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Diplomacy & Defense Think Tank News

Sebastián Piñera und Alejandro Guillier: Stichwahl in Chile

Hanns-Seidel-Stiftung - jeu, 14/12/2017 - 10:52
Wie erwartet, konnte bei der Präsidentschaftswahl in der ersten Runde keiner der acht Kandidaten eine absolute Mehrheit erreichen. Eine Stichwahl am kommenden Sonntag, 17. Dezember 2017, wird entscheiden, welcher von den beiden bestplatzierten in den Regierungspalast La Moneda einziehen wird.

Notre-Dame-des-Landes, un choix politique

Fondapol / Général - jeu, 14/12/2017 - 10:34

Dominique Reynié était l’invité de Frédéric Taddeï sur la radio Europe 1 pour débattre sur le transfert de l’Aéroport de Nantes Atlantique à Notre-Dame-des-Landes qui divise l’opinion publique depuis des années. Faut-il réaménager l’actuel aéroport de Nantes-Atlantique ou le déménager sur à Notre-Dame-des-Landes ? Ces deux options sont « raisonnablement envisageables », estiment les trois experts nommés par le gouvernement pour l’aider à […]

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Pour promouvoir l’égalité femmes-hommes, le sport doit s’appuyer sur la recherche

IRIS - jeu, 14/12/2017 - 09:01

Construire une société plus égalitaire suppose de promouvoir des mécanismes et des espaces de rencontre entre la recherche, les actrices et les acteurs de terrain, et les instances de décision, publique et privée. Le sport a tout intérêt à miser sur de telles évolutions. Un colloque est organisé sur ce sujet, le lundi 18 décembre, à l’Université Paris-Diderot.

De nombreuses lois garantissent en principe l’égalité entre les femmes et les hommes. Cependant, elles et ils ne participent pas de la même manière à la société, que l’on parle des sphères politiques, professionnelles, associatives ou intimes : elles et ils ne sont pas à parité dans les organes de représentation, ne travaillent pas dans les mêmes secteurs, accèdent très inégalement aux postes à responsabilité.

Les écarts dans les parcours ne peuvent être la simple résultante de préférences individuelles déterminant les choix de carrière, de métiers et de conciliation entre vie privée et vie professionnelle. Ils témoignent aussi d’un clivage historiquement construit entre sphère privée (du côté des femmes) et sphère publique (du côté des hommes), et d’une prise en compte implicitement hiérarchique des femmes et des hommes, fondée sur la différence sexuelle.

ARTICULER LES ENJEUX DE REDISTRIBUTION ET DE RECONNAISSANCE

Ces différences se mettent en place dès la jeunesse et posent plusieurs problèmes de justice sociale, mais qui ne se limitent pas à la justice redistributive. Les rapports sociaux entre les femmes et les hommes n’épuisent pas les inégalités socio-économiques et inversement, les discriminations qui découlent des stéréotypes de genre ne s’y résument pas. C’est, en effet, un enjeu de redistribution mais aussi de reconnaissance, pour paraphraser la philosophe américaine Nancy Fraser, qui doit être formulé. La reconnaissance doit se comprendre comme un statut, les injustices symboliques et culturelles se juxtaposant aux inégalités socio-économiques.

Si, à moyen terme, femmes et hommes gagnent à vivre dans une société plus égalitaire, ces progrès-là sont lents, parfois à l’échelle d’une génération. Dès lors, se pose le problème de leur évaluation, en termes de pilotage de politiques publiques.

Or, comme l’a montré Éric Fassin, les inégalités entre les femmes et hommes, en France, ne sont acceptées que depuis peu comme catégorie politique. C’est en grande partie parce que certains questionnements, bien connus dans les études de genre, ont fait irruption dans l’arène médiatique et dans le champ politique. Grâce à la recherche, on sait que les politiques publiques (ou privées) qui se veulent universelles, neutres au genre, sont en réalité genrée puisqu’elles ont comme point aveugle certaines inégalités et discriminations.

Comment le politique peut-il traiter cet écart entre aspiration à l’universalisme et politique de reconnaissance ? Les acteurs privés ont-il, et si oui, lequel, un rôle à jouer ? Comment passer des normes implicites aux normes explicites pour faire évoluer la société vers davantage d’égalité ? Sur quels outils s’appuyer, de quels exemples s’inspirer pour renforcer la prise de conscience et ouvrir le champ des possibles, pour tou.te.s, dès la jeunesse ? Car il importe de défendre des actions permettant d’atteindre une mixité plus réelle et d’assurer une approche systémique jouant sur plusieurs leviers complémentaires.

