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Updated: 1 month 1 day ago

Burkina/15ᵉ édition du SITHO : Les exposants et les visiteurs s'expriment

Mon, 29/09/2025 - 18:27

Le SITHO, bien plus qu'un simple salon, est un évènement qui rassemble non seulement des professionnels du tourisme, mais aussi des investisseurs, des amoureux de la culture autour d'un même objectif. Mais derrière les stands et les animations, ce sont surtout les expériences vécues qui marquent les esprits. Nous sommes allés à la rencontre des exposants et des visiteurs pour recueillir leurs impressions, leur satisfaction et leurs attentes pour les prochaines éditions.

Categories: Afrique

République populaire de Chine : Un ancien ministre de l'Agriculture condamné à mort pour corruption

Mon, 29/09/2025 - 18:00

L'ancien ministre de l'Agriculture et des Affaires rurales chinois, Tang Renjian, a été reconnu coupable d'avoir accepté des pots-de-vin en espèces et en biens, représentant un montant total de plus de 32 millions d'euros. La sentence tombée, le dimanche 28 septembre 2025, est lourde : condamnation à mort, avec sursis à exécution de deux ans.

Il est reproché à cette personnalité d'avoir accepté des pots-de-vin en espèces et en biens pour un montant total de plus de 268 millions de yuans (32 millions d'euros) de 2007 à 2024.

Ces pots-de-vin « ont causé des pertes particulièrement graves aux intérêts de l'État et du peuple, et justifiaient donc la peine de mort », rendent comptent des médias sur place, citant un communiqué du tribunal populaire de Changchun (nord-est du pays).

Toujours selon des confrères, s'appuyant sur le communiqué, l'accusé, Tang Renjian, a avoué ses « crimes » et exprimé des remords.

Avant d'être ministre de l'Agriculture (2020-2024), Tang Renjian, a notamment été gouverneur de la province du Gansu (nord-ouest du pays) et vice-président de la région autonome du Guangxi (partie sud de la Chine).

Son épinglement s'inscrit dans le cadre d'enquêtes pour corruption ayant visé des anciens ministres de la Défense, dont l'un a été démis de ses fonctions, seulement sept mois après son entrée en fonction, puis exclu du Parti communiste chinois pour des infractions de soupçons de corruption. Celui qui lui a succédé aurait également fait l'objet d'une enquête pour corruption.

Avant ces derniers, en fin juin 2025, c'est un amiral de haut rang de la marine de l'Armée populaire de libération, qui a été démis de ses fonctions, après avoir, une année avant, été suspendu et mis en examen « pour graves manquements à la discipline », assimilable à de la corruption.

Cette condamnation est, apprend-on, la dernière en date de la vaste campagne anti-corruption menée par le président chinois, Xi Jinping, qui a ‘'balayé'' plusieurs personnalités de haut rang. Une action que les partisans de cette campagne applaudissent, estimant qu'elle favorise une gouvernance irréprochable tandis que les détracteurs estiment, d'eux, qu'elle offre au président Xi Jinping, le pouvoir d'écarter des rivaux politiques.

O.L.
Lefaso.net

Categories: Afrique

République populaire de Chine : À la découverte de la Cité interdite, le plus grand complexe de palais au monde

Mon, 29/09/2025 - 17:16

Construite au début du XVᵉ siècle, sous la dynastie Ming, la Cité interdite s'étend sur 720 000 m², dont 150 000 m² bâtis. Également appelée Musée du Palais, elle a servi de résidence impériale pendant plus de 500 ans, abritant 24 empereurs des dynasties Ming et Qing. Reportage sur une demi-journée au cœur du plus vaste complexe palatial et de structures en bois du monde.

Si les gratte-ciel et les ponts spectaculaires de la Chine moderne impressionnent les visiteurs, la Cité interdite fascine encore davantage. Composée de palais grandioses, de jardins élégants et de pavillons sacrés, elle était autrefois interdite à la majorité des sujets de l'empire, d'où son nom. Aujourd'hui, elle est devenue un haut lieu de pèlerinage pour les touristes venus du monde entier.

Ce mercredi 24 septembre 2025, la foule est dense à la porte de la Cité interdite : personnes âgées s'appuyant sur leur bâton, visiteurs en fauteuil roulant, enfants accrochés à leurs parents, couples main dans la main… Tous attendent en file indienne. Avant d'entrer, chaque identité est vérifiée par reconnaissance faciale. Puis le véritable périple commence : 980 bâtiments, plus de 70 palais et salles, disposés avec une symétrie parfaite et des couleurs éclatantes.

Les visiteurs parcourent les bâtiments les uns après les autres

La visite, semblable à un parcours du combattant, épuise rapidement les visiteurs. Certains, à bout de souffle, s'assoient sur les marches pour reprendre des forces. « Chaque bâtiment franchi ressemble à une victoire », lance un touriste, visiblement épuisé après en avoir parcouru six. Après une dizaine de bâtiments, notre équipe choisit de rebrousser chemin, consciente de l'immensité du site.

En moyenne 40 000 visiteurs par jour

La construction de ce complexe monumental dura 14 ans (1406-1420). « C'est le plus grand complexe de palais et de structures en bois au monde », explique Susan Su, professeure au Centre de langue et de culture de Beijing pour les missions diplomatiques, précisant que la Cité interdite attire en moyenne 40 000 visiteurs par jour.

Les toits, murs et cours sont richement décorés de dragons, phénix et autres créatures mythiques, symboles de pouvoir, de prospérité et de bonne fortune. Chaque détail architectural témoigne de la recherche d'harmonie et d'équilibre chère à la culture chinoise.

La Salle de l'Harmonie suprême

La Salle de l'Harmonie suprême

Le bâtiment le plus imposant du site est la Salle de l'Harmonie suprême, lieu des grandes cérémonies d'État et des couronnements impériaux. Elle est suivie de la Salle de l'Harmonie centrale, où l'empereur se préparait aux événements importants, et de la Salle de l'Harmonie préservée, qui servait notamment pour les banquets et les examens impériaux.

Le complexe abrite également un musée renfermant une collection estimée à 1,8 million d'objets culturels : peintures, calligraphies, céramiques, jades et trésors impériaux. Une bibliothèque conserve quant à elle de précieux manuscrits et documents historiques retraçant l'histoire de la Chine.

Susan Su, professeure au Centre de langue et de culture de Beijing pour les missions diplomatiques

Entre symbolisme et préservation

Selon les explications des guides, la conception de la Cité interdite s'inspire des principes du yin et du yang ainsi que du feng shui, symbolisant l'harmonie entre le ciel et la terre. Pour eux, le gouvernement chinois consacre d'importants moyens à la préservation de ce patrimoine, avec des projets de restauration réguliers. Le Musée du Palais collabore également avec des institutions internationales pour des expositions et échanges culturels, confient-t-ils.

Classée au patrimoine mondial de l'UNESCO, la Cité interdite demeure aujourd'hui l'un des joyaux les plus emblématiques de la Chine.

