La motorisation de portail nécessite l’utilisation d’un gyrophare orange. Votre portail automatique est livré généralement avec celui-là. Lorsque vous réalisez l’installation de votre portail, il faut brancher le gyrophare. C’est important alors de savoir comment brancher son gyrophare de portail.
L’emplacement idéal pour le feu clignotant de portailL’installation d’un gyrophare n’est pas du tout compliquée. Parfois, celle-là est obligatoire pour certains usagers. Si vous disposez d’un portail battant ou coulissant, cette opération est indispensable pour votre portail motorisé. Pour cela, vous devez choisir entre le gyrophare jaune et orange. Celui-là garantit la sécurité du portail motorisé, et aussi il préserve les conducteurs. Comme il avertit l’usager de l’ouverture du portail automatique, celui-là le protège contre les accidents. Cela est nécessaire lorsque vous utilisez le portail la nuit. Le gyrophare envoie un avertissement avant l’enclenchement du portail motorisé. Cela permet d’éviter les incidents.
Il n’est pas difficile de trouver l’emplacement convenable pour votre gyrophare. Seulement, vous devez choisir l’endroit qui offre une excellente efficacité à votre gyrophare. Cela doit être en hauteur. En fait, il faut placer ce feu clignotant à un emplacement tout à fait visible. Il est simple de le fixer au sommet du portail motorisé. Aussi, vous pouvez l’installer sur le pilier. D’ailleurs, le gyrophare est d’une manière générale un outil mobile. De cela, il est facile de l’installer. Lorsque la fixation est faite, vous pouvez relier votre gyrophare à la motorisation du portail. Cela consiste à raccorder ses câbles avec celle-là.
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Le branchement et le raccordement du gyrophareLa plupart du temps, le gyrophare de portail doit disposer d’une même puissance électrique que le moteur du portail automatique. Alors, il vous faut deux fils pour réaliser le branchement. D’une manière générale, ce gyrophare est livré avec une antenne. De même, vous devez raccorder le câble de celle-là au boîtier de commande. Cette antenne permet à votre clignotant d’être plus efficace. Pour le branchement, il vous faut un disjoncteur ou un fusible 10 ampères. En général, le coffret de commande de la motorisation portail est fixé sur le pilier du portail. Et, il se place le plus souvent sur le pilier droit. Ainsi, vous devez brancher les deux fils du gyrophare aux deux bornes du boitier, aux bornes huit et neuf. Également, il faut brancher le câble de l’antenne au gyrophare et au boîtier de commande.
Concernant le boîtier ou le coffret de commande, celui-là possède trois fils d’alimentation. En effet, ces trois fils sont indispensables pour les moteurs en 24 volts. De cette manière, votre gyrophare doit être aussi en 24 volts. Pour l’alimentation de ces moteurs, trois fils sont suffisants. Cependant, si vous optez pour des moteurs en 230 volts, vous devez utiliser trois fils pour l’alimentation et un fils de terre. De même, il vous faut adopter un gyrophare de 230 volts.En bref, le branchement d’un gyrophare de portail est simple si vous suivez bien ses étapes.
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Des élections législatives auront lieu le 20 octobre en Afghanistan avec trois ans de retard sur le calendrier initial. Les talibans refusent toujours de reconnaître le gouvernement afghan, qu’ils jugent « illégitime », et souhaitent s’entretenir directement avec Washington. Quels sont les enjeux de ces négociations ? Quel rôle exercent toujours les États-Unis dans la pacification du territoire afghan ? Que peut-on attendre de l’élection présidentielle prévue au printemps 2019 au vu des conditions délétères que connaît l’Afghanistan ? Le point de vue de Karim Pakzad, chercheur à l’IRIS.
Quels sont les principaux enjeux de ces élections législatives afghanes ?
Qu’on regarde du point de vue des Afghans ou de la communauté internationale, ces élections n’auront pas les mêmes portées et significations. Pour la communauté internationale, particulièrement l’Union européenne très engagée dans le financement du scrutin et dans sa surveillance, le principal enjeu des élections législatives afghanes est de légitimer les institutions afghanes en renouvelant les 250 députés de l’Assemblée nationale. Pour l’heure, le gouvernement afghan actuel n’est ni légal ni légitime. C’est la raison pour laquelle après trois ans d’attente, a été actée la nécessité de donner un caractère légal, conforme à la Constitution afghane, à la fois pour le gouvernement, mais également pour le Parlement. Cela peut se faire en organisant d’abord des élections législatives, suivies huit mois plus tard de l’élection présidentielle.
