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Diplomacy & Defense Think Tank News

Roundtable Discussion: ‘Developments in Iran: Israeli and European Perspectives’, 08/12/2015

ELIAMEP - Wed, 09/12/2015 - 11:50

On Tuesday 8 December 2015 the Hellenic Foundation for European and Foreign Policy (ELIAMEP) and the Embassy of Israel in Athens organised a discussion on the theme of ‘Developments in Iran: Israeli and European Perspectives‘. The main speaker was Dr Raz Zimmt, Expert on Iran and Research Fellow at the Alliance Center for Iranian Studies at Tel-Aviv University. His talk was followed by comments made by Dr Charalampos Tsardanidis, Director of the Institute of International Economic Relations; Associate Professor, University of the Aegean. Dr Thanos Dokos, Director General of ELIAMEP moderated the discussion.

The event took place at the Representation of European Commission in Greece.

Peru: Vor den Parlaments- und Präsidentschaftswahlen

Hanns-Seidel-Stiftung - Wed, 09/12/2015 - 11:43
Im April 2016 werden in Peru die nächsten Präsidentschafts- und Parlamentswahlen stattfinden. Vor diesem Hintergrund wird die politische Situation analysiert und werden Perspektiven für die weitere Entwicklung im Land aufgezeigt.

Dr Angeliki Dimitrιadi discusses in To Vima whether Turkey could efficiently co-operate with the EU on the refugee crisis, 06/12/2015

ELIAMEP - Wed, 09/12/2015 - 11:35

Research Fellow of ELIAMEP Dr Angeliki Dimitriadi gave an interview in the Sunday edition of To Vima newspaper analysing whether Turkey could efficiently co-operate with the EU on the refugee crisis . The article was published on 6 December 2015 and is available here.

3rd Annual Conference of ELIAMEP Crisis Observatory

ELIAMEP - Wed, 09/12/2015 - 10:49

The 3rd Annual Conference of the Crisis Observatory will take place on Wednesday, 16 December 2015 (12:00-18:45), at the French Institute of Greece (31 Sina, Athens), on:

Economic Governance and Democratic Legitimacy in the European Union

In the first part of the conference (12:00-16:00), eight papers that were distinguished in the Young Scientists Academic Paper Competition of the Crisis Observatory will be presented.

In the second part of the conference, a roundtable discussion on “Economic Governance in the EU: Challenges and Perspectives” (16:30-18:30) will take place. The participants will be:

  • Iain Begg (Professorial Research Fellow, European Institute, London School of Economics and Political Science)
  • Zsolt Darvas (Senior Fellow, Bruegel)
  • Stefano Micossi (Director General, ASSONIME, Professor, College of Europe)
  • Nikos Christodoulakis (Former Minister, Professor, Athens University of Economics and Business)

At the closing of the conference, the authors of the four best papers that took part in the Young Scientists Academic Paper Competition of the Crisis Observatory will be awarded monetary prizes (18:30-18:45).

The conference will be held in Greek with simultaneous interpretation in English.

Certificates of attendance will be provided.

The programme of the conference is available here.

You can confirm your participation here by 13/12/2015. Tickets are available on a first-come, first-served basis.

For more information: tel.210-7257110, e-mail: crisisobservatory@eliamep.gr.

The Annual Lecture of ELIAMEP will follow the conference. It will be delivered by Martin Wolf, the principal economic columnist of the Financial Times and internationally acclaimed author. Register for ELIAMEP’s Annual Lecture here.

Venezuela: ante una etapa crucial y complicada

Real Instituto Elcano - Wed, 09/12/2015 - 04:02
Opinión - 9/12/2015
Carlos Malamud
El reconocimiento de la derrota por el presidente Maduro no es garantía de que el respeto a la legalidad vaya a ser la norma en Venezuela en los próximos meses. No será fácil que el país pueda llegar a pasar la página del chavismo y se consolide en la democracia.