Serge Ika Ki
Lefaso.net

Categories: Afrique

SITHO 2025 : « Nous envoyons au monde l'image d'un Burkina Faso debout, résilient, qui ne subit pas l'histoire », Jean Emmanuel Ouédraogo

Mon, 29/09/2025 - 14:26

Les rideaux sont tombés sur le Salon international du tourisme et de l'hôtellerie de Ouagadougou (SITHO), le dimanche 28 septembre 2025. L'événement, présidé par Rimtalba Jean Emmanuel Ouédraogo, représenté par le ministre en charge du tourisme, Gilbert Ouédraogo, a drainé beaucoup de monde et engrangé bon nombre d'acquis. Son discours marquant le clap de fin a été un remerciement aux acteurs qui ont fait de cet événement une réussite.

Le SITHO a tenu toutes ses promesses et le Premier ministre Rimtalba Jean Emmanuel Ouédraogo, par la voix du ministre en charge du tourisme, l'a exprimé dans son discours de clôture. « L'effervescence dans les allées, la qualité des rencontres professionnelles et surtout l'appropriation de l'événement par la population nous confortent dans nos orientations », s'est-il exprimé.

Le ministre Gilbert Ouédraogo a visité les stands des différents pays spéciaux le vendredi 26 décembre

« Nous avons assisté à bien plus qu'un salon professionnel. Nous avons vécu un véritable moment, une fête populaire, un moment de communion nationale, où chaque citoyen a pu redécouvrir la richesse infinie de notre propre patrimoine. Cette adhésion populaire est le socle sur lequel nous bâtirons l'avenir durable de notre tourisme », se convainc le Premier ministre.

Quelques bracelets exposés au cours de cet événement

Rappelons que le Mali et le Niger étaient les pays invités spéciaux de cette 15ᵉ édition. « Ensemble, nous avons posé les fondations d'un écosystème touristique sahélien intégré où la circulation des personnes et la promotion du circuit conjoint deviendront la norme créant ainsi un espace de prospérité partagée et de paix consolidée », a affirmé le représentant de Jean Emmanuel Ouédraogo.

« La présence de nos frères du Mali et du Niger a transformé nos discussions en véritables dialogues stratégiques », Jean Emmanuel Ouédraogo, par la voix de Gilbert Ouédraogo

Avec le Ghana, les partenariats ont été élargis, souligne-t-il, toute chose qui a permis un rapprochement avec les peuples du Sahel et les autres nations africaines. « Le Ghana, par sa riche expérience touristique et sa vision novatrice, a inspiré nos débats et contribué à l'élévation de la qualité de cette édition », a-t-il avoué, ajoutant que cette édition est une fois de plus, une preuve de résilience du Burkina Faso face aux défis qui lui sont imposés.

Le ministre de la communication a félicité le président du comité d'organisation Fidèle Tamini pour la réussite de l'événement

« En assurant un environnement propice pour cet événement d'envergure, l'État burkinabè a démontré par les actes son engagement indéfectible à protéger et à promouvoir les activités économiques sur l'ensemble du territoire. Ce salon est la conséquence logique d'une volonté politique et d'un professionnalisme sans faille de l'ensemble des acteurs. Nous envoyons au monde l'image d'un Burkina Faso debout, résilient, qui ne subit pas l'histoire mais qui l'écrit avec audace, abnégation et maestria », a-t-il lancé pour finir.

Erwan Compaoré
Lefaso.net

Categories: Afrique

‎SITHO 2025 : Mali Tourisme salue l'organisation de l'édition

Mon, 29/09/2025 - 12:58

Le Mali, un des pays invités spéciaux à la 15ᵉ édition du Salon international du tourisme et de l'hôtellerie de Ouagadougou (SITHO), a mobilisé une forte délégation pour l'occasion. Mali Tourisme, l'Agence nationale de promotion du tourisme malien, a exprimé sa satisfaction quant à l'organisation de l'événement. ‪Lefaso.net‬ s'est entretenu avec son directeur général, Sidi Keïta, qui a lancé un appel en faveur d'un tourisme régional renforcé. Vidéo.

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Categories: Afrique

Appel à candidatures pour l'admission en master niveau 2 au titre de l'année universitaire 2025-2026

Mon, 29/09/2025 - 11:30

Le Président de l'Université Thomas SANKARA (UTS) informe le public (étudiants et travailleurs) du recrutement d'auditeurs en Master professionnel niveau 2 à former à l'Institut Universitaire de Formations Initiale et Continue (IUFIC) au titre de l'année universitaire 2025-2026. Sont concernés, les cursus suivants :

• Conseil Juridique d'Entreprise (CJE) ;
• Droit des Affaires et Fiscalité (DAF) ;
• Droit Pénal et Sciences Criminelles (DPSC) ;
• Comptabilité Contrôle Audit (CCA) ;
• Executive Master of Business Administration (Executive MBA) ;
• Finance Comptabilité Contrôle (FCC) ;
• Finance Quantitative et Gestion des Risques Financiers (FQGRF) ;
• Intelligence Economique et Développement International (IEDI) ;
• Politique de Développement et Gestion des Industries Extractives (PDGIE) ;
• Ingénierie Statistique de l'Environnement (ISE) ;
• Développement Local et Gestion des Collectivités Territoriales (DevLoc) ;
• Energies Renouvelables, Développement et Economie Verte (ERDEV)
• Protection et Droits de l'Enfant (PDE).

I. DUREE DE LA FORMATION

Les formations se dérouleront sur un (1) an, soit deux (02) semestres.

II. CONDITIONS D'ACCES

• Être titulaire d'un master 1 ou équivalent en sciences juridiques option droit privé pour les cursus suivants :
 Conseil Juridique d'Entreprise (CJE) ;
 Droit Pénal et Sciences Criminelles (DPSC) ;
 Droit des Affaires et Fiscalité (DAF).
• Être titulaire d'un master 1 ou équivalent en sciences économiques ou sciences de gestion pour les cursus suivants :

 Finance Comptabilité Contrôle (FCC) ;
 Comptabilité Contrôle Audit (CCA) ;
 Finance Quantitative et Gestion des Risques Financiers (FQGRF).

• Être titulaire d'un master 1 ou équivalent en sciences politiques, sciences économiques, sciences de gestion, sciences humaines ou sciences de l'information et de la communication pour le cursus Intelligence Economique et Développement International (IEDI).

• Être titulaire d'un master 1 ou équivalent en sciences humaines, sciences juridiques, sciences politiques ou sciences economiques pour les cursus ci-après :
 Politique de Développement et Gestion des Industries Extractives (PDGIE) ;
 Développement Local et Gestion des Collectivités Territoriales (DevLoc) ;
 Energies Renouvelables, Développement et Economie Verte (ERDEV) ;
 Protection et Droits de l'Enfant (PDE).

• Être titulaire d'un master 1 ou équivalent en sciences économiques, sciences de gestion, sciences humaines, sciences exactes et appliquées pour le cursus Ingénierie Statistique de l'Environnement (ISE).

• Être titulaire d'un master 1 ou équivalent en sciences juridiques, sciences économiques ou sciences de gestion dans le cursus Executive Master of Business Administration (Executive MBA).

III. COÛT DE LA FORMATION :

• Frais d'inscription :
 51 500 FCFA pour les ressortissants des pays de l'UEMOA ;
 251 500 CFA pour les ressortissants Zone hors UEMOA.

