You are here

Diplomacy & Defense Think Tank News

Atlantico – Cop 21, le tournant ? Tout ce qui a changé depuis l’échec de la conférence sur le climat de Copenhague

Fondapol / Général - Mon, 30/11/2015 - 12:53

A l'ouverture de la COP21, interview de Albert Bressand, Robert Dardanne et Jean-Paul Maréchal, parue dans Atlantico le 29 novembre 2015. Albert Bressand est auteur pour la Fondation pour l’innovation politique de : Good COP 21 Bad COP 21 : le Kant européen et le Machiavel chinois et Good COP 21 Bad COP 21 : Une réflexion à contre-courant.
Si la conférence sur le climat de Copenhague a été un échec, les espoirs se portent désormais sur la Cop21 qui se déroulera à Paris. Depuis 2009, la prise de conscience du réchauffement climatique dans le monde incite les États à se montrer responsables.

Cet article Atlantico – Cop 21, le tournant ? Tout ce qui a changé depuis l’échec de la conférence sur le climat de Copenhague est apparu en premier sur Fondapol.

Эксперт по Турции: Сбить Су-24 было политическим решением Анкары

SWP - Mon, 30/11/2015 - 10:06
Немецкий эксперт Гюнтер Зойферт считает, что Турция зашла в тупик в своей политике в отношени Сирии...

"EU muss Türkei faires Angebot machen"

SWP - Mon, 30/11/2015 - 09:42
Die Erwartungen der EU an die Türkei sind vor dem Gipfel sehr groß. Doch die EU verhandle nicht auf...

Dialog mit Politik und Zivilgesellschaft in Moskau

Hanns-Seidel-Stiftung - Sun, 29/11/2015 - 09:54
Seit drei Jahren müssen sich in Russland Vereine und Verbände, die Gelder aus dem Ausland erhalten und sich politisch betätigen, als "ausländische Agenten" registrieren lassen. Vom 29. November bis 1. Dezember 2015 informierte sich eine Delegation aus Bayern in Moskau über die Arbeitsbedingungen nichtstaatlicher Organisationen.

Faut-il parler de guerre contre le terrorisme ?

Centre Thucydide - Sat, 28/11/2015 - 17:56

avec l'aimable autorisation de Telos

Après les attentats du 13 novembre dernier à Paris, François Hollande a déclaré, devant le Congrès réuni à Versailles le surlendemain, que la France était « en guerre » ; qu'elle avait été l'objet d'une « agression », d' « actes de guerre » ; il a parlé de « la durée et la dureté avec laquelle (sic) nous devons combattre », et promis que la France serait « impitoyable ». Annonçant les premières réponses militaires françaises, il a dit : « il n'y aura dans cette action aucun répit et aucune trêve ». « Nous éradiquerons le terrorisme, (…) le terrorisme ne détruira pas la république, car c'est la république qui le détruira », a-t-il conclu.

Dans son discours, le Président de la république a précisé qu'il s'agissait d' « une guerre d'un autre type face à un adversaire nouveau ». Il l'a désigné : « notre ennemi, notre ennemi en Syrie, c'est Daech », organisation disposant « d'une assise territoriale, de ressources financières et de capacités militaires. (…) Il ne s'agit pas de contenir mais de détruire cette organisation ». Il a appelé à cette fin à la constitution d'une « grande et unique coalition », en déplorant que la communauté internationale soit restée « divisée et incohérente » face à elle. Mais, au-delà de Daech, François Hollande a rappelé que : « nous sommes en guerre contre le terrorisme djihadiste qui menace le monde entier et pas seulement la France », parlant de « cette guerre, qui dure depuis plusieurs années ».

