jeunes d'outils techniques qui peuvent les aider à saisir des opportunités économiques. De nombreux étudiants se retrouvent entrepreneurs par défaut d'emplois salariés. Certains se lancent dans des activités secondaires. Peu importe la perspective envisagée par le jeune étudiant, YEP lui donne l'opportunité d'acquérir des bases solides en entrepreneuriat", a indiqué Omaro KANE, Directeur de la communication de Nestlé Burkina.
Visite des Ministres et officielsPlus de 650 jeunes ont pu côtoyer les équipes de Nestlé lors de ce forum. À cette même occasion, les jeunes étudiants ont pu s'exercer à des tests virtuels d'entretiens d'embauche et de tests psychotechniques. À l'issue de ce forum, certains jeunes auront l'opportunité de rejoindre Nestlé pour des stages.
Cette initiative de Nestlé vient en complément d'autres activités organisées pour accélérer l'employabilité des jeunes. En effet, chaque année, des milliers de jeunes rejoignent le marché de l'emploi au Burkina Faso avec le désir d'être embauchés ou de lancer leurs propres affaires.
Les jeunes visitant la plateforme YEP depuis leurs telephones"Notre objectif mondial est d'offrir plus de 30 millions d'opportunités économiques aux jeunes. Au Burkina, plus de 15 000 jeunes ont déjà bénéficié de programmes dédiés aux jeunes", a précisé Olivier Atsé, DRH de Nestlé Burkina.
Pour rappel, Nestlé Burkina a récemment organisé la première édition du Nestlé Campus Challenges, qui a touché 5000 étudiants dans 10 universités et instituts du Burkina. Plus de 150 projets d'entreprises ont été enregistrés et l'initiative "Wifash" a été sacrée lauréate.
Le Bureau burkinabè des droits d'auteurs (BBDA) a initié, ce mardi 29 avril 2025 à Ouagadougou, une rencontre d'échanges avec les promoteurs et gérants de plateformes numériques d'exploitation des œuvres artistiques et littéraires. À travers cette rencontre, le BBDA entend disposer d'informations sur le niveau d'exploitation des œuvres par ces plateformes et procéder à une tarification.
En plein essor, l'art numérique s'impose comme une révolution dans le monde de la création artistique et de l'accessibilité des œuvres artistiques et littéraires. Le numérique, en constante expansion, bouleverse les normes établies et redéfinit le paysage artistique moderne dans le monde, et le Burkina Faso ne fait pas exception. Par exemple, les œuvres littéraires ne circulent plus seulement dans les livres. Elles circulent aussi et surtout à travers le numérique, appelé « littérature numérique », c'est-à-dire, accessible que par le biais d'un support informatique.
En initiant cette rencontre avec les promoteurs et gérants de plateformes numériques d'exploitation desdites œuvres, le BBDA veut non seulement garantir les droits des créateurs dont les œuvres font l'objet d'exploitation sur ces différentes plateformes, mais aussi établir un contact avec eux pour pouvoir récolter des droits de façon régulière au grand bonheur des créateurs. « Nous avons jugé nécessaire d'échanger avec les promoteurs des plateformes pour voir ce qui peut être mis en place pour garantir les droits des créateurs qui voient leurs productions utilisées au niveau des plateformes, mais aussi pour voir quel type de contrat établir avec eux », a situé le directeur général du BBDA, Dr Hamed dit Patindeba Patric Lega.
Le directeur général du BBDA espère une contractualisation avec les promoteurs de plateforme à termeÀ terme, a-t-il poursuivi, on doit pouvoir disposer d'informations sûres sur le niveau d'exploitation des œuvres des créateurs pour procéder à une tarification. « Régulièrement, ils doivent pouvoir nous payer un montant pour avoir exploité ces œuvres. Cet argent sera réparti aux artistes par le biais de la répartition que nous avons trois fois l'année », a-t-il expliqué.
De la promotion des plateformes burkinabè
La comédienne de cinéma Kadi Zerbo n'est ni promotrice ni gérante de plateforme numérique. Elle a été conviée à cette rencontre parce que, sur le réseau social TikTok où elle est très présente, elle passe des messages de sensibilisation en utilisant l'humour. « La rencontre vient de commencer, on va écouter jusqu'au bout pour voir ce qu'ils vont dire. J'ai eu vent que toute publication sur une plateforme avec de la musique sera payante. C'est cette partie qui m'intéresse. Si un jour je dois faire la promotion du BBDA avec la musique burkinabè, j'attends de voir s'ils vont me demander de payer », a-t-elle fait savoir.