FAIRE DU SPORT UN SECTEUR EN POINTE SUR LA RENCONTRE ENTRE CHERCHEUR.SE.S ET DÉCIDEUR.E.S

Le champ sportif, que l’on parle des pratiques – compétitives ou non -, de la gouvernance, de la médiatisation, des différents métiers liés au sport (actuels ou de demain), a tout à gagner à miser sur la recherche pour faire progresser l’égalité entre les femmes et les hommes. La science demeure trop peu valorisée comme outil d’aide à la décision publique et privée. Or la société aspire à l’élévation du niveau des connaissances. Pourquoi le sport se tiendrait-il à l’écart ?

Le monde du travail ne pourra bientôt plus se passer de la Recherche et Développement, quels que soient les niveaux de qualification. En effet, l’évolution très rapide des métiers nécessite de mettre en place des processus de formation tout au long de la vie qui auront besoin de l’expertise interdisciplinaire, prospective et laissant une grande place à l’évaluation.

Cette hybridité entre la recherche et la décision reste largement à construire dans notre pays mais pourquoi ne pas faire du sport, omniprésent dans la vie quotidienne des citoyens comme des plus jeunes, un secteur à la pointe sur ces enjeux ? Les questionnements sur le genre, qui traversent les sciences humaines et sociales, la médecine, les sciences de l’information, y ont toute leur place pour, dans un premier temps, visibiliser, nommer et déconstruire les problèmes en évitant le piège des stigmatisations, puis dans un second temps, tenter d’y remédier.

Il s’agit en particulier de lutter contre la sédentarité et l’inactivité physique, plus fortes chez les femmes que chez les hommes, d’aménager un espace public dé-genré et accueillant pour tou.te.s, d’asseoir définitivement la légitimité des sportives dans les médias, de combattre le plafond de verre dans les organisations sportives et les entreprises. La France et l’Europe sont riches de dispositifs vertueux mais qui sont rarement évalués et souvent mal connus, peu diffusés.

Faire se rencontrer et dialoguer chercheur.se.s, enseignant.e.s, éducateurs et éducatrices, dirigeant.e.s, managers et institutions n’est pas une gageure. Cela s’avère au contraire plus que jamais indispensable pour que cohésion sociale, émancipation et développement professionnel puissent aller de pair. Cela participe tout simplement de la promesse démocratique.

La formation professionnelle au seuil d’une vraie transformation ?

Institut Montaigne - mer, 13/12/2017 - 18:53
La formation professionnelle au seuil d’une vraie transformation ? Institut Montaigne mer 13/12/2017 - 18:53

Le gouvernement vient de lancer un vaste processus de réforme - "transformation" en langage macronien - de la formation professionnelle.

Le libre-échange… vraiment ?

IRIS - mer, 13/12/2017 - 18:00

Sylvie Matelly est économiste, directrice adjointe de l’IRIS. Elle répond à nos questions à propos du dossier de la Revue internationale et stratégique n°108 qu’elle a dirigé « A qui profite le commerce ? L’impact du libre-échange sur les relations internationales » :
– Comment expliquer que le libre-échange, qui fut le paradigme de la prospérité occidentale à la sortie de la Seconde guerre mondiale, soit aujourd’hui perçu de manière si négative ?
– En quoi le retour du protectionnisme prôné notamment par les Etats-Unis peut-il modifier les rapports de force actuels ? Avec quelles conséquences ?
– Pascal Lamy, ancien directeur de l’OMC, suggère que l’organisation participe à la définition du cadre des normes non tarifaires. Cela peut-il accroître un sentiment de dépossession du politique par les instances économiques et financières multilatérales auprès des citoyens ?

Le Japon veut renforcer son équipement pour contrer la menace nord-coréenne

IRIS - mer, 13/12/2017 - 16:46

Le ministère de la Défense japonais demandera des fonds supplémentaires dans le prochain budget militaire pour l’achat de missiles de croisière à longue portée emportés sur des avions de chasse, a déclaré vendredi 8 décembre le ministre de la Défense, Itsunori Onodera. M. Onodera a démenti que ces nouvelles acquisitions constitueront un changement dans la politique strictement défensive du Japon, selon laquelle les Forces d’autodéfense n’ont pas la capacité de frapper le territoire d’autres pays.

Le ministère de la défense avait déjà demandé en août un budget record pour l’exercice 2018, afin de contrer la menace que représentent les programmes de missiles balistiques et d’armes nucléaires de la Corée du Nord. Le gouvernement affirme que la Constitution autorise la possibilité de mener des frappes dès lors qu’elles peuvent être considérées comme une mesure de légitime défense.