Le discours de François Hollande fait écho point par point à celui prononcé par George Bush le 20 septembre 2001 devant le Congrès : c'était aussi un discours de guerre, qui identifiait deux ennemis, Al Qaïda, que Bush promettait de détruire, et au-delà, le terrorisme global contre lequel il annonçait une campagne longue et difficile visant à l'éradiquer. Il appelait à cette fin à constituer une coalition, en prévenant les autres nations : « vous êtes soit avec nous, soit avec les terroristes. »

Beaucoup alors, notamment en Europe, avaient critiqué l'emploi du mot guerre en relation avec la lutte contre le terrorisme. De fait, le mot valorise les ennemis, leur confère une dignité, celle de combattants, que les terroristes revendiquent, alors même qu'ils sont des criminels. Il a conduit les Etats-Unis à user contre eux de procédures d'exception : l'internement sans jugement des terroristes présumés à Guantanamo comme « combattants illégaux », et leur jugement par des commissions militaires ad hoc, procédés contestables qui sortaient directement de la logique de guerre où s'étaient enfermés les Américains.

On disait alors de cette sur-militarisation de la réponse américaine que « lorsqu'on se promène avec un marteau, tous les problèmes finissent par ressembler à un clou ». Et, de fait, après la campagne d'Afghanistan, guerre justifiée par la base territoriale qu'y trouvait Al Qaïda et par la complicité avérée des Talibans, les Américains ont raisonné comme s'ils cherchaient où serait le prochain pays où intervenir, non en se demandant comment agir au mieux pour poursuivre ce qui restait d'Al Qaïda et achever de le détruire. L'aventure irakienne en est sortie et, à sa suite, non pas un affaiblissement du terrorisme, mais les dérèglements de la région qui ont créé Daech, et en ont fait un sanctuaire terroriste pire s'il était possible qu'Al Qaïda.

L'emploi du mot guerre par François Hollande répond au sentiment d'indignation de l'opinion, et ne va évidemment pas avoir les conséquences littérales qu'en avaient tirées les Américains. Il va rester largement métaphorique, et la France aujourd'hui ne risque pas d'être entraînée dans l'aventure par l'excès de ses ressources militaires comme l'a été l'Amérique surpuissante des années 2000. Le risque pour elle est inverse : celui, en parlant de guerre, d'évoquer une réponse militaire qu'elle n'a pas les moyens de fournir ; celui, aussi, de l'impliquer plus avant dans des conflits au Moyen-Orient qui ne sont pas les siens ; celui enfin, de mal rendre compte de la dimension intérieure de la menace, extraordinairement complexe et sensible, et qui ne se prête pas aux simplifications de la rhétorique de guerre.

La comparaison avec l'Afghanistan s'impose. Daech est responsable des attentats, qu'il a revendiqués ; il est localisé sur le plan territorial, et nous sommes fondés à intervenir contre lui, comme les Américains l'avaient fait contre les Talibans et en réalité davantage (les Talibans soutenaient Al Qaïda, mais ne se confondaient pas avec lui). Nous pouvons atteindre Daech en organisant ses ennemis, sur place et à l'extérieur, et en les appuyant par des moyens aériens, sur le modèle Afghan, où la combinaison des forces de l'Alliance du nord et des bombardements américains avait permis une victoire rapide.

Sans même parler des limites de nos capacités aériennes, ce sera sensiblement plus difficile en Syrie qu'en Afghanistan : les Américains avaient utilisé des forces spéciales en nombre, ce que nous excluons ; ils avaient réalisé l'unité des ennemis locaux des Talibans ; ils bénéficiaient d'un soutien international unanime ; ils avaient neutralisé le principal soutien extérieur des Talibans, le Pakistan. Les ennemis de Daech sont divisés, en Irak et, plus encore en Syrie où un combat sans merci les oppose ; les intervenants extérieurs soutiennent dans les deux pays des camps rivaux ; Daech bénéficie de complicités nombreuses dans le monde sunnite, d'autant plus difficiles à interrompre qu'elles ont inavouées.