• Frais de formation :
 1 712 000 FCFA pour le cursus Executive MBA ;
 856 000 FCFA pour les autres Masters ;
 Paiement en quatre (4) tranches (sur la plateforme Campusfaso par Coris Money/Moov Money/Orange Money) selon les modalités suivantes :

IV. MODALITES DE CANDIDATURE :

• Dossier de candidature à déposer en ligne sur la plateforme www.campusfaso.bf à travers le menu “Candidature”, comprenant les pièces suivantes :
 Copie légalisée de l'attestation du BAC/Diplôme du BAC ;
 Photocopies légalisées de l'attestation de la maitrise, de l'attestation de niveau master 1 ou tout autre diplôme équivalent et des relevés de notes de la licence 1 au M1 ou de la première à la quatrième année (scannées dans un seul fichier au format PDF) ;
 Curriculum Vitae (en PDF) ;

 Extrait d'acte de naissance
 Certificat de nationalité
 Lettre de motivation
 Lettre de motivation
 Copie certifiée conforme de la CNIB

• Créer son Identifiant National d'Etudiant (INE) pour ceux qui n'en disposent pas sur la plateforme www.campusfaso.bf en cliquant sur « Ouvrir mon compte » puis sur le menu « inscription ancien bac » pour les nationaux ou sur « bac étranger » pour les non nationaux.

• Frais de dossier non remboursables d'un montant de quinze mille cinq cents (15 500) Francs CFA, payables via la plateforme www.campusfaso.bf par Coris Money, Moov Money ou Orange Money.

Dépôt de dossier : du 18 juillet au 03 octobre 2025 ;

Publication des résultats de sélection : 15 octobre 2025 ;

Début des cours : novembre 2025.

N.B. Les enseignements se dérouleront en présentiel, en soirée du lundi au vendredi de 17 heures à 21 heures et les samedis à partir de 08 heures. Pour de plus amples informations, veuillez consulter le site de l'UTS www.uts.bf et la page Facebook de l'IUFC.

Pr Pam ZAHONOGO
Chevalier de l'Ordre des Palmes académiques
Officier de l'Ordre de mérite congolais

Categories: Afrique

Appel à candidatures pour l'admission en master niveau 1 au titre de l'année universitaire 2025-2026

Mon, 29/09/2025 - 11:30

Le Président de l'Université Thomas SANKARA (UTS) informe le public (étudiants et travailleurs) du recrutement d'auditeurs en Master professionnel niveau 1 à former à l'Institut Universitaire de Formations Initiale et Continue (IUFIC) au titre de l'année universitaire 2025-2026. Sont concernés, les cursus suivants :

• Intelligence Economique et Développement International (IEDI) ;
• Comptabilité Contrôle Audit (CCA) ;
• Droit des Affaires et Fiscalité (DAF) ;
• Développement Local et Gestion des Collectivités Territoriales (DevLoc) ;
• Energies Renouvelables, Développement et Economie Verte (ERDEV) ;
• Finance Comptabilité Contrôle (FCC) ;
• Finance Quantitative et Gestion des Risques Financiers (FQGRF) ;
• Ingénierie Statistique de l'Environnement (ISE) ;
• Politique de Développement et Gestion des Industries Extractives (PDGIE) ;
• Protection et Droits de l'Enfant (PDE).

I. DUREE DE LA FORMATION

Les formations se dérouleront sur un (1) an, soit deux (02) semestres (semestre 1 et semestre 2).

II. CONDITIONS D'ACCES

• Être titulaire d'un diplôme de licence en sciences juridiques ou tout autre diplôme admis en équivalence, pour le cursus Droit des Affaires et Fiscalité (DAF).
• Être titulaire d'un diplôme de licence en sciences économiques ou sciences de gestion ou tout autre diplôme admis en équivalence, pour les cursus suivants :
Finance Comptabilité Contrôle (FCC) ;
Comptabilité Contrôle Audit (CCA)
Finance Quantitative et Gestion des Risques Financiers (FQGRF).
• Être titulaire d'un diplôme de licence en sciences politiques, sciences économiques, sciences de gestion, sciences humaines, sciences de l'information et de la communication ou tout autre diplôme admis en équivalence, pour le cursus Intelligence Economique et Développement International (IEDI).
• Être titulaire d'un diplôme de licence en sciences humaines, sciences juridiques, sciences politiques, sciences économiques ou tout autre diplôme admis en équivalence, pour les cursus ci-après :
 Politique de Développement et Gestion des Industries Extractives (PDGIE) ;
 Développement Local et Gestion des Collectivités Territoriales (DevLoc) ;
 Energies Renouvelables, Développement et Economie Verte (ERDEV) ;
 Protection et Droits de l'Enfant (PDE).

• Être titulaire d'un master 1 ou équivalent en sciences économiques, sciences de gestion, sciences humaines, sciences exactes et appliquées pour le cursus Ingénierie Statistique de l'Environnement (ISE).

III. COÛT DE LA FORMATION :

• Frais d'inscription :

 51 500 FCFA pour les ressortissants des pays de l'UEMOA ;
 251 500 CFA pour les ressortissants Zone hors UEMOA.
• Frais de formation :
 856 000 FCFA
 Paiement en quatre (4) tranches (sur la plateforme Campusfaso par Coris Money/Moov Money/Orange Money) selon les modalités suivantes :

301 500 F CFA FCFA avant le début des cours ;
191 500 F CFA FCFA au plus tard fin février 2026 ;
191 500 F CFA FCFA au plus tard fin avril 2026 ;
171 500 FCFA F CFA au plus tard fin juin 2026.

IV. MODALITES DE CANDIDATURE :

• Dossier de candidature à déposer en ligne sur la plateforme www.campusfaso.bf à travers le menu “Candidature”, comprenant les pièces suivantes :
 Copie légalisée de l'attestation du BAC/diplôme du BAC ;
 Curriculum Vitae (CV) détaillé daté et signé avec photo (fichier unique en PDF) ;
 Photocopies légalisées de l'attestation de licence et des relevés de notes dela licence 1 à la licence 3 (scannées dans un seul fichier PDG) ;
 Extrait d'acte de naissance ;
 Certificat de nationalité ;
 Copie certifiée conforme de la CNIB.

• Créer son Identifiant National d'Etudiant (INE) pour ceux qui n'en disposent pas sur la plateforme www.campusfaso.bf en cliquant sur « Ouvrir mon compte » puis sur le menu « inscription ancien bac » pour les nationaux ou sur « bac étranger » pour les non nationaux.

• Frais de dossier non remboursables d'un montant de quinze mille cinq cents (15 500) Francs CFA, payables via la plateforme www.campusfaso.bf par Coris Money, Moov Money ou Orange Money.
 Dépôt de dossier : du 18 juillet au 03 octobre 2025 ;
 Publication des résultats de sélection : 15 octobre 2025 ;
 Début des cours : novembre 2025.

N.B. Les enseignements se dérouleront en présentiel, en soirée du lundi au vendredi de 17 heures à 21 heures et les samedis à partir de 8 heures. Pour de plus amples informations, veuillez consulter le site de l'UTS www.uts.bf et la page Facebook de l'IUFC.