Les missiles de croisière dont souhaitent se doter le Japon sont le JSM de la société norvégienne Kongsberg Defence & Aerospace, d’une portée d’environ 500 km, et les missiles JASSM-ER et LRASM de Lockheed Martin Corp., qui ont chacun une portée d’environ 900 km. Cette portée est très supérieure aux limites qu’impose la Constitution pacifiste japonaise qui limite à 300 kilomètres la portée des missiles actuellement utilisés par l’armée japonaise. Le JSM sera installé sur des chasseurs furtifs de la Force d’autodéfense aérienne, les fameux F-35 dont Tokyo souhaite acheter 42 exemplaires, et le JASSM-ER et le LRASM vont être étudiés pour un montage possible sur des chasseurs F-15. M. Onodera a déclaré que ces missiles seraient utilisés pour défendre les destroyers de la Force d’autodéfense maritime équipés du système de défense antimissile Aegis. Il a également suggéré qu’ils pourraient être utilisés dans la défense d’îles, « traitant des forces de surface ennemies ou des forces de débarquement avant qu’elles ne se rapprochent ».

Une majorité de Japonais se dit favorable à l’achat de ces missiles capables de frapper la Corée du Nord, car Pyongyang a procédé à plusieurs dizaines de tirs expérimentaux de missiles dont deux ont survolé le Japon. Cela va dans le sens de Tokyo qui met en avant la menace nord-coréenne, notamment dans ses Livres Blancs de la défense qui paraissent à l’été. De telles mesures correspondent aussi à la volonté du Premier ministre japonais Shinzo Abe de doter le pays d’une armée performante face aux nombreuses menaces régionales et de se libérer du « carcan » pacifiste de la Constitution.

Il est à craindre que cette dotation en missiles de croisière renforce certes la capacité dissuasive du Japon vis-à-vis de la Corée du Nord même si celle-ci est imprévisible mais que, néanmoins, elle conduise à une accélération de la course aux armements régionale. Tous les pays de cette région d’Asie du Nord-Est ont des programmes de missiles de croisière. La Corée du Nord développe des missiles de croisière antinavires d’une portée d’environ 200 km. Et chaque tir de missile nord-coréen entraîne des répliques. Moins de 24 heures après l’essai nord-coréen qui a été largement condamné par la communauté internationale, mercredi 5 juillet, les forces sud-coréennes et américaines avaient ainsi tiré de la péninsule plusieurs missiles de courte portée qui se sont abattus en mer du Japon. Côté chinois, alors que Pékin est engagée dans un ambitieux programme de modernisation militaire, un concepteur chinois a annoncé à l’été 2016 développer une nouvelle génération de missiles de croisière dotée d’un taux élevé d’intelligence artificielle et d’automatisation. Enfin et surtout, la Corée du Sud a testé à la mi-septembre un nouveau missile de croisière sophistiqué qui renforcerait sa capacité à lancer des attaques anticipées contre la Corée du Nord en cas de conflit. L’armée sud-coréenne a révélé que le missile Taurus a été lancé par un chasseur F-15. Il a ensuite évité une série d’obstacles à faible altitude avant de frapper sa cible, mardi. Le missile est fabriqué par la firme allemande Taurus Systems. Il a une portée maximale de 500 kilomètres et est doté de caractéristiques furtives qui lui permettent d’échapper aux radars.

Ces différents programmes ne sont pas de nature à stabiliser une situation déjà très tendue, même si l’affichage politique constitue un facteur dissuasif. Ils risquent de rendre encore plus imprévisible la Corée du Nord qui pourrait dans sa paranoïa sécuritaire s’estimer encore plus menacée.

Agenda 2018: Prioritäten der bulgarischen EU-Ratspräsidentschaft

Hanns-Seidel-Stiftung - mer, 13/12/2017 - 16:06
„Einigkeit macht stark“ lautet das Motto der bulgarischen Ratspräsidentschaft, die am 1. Januar 2018 beginnt. Mit seinem nationalen Leitspruch sendet Bulgarien ein klares Signal: Es ist Zeit, dass die Europäische Union wieder nach mehr Einigkeit strebt.