Notre riposte militaire contre Daech dépend donc, pour avoir une chance d'être efficace, d'alignements diplomatiques et politiques qui seront extraordinairement difficiles à réaliser. Ce n'est pas impossible, mais c'est prendre un risque que de la promettre impitoyable, sans trêve ni répit dans ces conditions. D'autant qu'il y a asymétrie dans ce qu'on appelle, dans le jargon stratégique, la maîtrise de l'escalade. Nous avons décidé de riposter militairement. L'escalade, ce serait pour Daech de répéter en réponse les attentats de Paris : on ne sait s'il en est capable, mais la décision d'essayer n'appartient qu'à lui. De notre côté nous ne sommes pas maîtres de l'escalade, puisque notre riposte militaire dépend du concours d'autres, dans la région et au-delà.

Le combat où nous sommes engagés est légitime, mais il s'inscrit dans un paysage stratégique complexe, qu'il faut considérer plus largement que notre ennemi. Daech doit sa fortune au fait qu'il se situe au confluent de quatre conflits : entre la majorité chiite et la minorité sunnite en Irak ; entre Bachar El-Assad et ses diverses oppositions en Syrie ; deux guerres qui s'inscrivent elles-mêmes dans un conflit plus large, entre les régimes conservateurs sunnites et le monde chiite, du Yemen à l'Iran ; et enfin dans une série de conflits entre la mouvance djihadiste et les pouvoirs en place, du Mali à l'Egypte.

Or nous sommes retrouvés partie prenante dans tous ces conflits. Nous nous y sommes même portés en avant : en engageant des forces aériennes contre Daech en Irak à la mi-2014 puis en élargissant cet engagement à la Syrie en septembre dernier ; en prenant la tête de l'opposition occidentale au régime de Bachar El-Assad dès 2012, ce qui nous a conduit au bord de l'intervention armée contre lui en 2013 ; sans être partie à la tension globale entre sunnites et chiites, nos positions en pointe sur le nucléaire iranien ont rendu difficile notre relation avec l'Iran. Enfin, nous sommes, depuis le Mali, le pivot de la lutte anti djihadiste au Sahel.

Trop parler de guerre dans ce contexte, c'est encourir deux critiques : la première est que la guerre ne date pas du 13 novembre, que nous l'avons d'une certaine façon décidée nous-mêmes, et qu'elle précédait les attentats de l'année 2015 à Paris, ce que François Hollande a assumé devant le Congrès. La seconde est qu'à se retourner sur ces dernières années, la France s'est mise en pointe dans trop de combats et qu'elle ne peut assumer son implication simultanée sur autant de fronts. D'ailleurs, certains de ces combats étaient-ils les nôtres ? Fallait-il aider les Etats-Unis à réparer leurs erreurs en Irak en y intervenant contre l'Etat islamique, alors que nos forces étaient accaparées au Mali ? Le mérite au moins du discours de guerre est qu'il autorise à se concentrer sur l'essentiel et aidera à sérier entre des priorités stratégiques devenues à l'évidence trop nombreuses ; mais ce sens des priorités, s'il se manifeste, arrivera bien tard.

Enfin, et c'est peut-être là l'essentiel, le discours de guerre comporte un risque particulier lorsque l'on est attaqué par des gens de son pays. Alors même que le 11 septembre était une attaque extérieure ne bénéficiant d'aucune complicité américaine, George Bush avait eu soin de tempérer son discours par des mots de solidarité et de confiance à l'adresse des musulmans d'Amérique. Or les criminels du 13 novembre 2013 étaient dans leur grande majorité de nationalité française. François Hollande a attribué à Daech la responsabilité principale des attentats, évoqué des « complicités françaises », déploré que « des Français aient tué d'autres Français », décrit le parcours qui les avait menés de la délinquance au terrorisme.

Mais le discours du président de la république a laissé de côté une double inquiétude : celle de la société française qui découvre en son sein une capacité de haine dont elle ne comprend pas les ressorts ; et celle des Musulmans de France, menacés d'amalgame. Ces questions fondamentales, le discours de guerre ne les traite pas. Il les esquive, et risque peut-être de les aggraver.