Pr Pam ZAHONOGO
Chevalier de l'Ordre des Palmes académiques
Officier de l'Ordre de mérite congolais

Categories: Afrique

Appel à candidatures pour l'admission en Licence niveau 3 au titre de l'année universitaire 2025-2026

Mon, 29/09/2025 - 11:30

Le Président de l'Université Thomas SANKARA (UTS) informe le public (étudiants et travailleurs) du recrutement d'auditeurs en Licence professionnelle niveau 3 (L3) à former à l'Institut Universitaire de Formations Initiale et Continue (IUFIC) au titre de l'année universitaire 2025-2026. Sont concernés, les cursus suivants :

• Comptabilité Contrôle Audit (CCA) ;
• Finance-Comptabilité-Contrôle (FCC) ;
• Marketing et Communication d'Entreprise (MCE) ;
• Gestion des Ressources Humaines (GRH) ;
• Protection et Droits de l'Enfant (PDE) ;
• Sciences Politiques (SP) ;
• Fiscalité.

I. DUREE DE LA FORMATION

Les formations se dérouleront sur un (1) an, soit deux (02) semestres (semestre 5 et semestre 6).

II. CONDITIONS D'ACCES
• L'accès à la licence (L3) est ouvert aux étudiants ayant validé la deuxième année (L2) de licence en sciences économiques, en gestion, ou tout autre diplôme reconnu équivalent pour les cursus suivants :
Finance-Comptabilité-Contrôle (FCC) ;
Comptabilité-Contrôle-Audit (CCA) ;
Marketing et Communication d'Entreprise (MCE).

• L'accès à la licence (L3) est ouvert aux étudiants ayant validé la deuxième année (L2) de licence en sciences économiques, en gestion, en sciences juridiques, ou tout autre diplôme reconnu comme équivalent pour les cursus suivants :
Fiscalité ;
Gestion des Ressources Humaines (GRH) ;
Sociologie de la Santé.

• L'accès à la licence (L3) est ouvert aux étudiants ayant validé la deuxième année (L2) de licence en sciences juridiques, sciences politiques, en sciences économiques, en gestion, ou tout autre diplôme reconnu comme équivalent pour le cursus Sciences politiques.

• L'accès à la licence (L3) est ouvert aux étudiants ayant validé la deuxième année (L2) de licence en sciences humaines, en sciences juridiques, sciences politiques, en sciences économiques, en gestion, ou tout autre diplôme reconnu comme équivalent pour le cursus Protection et Droits de l'Enfant (PDE).

III. COÛT DE LA FORMATION :

• Frais d'inscription :
 51 500 FCFA pour les ressortissants des pays de l'UEMOA
 251 500 CFA pour les ressortissants Zone hors UEMOA.
• Frais de formation :
 506 000 FCFA
 Paiement en quatre (4) tranches (sur la plateforme Campusfaso par Coris Money/Moov Money/Orange Money) selon les modalités suivantes :
201 500 FCFA avant le début des cours
101 500 FCFA au plus tard fin février 2025
101 500 FCFA au plus tard fin avril 2025
101 500 FCFA au plus tard fin juin 2025

IV. MODALITES DE CANDIDATURE :

• Dossier de candidature à déposer en ligne sur la plateforme www.campusfaso.bf à travers le menu “Candidature”, comprenant les pièces suivantes :
 Copie légalisée de de l'attestation du BAC/diplôme du BAC ;
 Extrait d'acte de naissance (PDF) ;
 Curriculum Vitae (CV) détaillé (PDF) ;
 Copie certifiée conforme de la CNIB ;
 Les copies légalisées des relevés de notes des semestres S1, S2, S3 et S4 et de l'attestation du DEUG ou de l'attestation de niveau BAC+2 (scannées dans un seul fichier au format PDF) .

• Créer son Identifiant National d'Etudiant (INE) pour ceux qui n'en disposent pas sur la plateforme www.campusfaso.bf en cliquant sur « Ouvrir mon compte » puis sur le menu « inscription ancien bac » pour les nationaux ou sur « bac étranger » pour les non nationaux.

• Frais de dossier non remboursables d'un montant de quinze mille cinq cents (15 500) Francs CFA, payables via la plateforme www.campusfaso.bf par Coris Money, Moov Money ou Orange Money.
Dépôt de dossier : du 18 juillet au 03 octobre 2025 ;
Publication des résultats de sélection : 15 octobre 2025 ;

Début des cours : novembre 2025.

N.B. Les enseignements se dérouleront en présentiel, en soirée du lundi au vendredi de 17 heures à 21 heures et les samedis à partir de 08 heures. Pour de plus amples informations, veuillez consulter le site de l'UTS www.uts.bf et la page Facebook de l'IUFC.

Pr Pam ZAHONOGO
Chevalier de l'Ordre des Palmes académiques
Officier de l'Ordre de mérite congolais

Categories: Afrique

The U.S. Mission in Ouagadougou is seeking eligible and qualified applicants for the position of Registered Nurse in the Medical Unit

Wed, 24/09/2025 - 12:30

The U.S. Mission in Ouagadougou, Burkina Faso is seeking eligible and qualified applicants for the position of Registered Nurse in the Medical Unit.
Opening Date : September 18, 2025
Closing Date : October 02, 2025
Open to : All Interested Applicants/All Sources
Work Schedule : Full-time (40 hours/week)
SALARY : *Ordinarily Resident (OR) : CFA 18,089,837 p.a. (Starting Salary/Full-Time)
(Position Nurse : FSN-09)

ALL ORDINARILY RESIDENT (OR) APPLICANTS MUST HAVE THE REQUIRED WORK AND/OR RESIDENCY PERMITS TO BE ELIGIBLE FOR CONSIDERATION.

BASIC FUNCTION OF POSITION :

The incumbent serves as the post's nurse with responsibilities that include the medical care of Mission employees and eligible family members under MED approved clinical guidelines, as well as maintenance and inventory of all medical equipment and supplies, implementation of a robust vaccination program, administration of group and individual health education programs, and medical emergency contingency planning for the Mission. The incumbent will work in the Medical Unit under the direct supervision of the Regional Medical Officer (RMO) or Medical Provider (MP).

QUALIFICATIONS REQUIRED :

1. EDUCATION : Degree (RN Level) in Nursing or Diploma/Certificate equivalent from an accredited School of Nursing. Must possess and maintain a valid nursing license or a current unrestricted Registered Nursing license from the host nation, country of origin, or the U.S.

2. EXPERIENCE : A minimum of 2 years of post-qualification work as a professional nurse is required.

3. LANGUAGE : English- Good Working knowledge, reading/speaking/writing is required. This may be tested. French- Fluency, speaking, reading and writing is required. This may be tested.

4. SKILLS AND ABILITIES : The position requires strong interpersonal skills and a client-oriented disposition capable of dealing with a complex interactive challenge in difficult and emotional situations. Must have a solid working knowledge of MED's RN Clinical Practice Guidelines and be familiar with American Nursing Standards of Care. Must be able to perform basic word processing on computer.

5. JOB KNOWLEDGE : The incumbent possesses critical-thinking skills and comprehends MED's policies and procedures regarding medical evacuations, hospitalizations and insurance reimbursement methodology. Must maintain current knowledge of local and regional medical services that can provide care for all acuity levels, including betted specialists and hospitals. Is a resource for arranging the best method to transport critically ill patients and maintains a working relationship with transport facilities.

