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Diplomacy & Defense Think Tank News

Le Journal des Transactions Automobile (JTA) – Vive l’automobilisme !

Fondapol / Général - Tue, 08/12/2015 - 09:30

Article paru dans Le Journal des Transactions Automobile (JTA) le 7 décembre 2015. Benoît Le Floc'h y présente, une note de Fondation pour l’innovation politique, écrite par Mathieu Flonneau et Jean-Pierre Orfeuil et qui comprend deux livrets, Vive l’automobilisme ! (1) : Les conditions d’une mobilité conviviale & Vive l’automobilisme ! (2) : Pourquoi il faut défendre la route.

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Parlamentswahlen 2015: Venezuela wählt den Wechsel

Konrad Adenauer Stiftung - Tue, 08/12/2015 - 00:00
Der klare Sieg des demokratischen Oppositionsbündnisses könnte das Ende des von der Regierungspartei propagierten "Sozialismus des 21. Jahrhunderts" bedeuten.

Syrien-Konflikt

SWP - Mon, 07/12/2015 - 19:36
Der Westen muss großes Interesse daran haben, die Rolle der Kurden im Kampf gegen den IS zu stärken.

Les entreprises sont-elles un problème ou une partie de la solution ?

Institut Montaigne - Mon, 07/12/2015 - 18:55
Date de parution: Vendredi 04 Décembre 2015Auteur: Propos recueillis par Simon RogerNom de l'editeur: Le MondeImage de l'editeur: Description: Dans la perspective de la COP21, qui se tient, à Paris, du 30 novembre au 11 décembre, Le Monde, en partenariat avec l’Institut Montaigne, confronte les analyses des dirigeants de grandes entreprises et de personnalités, experts du climat, économistes et élus. Quatrième et dernier entretien entre Pierre-André de Chalendar, PDG de Saint-Gobain, et Yannick Jadot, député européen EELV.Type de parution: L'institut s'exprimeType de média: PresseLien: http://abonnes.lemonde.fr/cop21/article/2015/12/04/les-entreprises-sont-elles-un-probleme-ou-une-partie-de-la-solution_4824439_4527432.html

Victoire de l’opposition vénézuélienne aux élections : et maintenant ?

IRIS - Mon, 07/12/2015 - 18:03

L’opposition vénézuélienne a remporté les élections législatives pour la première fois en seize ans. Est-ce une surprise ? Comment expliquer ce tournant ?
L’opposition remporte une nette victoire dans le contexte d’une forte participation. C’est effectivement une première depuis les débuts de la Révolution bolivarienne. A cette heure, la Table pour l’unité démocratique (MUD) gagne 99 sièges sur les 167 à pourvoir. Le chavisme en obtient, lui, 46. Il reste 22 sièges qui ne sont pas encore attribués. Le Conseil national électoral (CNE) finalise les décomptes. Si la MUD en remporte douze parmi ces vingt-deux, elle obtiendra alors la majorité qualifiée des 2/3 qui lui permettra de disposer de tous les pouvoirs possibles à l’Assemblée.
Les résultats s’inscrivent de fait dans la tendance haute de ce qu’on pouvait observer ces dernières semaines. Ce n’est donc pas à proprement parler une surprise. Ce qui est remarquable, c’est la qualité démocratique du Venezuela, pays pourtant souvent mis à mal par les médias internationaux et les formations proches de l’opposition, qui ont en général assez facilement tendance à condamner le pays pour ses soi-disant dérives autoritaires. On a en réalité assisté à un modèle de journée civique et démocratique : 75% de participation au vote, un contexte de tranquillité totale, une reconnaissance immédiate des résultats de la part de Nicolas Maduro qui a reconnu sa défaite et remercié l’ensemble des Vénézuéliens pour la bonne tenue des élections. Pourtant, les médias internationaux – dont les nôtres – annonçaient, eux, le pire : campagnes de fraudes élaborées par le gouvernement, pressions et violences politiques, etc. Une nouvelle fois, il se confirme qu’il existe une distorsion problématique dans le traitement médiatique et idéologique de ce pays. En réalité, le problème le plus préoccupant venait au final de l’opposition qui avait refusé, avant l’élection, de s’engager à reconnaître les résultats, quels qu’ils soient. Cet engagement était pourtant une exigence de la délégation de l’Union des nations sud-américaines (Unasur) présente sur place. Le message de la MUD était clair : « Nous reconnaîtrons les résultats si nous gagnons, pas si nous perdons ».
Désormais commence une nouvelle étape et une question est posée à la MUD, coalition d’organisations très diverses dont le programme commun s’est essentiellement résumé jusqu’ici à son rejet du gouvernement et de la Révolution bolivarienne. Que va-t-elle faire de cette victoire maintenant qu’elle est majoritaire dans cette Assemblée qui siègera du 5 janvier 2016 à janvier 2021 ? Va-t-elle privilégier la guérilla politique et juridique contre Nicolas Maduro et son gouvernement ? Chercher à l’empêcher de gouverner et de terminer son mandat ? Va-t-elle proposer des solutions concrètes aux problèmes économiques et sociaux des Vénézuéliens ? Si oui, lesquelles ? Va-t-elle conserver son unité ? Autre interrogation : le chavisme va-t-il être capable de se régénérer après cette défaite qui, à mon sens, exprime en premier lieu une sanction populaire contre la situation économique et sociale, les phénomènes de corruption et d’insécurité, etc., davantage qu’une adhésion au projet de l’opposition dont on peine à dessiner les contours.