La France mène un juste combat contre le terrorisme, dont l'année 2015 a montré à quel point il pouvait être douloureux, risqué, et lourd de dangers pour le tissu social français. Le discours de guerre est en partie justifié : attaqués par Daech sur notre territoire, nous sommes fondés à répliquer sur le sien. Mais il rend compte d'une menace mixte, intérieure et extérieure, criminelle et idéologique avant d'être militaire, et dont les déterminants internationaux sont infiniment difficiles à modifier pour la France ; et il n'est pas sans risque pour cet objectif sous l'égide duquel François Hollande avait entendu placer son discours, celui de l'unité nationale.

China und Afrika: Die neue Normalität

Bonn, 30.11.2015. Das Forum für China-Afrika Kooperation (FOCAC) ist ein alle drei Jahre stattfindendes hochrangiges Treffen, nicht unähnlich den Afrika-Europa-Gipfeln. 15 Jahre nach dem ersten FOCAC-Treffen in Peking sind die Beziehungen zwischen China und dem afrikanischen Kontinent umfassender denn je. Inzwischen gibt es kaum ein Politikfeld, in dem Peking nicht zumindest mit einigen Ländern umfassend kooperiert. Was können wir vom China-Afrika Gipfel erwarten? Im Vergleich zum letzten Treffen 2012 in Peking werden insbesondere Frieden und Sicherheit, Landwirtschaft, Umweltthemen und Chinas Unterstützung für regionale Kooperation in Afrika weiter an Bedeutung gewinnen. Gleichzeitig hat sich das chinesische Wirtschaftswachstum verlangsamt und dies wird vermutlich die Diskussionen auf dem Gipfeltreffen prägen. 2015 hat deutlicher denn je gezeigt, wie umfangreich die wirtschaftspolitischen Verflechtungen zwischen China und Afrika inzwischen sind. Afrikanische Länder sind direkt und indirekt von „der neuen Normalität“ eines Wirtschaftswachstums unter sieben Prozent in China betroffen. Insbesondere die rohstoffreichen Länder exportieren weniger nach China und verlieren zudem Staatseinnahmen durch niedrige Rohstoffpreise. Die Hoffnung Afrikas, allein auf Chinas wirtschaftlichen Aufstieg zu setzen, war immer schon kurzsichtig und stellte letztlich auch eine Überforderung Chinas dar. Es ist kaum vorstellbar, dass die Gelder für internationale Entwicklungskooperation weiter ansteigen werden (können), wenn die Lage in China schwieriger wird. Bei den letzten FOCAC-Treffen hat die chinesische Regierung ihre Zusagen jeweils verdoppelt –  von fünf  Milliarden USD in 2006 auf zehn Milliarden USD in 2009 und 20 Milliarden USD in 2012, die 2014 um weitere 10 Milliarden erhöht wurden. Vor einigen Wochen wurde bereits eine Summe von 50 Milliarden USD diskutiert; unklar blieb, wie viel davon „neues Geld“ sein würde. Vor dem Hintergrund des abgeschwächten Wachstums in China und hoher Investitionen in andere Finanzinstrumente wie die Asiatische Infrastrukturinvestmentbank (AIIB) oder den Silk Road Fund, ist jedoch kaum zu erwarten, dass die Wachstumsraten der Kreditlinien und Schenkungen für Afrika unbegrenzt weiter steigen. Afrikas Entwicklung langfristig zu planen, kann letztlich nur in Afrika erfolgreich geschehen. Jenseits hoher Finanzflüsse stellt sich die Frage, inwiefern afrikanische Länder die Kooperation mit China (und anderen Partnern) strategisch nutzen, um die Entwicklung ihrer Länder voran zu bringen. Der Umgang der afrikanischen Seite mit dem FOCAC-Treffen ist ein Beispiel für die Schwierigkeiten: Zeit und Ort des China-Afrika-Gipfels wurden erst Anfang September bekannt gegeben. Die Vorbereitung für FOCAC löst auf dem afrikanischen Kontinent offenbar keine Bestandsaufnahme der gegenwärtigen Kooperation aus. Eigentlich müsste gelten: Nach dem FOCAC-Treffen ist gleichzeitig vor dem (nächsten) FOCAC-Treffen. Für China wird es nun verstärkt darauf ankommen, Angebote und bestehende Kooperationen in sinnvolle Zusammenhänge zu stellen. Im Gesamtbild chinesischer Kooperation werden Programme statt Projekte zunehmend wichtig. Und je enger die wirtschaftlichen Beziehungen werden, desto mehr drängt auch China darauf, das Investitionsklima zu verbessern. Dies ist zwar nicht gleich das Gegenstück zur westlichen „Governance“-Diskussion mit Afrika, bietet aber Anknüpfungspunkte zu dieser. China wird damit, bei aller anderslautender Rhetorik, zunehmend zu einem fördernden und fordernden Partner Afrikas. Seitens afrikanischer Staaten ist eine bessere Koordinierung der Partner – einschließlich China – erforderlich. Dies geschieht bereits in einer Reihe von Ländern, in denen chinesischen Partnern eine exklusive „Wunschliste“ übergeben wird. Dies ist durchaus im Sinne Pekings; denn dort wird oft genug nach den afrikanischen Plänen und Strategien gefragt. Welches sind die großen Zukunftsfragen, die gemeinsam angegangen werden sollen? Wo genau kann China besonderes Engagement zeigen? In welchen Bereichen hat Afrika besondere Herausforderungen identifiziert? Mit afrikanischer Initiative ist mehr machbar. Gipfeltreffen mit Afrika sind inzwischen nicht nur für China ein beliebtes Kooperationsinstrument. Im Oktober reisten die afrikanischen Staats- und Regierungschefs nach Delhi zum ‚India-Africa Forum Summit‘; nächstes Jahr reist der japanische Premierminister mit einer Delegation nach Kenia zur ‚Tokyo International Conference on Africa's Development‘. Afrika hat mehr Partner als je zuvor. Es muss diese Partner, ihre Agenda und ihre politischen Grenzen verstehen – und vor allem auf eigene Stärken setzen.