6. HOW TO APPLY : Applicants must complete the following application process to be considered :

• Create an account on the Electronic Recruitment Application (ERA) Website at https://erajobs.state.gov/dos-era/bfa/vacancysearch/searchVacancies.hms

• Choose Announcement Number Ouaga-2025-007 Registered Nurse FSN-09 and complete the online application.

• Upload any additional documentation that supports or addresses the requirements listed above (e.g. Copies of Attestations/Certificates of Work, degrees certificates, work permits & SF 50 if applicable) into the Electronic Recruitment Application system. click on the "Apply to This Vacancy" to submit your application.
For more information on how to apply, visit the Mission internet site : https://bf.usembassy.gov/jobs/

Required Documents : Please provide the required documentation listed below with your application :

• Degree (RN Level) in Nursing or Diploma/Certificate equivalent from an accredited School of Nursing. Must possess and maintain a valid nursing license or a current unrestricted Registered Nursing license from the host nation, country of origin, or the U.S.

• Residency and/or Work Permit (If applicable)

• DD-214 - Member Copy 4, Letter from Veterans' Affairs, or other supporting documentation (if applicable)

• SF-50 (if applicable)

• Relevant Work attestations and Certificates.

• Others

What to Expect Next : Applicants who are invited to take a language or skills test or who are selected for an interview will be contacted via telephone call and email.

FOR FURTHER INFORMATION : Contact the Human Resources Office on 25 49 53 00.

Note :

• applications received after the deadline will not be considered.
• All applications must be for an open/advertised position.
• Only shortlisted applicants will be contacted.

EQUAL EMPLOYMENT OPPORTUNITY : The U.S. Mission provides equal opportunity and fair and equitable treatment in employment to all people without regard to race, color, religion, sex, national origin, age, disability, political affiliation, marital status, or sexual orientation. The Department of State also strives to achieve equal employment opportunities in all personnel operations through continuing diversity enhancement programs. The EEO complaint procedure is not available to individuals who believe they have been denied equal opportunity based upon marital status or political affiliation. Individuals with such complaints should avail themselves of the appropriate grievance procedures, remedies for prohibited personnel practices, and/or courts for relief.

Categories: Afrique

Avis de recrutement de 05 Commerciaux (H/F)

Wed, 24/09/2025 - 12:00

Une entreprise de la place recrute (05) commerciaux terrains dynamiques et motivés pour renforcer son équipe.
Missions principales
• Prospecter de nouveaux clients et développer le portefeuille existant ;
• Présenter et vendre les services de l'entreprise ;
• Assurer le suivi et la fidélisation de la clientèle ;
• Atteindre les objectifs de vente fixés par la direction.

Profil recherché
• Avoir une bonne aisance relationnelle et un sens développé du contact client ;
• Être autonome, persuasif (ve) et orienté(e) ;
• Niveau d'étude minimum : BEPC
• Maîtriser le français (La maitrise des langues locales serait un atout).

Lieu de travail : Ouagadougou

Composition du dossier de candidature
• Une demande adressée au Directeur Général ;
• Curriculum vitae ;
• Une photocopie de la CNIB .

Procédure de recrutement
• Pré-sélection sur analyse de dossier ;
• Entretien oral avec un jury.

Délai de réception
Les dossiers de candidature sont exclusivement reçus par voie électronique, jusqu'au mardi 30 septembre à l'adresse : offrecommerciale09@gmail.com

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Ouagadougou : L'ambassade de l'Inde lance un appel d'offres pour la fourniture de services de sécurité

Wed, 24/09/2025 - 11:00

L'Ambassade de l'Inde à Ouagadougou sollicite des devis sous pli fermé auprès d'agences de sécurité privées agréées et réputées pour la mise à disposition d'agents de sécurité armés et non armés dans les locaux de la Chancellerie de l'Ambassade de l'Inde à Ouagadougou, au Burkina Faso. Le déploiement débutera après la signature d'un accord avec l'Ambassade. La durée initiale du contrat sera de deux ans et pourra être réduite ou prolongée à la discrétion de l'Ambassade.

Les soumissionnaires éligibles peuvent obtenir le dossier d'appel d'offres, qui peut être téléchargé à partir du site Web officiel de l'Ambassade de l'Inde à Ouagadougou.
( https://www.eoiburkinafaso.gov.in/tenders/ ).

Sd/-
Chef de la sécurité,
Ambassade de l'Inde,
Burkina Faso

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Burkina : L'ASCE-LC relance l'appel à dénonciation de la vente de places dans les établissements publics

Wed, 24/09/2025 - 11:00

Après avoir enregistré 26 dénonciations en 2024 sur la vente illégale de places et la mauvaise gestion des cotisations des parents d'élèves, l'Autorité supérieure de contrôle d'État et de lutte contre la corruption (ASCE-LC) constate la persistance de ces pratiques dans les établissements scolaires. Elle lance un nouvel appel aux parents et témoins pour signaler tout cas de racket lié à l'inscription des élèves pour la rentrée 2025-2026. Cela afin de contribuer à l'assainissement du milieu éducatif au Burkina Faso.

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In Memoriam : Yves Guimbien FrancelinTOE

Wed, 24/09/2025 - 10:00

08 Octobre 2024 – 08 Octobre 2025

« Je suis la résurrection et la vie, celui qui croit en moi, fût-il mort, vivra » Jean 11 : 25
Voilà bientôt un (01) an que le Seigneur a rappelé à lui son serviteur Yves Guimbien Francelin TOE précédemment Directeur des Ressources Humaines et des Affaires Administratives de la Société Cotonnière du Gourma (SOCOMA).

A l'occasion de ce triste anniversaire, les grandes familles TOE, PARE, à Nimina, Toma, Ouagadougou, Bobo-Dioulasso, Dédougou, Abidjan, USA et Canada,
Les grandes familles, SANOU à Baré, Toundogosso, Bobo-Dioulasso, Ouagadougou, Abidjan,
Les grandes familles, SABA à Bagaré, Bobo-Dioulasso, Ouagadougou,
Les familles alliées : BONZI, SANOU, SABA, SOME, KADEOUA, BOLY,
Les oncles et tantes : TOE Christophe à Toma, Sœur TOE Emmanuelle Religieuse SAB à Toma,
Les cousins et cousines : TOE Joseph Corneille à Ouagadougou, ses frères et sœurs, cousins et cousines, neveux et nièces,

Mme TOE / SANOU D. Rosine, épouse de feu Fulgence TOE, ses enfants : Edgar, Maxime, Hugues, Yolande, et petits enfants : Karl, Kemy, Manuela, Janelle, Deyale, Ihsan, Iris, Kylian,
Le fils : Aaron Fulgence Lawatan,

Mme TOE née SABA Windemi Pauline Administrateur des Services Financiers, Directrice de la gestion des finances de la Primature à Ouagadougou,
Vous renouvellent leurs sincères remerciements et leur profonde gratitude pour les nombreuses marques d'amitié, de sympathie, de compassion, de soutiens multiformes.

Ils vous invitent à vous joindre à leurs prières lors de la messe de commémoration, qui aura lieu le Samedi 11 octobre 2025 à 9h00 en l'église Saint Vincent de Paul de Bobo-Dioulasso.
Que l'âme de Yves Guimbien Francelin TOE continue de reposer en paix dans la lumière du Christ.
“... un homme honoré demeure à jamais” ecclésiastique 41 ;13
Union de prières !