Neue Ausgabe der "Politischen Meinung": China – Dimensionen des Wandels

Konrad Adenauer Stiftung - Wed, 09/12/2015 - 00:00
Gerade jetzt sollte das Ziel eines breiten, auch kritischen Dialogs mit China weiterverfolgt werden – ohne Illusionen, aber nicht gänzlich ohne Visionen.

Großbritanniens EU-Referendum - Was kann die EU tun, um einen Brexit zu verhindern?

Konrad Adenauer Stiftung - Wed, 09/12/2015 - 00:00
Das Referendum zum möglichen Austritt Großbritanniens aus der Europäischen Union geht in erster Linie auf innenpolitische und wahltaktische Gründe der Regierung Cameron zurück. Die EU-Institutionen sowie die EU-Mitgliedstaaten müssen die Reformwünsche der britischen Regierung ernst nehmen. Ein ehrlicher und konstruktiver Dialog ist von Nöten, denn die Gefahr eines Ausscheidens Großbritanniens aus der EU ist real.

Francophone Countries to Fight Terrorism

European Peace Institute / News - Tue, 08/12/2015 - 20:36

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Participants in a multi-stakeholder dialogue in Tunis, Tunisia, analyzed the problems of terrorism and violent extremism in the Sahel, the Sahara, and beyond, December 7th and 8th. The conclusions of the seminar will feed into the development of the “Global Action Plan for Francophone Countries to Fight Terrorism,” and inform IPI’s ongoing work in the area.

Participants included women, youth, religious and traditional authorities, representatives of governments, as well as members of the private sector. These 45 participants came from Francophone countries such as Algeria, Burkina Faso, Cameroon, Canada, Chad, France, Libya, Mali, Mauritania, Morocco, Niger, Nigeria, Senegal, Switzerland, and Tunisia.

The Francophone participants aimed to offer some recommendations that can fill a gap in current literature and debates on violent extremism. An Anglophone community of researchers currently dominates the field, and the focus is primarily on security and military issues.

By contrast, this seminar aimed at building a common understanding of the strategic value of prevention and developing proper mechanisms and tools of preventing violent extremism (PVE).

IPI co-hosted the seminar with the Organisation Internationale de la Francophonie (OIF) and the Centre for Security in the Sahel Sahara.

OTAN : élargissements géographiques et fonctionnels, dérives stratégiques

IRIS - Tue, 08/12/2015 - 18:09

Les pays de l’OTAN viennent d’accepter d’intégrer le Monténégro, malgré les protestations de la Russie. Moscou voit dans les élargissements successifs une remise en cause d’un gentleman agreement, énoncé au moment de la réunification allemande : pas d’élargissement de l’OTAN. Les Russes perçoivent une volonté d’encerclement et le maintien d’un climat de guerre froide. Les pays de l’OTAN répliquent en disant que l’alliance atlantique est une organisation de pays démocratiques qui n’a pas de visées agressives et que les inquiétudes de Moscou sont infondées. Certes, la Russie exagère certainement le danger que représente l’adhésion du Monténégro à l’OTAN pour sa propre sécurité. Certes, il n’y a pas eu d’engagement formel des pays de l’OTAN à ne pas en élargir le périmètre après la réunification allemande. Néanmoins, il y a élargissements successifs qui donne matière à ceux qui, à Moscou, voient dans le monde occidental un ensemble qui cherche à limiter la puissance de la Russie et la maintenir dans un statut de vaincu de la guerre froide et non de partenaire d’un nouvel ordre mondial.

Ce calendrier est de surcroît particulièrement mal choisi au moment où on cherche avec certes des difficultés, du fait du soutien de Moscou à Bachar al-Assad, à impliquer plus la Russie dans la lutte commune contre Daech. On peut penser qu’envoyer un signal qui, à tort ou à raison, sera de toute façon perçu comme étant négatif par Moscou n’est pas très habile.