Idriss J. Aberkane: Noopolitics: The Power of Knowledge

Fondapol / Général - Fri, 27/11/2015 - 18:09

Geopolitics is the interaction between power and land. Noopolitics is the interaction between power and knowledge. This interaction is both reflexive and disruptive. It implies a profound change to geopolitics and the art of governance, because it is concerned with the art of allowing knowledge to reign over power. Above all, it aims to avoid the current situation whereby power reigns over knowledge, which has resulted in our most brilliant minds handing over their sciences to States, sciences that should be put at the service of humankind and peace.

Cet article Idriss J. Aberkane: Noopolitics: The Power of Knowledge est apparu en premier sur Fondapol.

RDV sur France Bleu Azur à 7h50

Institut Montaigne - Fri, 27/11/2015 - 17:25
Date: Lundi 30 Novembre 2015Description: Fanny Anor, chargée d'études à l'Institut Montaigne sera l'invitée de 7h50 sur France Bleu Azur.

Laurent Bigorgne sera à 7h45 sur BFM Business

Institut Montaigne - Fri, 27/11/2015 - 17:22
Date: Jeudi 18 Février 2016Description: Laurent Bigorgne, directeur de l'Institut Montaigne sera à 7h45 dans l'émission "Good Morning Business" pour présenter la nouvelle note de l'Institut Montaigne Retraites : pour une réforme durable.

Politische Bildung 2016

Konrad Adenauer Stiftung - Fri, 27/11/2015 - 00:00
Das Jahresprogramm 2016 gibt Ihnen einen Überblick darüber, welche Fragestellungen und Themen wir im nächsten Jahr interessant und wichtig finden. Überjährig bieten wir Maßnahmen zu vier thematischen Schwerpunkten an: "Die Kraft Europas", "Bürgerliche Verantwortung und Demokratie", "Soziale Marktwirtschaft und Wohlstand für morgen" sowie "Religion und Gesellschaft".