En quoi l’expérience de la cohabitation sera-t-elle un défi pour la démocratie vénézuélienne ? Va-t-on vers une recomposition des forces politiques avec l’instauration d’un contrepoids ou bien vers une paralysie politique à travers la limitation des pouvoirs du Parlement ?
C’est assez difficile à dire car c’est la première fois depuis 1998 que la droite remporte une élection majeure. C’est un précédent. Cette forme de cohabitation n’est pas à confondre avec celle à la française, le régime politique n’ayant rien à voir. Le modèle vénézuélien est de type présidentialiste, proche du modèle américain, c’est-à-dire avec des pouvoirs assez forts du côté du gouvernement et du président. Ce dernier a toute latitude pour conserver et nommer son gouvernement, sans passer par l’Assemblée nationale. Avec une majorité simple (ou dite « absolue ») de 84 député(e)s, la nouvelle majorité a, elle, le pouvoir, par exemple, d’approuver le budget de l’Etat ou celui des dépenses de la Banque centrale, de discuter et d’approuver tout projet de loi fiscale et de crédit public. Elle a également la possibilité de mettre en place des commissions d’enquête. Elle autorise aussi, selon la Constitution, « la nomination du procureur général de la République et des chefs de missions diplomatiques permanentes ». Avec une majorité de 100 députés (majorité des 3/5e) – il lui manque un siège pour le moment -, elle peut entre autres approuver – ou pas – les lois habilitantes (ordonnances présidentielles) et voter des motions de censure contre le vice-président et les ministres. Avec 111 députés, elle dispose d’une majorité qualifiée des 2/3 et peut alors voter l’organisation d’une assemblée constituante, un projet de réforme constitutionnelle, un projet de loi organique (ou de modification des existantes). Ces initiatives sont ensuite soumises à référendum. Avec une telle majorité, la MUD peut également élire et révoquer des magistrats du Tribunal suprême de justice, du Conseil national électoral, soumettre des projets de lois à référendum populaire.
On sait que le premier projet de la MUD est de proposer une loi d’amnistie et de réconciliation pour obtenir la libération de M. Léopold Lopez, condamné à 13 ans de prison pour incitation à la violence à l’encontre du gouvernement. La Constitution donne en effet à l’Assemblée le droit de « décréter des amnisties ».
Les Vénézuéliens cherchent des solutions concrètes à la crise économique et à la gestion du modèle de développement du pays. Ce message est envoyé à la fois à l’opposition et au gouvernement. Ce sont sur ces thèmes que l’on verra dans le temps se dessiner le nouveau rapport de forces entre l’Assemblée et le gouvernement. Et se préciser la crédibilité des acteurs.