Le mandat des parlementaires afghans a pris fin en 2014. Or, depuis, il aurait dû y avoir de nouvelles élections et même de nouvelles lois électorales pour donner plus de garanties et de transparence, mais rien n’a été fait. L’actuel président de la République afghane, Ashraf Ghani, à la tête d’un gouvernement non fondé sur la loi, en l’occurrence la Constitution, a fait durer la vie du parlement actuel de trois ans en par décret présidentiel en toute illégalité.
La nomination d’Ashraf Ghani est en effet issue d’un compromis datant de fin 2014. Après les élections présidentielles contestées et entachées de fraudes massives, deux candidats arrivés en tête au second tour revendiquaient chacun la victoire. Or la situation s’est vite dégradée et le risque que dans un pays déjà en guerre entre les talibans et les forces de l’OTAN encore engagées en Afghanistan, les deux camps présents à Kaboul s’affrontent dans une deuxième guerre. Le secrétaire d’État américain John Kerry était alors intervenu et avait fait signer aux deux candidats un accord pour la formation d’un gouvernement d’union nationale. Cependant les protagonistes savaient bien que cet accommodement n’avait ni légalité ni légitimité, car organisé par un gouvernement étranger, alors qu’il fallait avant tout lui donner des bases juridiques. Or, il était prévu que dans l’année qui suivrait la formation du gouvernement, la constitution serait modifiée, et de nouvelles élections législatives seraient organisées.
Selon l’accord patronné par John Kerry, Ashraf Ghani, le protégé des Américains devenait le Président de la République et son challenger Dr Abdullah, ex-lieutenant du commandant Ahmad Shah Massoud, prendrait la tête du Conseil exécutif. Le poste de président du Conseil exécutif n’existait alors pas dans la constitution afghane. Puisque cette dernière est de type présidentiel, il n’y a pas de second pouvoir exécutif à côté du président de la République. Toutefois, pour satisfaire le deuxième candidat, il a fallu inventer ce poste ex nihilo. Le poste de président du Conseil exécutif, qui est en quelque sorte l’équivalent du Premier ministre, devait être ajouté à la Constitution. À la place d’un système purement présidentiel, l’Afghanistan aurait pu se doter d’un gouvernement de type français mi-présidentiel, mi-parlementaire. Mais rien n’a été fait par la suite.
En effet, le président de la République afghane n’a rien fait de cela ensuite et a tout mis de côté. Il n’a pas convoqué de grandes assemblées pour modifier la constitution, pour créer le poste de Premier ministre ou pour mettre en place des élections législatives. Ashraf Ghani a par conséquent gouverné sans aucune légitimité ni légalité.
Il faut donc organiser des élections aussi transparentes que possible et sans trop de contestations, pour que cela devienne un régime politique légitime et légal, et ainsi stabiliser et pérenniser l’État afghan.
Quels sont les principaux défis et risques liés aux élections législatives afghanes ?
Concernant les risques liés aux élections législatives, il y a d’abord et avant tout le risque sécuritaire. En effet, les talibans refusent toujours de reconnaitre la légitimité de ce gouvernement. Il est donc très probable que les talibans perturbent les processus électoraux, et troublent voire empêchent les électeurs de voter. Neuf candidats ont déjà été assassinés, notamment lors d’attentats qui ont fait par ailleurs plusieurs dizaines de morts. À la veille du scrutin législatif, le risque est que les talibans multiplient la démonstration de force. Ils ont en effet les moyens de le faire, comme l’a montré l’attentat qui a coûté la vie au général Razaq, le puissant chef militaire anti-taliban, au moment même où il était en réunion avec le commandant en chef des forces de la coalition à Kandahar, survenu le jeudi 18 octobre.