L’Afrique, entre retour des migrants et des djihadistes

IRIS - mer, 13/12/2017 - 12:52

Alors que l’Union européenne et certains Etats du Sud comme l’Italie se protègent contre les migrants en ayant des relations avec les réseaux mafieux des passeurs ou des vendeurs d’esclaves, l’Afrique doit gérer le retour de 20.000 migrants et 6000 combattants de l’Etat islamique venant d’Irak et de Syrie. Tel Sisyphe, elle doit sans fin gérer de nouveaux défis alors que ses moyens sont limités.

Des pays comme la France dont on estime le nombre de djihadistes potentiellement de retour à un peu plus de 600 semblent désarmés pour gérer ces djihadistes de retour de Syrie et d’Irak alors qu’ils disposent de cellules de déradicalisation, d’un Etat de droit, d’infrastructures, etc. Les combattants africains de l’EI sont quant à eux estimés à 6000 sur 30000 étrangers alors que les frontières sont poreuses, les infrastructures d’accueil limitées et les forces de police et militaires faibles en nombre et en efficacité.

Le repli des djihadistes en Afrique concerne prioritairement la Libye en proie au chaos, la Somalie et la zone saharo-sahélienne (d’une superficie voisine de celle de l’Europe occidentale). Il peut passer par des réseaux ayant officiellement fait allégeance à l’Etat islamique comme Boko Haram mais également des mouvances terroristes liées à Al-Qaïda. L’Organisation de l’Etat islamique a défini trois califats en Afrique : la zone Egypte, Tchad, Soudan (califat Alkinaana), la zone Erythrée, Ethiopie, Somalie, Kenya, Ouganda (califat Habasha) (et la zone nord-africaine (Maghreb plus Niger, Nigeria, Mauritanie). Au-delà de ces référents, la stratégie de dissémination prédomine. Malgré l’importance de la force Barkhane, les casques bleus, des coopérations régionales entre pays africains, les actions terroristes se sont accrues au Mali (surtout au centre), au Burkina Faso et au Niger. Les dépenses nationales de sécurité augmentent mais aux dépens des actions de développement économique et social. Le G5 Sahel (Mauritanie, Mali, Burkina Faso, Niger, Tchad) a du mal à être financé et à devenir opérationnel. Les réponses ne sont pas à la hauteur des enjeux.

A ces actions s’ajoute la gestion de 20.000 migrants dont l’Union africaine dit qu’elle doit favoriser le retour dans les pays d’origine. Les drames des « damnés de la mer » (cf. Benjamin Stora) se sont réduits mais au profit d’une réactualisation de l’esclavage en Libye et des connivences entre les réseaux mafieux, terroristes et esclavagistes. Là encore, les politiques d’urgence de la part de décideurs débordés l’emportent sur une vision stratégique capable d’anticiper. La montée des populismes en Europe et une certaine « lepénisation des esprits » conduisent à des représentations de l’autre en termes d’assignations identitaires raciales ou religieuses, de fermeture des frontières ou du chacun chez soi alors que les sociétés du Nord et du Sud ont à gérer des interdépendances et que les frontières sont débordées.

Plus que jamais la gestion des flux de mobilité des hommes doit être assurée par des politiques régionales favorisant les mouvements des zones africaines pauvres et surpeuplées vers les zones sous-peuplées et à fort potentiel. L’appui à des politiques régionales est la seule alternative pour les pays européens à une pression migratoire qui ne peut que croître avec le temps. Ceci implique des partenariats multi acteurs qui dégagent des financements à la hauteur des enjeux avec en parallèle des projets de développement à diverses échelles territoriales. Plus que jamais, le devenir de l’Europe dépend largement de la manière dont les défis seront relevés en Afrique, comment ses potentialités se transformeront en opportunités et comment les fermetures et les murs feront place aux ouvertures et projets communs euro-africains.

Brexit : on peut passer aux choses sérieuses maintenant ?

Institut Montaigne - mer, 13/12/2017 - 10:33
Brexit : on peut passer aux choses sérieuses maintenant ? Institut Montaigne mer 13/12/2017 - 10:33

Le rapport conjoint de l’Union européenne et du Royaume-Uni, révélé le matin du 8 décembre par Theresa May et Jean-Claude Juncker, commence par un sobre avertissement "tant qu’il n’y a pas d’accord sur tout, il n’y a pas d’accord".

European politics: leaders struggle to contain rising populism

Fondapol / Général - mer, 13/12/2017 - 10:17

Marseille’s far-right politician Stéphane Ravier feels robbed. After winning control of the Northern district of the French Mediterranean town in 2014 — one of the dozen victories emblematic of the National Front’s surge in local elections that year — he targeted a seat in the National Assembly. The race, in June, was his to lose: […]

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Auflösung oder Ablösung?