RDV sur France Bleu

Institut Montaigne - Thu, 26/11/2015 - 19:05
Date: Jeudi 03 Décembre 2015Description: Fanny Anor, chargée d'études à l'Institut Montaigne sera sur France Bleu Champagne Ardenne à 8h10 pour parler des régionales 2015.

Starke Frauen Starke Worte: Im Gespräch mit Annette Roeckl

Hanns-Seidel-Stiftung - Thu, 26/11/2015 - 17:18
Die Chefin des Familienunternehmens ROECKL Handschuhe & Accessoires, Annette Roeckl, war am 26. November 2015 im Konferenzzentrum zu Gast in der Veranstaltungsreihe „Starke Frauen Starke Worte“ und gab den Zuhörerinnen und Zuhörern einen Einblick in ihr Leben und Wirken.

Plötzlich Partner?: Der Iran und der Westen nach dem Atomabkommen

Hanns-Seidel-Stiftung - Thu, 26/11/2015 - 17:07
Nach langen Verhandlungen einigte sich Anfang April 2015 die sog. „P5+1-Gruppe“ mit Teheran auf ein umfassendes Abkommen zur Lösung des Konfliktes um das iranische Atomprogramm. Um eine erste Bilanz zu ziehen und der Frage nachzugehen, wie sich die iranisch-westlichen Beziehungen in der Zwischenzeit gewandelt haben, lud die Hanns-Seidel-Stiftung am 26. November 2015 zur Expertenrunde nach Berlin.

Türkei und Russland: »Die Eskalation hat viel früher begonnen«

SWP - Thu, 26/11/2015 - 16:36
Die zunehmende Spannung zwischen Russland und der Türkei habe sich schon seit Oktober mit...

The 2015 European Neighbourhood Policy Review: more realism, less ambition

The European Commission released its latest review of the European Neighbourhood Policy (ENP) on 18 November 2015. The revised ENP is more focused than earlier versions, which were heavily premised on the idea that neighbouring countries should transform themselves into liberal democracies in the EU’s image. The EU has retreated from proposing models for its neighbours, instead concentrating on cooperation in areas where there are concrete interests on both sides. The result is that European interests, especially regional stability, security and controlled migration, are outlined much more explicitly than before. Mutual interests in trade, investment and energy cooperation are also highly prominent, as they have been since the beginning of the ENP.

The review raises new expectations for EU engagement in the Middle East and North Africa. Disappointment with the results of the last review, which was conducted shortly before the 2011 Arab Spring, was a major factor in prompting the new European Commission of president Jean Claude Juncker, High Representative Federica Mogherini, and Neighbourhood Commissioner Johannes Hahn, to ask fundamental questions about the policy framework, its objectives and the instruments the EU uses in its relations with neighbouring countries. The publication of the 2015 review follows an extensive consultation process. The Commission received more than 250 written submissions and it canvassed both government and non-governmental stakeholders behind the scenes.
EU officials say that neighbouring countries wanted the ENP to be more focused, more flexible, less bureaucratic, and more ‘political.’ The Commission says that it has listened to what is has been told: that the EU should stop telling neighbouring countries what to do, that there should be one policy framework which combines the EU’s foreign and security policy, development aid, migration policy and justice and home affairs, and that there needs to be more money on the table.

The ENP review is certainly presented in a less hectoring tone than its predecessors. The ENP’s main problem is that it was based on the EU’s enlargement model, which successfully transformed eight former communist Eastern European countries before the EU’s ‘big bang’ enlargement in 2004. The original ENP was designed by the same officials who worked on enlargement policy and it was unsurprisingly similar in terms of its language, emphasis on values, and attempted use of conditionality and socialisation to incentivise the reforms the EU considered desirable. That EU membership was never on the table was not considered an issue, because most southern neighbours were not interested anyway and the EU’s political and economic model was in any case considered something which all countries should aspire to intrinsically.