Certains affirment que la défaite du chavisme fait écho aux élections présidentielles argentines du mois de novembre. Partagez-vous ce point de vue ?
Oui, en partie. Aujourd’hui, les trois pays les plus affectés par l’importante crise économique et financière en Amérique latine sont l’Argentine, le Brésil et le Venezuela, où on assiste à des situations de récessions lourdes ou de croissance faible. Ces pays sont moteurs dans l’animation de la vie politique et géopolitique latino-américaine (notamment pour ce qui concerne l’intégration régionale). La victoire de M. Macri en Argentine est un signal qui montre qu’il y a un reflux des forces progressistes latino-américaines ou, plus précisément, de l’hégémonie de la gauche sur cette partie du continent. Cela étant, ce n’est pas la fin brutale d’un cycle qui verrait l’arrivée triomphale des oppositions de centre-droit et de droite, le processus étant plus complexe. En Argentine, M. Macri a gagné sans être plébiscité et de nombreux pouvoirs restent à l’ancienne majorité. Au Venezuela, il y a une alternance partielle dont on peut penser qu’elle débouchera sur une séquence d’instabilité politique plus forte si la polarisation de la société se confirme. Au Brésil, il y a une crise qui impacte tous les acteurs du système politique d’opposition et de majorité qui subissent un discrédit chaque jour plus grandissant. De ce point de vue, il n’y a pas véritablement d’homogénéité sur la nature de ce reflux incontestable mais complexe.

Venezuela 6 décembre, Argentine 22 novembre 2015 : alternances électorales et recompositions diplomatiques

IRIS - Mon, 07/12/2015 - 17:32

L’Amérique latine peut-être, l’Amérique du Sud sans doute, est certainement à un tournant. Celui-ci est d’abord politique. Les majorités nouvelles ayant accédé au pouvoir à Caracas le 6 décembre et à Buenos Aires le 22 novembre affichent des convictions libérales et anti-étatiques. Ces dispositions contrastent avec celles nationalistes et dirigistes des équipes sortantes. Mais le tournant est aussi diplomatique. Les vainqueurs de Caracas comme ceux de Buenos Aires entendent réconcilier leurs pays avec les Etats-Unis, l’Union européenne et le Japon. Prendre donc une distance avec les orientations qui, ces dernières années, privilégiaient les relations Sud-Sud, pour restaurer un lien Nord-Sud.

Le renouveau politique latino-américain des années 2000 avait en effet bouleversé la donne régionale. Abandonnant les politiques économiques dites du « consensus de Washington », les majorités nationales-progressistes arrivées au pouvoir avaient inventé une diplomatie de l’autonomie. Nationalisations ou prise de contrôle directe par l’Etat de sociétés publiques, en Argentine, en Bolivie, au Venezuela, avaient donné aux gouvernements les moyens financiers de fabriquer du social. Elles leur avaient donné également la capacité de distendre les cordons ombilicaux historiques avec l’Europe et les Etats-Unis. Des réseaux régionaux avaient été créés, ALBA (Alliance Bolivarienne des peuples de notre Amérique), CALC (Sommets d’Amérique latine et de la Caraïbe), UNASUR (Union des nations d’Amérique du sud). Des alliances avaient été nouées avec d’autres continents, ASA (Amérique du sud-Afrique), ASPA (Amérique du sud-Pays arabes). Le Brésil avait consolidé des relations extra-continentales avec l’Afrique du Sud et l’Inde au sein du groupe IBAS et dans les BRIC avec les mêmes, plus la Chine et la Russie.

Ces choix diplomatiques avaient un fondement économique, la Chine. La Chine en Amérique latine comme en Afrique est devenue dans les années 2000 la locomotive du développement. Fer brésilien, cuivre chilien, pétrole vénézuélien, soja argentin, viande uruguayenne, ont alimenté la machine économique chinoise. La Chine a proposé sa coopération. Ses dirigeants ont visité à plusieurs reprises les pays de la région. Des rencontres au sommet ont été mises en place. La baisse de régime de l’économie chinoise a réduit la demande en produits primaires latino-américains. Argentine, Brésil, Chili, Venezuela sont entrés en difficulté. Quelque part le résultat des législatives argentine et vénézuélienne acte la chute d’un modèle économique, diplomatique et finalement électoral.

L’alternance globale portée par ces résultats est d’autant plus significative qu’elle vient après d’autres évènements régionaux qui en confortent la tendance. En 2014, la victoire présidentielle au Brésil de Dilma Rousseff avait été lue comme une perpétuation des années Lula. Pourtant, les législatives, qui s’étaient déroulées en parallèle, avaient réduit l’espace parlementaire du parti présidentiel, le PT (parti des travailleurs). Le parlement brésilien désormais contrôlé par de groupes d’intérêts locaux, des « lobbies » agro-industriels, des élus évangélistes, a très vite freiné puis bloqué toute les initiatives présidentielles. Ses représentants affichent ouvertement leur sympathie avec les vainqueurs des consultations argentine et vénézuélienne. Le Brésil depuis ses élections de 2014 est ingouvernable et de plus en plus perméable à l’air du temps, celui de Buenos Aires et de Caracas.