Enfin, plusieurs défis persistent : d’abord pour la communauté internationale. Cette dernière, par la voix de ses représentants respectifs à Kaboul, s’est donnée pour objectif principal que ces élections se déroulent honnêtement, sans violence, en toute transparence. En effet, la communauté internationale a d’importantes responsabilités notamment au regard des moyens mis en place et investis, soit 115 millions de dollars. Par ailleurs, l’opposition légale afghane refusait de participer à ces élections si aucune garantie de transparence n’était mise en place. Elle exigeait même, pour atteindre cet objectif de transparence, le contrôle des électeurs par des moyens biométriques, requête finalement acceptée par le gouvernement afghan. L’Union européenne (UE) a ainsi accepté de financer plus de 22 000 appareils biométriques.
Les talibans refusent toujours de reconnaître le gouvernement afghan, qu’ils jugent « illégitime », et souhaitent s’entretenir directement avec Washington. L’émissaire américain pour la paix en Afghanistan a ainsi rencontré une délégation talibane vendredi 12 octobre au Qatar. Quels sont les enjeux de ces négociations ? Quel rôle exercent toujours les États-Unis dans la pacification du territoire afghan ?
Nous ne sommes plus dans la situation où les talibans exigeaient des rencontres directes avec les États-Unis. Les talibans disaient par le passé que le gouvernement de Kaboul n’était pas légitime. Ils ne reconnaissaient pas ce régime qui était un régime fantoche et considéraient que leur pays était occupé. Après avoir refusé dans un premier temps d’entamer toutes négociations avec les Américains tant que ces derniers avaient encore des soldats sur le sol afghan, les talibans ont finalement accepté de le faire.
Ainsi, depuis plus de trois ans, sous les présidences de Barack Obama et de Donald Trump, des négociations entre talibans et États-Unis ont commencé. Ces négociations se sont intensifiées sous Donald Trump qui cherche à retirer ses troupes.
D’après la déclaration faite à l’issue de la rencontre entre l’envoyé spécial du secrétaire d’État américain pour l’Afghanistan et les représentants des talibans, le 12 octobre à Doha au Qatar, deux sujets principaux ont été discutés : la fin de « l’occupation » et la paix. Les Américains ont ainsi reconnu d’une certaine manière que ce sont les talibans qui contrôlent la situation et qu’il faut traiter avec eux. Les deux réunions précédentes qui avaient aussi eu lieu au Qatar avaient pour objectif de trouver des éléments de confiance entre les deux parties, notamment la libération de prisonnier. La nomination de Zulmaï Khalilzad en tant qu’émissaire américain pour la paix en Afghanistan a également permis d’accélérer les négociations, celui-ci étant d’origine afghane et un fin connaisseur du pays et des talibans. Il avait par ailleurs été ambassadeur en Afghanistan de George Bush.
Depuis que l’OTAN a mis fin à sa présence en Afghanistan en décembre 2014, la présence militaire occidentale est toujours d’actualité. Aujourd’hui encore, 18 000 soldats américains, mais également européens sont toujours présents sur le sol afghan. Depuis début 2015, si la mission de l’armée américaine est en théorie d’aider et de former l’armée afghane, elle participe de plus en plus directement aux combats.
L’élection présidentielle est prévue au printemps 2019. Que peut-on en attendre au vu des conditions délétères que connaît l’Afghanistan ?
Les élections législatives du 20 octobre seront une répétition générale de grande envergure pour l’élection présidentielle de l’année prochaine. Puisque l’Afghanistan n’a pas d’institutions légales et légitimes, la formation d’un parlement répondant à ces critères est cruciale. En effet, dans un régime présidentiel où tous les pouvoirs sont aux mains du président de la République, avoir un président non issu des élections, qui n’a donc pas de légalité, est sérieusement problématique.
Dans un même temps, la communauté internationale essaye de donner une image positive de l’Afghanistan. Par ailleurs, il y a actuellement beaucoup de candidats hommes et femmes issus de la société civile. Si une partie importante de ces candidats entre au parlement, alors la situation politique afghane aura un nouveau visage.
Si nous partons de la situation actuelle, il n’y a que peu d’éléments permettant d’être optimiste pour les prochaines élections présidentielles. Le seul élément positif est que l’ensemble de la communauté internationale veut jouer un rôle plus fort et plus sérieux afin d’empêcher par exemple des fraudes massives, même si le pouvoir est toujours aux mains des anciens chefs de guerre, des personnes influentes et puissantes, que ce soit à Kaboul, ou dans les provinces que le gouvernement ne contrôle pas réellement. L’ensemble de ces éléments montre que la situation est délétère. Toutefois si les élections législatives se déroulent convenablement, il y aura l’espoir que cela se reproduise lors des élections présidentielles.