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Décès de El Hadj Aliou TRAORE : Remerciements et faire-part

Wed, 24/09/2025 - 09:30

Inal lilahi wa ina ilayhi raji'un

La grande famille TRAORE, à Tougan, Ouagadougou, Bobo-Dioulasso, Koudougou, Fada N'Gourma, Dédougou, USA, Canada.

Les frères Yacouba TRAORÉ, Seydou TRAORÉ et Adama TRAORÉ.

La veuve DIARRA Bah Assita épouse TRAORE

Les enfants Moussa TRAORÉ, Aminata Lokouni OUEDRAOGO/ TRAORÉ, Youssouf Rawelgba TRAORÉ, Ismaïl Rasablga TRAORÉ,

La grande famille DIARRA à Bobo-Dioulasso, Diébougou, Ouagadougou, Niaminey (Mali)

Les familles alliées et Amies : BASSOLE, KABORE, OUATTARA, OUEDRAOGO, MOUTSINGA, ARAGON, KY, BAYA, DEME, TOPAN, SAKO, TANOU, BAGAGNAN, SANOU, SANOGO, TOURE, TRAORE, BELEM, SAWADOGO, ZERBO, GODOGO, PARE,

Leurs enfants, petits-enfants et arrière petits enfants

Remercient sincèrement tous ceux qui ont, de près ou de loin, apporté leur marque de sympathie, de compassion, de solidarité et de soutien multiforme lors du rappel à Dieu, le 08 septembre 2025 et de son inhumation le 09 septembre 2025 ainsi que le dou'a le 11 septembre à Ouagadougou de leur regretté mari, père, frère, beau-frère, ami, grand père et arrière-grand-père El Hadj Aliou TRAORE à l'âge de 86 ans.

La famille s'excuse auprès de toutes les personnes dont les noms n'ont pu être cités, et prie qu'elles trouvent ici l'expression de sa gratitude.

Puisse Allah le Tout Puissant vous en donner la juste rétribution !!

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Burkina/Médecine légale : « Certains pensent que nous passons nos journées dans des morgues sombres », Dr Cheick Ahmed Dao, médecin légiste

Tue, 23/09/2025 - 23:00

Au Burkina Faso, la médecine légale reste entourée de nombreux préjugés et très souvent restreinte à la mort. Pourtant, la réalité est bien différente. Médecin légiste et expert en réparation juridique du dommage corporel, le Dr Cheick Ahmed Dao se situe à l'interface de la médecine et du droit. Son rôle est de mettre la médecine au service de la vérité, de protéger les vivants en rétablissant leurs droits, et de rendre justice aux défunts. Dans cette interview, il explique cette discipline encore méconnue, mais essentielle à l'équilibre de la société et au bon fonctionnement de la justice.

Lefaso.net : Pourquoi avoir choisi une spécialité aussi exigeante et peu connue ici ?

Dr Cheick Ahmed Dao : Justement parce qu'elle est peu connue et essentielle ! Son côté "exigeant" est un défi stimulant. Le Burkina Faso a besoin de toutes ses compétences pour renforcer son système judiciaire et sanitaire. J'ai choisi cette voie par conviction, pour être un pionnier dans un domaine crucial pour notre pays. C'est un choix exigeant, certes, mais c'est aussi un immense privilège de pouvoir apporter son expertise dans des situations souvent difficiles et d'avoir un impact direct sur la recherche de la justice.

Comment définiriez-vous concrètement le rôle d'un médecin légiste dans le contexte burkinabè ?

Concrètement, le médecin légiste au Burkina est un "décrypteur de la vérité par la science". Notre rôle a trois facettes. Pour les défunts, nous déterminons la cause exacte d'un décès par l'autopsie, que ce soit pour une enquête criminelle ou pour répondre à une question médicale. Et pour les personnes vivantes, nous examinons les victimes de violences. Par exemple, les victimes de coups, d'agressions sexuelles ou d'accidents pour constater leurs blessures, évaluer leur incapacité et ainsi documenter les preuves de l'infraction. Il y a aussi notre rôle pour la justice. Nous traduisons nos constatations médicales en un langage clair et accessible pour les magistrats et les avocats, sous forme de rapports d'expertises, afin de les éclairer dans leurs décisions.

Travaillez-vous davantage sur les autopsies ou également sur les victimes de violences ?

Beaucoup moins ! L'autopsie, bien que très médiatisée, n'est qu'une partie de notre travail. Une part tout aussi importante, voire plus grande, est consacrée à la médecine légale des vivants. Nous recevons très fréquemment des victimes d'agressions, d'accidents de la route, de violences conjugales ou de viols. Notre rôle est alors de les écouter, de les examiner avec respect et bienveillance, et de rédiger un certificat médical qui décrit précisément leurs blessures. Ce document devient une pièce maîtresse de leur dossier judiciaire.

Quelle est la part de votre travail qui est la plus sollicitée par la justice au Burkina Faso ?

Actuellement, la médecine légale des vivants est extrêmement sollicitée. Les tribunaux ont un besoin constant d'expertises pour les affaires de coups et blessures, d'accidents de travail ou de la circulation, et surtout pour les dossiers très sensibles comme les violences basées sur le genre et les agressions sexuelles. L'expertise en réparation du dommage corporel, qui permet d'indemniser les victimes, est également une demande croissante et cruciale.

Comment se passe la collaboration entre médecins légistes, police judiciaire et magistrats au Burkina Faso ?

La collaboration est basée sur une complémentarité des rôles. Nous formons une chaîne dont l'objectif commun est la manifestation de la vérité. Les forces de l'ordre (police, gendarmerie) sont sur le terrain. Elles constatent les faits et nous saisissent pour obtenir l'expertise médicale qui confirmera ou infirmera leurs hypothèses. Quant aux magistrats (juges d'instruction, procureurs), ils commandent les expertises et utilisent nos conclusions pour instruire les dossiers et rendre la justice. Notre rôle à nous, médecins experts, est d'apporter un éclairage scientifique neutre, impartial et indépendant à chacun de ces acteurs. Cette collaboration s'améliore de jour en jour grâce à une meilleure compréhension mutuelle de nos métiers respectifs.

Quelles sont les limites rencontrées dans votre travail ?

Les défis sont réels. Nous manquons parfois de moyens techniques (équipements spécialisés, laboratoires) pour des analyses poussées. La pression temporelle est forte, avec un nombre important de dossiers. Enfin, il y a parfois une méconnaissance de notre rôle par le public ou même certains professionnels, qui peuvent nous confondre avec le personnel des pompes funèbres ou ne pas saisir l'utilité d'une autopsie, ce qui peut créer des tensions.

Y a-t-il une forte demande de médecins légistes au Burkina Faso ?

Oui ! Il y a une demande cruciale et grandissante ! Le Burkina Faso, comme tous les pays en évolution juridique et sociale, a un besoin urgent de renforcer son expertise médico-légale. Nous sommes encore trop peu de spécialistes formés pour couvrir l'ensemble du territoire et répondre à toutes les demandes des tribunaux et de la population. La demande est forte, et les opportunités pour les jeunes médecins qui souhaiteraient se lancer sont immenses.