Le centre de gravité diplomatique latino-américain se déplace à l’Ouest, vers le Pacifique. En 2012 les Etats riverains de cet océan, prenant en compte leurs pesanteurs géoéconomiques et leurs orientations libérales, se sont constitués en Alliance du Pacifique. Mexique, Colombie, Pérou et Chili ont depuis consolidé leur union. A la différence du Brésil et du Venezuela, ces quatre pays ont des taux de croissance positifs. Au point d’acquérir un pouvoir d’attraction sur certains pays d’Amérique centrale et même sur l’Uruguay, pourtant membre du Mercosur (marché commun des pays du Sud, Argentine-Brésil-Paraguay-Uruguay-Venezuela). A peine élu, Mauricoi Macri, nouveau chef d’Etat argentin, a lancé l’idée d’une association Mercosur-Alliance du Pacifique.

Les Etats-Unis ont parallèlement repris la main perdue dans les années 2000. Le projet de marché commun américain, de l’Alaska à la Terre de feu, la ZLEA, avait été enterré au sommet hémisphérique de Mar del Plata (Argentine) en 2005, par Hugo Chavez, Nestor Kichner, et Lula. Les Etats-Unis ont proposé en 2015 un traité de libre-échange transpacifique aux pays riverains, Chine exceptée. Les pays de l’Alliance du Pacifique sont partie prenante du projet. Cuba, a trouvé un terrain d’entente, anticipant les évolutions économiques et électorales vénézuéliennes avec les Etats-Unis. Les relations diplomatiques rompues unilatéralement par Washington en 1961 ont été rétablies en 2015. Prenant acte de la crise financière de Petrocaribe, organisation de coopération pétrolière entre le Venezuela et les pays antillais, les Etats-Unis ont pris le relai.

Les élections argentine et vénézuélienne de cette fin d’année 2015 consolident une évolution en cours depuis plusieurs mois. La Chine, on l’a dit, est au centre de ces évolutions. Elle reste pourtant en dépit du reflux de sa demande en produits latino-américains et du ressac économique, électoral provoqué par ce repli, un acteur incontournable pour tous les pays de cette région, quelles que soient leurs options programmatiques et idéologiques. La Chine a rappelé aux vainqueurs des consultations d’Argentine et du Venezuela que la raison commerciale, économique et diplomatique du XXIe siècle, est bien loin des proclamations idéologiques de Bandoeng en 1955. Le communiqué officiel rendu public par le porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères le 23 novembre 2015, au lendemain des élections argentines est de ce point de vue éclairant : « La Chine félicite ce lundi Mauricio Macri pour sa victoire (…) L’Argentine est un grand pays d’Amérique latine et une économie émergente. L’association stratégique intégrale de la Chine et de l’Argentine s’est développée de façon favorable (…) la Chine est ouverte à tout approfondissement de cette coopération (…) au bénéfice du développement mutuel des deux pays ». Une déclaration voisine a été faite le 7 décembre suivant au lendemain des législatives vénézuéliennes. « Nous espérons, a indiqué Mme Hua Chunying, porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères, que vous pourrez maintenir la stabilité et le développement. La Chine est disposée à poursuivre le travail en commun, pour consolider l’amitié et élargir la coopération dans le commercer comme dans d’autres domaines ».

Applications for the Master’s Programme at the College of Europe

ELIAMEP - Mon, 07/12/2015 - 16:22

ELIAMEP provides the channel for recruiting Greek students for the Master’s Programme at the College of Europe through the Greek Selection Committee for the College of Europe, which operates on the ELIAMEP premises. The College of Europe is a centre of academic excellence, with fιve programmes, leading to a Master’s degree. It operates in two campuses, in Bruges (Belgium) and Natolin (Poland). The five one-year programmes are: Politics and Administration, Law, Economics as well as EU International Relations and Diplomacy in Bruges, and the “European Interdisciplinary Studies: The Internal and External Dimensions of the EU” programme in Natolin.

Applying: The requirements for admission are a relevant University degree of good standard and working knowledge (writing and speaking) of English and French.