Enfin, il ne faut pas oublier que malgré tous les efforts consentis par la communauté internationale, il faudrait avant tout mettre fin à la guerre en Afghanistan, et cela passe par des négociations sérieuses sur l’avenir du pays avec les talibans. Et c’est là où le bât blesse. Rien ne montre que les talibans ont changé. Dans les négociations engagées entre les talibans et les Américains, le gouvernement de Kaboul n’a pas sa place. Les élites afghanes de plus en plus hostiles aux talibans soupçonnent l’administration de Donald Trump de parvenir à un accord avec les talibans et de préserver leur influence avec un régime plus théocratique à l’image de l’Arabie saoudite, mais capable d’assurer une certaine sécurité dans le pays. L’Afghanistan est loin de voir le bout du tunnel.
Une chose est de vouloir d’un récupérateur d’eau, une autre est de savoir comment l’installer. Au cas où vous auriez fabriqué vous-même votre récupérateur d’eau de pluie, il va bien falloir le mettre en fonction. Dans le cas où vous l’avez plutôt acheté et que l’installation n’est pas incluse, il va aussi falloir y procéder vous-même.
L’installation du récupérateur d’eau de pluie est simple, facile et ne nécessite pas de connaissances ou d’instruments particuliers. Il suffit de suivre quelques étapes importantes puis le tour est joué. Comment installer un récupérateur d’eau ?
Les préalables du récupérateur d’eauLe récupérateur d’eau de pluie ne peut rien si la gouttière n’existe pas. C’est par ce premier canal que l’eau passe avant de se retrouver dans le récupérateur. Ceci est possible à l’aide d’un tuyau qui relie la cuve du dispositif à la gouttière. La descente de cette dernière doit d’ailleurs être installée dans la cuve, directement.
Les précautionsPosez un système filtrant en amont de votre récupérateur d’eau, il arrêtera les débris végétaux qui proviennent de votre toit. Pour éviter que les rayons du soleil ne se dirigent tout le temps sur votre cuve, exposez-la au Nord ; si vous avez le choix bien sûr. Aussi, votre cuve doit toujours être fermée pour que des larves n’y apparaissent jamais. En hiver, vous devez la vider pour empêcher le gel de l’eau.
Si vous voulez plus d’eau, il vous est bien possible d’établir une liaison entre deux cuves. La capacité en sera ainsi augmentée. La cuve doit par ailleurs être toujours posée sur une surface stable et plane.
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L’installationElle débute par la préparation d’une dalle rigide et plate. C’est la surface sur laquelle le récupérateur va être posé. Une dalle en bois de teck peut par exemple permettre la stabilité du sol.
Il faut maintenant poser le tuyau de raccordement au niveau de la partie haute. Il faut avant cela déterminer sur la coque de la cuve l’endroit prévu pour le raccordement de sortie. Percez à présent le trou avec la scie cloche. Vissez-y le tuyau de sortie ainsi que son adaptateur.
La troisième étape nous conduira à poser en partie basse le robinet de notre récupérateur. De telle façon que l’on puisse bénéficier du maximum d’eau en hauteur. De telle façon aussi que nous puissions y approcher l’arrosoir. Il sera ensuite vissé avec l’écrou.
L’étape suivante est celle de l’installation du collecteur filtrant sur la gouttière. La gouttière doit être coupée pour qu’il puisse être inséré dans le tuyau de la descente. Pour y arriver, il suffit de bien poser le récupérateur d’eau de pluie. Il faudra ensuite repérer l’emplacement du collecteur filtrant sur la gouttière de descente.
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Il est essentiel de prévoir une pente assez légère pour faciliter l’écoulement vers la cuve du récupérateur. Il est aussi important de desserrer les colliers pour emboîter notre collecteur en haut et en bas de la gouttière.
L’eau de pluie peut enfin être récupérée. Ne pas oublier d’adapter un morceau de tuyau d’arrosage au robinet.
Vous trouverez un comparatif de recuperateur eau de pluie sur ce portail web.