Certains verront dans cette décision de l’OTAN une volonté d’expansion et de puissance sans limite. On peut aussi y voir un mouvement naturel lié à la structure de l’organisation mais qui n’est pas cadré dans une réflexion stratégique globale. En tant que structure, l’OTAN doit justifier son existence après la disparition de la menace qui avait suscité sa création. Quelle légitimité dans un monde post guerre froide ? Historiquement les alliances militaires ne survivent pas à la disparition de la menace qui était leur acte de naissance. L’OTAN doit, par une logique interne, multiplier les activités, chercher de nouvelles missions, élargir son champ pour continuer à exister. C’est presque une démarche structurelle d’organisation quasi-inconsciente, un peu comme l’avait été celle des dirigeants soviétiques lorsqu’ils ont modernisé les SS-3 et SS-4 pour les renforcer par les plus modernes SS-20, dans les années 70, sans saisir qu’ils avaient suscité une contre réaction ferme des Occidentaux débouchant sur la crise des euromissiles.

Après 1990, l’OTAN était dans la situation d’un industriel dont le produit se trouve en difficulté sur le marché. Il peut choisir de fermer l’usine, de diversifier sa production, ou de gagner des parts de marché sur le concurrent. Le produit « défense territoriale des pays membres » étant moins nécessaire, l’OTAN a opté pour la diversification de sa production (élargissement géographique, missions « hors zone ») et de gagner des parts de marché sur celui de la sécurité (L’UEO a disparu, l’ONU n’a pas confirmé les espoirs de 1990, l’OSCE n’a pas pris son envol).

L’OTAN est poussée par une logique de croissance bureaucratique. Ses responsables, ceux qui y travaillent, doivent sans cesse se trouver de nouvelles missions pour se légitimer. Croissance de ses activités, croissance de son champ géographique. Mais cette politique est sans fin car elle conduit à réaliser ce qu’elle dit vouloir combattre. Face à ces différents élargissements, l’attitude de la Russie ne peut être que de se crisper contre les Occidentaux. On pourrait évoquer également l’initial et dangereux système de défense antimissile. Ceux-ci vont alors en conclure qu’il est nécessaire de mettre en place de sérieuses protections contre les résurgences d’une menace russe. À l’extérieur de l’Europe, l’OTAN est trop souvent perçue comme l’armée occidentale du choc des civilisations. C’est le cercle vicieux parfait. L’OTAN mène pour partie une politique de gribouille sans discernement stratégique et pour partie une politique consciente, inspirée par le souvenir de la guerre froide. Les responsables de l’OTAN doivent en permanence se réinventer un rôle pour survivre.

L’Europe peut-elle faire face à la mondialisation ?

IRIS - Tue, 08/12/2015 - 16:56

Sylvie Matelly, directrice de recherche à l’IRIS et professeur à l’EMLV, et Bastien Nivet, chercheur associé à l’IRIS et professeur associé à l’EMLV, répondent à nos questions à propos de leur ouvrage « L’Europe peut-elle faire face à la mondialisation ? » (La Documentation française, 2015) :
– Les membres de l’UE peuvent-ils tirer les bénéfices de la mondialisation s’ils sont incapables de déterminer des intérêts économiques communs à Bruxelles ? La solution à l’influence européenne sur les marchés est-elle politique ?
– Qu’apporte l’Union européenne aux Etats dans la mondialisation ? Quels sont les leviers dont dispose l’UE ?
– Certaines franges de la population ont le sentiment que la mondialisation, comme l’Europe, restreint la souveraineté économique de leur gouvernement. Qu’en est-il réellement ?

Identitätsprobe der Europäischen Idee: Welchen Regeln folgt die Solidarität

Hanns-Seidel-Stiftung - Tue, 08/12/2015 - 15:51
„Wie viel Solidarität braucht Europa?“ ist in diesen Zeiten eine beliebte Überschrift. Oder das „Spannungsfeld zwischen Solidarität und Eigenverantwortung“ einzelner Staaten zu erörtern. Am Ende läuft es meist auf die Frage hinaus: Wie viel Souveränität sind die Länder bereit abzugeben, um Ziele solidarisch zu erreichen?