Closing date for applications is January 20th, 2016. Interviews for short-listed candidates take place in April / May in Athens by the Greek Selection Committee. Application files should include the documents (in English or in French) listed below:

1. The Application Form of the College of Europe.

2. a CV indicating the totality of your studies as well as the grades obtained.

3. a certified copy of your degree(s) (if you are not yet in possession of your final degree, please send it as soon as it is available).

4. a transcript from your University, Faculty, School, detailing results for every year of your studies and grades obtained.

5. 2 letters of recommendation from two of your university professors.

No other documents are required. Please note that applications which are not complete, especially with respect to the certificates detailing the results of your studies and the marks obtained cannot be taken into consideration. Please also note that the Master’s Degrees awarded from the College of Europe are now recognized from the National Academic Recognition Information Center (NARIC).

Applications should be sent electronically to the College of Europe and in hardcopies to ELIAMEP, at the following address:

ELIAMEP, College of Europe, 49, Vas Sofias Ave, 106 76 Athens Greece

Applications need to be sent both electronically for the College and in hardcopy for the Greek Selection Committee in order to be considered as eligible.

For further information and a brochure, do not hesitate to contact Ms. Matina Meintani, tel: +30 210 360 7611.

Herausforderungen für den Flughafen München

Hanns-Seidel-Stiftung - Mon, 07/12/2015 - 16:20
München hat heute den besten Flughafen Europas und damit eine Erfolgsgeschichte für ganz Bayern geschrieben: Fast 40 Millionen Menschen sind 2014 dort gestartet oder gelandet. Doch es gibt auch große Herausforderungen. Über diese sprach Flughafen-Chef Dr. Michael Kerkloh am 7. Dezember 2015 im Konferenzzentrum München.

Die Heimatverbundenheit in Bayern nimmt weiter zu

Hanns-Seidel-Stiftung - Mon, 07/12/2015 - 16:13
Am 7. Dezember 2015 wurde die neue Bayernstudie 2015 des BR präsentiert. Birgit van Eimeren, die Leiterin des Bereichs Unternehmensplanung und Medienforschung des BR, stellte zusammen mit ihrem Kollegen Andreas Egger im Konferenzzentrum München die wesentlichen Ergebnisse vor.

L’armée japonaise se féminise… à petits pas

IRIS - Mon, 07/12/2015 - 12:45

Le Japon a de grandes ambitions sous le mandat du Premier ministre Shinzo Abe et notamment de redonner du poids et des moyens à son armée.

Mais à moyen terme si rien ne change, « le Japon sera sans doute contraint, dans le même temps, de réduire son armée : avec une cohorte de seulement 10 millions d’hommes de la tranche 20 à 40 ans en 2050, il ne pourra pas maintenir ses forces au niveau actuel », comme l’expliquait une note dès 2008.

Au Japon, où le nombre d’hommes âgés de 18-26 ans éligibles était de 900 000 en 1994 ; ce nombre sera ramené à environ 600 000 au cours des prochaines années, et la conscription ne sera pas une solution possible en raison des restrictions constitutionnelles, souligne la revue militaire Res Militaris.

La solution serait d’augmenter la part des femmes dans les forces armées japonaises. Cela correspondrait aussi au vœu plus général de Shinzo Abe de renforcer la place des femmes dans le marché du travail et la société japonaise.

« L’embauche des femmes a beaucoup de sens », a déclaré récemment au magazine Quartz Robert Dujarric, directeur de l’Institut des études asiatiques contemporaines à l’université Temple à Tokyo.
« Chaque armée moderne élargit les possibilités pour les femmes. Et depuis que le Japon tombe dans l’oubli démographique, trouver de jeunes hommes va être difficile… ».

Lente ascension

Après la Seconde guerre mondiale, les femmes ont d’abord été admises comme infirmières dans la nouvelle force armée japonaise. En 1967, elles ont été autorisées à des postes administratifs dans les forces terrestres, et en 1974 dans les forces aériennes et maritimes. Le premier ministre Tanaka Kakuei a initié une législation pour ouvrir d’autres postes pour les femmes à l’écart des métiers de combat « en ligne avec leur nature ! » (sic).