Selon vous, quelles améliorations prioritaires devraient être mises en place pour renforcer votre pratique ?

Je pense à trois améliorations prioritaires avec tout d'abord la formation. Il faut encourager et financer la formation de jeunes médecins dans cette spécialité. Cette dynamique existe et peut être renforcée. Avoir un, voire plusieurs instituts de médecine légale dotés de matériel moderne (radiographie, scanner, laboratoires de toxicologie, d'anatomopathologie, etc.) est essentiel pour améliorer la précision de nos conclusions. Il y a enfin la sensibilisation auprès du public, des autorités traditionnelles et religieuses sur l'utilité de la médecine légale pour lever les réticences culturelles et faire comprendre que notre travail s'inscrit dans le respect des défunts et des familles.

Le Dr Cheik Ahmed Dao est aussi le président du conseil régional de l'Ordre des médecins de Ouagadougou

Comment les familles réagissent-elles lorsqu'une autopsie est demandée, sachant qu'il existe parfois des réticences culturelles ou religieuses ?

Les réactions sont compréhensibles et variées. La douleur de la perte d'un être cher se mêle souvent à une méfiance face à un acte perçu comme intrusif. Beaucoup craignent que cela retarde les obsèques ou ne respecte pas le corps. Mon rôle, et celui des magistrats ou des forces de l'ordre, est alors d'expliquer, avec pédagogie et empathie. Nous expliquons que l'autopsie est un acte médical, réalisé avec la plus grande dignité, dont le but est de répondre aux questions entourant le décès. Il ne s'agit pas de contester les croyances, mais de chercher la vérité, ce qui est souvent une première étape cruciale dans le processus de deuil pour la famille.

Comment gérez-vous la dimension humaine dans un contexte où la mort reste un sujet sensible et sacré ?

C'est le cœur de notre métier. La technique médicale ne suffit pas ; il faut y ajouter une grande humanité. Nous ne devons jamais oublier que le corps que nous examinons était une personne aimée. Nous travaillons toujours avec respect, solennité et discrétion. Le dialogue avec les familles est essentiel. Pour les vivants, l'écoute et la bienveillance sont nos premiers outils. La médecine légale est une spécialité où la science doit toujours être au service de l'humain, jamais l'inverse.

Quels sont les préjugés que les Burkinabè ont souvent sur votre métier ?

Le principal préjugé est de croire que nous sommes "les médecins des morts" et que notre travail est macabre ou morbide. Certains pensent que nous passons nos journées dans des morgues sombres. En réalité, nous sommes "les médecins de la vérité" pour les vivants comme pour les morts. Notre travail est exigeant intellectuellement et émotionnellement, mais il est guidé par l'éthique et le souci de justice. Ce n'est pas un métier de « croque-mort », mais un métier de scientifique au service de la société.

Comment voyez-vous l'avenir de la médecine légale au Burkina Faso ? Quel rôle peut-elle jouer dans la lutte contre l'impunité et pour une meilleure justice ?

Je vois un avenir très prometteur et essentiel. La médecine légale est un pilier incontournable de l'État de droit. Elle joue déjà un rôle clé dans la lutte contre l'impunité en apportant des preuves scientifiques solides et incontestables devant les tribunaux. Que ce soit pour un féminicide, un viol, un accident du travail ou un crime, notre expertise permet d'établir les faits de manière objective. En renforçant cette discipline, le Burkina Faso se dote d'un outil puissant pour une justice plus équitable, plus rapide et plus fiable, qui protège les victimes et garantit les droits de tous.

Quels conseils donneriez-vous à un jeune médecin burkinabè intéressé par cette spécialité ?

Je lui dirais d'oser ! C'est une voie exigeante mais d'une richesse incroyable. Il faut avoir une solide formation médicale générale, une grande intégrité morale, une curiosité scientifique et une force émotionnelle. Il faut être prêt à être un pionnier, à apprendre constamment et à expliquer sans cesse son métier. Mais la récompense est immense : c'est celle de savoir que votre expertise est un maillon fort de la chaîne judiciaire, que vous rendez service à votre pays et que vous donnez une voix à ceux qui n'en ont plus. C'est une vocation.

Qu'avez-vous à ajouter ?

Je voudrais simplement insister sur ceci : la médecine légale n'est pas une discipline à craindre ou à voir comme un mal nécessaire. C'est une alliée pour la vérité et pour la justice. J'invite le public à mieux nous connaître, les autorités à nous soutenir davantage, et mes confrères médecins à collaborer plus étroitement avec nous. Ensemble, nous pouvons bâtir un système où la science médicale sert pleinement la justice et la paix sociale au Burkina Faso.

Interview réalisée par Farida Thiombiano
Lefaso.net

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7ᵉˢ Journées scientifiques de l'INSS : Les sciences sociales au service d'un développement durable

Tue, 23/09/2025 - 22:55

L'Institut des sciences des sociétés (INSS) tient la 7ᵉ édition de ses Journées scientifiques du 23 au 25 septembre 2025 à Ouagadougou, au sein de ses locaux. Cette rencontre biennale, devenue un cadre d'échanges privilégié pour la recherche en sciences humaines et sociales, a été officiellement ouverte sous la présidence du délégué général du Centre national de la recherche scientifique et technologique (CNRST), Dr Emmanuel Nanéma. L'évènement a été placé sous le parrainage du directeur général du Centre national d'études stratégiques (CNES), le général Barthélémy Simporé. La cérémonie s'est déroulée en présence de la directrice de l'INSS, Dre Aoua Carole Bambara/Congo, et du directeur de recherche en anthropologie à l'INSS, Dr Roger Zerbo.

Placée sous le thème « Espaces et sociétés : approches des sciences humaines et sociales pour un développement durable », cette édition réunit chercheurs, universitaires et décideurs autour de six axes de réflexion allant des crises et gouvernance au Sahel aux enjeux liés à l'environnement et à la santé.

Plus de 70 communications attendues

Pour la présidente du comité d'organisation, Dre Marina Paré, ce thème traduit la volonté du comité scientifique « de penser les dynamiques spatiales et sociales dans toute leur complexité, leur diversité et leurs interconnexions ». La rencontre se veut un lieu de dialogue interdisciplinaire et un espace de production de savoirs utiles à l'action publique.

« Nous aurons le plaisir d'écouter plus de 70 communications, réparties en 18 sessions thématiques, et 2 panels. Des conférences, des stands d'exposition, des posters scientifiques, des moments conviviaux viendront enrichir ces journées », a renchéri Dre Marina Paré.

« Nos participants viennent de divers horizons, en l'occurrence du Bénin, de la Côte d'Ivoire, du Ghana, de Madagascar, du Mali, du Niger, du Sénégal, et du Burkina Faso », Dre Marina Paré, présidente du comité d'organisation

La directrice de l'INSS, Dre Aoua Carole Bambara/Congo, a rappelé que ces journées sont nées de la nécessité de valoriser les résultats de la recherche en sciences humaines et sociales. « Contrairement à une perception populaire, la recherche en sciences humaines et sociales est productive. Le défi reste dans la mise à l'épreuve et la diffusion de ces résultats pour le développement de nos États », a-t-elle affirmé.