Terreur dans l'Hexagone

Institut Montaigne - Tue, 08/12/2015 - 14:37
Date de publication: Mardi 08 Décembre 2015Couverture: Type de publication: OuvrageRésumé long: Cet ouvrage donne des clés de lecture pour comprendre la montée de la radicalisation et l’avènement d'un djihadisme "de troisième génération" en France. Cette enquête inédite considère ces évolutions au regard de la situation économique, sociale, religieuse et politique de notre pays, mais également des conflits au Moyen-Orient.

Vers un blocage de l’extension du gazoduc Nord Stream 2 ?

IRIS - Tue, 08/12/2015 - 12:41

Plusieurs pays d’Europe centrale souhaitent bloquer l’extension du gazoduc Nord Stream 2. Pour quelles raisons ? Comme l’affirme le commissaire européen chargé de l’Energie, les infrastructures existantes sont-elles supérieures aux probables futurs besoins ?
Il y a deux grandes familles de raisons. La première est d’ordre géopolitique ; des pays craignent beaucoup la Russie et ont une orientation géopolitique à l’opposé d’elle. C’est notamment le cas de la Pologne et des pays baltes qui sont par ailleurs très dépendants de Moscou pour leurs approvisionnements. Il y a par ailleurs des raisons économiques : toute une série de pays d’Europe orientale comme la Hongrie ou la Slovaquie qui se trouvent sur le trajet des gazoducs terrestres russes ont un poids relativement important dans le transit de gaz Russie-Europe occidentale et qui, avec le doublement de la capacité de Nord Stream, se retrouveraient amoindris dans le jeu gazier européen.
A l’heure actuelle, les infrastructures gazières terrestre et maritime dont Nord Stream 1 – sont a priori suffisantes pour les besoins européens. On a vu que quand le gazoduc South Stream a été annulé à la fin de l’année dernière, les pays d’Europe du Sud comme l’Italie qui devaient être les destinataires finaux du gaz n’ont pas été si affectés que cela. Ces pays voient se profiler de plus en plus la baisse de leur demande, qui est consécutive à la crise et une stagnation de leur production électrique. Selon les pays, il y a en outre un modèle de transition énergétique où on veut aller soit vers de plus en plus de renouvelables, soit vers une modification des réseaux pour limiter la production électrique en conservant la même consommation ; en tout cas diminuer la consommation d’hydrocarbures. On se retrouve ainsi avec une projection de demande globale en gaz qui, si elle est à la hausse, le sera de manière très limitée, voire pourrait se retrouver à la baisse.

Le blocage de ce projet fragiliserait-il les approvisionnements énergétiques des pays européens ?
Tout dépend des pays dont on parle. Un certain nombre de pays comme ceux d’Europe orientale sont déjà desservis par les gazoducs terrestres. Il y a une interconnexion poussée dans les systèmes de gazoducs en Europe qui permet de parler de système continental. Si tout fonctionne bien, le réseau gazier russe peut à l’heure actuelle alimenter les pays européens en l’état. De plus, il y a d’autres voies d’approvisionnement comme la voie algérienne qui passe par un triple système : l’Espagne, l’Italie ou, si l’on parle de gaz naturel liquéfié, par la France. Il y a des productions gazières sur le continent européen lui-même, notamment aux Pays-Bas et en Norvège et l’on peut même penser à d’autres sources (Azerbaïdjan, Méditerranée orientale, Golfe persique, etc.). Il est bien évident qu’avec les problématiques qui se posent entre la Russie et l’Ukraine, et notamment le fait que la Russie a annoncé qu’elle allait arrêter ses livraisons de gaz à l’Ukraine tant que qu’ils n’auraient pas payé leurs factures, on peut se retrouver, notamment pour les pays d’Europe orientale, avec un scénario assez comparable avec ce qui s’était passé dans les hivers de 2006 à 2009. Cet épisode que l’on a appelé « les guerres gazières », où la Russie coupait l’approvisionnement de gaz à l’Ukraine, ont eu un impact sur tout le trajet des gazoducs terrestres, à commencer par la Slovaquie qui s’est retrouvée pratiquement privée de cette ressource à l’hiver 2009.