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On October 18th, IPI together with the School of Diplomacy and International Relations at Seton Hall University cohosted a Distinguished Author Series event, featuring David E. Sanger, New York Times National Security Correspondent and author of The Perfect Weapon: War, Sabotage and Fear in the Cyber Age. The conversation was moderated by IPI Senior Adviser for External Relations Warren Hoge.
The Perfect Weapon is the startling inside story of how the rise of cyber weapons in all their forms – from attacks on electric grids to attacks on electoral systems – has transformed geopolitics like nothing since the invention of the atomic bomb. Cheap to acquire, easy to deny, usable for everything from crippling infrastructure to sowing discord and doubt, cyber is now the weapon of choice for American presidents, North Korean dictators, Iranian mullahs, and Kremlin officials. Even though the US has built up a powerful new Cyber Command, it has no doctrine for how to use it. When under attack—by Russia, China, or even Iran and North Korea—the government has often been paralyzed, unable to use cyber weapons because America’s voting system, its electrical system, and even routers in citizens’ homes have been infiltrated by foreign hackers. Deterring cyber attacks is far more complex than the Cold War effort to deter nuclear weapons, and in the end, a political solution, akin to the Geneva Conventions, may be needed if we are to avoid an era of constantly escalating cyber conflict.
Dans la gamme des sèche-linges condensation, le modèle à pompe à chaleur s’illustre comme le plus récent et donc le plus performant du marché. Son mode de fonctionnement lui vaut plusieurs points forts qui en font un appareil tout à fait digne d’intérêt.
Un meilleur rendement avec le seche linge condensation pompe à chaleurC’est à son mode de fonctionnement que le sèche-linge condensation à pompe à chaleur son taux de rendement supérieur à la moyenne. Le principe de la condensation est ici amélioré grâce à la présence d’une pompe à chaleur. Elle remplace la résistance de chauffage.
En effet, dans un système de condensation classique, le linge humide entre en contact avec de l’air chaud et sec qui se transforme en vapeur d’eau. Celle-ci est ensuite transformée en eau par le condensateur avant d’être évacuée dans le réservoir.
Dans le cas d’un sèche-linge condensation à pompe à chaleur, la vapeur d’eau est d’abord montée sous pression par un compresseur située dans la pompe à chaleur. C’est cette vapeur sous haute pression qui est envoyée dans le condensateur où une partie est transformée en chaleur. Au lieu d’être évacuée, cette chaleur permet de réchauffer l’air qui redevient à nouveau chaud et sec et retourne dans l’appareil où le cycle reprend.
Tout repose donc sur un système de récupération dû au circuit fermé qui optimise complètement le rendement de l’appareil.
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Un appareil énergétiquement économiqueGrâce à l’amélioration du rendement du sèche-linge condensation à pompe à chaleur, l’appareil est capable de sécher plus de linges avec un cycle de séchage plus court. En réduisant le temps de séchage, vous réalisez une économie importante d’énergie par rapport à un sèche-linge classique.
D’autre part, ces appareils sont réputés pour être de catégorie A+ ou A+++. Cela signifie qu’ils ne consomment pas plus de 0,19 à 0,17 kWh par kilo de linge séché et que le nombre de kWh par cycle de séchage varie entre 1 et 2,5.
A côté, les appareils des autres catégories vont bien au-delà de ces chiffres. Par rapport à un sèche-linge de catégorie A par exemple, la consommation du sèche-linge condensation à pompe à chaleur est inférieure d’au moins 60%. Une valeur non négligeable au regard de tous les appareils électroménagers que vous faites fonctionner.
Le respect du lingeLe circuit de séchage du sèche-linge condensation à pompe à chaleur fonctionne de sorte à maintenir la température de l’air chaud à 60°C. Cela est possible en effet grâce à la récupération d’une partie de l’eau condensée. Grâce à cela, la texture des linges, quelle que soit la matière, est mieux respectée.
Ce qui n’est pas le cas des sèche-linges classiques qui font monter la température jusqu’à 80°C, dégradant par la même occasion la texture du linge qui a tendance à se détendre.
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Une praticité hors pairContrairement aux sèche-linges ordinaires, le modèle à condensation à pompe à chaleur intègre son propre système d’évacuation sous la forme d’un bac récupérateur. Tout ce que vous avez à faire, c’est de prévoir la vidange du bac consécutivement aux utilisateurs.