Cette première ouverture aux femmes a été largement motivée par la pénurie de main-d’œuvre au Japon et étant donné les réalités complexes des relations entre civils et militaires de la guerre froide dans un État où l’armée en tant qu’institution a été discréditée, et les soldats traités avec mépris et méfiance, les politiques militaires ont été largement ignorées et considérées comme non pertinentes par la société…

Rôle encore limité

Mais ce qui a stimulé les politiques actuelles des FAD par rapport aux femmes a été la ratification
de la Convention de l’ONU sur l’élimination de toutes les formes de discrimination à l’égard des femmes (CEDAW) en 1986 et l’adoption d’une loi sur l’opportunité d’emploi civil égal (Civilian Equal Employment Opportunity Law, EEOL).

Ce projet de loi spécifique a forcé les FAD à ouvrir leurs portes. En 1993, les trois forces armées ont commencé à recruter des femmes, et elles ont été inscrites dans l’Académie de défense nationale en 1992. Leurs « débuts » internationaux sur le terrain datent de 1996 quand des femmes ont été déployées dans des unités de transport de troupes des opérations de maintien de la paix dans les hauteurs du Golan. Elles ont aussi été déployées au Timor oriental et plus récemment en Irak.

Selon une décision du ministère de la Défense de 2008, les femmes sont en principe autorisées dans tous les positions. Pourtant, la liste des exceptions à la règle reste impressionnante. Ces mesures d’exception reposent « sur un examen complet de la protection de la maternité, de la possibilité de combat direct, de la sécurisation de la vie privée entre les hommes et les femmes, et de l’efficacité économique » !

Les FAD se réservent le droit de révoquer ou suspendre d’autres missions si ces conditions ne sont pas remplies. Heureusement, les dernières restrictions levées par le Bureau pour la promotion de l’égalité des sexes du ministère de la Défense ont ouvert des postes aux femmes sur des frégates, des navires dragueurs de mines, et des hélicoptères de patrouille.

Mais alors que 14 000 (5,4 %) des 259 800 personnel en uniforme qui servent dans les forces d’autodéfense japonaises (FAD) sont des femmes, leur rôle reste clairement plutôt limité.
Par comparaison, elles sont 14 % dans les forces américaines et 11 % en Allemagne.

Et aux Etats-Unis, les choses évoluent très vite. Au même titre que les hommes, des femmes « pourront conduire des chars d’assaut », « mener des soldats d’infanterie au combat », ou bien être membres des forces spéciales comme les Bérets verts ou les Navy Seals, a expliqué jeudi 3 décembre le secrétaire à la Défense américain Ashton Carter dans une conférence de presse au Pentagone.

Au Japon, en revanche, les femmes sont souvent encore décrites comme des « beautés féminines en uniforme ». L’année dernière, les FAD ont embauché Azusa Yamamoto, une mannequin habituée aux bikinis, qui a posé en costume militaire pour son calendrier 2014 pour prétendument « relever le moral » des troupes !

Cette focalisation exagérée sur la féminité des femmes japonaises, leur pureté et leur « maternité » ne servent qu’à souligner les valeurs traditionnelles qui sanctifient la maternité et mettent l’accent sur l’obligation des femmes à procréer plutôt qu’à défendre la nation. Il s’agit donc d’un problème culturel et il reste à voir si le gouvernement japonais va chercher à supprimer à la fois barrières sociales et institutionnelles aux femmes dans les FAD ou s’il va continuer à mettre l’accent sur le rôle « approprié » de chaque sexe et de promouvoir l’image traditionnelle de la femme comme une victime faible ayant toujours besoin d’un « Protecteur mâle ».

Un rapport récent du gouvernement japonais affirme que la culture du travail nippone, dominé par des codes masculins, doit s’adapter afin de refléter son époque. Le modèle selon lequel les hommes travaillent de longues heures pendant que les femmes restent au foyer est obsolète.

Point positif, le ministère de la Défense a quadruplé son budget marketing à un niveau encore modeste de 200 millions de yens (1,6 millions de dollars) en 2015 (voir pages 24 et suivantes du document budgétaire : « Promouvoir des mesures pour soutenir davantage l’engagement de personnel féminin ») pour des publicités à la télévision et à la radio, des vidéos en ligne, des visites de campus, des bannières publicitaires pour les trains, et d’autres méthodes diverses pour convaincre plus de jeunes hommes et de femmes à rejoindre l’armée. La proposition de budget pour l’année 2016 ajoutera encore 100 millions de yens.