However, the ENP was never backed by sufficient financial support or other incentives, such as Schengen visas, to have any leverage with southern neighbouring governments. This has not changed. The ENP is backed by the €15.4 billion European Neighbourhood Instrument (ENI), which has not been increased despite the region’s crises. Some longer-term bilateral ENI programmes have been cut and the funds reallocated to short-term initiatives such as the new Madad Trust Fund for responding to the Syria crisis. European Commission officials are reportedly hoping that a mid-term review of the EU budget in 2016 will result in funds being shifted from the EU’s domestic budget lines, such as the common agricultural policy and structural funds, to the ENI.

Whether the review is really more ‘political’ is not as clear. In keeping with the spirit of pragmatism, the EU’s positions on the most politically sensitive issues, such as conditionality, cooperation with authoritarian regimes, and the access of neighbouring country citizens to the EU labour market, are not clear and unambiguous. Close cooperation with neighbours on policing, border security and counter-terrorism, which has been going on for years, has been intensified and is discussed more openly than in the past.

The review’s explicit focus on interests does not mean that the EU has abandoned its values entirely. References to democracy, good governance and human rights remain prominent, and there is specific focus on programmes that support the judiciary, accountable public administration and civil society, which are all areas where the EU has extensive expertise. Nevertheless, the most political idea at the heart of the ENP – the transformational power of Europe – has all but disappeared amid all the realism. This has not happened because of conviction, but because of the EU’s weakness in the face of repeated crises. This reality casts a big question mark over whether the EU is strong enough to stand up for its values when the time comes, for example if the military were to overthrow a democratically elected government in a neighbouring country like in Egypt in 2013.

The timing of the 2015 review naturally raises the question of whether the ENP is able to offer solutions to urgent crises such as terrorist attacks in Europe, the plight of Syrian refugees or the civil war in Libya. The ENP is, however, not a crisis response mechanism. The EU has developed other crisis frameworks for the Syria/Iraq and Libya crises in parallel to the ENP review, reportedly with little coordination or exchange. Indeed, the ENP is the tortoise rather than the hare: it is an overarching framework for working with partners on longer term ‘root causes’ of crises, like weak governance, economic stagnation and conflict. Since 2011, the ENP has been largely irrelevant to the epoch-defining upheavals in the MENA region. Whether the 2015 review can change this depends on how it will be supported and implemented by the EU, its member states and the neighbouring country partners.

Asylbewerber und Flüchtlinge - eine Herausforderung für die Schulen

Hanns-Seidel-Stiftung - Thu, 26/11/2015 - 11:00
Die Beschulung von berufsschulpflichtigen Asylbewerbern und Flüchtlingen stellt eine äußerst anspruchsvolle und zugleich neue Herausforderung dar. Wir haben einen überarbeiteten Tagungsbericht von unserer Veranstaltung mit dem Kultusministerium im Februar 2015 und Zusatzmaterial zum Thema zusammengestellt.

Un 20D con ‘D’ de Defensa

Real Instituto Elcano - Thu, 26/11/2015 - 05:41
Opinión - 26/11/2015
Félix Arteaga
El próximo Gobierno tendrá que elaborar un plan contra el yihadismo que integre todos sus instrumentos, incluidos los militares.

Schülerzeitungsseminar für Schüler mit geistiger Behinderung

Hanns-Seidel-Stiftung - Wed, 25/11/2015 - 16:05
Es war eine Premiere und ein Schülerzeitungsseminar der ganz besonderen Art. Im Bildungszentrum Kloster Banz hatten sich acht Schülerinnen und Schüler der Comenius-Schule Aschaffenburg getroffen. Die Comenius-Schule Aschaffenburg ist ein staatliches Förderzentrum mit dem Förderschwerpunkt geistige Entwicklung.

Pages