Le fait que l’appareil rejette très peu d’eau limite non seulement les séances de vidange, mais lui permet également d’être installé n’importe où et pas forcément dans une buanderie.
Vous trouverez de très bons modèle de sèche linge à condensation sur ce site.
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Nature : CDI
Lieu : Paris 8ème
Domaine : Evénementiel/Communication
Vous rejoignez une équipe jeune et dynamique pour participer au bon fonctionnement de l’activité événementielle de l’Institut Montaigne. Celle-ci consiste notamment en une centaine d’événements par an (petits…
In the past year, overall levels of violence in the Central African Republic (CAR) have decreased, and the UN mission (MINUSCA) has helped stabilize key areas through comprehensive, multidimensional efforts at the local level. Nevertheless, violence against civilians continues, attacks on humanitarian workers have increased, and national security forces lack the capacity to maintain security. Moreover, the various ongoing dialogue processes are uncoordinated and do not address critical questions.
In this context, the International Peace Institute (IPI), the Stimson Center, and Security Council Report organized a workshop on September 14, 2018, to discuss MINUSCA’s mandate and political strategy. This workshop offered a platform for member states and UN actors to develop a shared understanding and common strategic assessment of the situation in CAR. The discussion was intended to help the Security Council make informed decisions with respect to the strategic orientation, prioritization, and sequencing of the mission’s mandate ahead of its renewal in November 2018.
Participants considered MINUSCA to be among the most adaptive to demanding conditions and operational constraints. But despite these achievements, MINUSCA faces serious challenges to consolidating its gains and advancing a sustainable political process. Participants recommended that the Security Council adapt MINUSCA’s mandate to give the mission a stronger political role, broaden collective support for CAR’s security forces, and support processes that promote an inclusive national identity and representative state institutions.
On October 17th, IPI hosted a policy forum event entitled, “Safeguarding Medical Care and Humanitarian Action in the UN Counterterrorism Framework.”
Following UN Security Council Resolution 1371 (2001), the UN and its member states have developed what can be described as an international counterterrorism regime composed of laws, standards, rules, policies, and practices. However, there is growing evidence that the design and implementation of counterterrorism measures can adversely impact the provision of medical care and the conduct of principled humanitarian action in armed conflict. Whether inadvertently or not, these measures have impeded, and at times prevented, the provision of essential and lifesaving aid. This runs counter to the obligation under international humanitarian law to provide and grant access to medical assistance and impartial humanitarian aid, which needs to be taken into account in the design and implementation of counterterrorism laws and policies.
This enhanced awareness of how counterterrorism measures and their implementation may adversely impact the delivery of impartial humanitarian assistance in armed conflict zones, in particular looking at the current UN counterterrorism framework. This event also launched IPI’s report, “Safeguarding Medical Care and Humanitarian Action in the UN Counterterrorism Framework” and disseminated key findings from the research. Finally, it discussed recommendations and explored ways forward to help mitigate tensions between counterterrorism and humanitarian imperatives.
Opening remarks:
H.E. Mr. Jürg Lauber, Permanent Representative of Switzerland to the United Nations
Speakers:
Ms. Alice Debarre, Policy Analyst, IPI
Mr. Christopher Harland, Deputy Permanent Observer and Legal Adviser, International Committee of the Red Cross Delegation to the United Nations
Dr. Agnès Callamard, Special Rapporteur on Extrajudicial, Summary or Arbitrary Executions
Mr. Edward J. Flynn, Senior Human Rights Officer, United Nations Security Council, Counter-Terrorism Executive Directorate
Mr. Aurelien Buffler, Head of the Policy Advice and Planning Section, United Nations Office for the Coordination of Humanitarian Affairs
Moderator:
Dr. Adam Lupel, Vice President, IPI
Le 2 octobre 2018, Jamal Khashoggi, journaliste saoudien de renommée internationale exilé aux Etats-Unis en raison de sa critique modérée du prince héritier Mohammad Ben Salmane (MBS), a disparu après avoir pénétré le consulat d’Arabie saoudite à Istanbul. Michel Duclos, conseiller spécial géopolitique à l’Institut, et Soli Özel, journaliste turc spécialiste du Moyen-Orient et Visiting Fellow à l’Institut Montaigne, répondent à nos questions sur les…
Bernard Charlès est directeur général et vice-président du conseil d'administration de Dassault Systèmes ; Jean-Dominique Senard est président de Michelin et vice-président de l'Institut Montaigne. Tous deux sont coprésidents du rapport de l'Institut Montaigne Industrie du futur, prêts, partez !