Dès 2015, différentes mesures ont été prises dans le budget de la défense pour améliorer la condition des femmes, par exemple pour « remettre en état les installations de baignade des femmes à l’école de formation des officiers de la Force d’auto-défense terrestre » ou encore « 20 millions de yens pour le développement de la formation, etc., pour l’éveil de la conscience, l’élimination de la mentalité traditionnelle des rôles entre les sexes dans le milieu de travail… ».

Lentement, le changement arriverait-il dans l’empire du Soleil levant ?

Thailand

SWP - Mon, 07/12/2015 - 09:52

Wahlen in Burkina Faso - Ein Signal für Afrika?

Hanns-Seidel-Stiftung - Mon, 07/12/2015 - 09:33
Burkina Faso, das Land der "ehrenwerten Menschen" hat gewählt. Roch Marc Christian Kaboré wird der nächste Präsident der ehemaligen französischen Kolonie Obervolta. Ende Oktober 2014 hatte ein Aufstand der Bürger eine weitere Verfassungsänderung zugunsten des seit 27 Jahren regierenden Blaise Compaoré verhindert.

Quelle sortie pour les politiques d'assouplissement quantitatif ?

Fondation Robert Schuman / Publication - Mon, 07/12/2015 - 01:00
Introduction La crise financière a entraîné une action sans précédent des banques centrales : la Fed a multiplié la taille de son bilan par six ; la BoE, la BoJ et, tardivement, la BCE se sont engagées dans des politiques similaires. Le système financier a été sauvé, les interventions...

Fondation, Publication de la 3ème édition de l'Atlas de l'Union européenne

Fondation Robert Schuman / Actualités - Mon, 07/12/2015 - 01:00
La troisième édition de l'Atlas de l'Union européenne vient de paraître en versions papier et numérique. L'ouvrage présente l'Union, ses institutions, ses 28 Etats membres et - nouveauté - leurs territoires d'Outre-mer. Avec 50 cartes, des fiches historiques et les statistiques les plus récentes, ainsi que l'actualité politique des Etats membres, cet ouvrage est un outil pratique et unique pour tout savoir sur l'Europe.

Lutte/Terrorisme, Conclusions du Conseil Justice et Intérieur

Fondation Robert Schuman / Actualités - Mon, 07/12/2015 - 01:00
Les 3 et 4 décembre les ministres européens de la Justice et de l'intérieur ont adopté une harmonisation des législations relatives aux collectes de données individuelles, ains que le fichier européen des passagers aériens, le Passenger Name Record (PNR).

Lutte/Terrorisme, Programme européen de sécurité et de lutte contre le terrorisme

Fondation Robert Schuman / Actualités - Mon, 07/12/2015 - 01:00
La Commission européenne a adopté le 2 décembre des mesures destinées à lutter contre le terrorisme autour de deux axes : l'un qui fait du départ à l'étranger pour des actes de terrorisme une infraction ; l'autre prévoyant le durcissement des contrôles de détention et d'importation d'armes à feu.

Lutte/Terrorisme, Le Bundestag approuve l'engagement militaire en Syrie

Fondation Robert Schuman / Actualités - Mon, 07/12/2015 - 01:00
Les députés du Bundestag ont approuvé le 4 décembre par 445 voix, contre 146 et 7 abstentions, une participation à la coalition militaire pour lutter contre l'Etat islamique (EI) en Syrie.

Lutte/Terrorisme, Feu vert du Parlement britannique pour les frappes aériennes en Syrie

Fondation Robert Schuman / Actualités - Mon, 07/12/2015 - 01:00
Le 2 décembre, la Chambre des Communes a approuvé les frappes aériennes en Syrie pour lutter contre Daech par 397 voix, contre 223. Quelques heures plus tard, l'aviation britannique a effectué sa première mission aérienne à l'est de la Syrie.

Lutte/Terrorisme, Discours de Vladimir Poutine devant le Parlement

Fondation Robert Schuman / Actualités - Mon, 07/12/2015 - 01:00
Le Président russe Vladimir Poutine a tenu le 3 décembre un discours devant le Parlement russe, au cours duquel il a présenté son plan d'action stratégique en matière de défense et de lutte contre le terrorisme, notamment en Syrie et en Irak. Il a également critiqué l'attitude de la Turquie vis-à-vis de Daech.

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