SWP - mer, 13/12/2017 - 00:00

Die internationale Ordnung befindet sich in einem Umbruch, der die Weltpolitik fundamental verändern wird. Deshalb wurden in dieser Studie regionale Ordnungen, internationale Regime und die „Welt-Ordnungsmächte“ USA und China untersucht. Dabei identifizierten die Autorinnen und Autoren richtungweisende Entwicklungen der internationalen Ordnung und ermittelten wesentliche Ursachen für deren tiefgreifende Veränderungen.

Die stärkste Triebkraft der jüngeren Tendenzen in der internationalen Ordnung bildet der technologische Wandel. In vielen Bereichen erscheint er so rasant und risikobehaftet, dass darüber nachgedacht werden muss, wie seine Dynamik durch politische Regelwerke einzuhegen wäre. Diese müssen global angelegt sein, da technologischer Wandel universal wirksam wird. Unter den gegenwärtigen Bedingungen internationaler Ordnung lassen sich künftige Entwicklungen kaum mehr abschätzen. Darum sollte Außenpolitik sich stärker auf das Denken in Szenarien stützen. Auch sollte sie sich bemühen, mit Hilfe organisatorischer Innovationen Flexibilitätsreserven zu schaffen.

Wichtigste ordnungspolitische Aufgabe deutscher Außenpolitik ist es, die Europäische Union als internationale Ordnungsmacht handlungsfähig zu machen. Denn weder die USA noch die Volksrepublik China bieten die Gewähr für eine konsequent multilaterale Ordnungspolitik nach deutschem und europäischem Verständnis. Allerdings könnte ein starkes Europa beide durchaus in diesem Sinne beeinflussen.

Inhalt

Problemstellung und Empfehlungen
S. 5–6

Hanns W. Maull
Einführung in die Thematik und Zusammenfassung der Ergebnisse
S. 7–18

Susanne Dröge
Das Abkommen von Paris – eine nachhaltige und effektive Klima-Ordnung?
S. 19–34

Oliver Meier
Die Zukunft der nuklearen Abrüstung, Rüstungskontrolle und Nichtverbreitung: Was kommt nach Obamas Ordnungsversuch?
S. 35–54

Jonas Schneider
Die Regulierung der Weitergabe von sensitiven Nukleartechnologien
S. 55–72

Steffen Angenendt / Anne Koch
Die internationale Zusammenarbeit in der Flüchtlings- und Migrationspolitik – fragmentierte Teilordnungen unter Veränderungsdruck
S. 73–89

Wolfgang Richter
Europäische Friedens- und Sicherheitsordnung: Von der Kooperation zurück zur Konfrontation?
S. 90–112

Hanns W. Maull
Resümee
S. 113–131

Hanns W. Maull
Schlussfolgerungen und Handlungsempfehlungen für die deutsche Außenpolitik
S. 132–138

Anhang
S. 139

Untersuchungsraster für die Analyse politischer Ordnungen
S. 141–145

Abkürzungen
S. 146–147

Die Autoren und Autorinnen
S. 148

Zunahme der Gewalt im Donbas: Blauhelmsoldaten für die Ostukraine?

Konrad Adenauer Stiftung - mer, 13/12/2017 - 00:00
Jüngste Forderungen nach einem VN-Einsatz bringen den Konflikt wieder auf die Tagesordnung. Derweil gehen die Kämpfe ungeachtet der formalen Waffenruhe weiter.

Jan Dresel im Interview: Darum geht es der HSS in Russland

Hanns-Seidel-Stiftung - mar, 12/12/2017 - 13:23

Das Interview führte die Online-Redakteurin Eva Lennartz von ostexperte.de

Futur du mix énergétique : le débat vu d’Allemagne

Institut Montaigne - mar, 12/12/2017 - 10:58
Futur du mix énergétique : le débat vu d’Allemagne Institut Montaigne mar 12/12/2017 - 10:58

"La fin du charbon divise le futur gouvernement Merkel", ">

Comment constituer des modèles climato-responsables. Les explications d'Hélène Valade

Institut Montaigne - mar, 12/12/2017 - 10:01
Comment constituer des modèles climato-responsables. Les explications d'Hélène Valade Institut Montaigne mar 12/12/2017 - 10:01

Si la communauté internationale s’accorde sur la nécessité de lutter contre le réchauffement climatique, elle reconnaît également que notre modèle de croissance actuel est incompatible avec avec les équilibres naturels de notre environnement en ce qu’il ne respo

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