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Son statut d’outil écologique par excellence, la grelinette la doit notamment à ses dents. C’est d’ailleurs pour cette réputation qui lui colle à la peau que vous avez décidé d’en faire votre allié dans votre projet de permaculture. Mas voilà ! Entre les modèles à 3, 4 voire 5 dents, difficile de faire un choix judicieux lorsqu’on est novice. Sur quelles bases faire votre choix ? C’est la question que vous vous posez actuellement et qui mérite une réponse éclairée.
Grelinette à 3 ou 4 dentsVous devez savoir, au moment de choisir votre grelinette, que le nombre de dents dépend à la fois de l’usage et de la caractéristique la terre à travailler. En effet, si vous utilisez l’outil pour la première fois, il est préférable d’opter pour un modèle à 3 ou 4 dents. Plus il y a de dents, plus la grelinette est difficile à manier. Aussi, l’idéal serait de commencer par le plus léger, se familiariser à l’outil avant d’envisager un modèle plus grand.
Néanmoins, si vous maitrisez déjà l’usage de cet outil, il faudra être regardant sur l’état de la terre. Il serait plus judicieux de vous lancer dans l’achat d’une grelinette à 3 ou 4 dents lorsque la terre n’a jamais été travaillée et est en même temps très tassée.
De même, les terres argileuses seront plus faciles à travailler avec ces modèles, car elles nécessitent un travail en deux sens perpendiculaires pour arriver à casser les mottes d’argile. Avec l’argile qui s’accroche à la grelinette, celle-ci s’alourdit. Vous appréciez donc qu’elle soit légère à la base.
Pour finir, le recours à une grelinette à 3 ou 4 dents est indispensable lorsque vous devez l’utiliser dans les allées de votre potager pour désherber ou aérer. Grâce à la petite largeur, vous risquez moins d’abîmer vos légumes ou de déraciner les plants.
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Grelinette à 5 dentsLe choix d’une grelinette à 5 dents se fait de manière aussi consciencieuse qu’un modèle de petit format. La grelinette à 5 dents est présentée comme l’outil des maraîchers professionnels ; ceux qui l’utilisent depuis plusieurs années et ont eu le temps de l’approprier la bonne technique.
De même, lorsque la superficie du terrain est vaste, ce modèle réduira la masse de travail. Cela permet notamment d’aller beaucoup plus vite. En effet, plus il y a de dents et plus l’outil est large, car 11 cm sépare chaque dent. Avec un modèle à 5 dents, vous travaillez 44 cm de terre contre 33 cm pour un modèle à 4 dents et 22 cm pour un modèle à 3 dents. Cela représente donc un gain d’efficacité de 25 à 50%.
Ce détail est d’autant plus intéressant que la superficie de terre travaillée est de 10 cm supérieure à la largeur de la grelinette, à raison de 5cm de chaque côté. Avec un modèle à 5 dents, vous travaillez en réalité 54 cm de terre.
La grelinette à 5 dents est cependant recommandable lorsque la terre à travailler est meuble et peu tassée. C’est une caractéristique qu’ont naturellement certaines terres, même si les potagers travaillés depuis plusieurs années respectent davantage ce critère.
Vous aurez plus d’infos sur ce blog de grelinette.
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L’émergence des outils numériques a modifié en profondeur les règles du jeu de la politique d’influence des Etats. L’accès aux contenus de toutes sortes (éducatifs, culturels, scientifiques) via des plateformes en ligne les met en situation de concurrence avec des organisations privées pour saisir l’attention et transmettre leurs messages. Gilles Babinet appelle ici les pouvoirs publics à revoir leur ambition à la hausse pour redéfinir la politique d’…
L'Institut Randstad et l‘Observatoire du Fait religieux en Entreprise (OFRE) ont présenté en septembre dernier la 6ème édition du baromètre sur le fait religieux en entreprise. Que nous apprend cette nouvelle édition ? Lionel Honoré, professeur des universités et directeur de l’OFRE, décrypte pour l’Institut Montaigne les résultats de cette étude.
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