Après avoir chaleureusement salué l'assistance dans plusieurs langues locales, la directrice de l'INSS a exprimé ses vœux de bienvenue aux participants. Elle a souhaité un agréable séjour aux invités, les encourageant à profiter de leur passage à Ouagadougou pour visiter des sites mémorables de la capitale et de ses environs. À travers cette invitation, elle a souligné que ces découvertes constituent une immersion dans l'histoire d'un peuple et d'une nation forte malgré l'adversité.

« Notre institution est composée de 115 chercheurs, dont 6 directeurs, 20 maîtres et 40 chargés de recherche dans les diverses disciplines des sciences sociales et humaines », Dre Aoua Carole Bambara/Congo, directrice de l'INSS

Des sciences sociales comme passerelles de développement

Parrain de la cérémonie, le général Barthélémy Simporé a salué la pertinence de l'initiative. Selon lui, les sciences des sociétés constituent « un pont entre le passé, le présent et l'avenir », permettant de construire des passerelles solides pour le développement, en s'appuyant sur des résultats fiables. « Elles assurent la liaison entre les sciences naturelles appliquées, les sciences de la santé et les savoirs produits au sein de nos sociétés », a-t-il souligné.

Le général Simporé ajoute que les modes d'occupation et d'utilisation de l'espace sont les produits de décisions prises par les acteurs et les groupes sociaux en fonction des intérêts qu'ils poursuivent. Ces logiques, estime-t-il, peuvent conduire à l'émergence de situations critiques, parfois dommageables pour le vivre ensemble. La pacification des espaces et des interactions sociales implique ainsi, selon lui, l'identification et la localisation des acteurs, la compréhension de leurs motivations, ainsi que l'appréciation des marges de libertés dont ils disposent.

« Entre l'INSS et le CNES, il existe déjà des centres d'intérêt communs autour de problématiques ayant un enjeu stratégique pour notre pays, la sous-région et le monde », le général Barthélémy Simporé, directeur général du CNES

Le délégué général du CNRST, Dr Emmanuel Nanéma, a, pour sa part, insisté sur l'impact durable des sciences sociales dans l'amélioration des conditions de vie. Pour lui, la recherche ne doit pas se réduire à un exercice académique, mais demeurer « pertinente, engagée et tournée vers la résolution des problèmes concrets ».
« Je ne saurais terminer sans exprimer ma profonde gratitude à tous ceux qui ont contribué à l'organisation de ces journées scientifiques. Je tiens à remercier chaleureusement le parrain pour avoir accepté de parrainer cette édition. Je me réjouis également des perspectives de collaboration à formaliser entre votre auguste structure, le CNES et l'INSS », a-t-il précisé.

« Dans tout l'espace CAMES qui regroupe 18 pays, le CNRST a été la toute première institution d'enseignement et de recherche en termes de résultats, au Comité consultatif interafricain 2025 », Dr Emmanuel Nanéma, délégué général du CNRST

Une invitation à penser l'avenir autrement

Au-delà des communications et panels, cette 7ᵉ édition des Journées scientifiques de l'INSS apparaît comme un appel à repenser la place des sciences sociales dans les politiques publiques. En explorant les interactions entre espace et société, chercheurs et praticiens ambitionnent de dégager des pistes concrètes pour un développement inclusif et durable.

Le Pr Alkassoum Maïga, sociologue du développement et ancien ministre de l'Enseignement supérieur, a donné le ton à cette 7ᵉ édition en livrant la communication inaugurale sur le thème « Approches des sciences humaines et sociales pour un développement durable ». Son intervention a permis de situer les enjeux et de rappeler l'importance d'un dialogue constant entre savoirs scientifiques et action publique.

Le Pr Alkassoum Maïga, sociologue du développement, ancien ministre de l'Enseignement supérieur, a rappelé qu'il n'existe pas de science qui soit au-dessus de l'autre

Les résultats de recherche de l'INSS

Au cours des trois dernières années, l'INSS s'est illustré par une production scientifique et technologique diversifiée, traduisant son engagement à répondre aux défis sociétaux. Parmi ses réalisations phares, l'on note l'élaboration d'une carte retraçant l'évolution des lieux d'approvisionnement des tradipraticiens en plantes dans le Kadiogo, ainsi que la mise au point de Tiis-raaga, une application numérique accessible sur téléphone portable et ordinateur (https://tiis-raaga.net), qui répertorie les fournisseurs de plantes médicinales.
L'Institut a également conçu un manuel de sécurité routière destiné aux enseignants du primaire, un répertoire des savoirs et savoir-faire traditionnels dans la préparation du dolo, ainsi qu'un guide méthodologique pour lutter contre le décrochage et l'abandon scolaire des élèves déplacés internes (EDI). Dans la même dynamique, l'INSS a implanté sur Play Store un lexique de la langue koromfé et publié un manuel du paquet technologique du “Bonjour”, du “Merci” et du “Pardon” pour les enfants.

La cérémonie d'ouverture s'est achevée par une visite des stands d'exposition, offrant aux officiels l'occasion de découvrir la richesse et la diversité des travaux de recherche menés au sein de l'INSS

À côté de ces innovations concrètes, ses recherches se sont aussi orientées vers des thématiques transversales telles que la santé, l'insécurité, l'intolérance religieuse, la communication en situation de crise ou encore les changements climatiques, confirmant sa vocation à produire des savoirs au service de la société.
Entre diffusion de résultats, débats scientifiques et regards croisés, ces journées confirment la vocation de l'INSS : faire de la recherche en sciences sociales un levier de changement positif, capable d'accompagner les transformations sociales, culturelles et économiques du Burkina Faso et de l'Afrique.

Hamed Nanéma
Crédit photos : Bonaventure Paré
Lefaso.net

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80e anniversaire de l'ONU : Le Burkina Faso veut contribuer à la construction d'un monde plus juste et solidaire

Tue, 23/09/2025 - 22:50

Le Premier ministre Jean Emmanuel Ouédraogo est à New York, où se tient le 80e anniversaire de l'Organisation des Nations unies (ONU). En y participant, le Burkina Faso veut contribuer "activement au renforcement du multilatéralisme et à la construction d'un monde plus juste et solidaire", lit-on sur la page Facebook de la Primature du Burkina.

Ce lundi 22 septembre 2025, à la réunion de haut niveau consacrée à cet événement qui réunit la quasi totalité des pays du monde, un documentaire retraçant les grandes réalisations de l'institution a été projeté, histoire de rappeler le travail abattu par l'ONU, depuis sa création en 1945, jusqu'à nos jours.

Selon la nouvelle présidente de l'Assemblée générale des Nations unies, Annalena Baerbock, cette célébration est, dit-elle : "une occasion unique de mettre en avant les réalisations accomplies par l'ONU et ses agences spécialisées, mais aussi d'explorer les actions nécessaires pour relever les défis majeurs qui se posent aujourd'hui à l'humanité".

Le Secrétaire général de l'ONU, António Guterres, a, lui, appelé à une refonte de la coopération internationale, en insistant sur l'urgence de renforcer la solidarité mondiale ; cela dans un contexte de plus en plus marqué par les divisions géopolitiques et la multiplication des conflits dans le monde.

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Source : Primature du Faso

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