Quelles seraient les conséquences de ce blocage pour la Russie alors que le projet Turkish Stream est également mis à mal en raison des tensions diplomatiques entre la Russie et la Turquie ?
Après l’abandon du South Stream l’année dernière, le projet Turkish Stream qui a du plomb dans l’aile. En outre avec le développement du projet TANAP/TAP vers l’Azerbaïdjan au travers de l’Italie, l’Albanie, la Grèce et la Turquie, contournant la Russie par le sud, le blocage du projet Nord Stream serait un signal politique fort envoyé à la Russie. Cela marquerait la volonté des autorités politiques du continent qu’elle ne développe pas sa part dans les approvisionnements européens. Cela amènerait très probablement la Russie à encore plus se retourner vers les marchés asiatiques – Chine, Corée du Sud et Japon-, ce qu’elle fait déjà. C’était notamment le cas lors de l’annulation du South Stream.
En l’état, le projet Nord Stream 2 ne se fait pas sur le territoire des Etats européens mais dans les zones économiques exclusives – la question étant de savoir si ces zones répondent au droit de l’Union européenne sachant que ce ne sont pas des eaux territoriales – et il se fait majoritairement avec des entreprises plus que des Etats. Or, certaines entreprises appartiennent en totalité ou en partie aux Etats, notamment ENGIE qui appartient en partie non négligeable à l’Etat français et qui est déjà un acteur important dans le Nord Stream 1 et veut aussi se développer dans Nord Stream 2. Il risque donc là aussi d’y avoir une fracture entre les Etats et les entreprises et entre les Etats eux-mêmes selon leurs intérêts géoéconomiques concernés.

ELIAMEP contributed to a debate organised by Das Progressive Zentrum in Athens

ELIAMEP - Tue, 08/12/2015 - 12:21

Das Progressive Zentrum organised  a debate to launch its new project ‘Civil Society Dialogue on Europe ‘ in Athens on Monday 7 December 2015.  The Hellenic Foundation for European & Foreign Policy (ELIAMEP) contributed to this event.  President of ELIAMEP, Professor Loukas Tsoukalis made the introductory remarks and focused on the importance of fostering dialogue. In addition, Research Fellow Dr Eleni Panagiotarea presented the conclusions of the workshop on sustainable growth and Associate Professor of the University of Athens Dimitri A. Sotriopoulos participated in another workshop on euroscepticism proposing measures against the rise of populism.

Expérimentation, frais d'inscription, sélection : entretien avec Thierry Pech et Laurent Bigorgne

Institut Montaigne - Tue, 08/12/2015 - 11:59
Date de parution: Mercredi 02 Décembre 2015Auteur: Laurent Bigorgne et Thierry PechNom de l'editeur: AEFImage de l'editeur: Description: Après le colloque organisé en partenariat avec AEF le 6 octobre 2015, Thierry Pech, directeur général de Terra Nova, et Laurent Bigorgne, directeur général de l'Institut Montaigne, reviennent pour AEF sur l’enjeu crucial, selon eux, de l’autonomie des établissements et plaident pour la diversité des modèles d’université, de leur gouvernance et la différenciation des parcours de formation. Terra Nova souhaite un "État régulateur" tandis que Laurent Bigorgne s’interroge sur la nécessité même d’un ministère. Les deux Think Tanks se retrouvent pour réclamer plus de moyens à l’État, condition pour amorcer une augmentation "modérée" des frais d’inscription. Ils souhaitent également plus de stabilité mais prônent, pour faire évoluer le système, le droit à l'expérimentation. Thierry Pech et Laurent Bigorgne jugent enfin qu’il faut sortir des clivages habituels et avoir des consensus larges.Type de parution: L'institut s'exprimeType de média: Presse

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