Kadi Zerbo, comédienne de cinéma, a beaucoup d'attentes pour cette rencontreOusmane Bissiri, écrivain, apprécie l'initiative du BBDA à sa juste valeur. Il attend aussi de cette rencontre que le bureau participe au marketing des plateformes de distribution made in Burkina. « Il s'agit de faire en sorte que les Burkinabè adhèrent et soient clients des plateformes. Cela peut même servir de baromètre pour voir les œuvres qui se distinguent. Parce qu'on ne peut pas aller sur le numérique et compter sur le marché extérieur. Ce n'est pas possible. Les premiers clients doivent être nous-mêmes », a-t-il plaidé.
Ousmane Bissiri, écrivain, souhaite une promotion des plateformes made in BurkinaObissa Juste Mien
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Les candidats aux différents tests de recrutement du personnel pour le compte de la société d'économie mixte dénommée « Textile des Forces du Burkina Faso (TEXFORCES-BF) », session 2025, sont informés que les listes des candidats admissibles à l'issue des épreuves écrites peuvent être consultées sur le tableau d'affichage de TEXFORCES-BF et sur le site de faso.net.
Note: ">VOIR ICI : TEXFORCES-BF : Listes des candidats disponibles, épreuves écrites prévues pour le 26 avril à l'ENAM
Par ailleurs, les candidats retenus sont informés que l'administration des épreuves orales se déroulera le jeudi 1er mai 2025, à l'Ecole Nationale d'Administration et de Magistrature (ENAM).
L'accès à la salle de composition est subordonné à la présentation du récépissé physique de dépôt du dossier et de la CNIB ou du passeport.
L'appel des candidats est fixé à 06h 30mns.
Le Directeur Général
Karzoum Eugène SONDO
Le personnel du Centre national de la recherche scientifique et technologique (CNRST) avec à sa tête le délégué général a initié, le samedi 26 avril 2025, une journée de salubrité dans l'enceinte de la délégation générale du CNRST. Cette activité poursuit un seul objectif, celui de maintenir le cadre de travail propre et sain.
Munis de balais et autres matériels de nettoyage, la délégation générale du Centre national de la recherche scientifique et technologique (CNRST) a été prise d'assaut par le personnel, le samedi 26 avril 2025, sous le coup de 7 heures.
C'est la matinée de salubrité lancée par le délégué général. Pendant trois heures et dans une bonne ambiance, les « nettoyeurs du jour » avec à leurs côtés quelques commerçants installés aux abords du site, ont débarrassé la cour de la délégation générale d'une bonne partie de ses immondices. Une partie de la « forêt du CNRST » a également été débarrassée de ses plastiques et autres déchets non biodégradables.
Le personnel du CNRST est sorti très tôt pour rendre propre son cadre de travailLe délégué général du CNRST, Dr Emmanuel Nanéma, a été non seulement satisfait de la mobilisation, mais aussi du travail abattu par ses collègues. Il n'a pas, de ce fait, manqué de leur exprimer toute sa reconnaissance.
Le CNRST était débarrassé de ses plastiques et autres déchets non biodégradablesPour lui, cette première opération n'est que le début d'une série qui s'étendra aux instituts et aux sites d'expérimentation. Il a fait une mention spéciale aux femmes qui ont fait le déplacement malgré l'immensité de leurs tâches domestiques les week-ends. Il a aussi salué l'accompagnement des responsables de l'unité de production d'une eau minérale de la place qui lui a gracieusement offert de quoi désaltérer les volontaires du jour.
Obissa Juste Mien
Lefaso.net
Dans le cadre de son opérationnalisation, la société d'économie mixte dénommée « Textile des Forces du Burkina Faso (TEXFORCES-BF) », souhaite recevoir des candidatures de personnes qualifiées pour le recrutement de divers profils conformément au tableau ci-dessous :
En provenance de Kananga (Kasaï-Central), le Comité de récolte de fonds a remis, lundi 28 avril, un montant de 14 716 USD ainsi que 23 millions de francs congolais aux Forces armées de la République démocratique du Congo (FARDC).