Parlamenti frakcióként fogják elismerni a Pro Románia párt képviselőit – jelentette ki ma Marcel Ciolacu, akit a Szociáldemokrata Párt javasol a Liviu Dragnea után megüresedett képviselőház-elnöki tisztségbe. Arra az újságírói kérdésre, hogy a PSD szövetséget tervez-e létrehozni a Pro Romániával, Ciolacu azt felelte: nem szövetségről beszél, hanem a ‘normalitásról’, és nem a szavazatszerzés reménye vezérli. Viorica Dăncilă kormányfő nyomatékosította: a PSD nem kötött szövetséget a Pro Románia párttal.
Elkezdődött az ötnapos feliratkozási időszak a jövő héten rajtoló érettségire. Az idei vizsgasorozat június 3-án és 4-én a román nyelvi képességfelmérővel kezdődik, ezt az anyanyelvi képességfelmérő követi 5-én és 6-án. A digitális kompetenciapróba (június 7., 10., 11.) egyik vizsganapja idén egybeesik a nyugati keresztény egyházak által ünnepelt pünkösdhétfő dátumával, így a nem ortodox vallású érettségizők június 7-én és 11-én vehetnek részt a képességfelmérőn. Az írásbelik július 1-jén, a román nyelv és irodalom vizsgával kezdődnek, ezt követi a magyar nyelv és irodalom vizsga július 2-án, majd a szaknak megfelelő kötelező tantárgyból adnak számot tudásukról az érettségizők július 3-án. Az utolsó írásbelin, július 4-én a szaknak megfelelő választott tantárgyból vizsgáznak az érettségizők. Az eredményeket július 8-án függesztik ki. A Hargita Megyei Tanfelügyelőségen idén nagyjából 2200 érettségizőre számítanak, de ez a szám 100–150-nel nőhet, illetve csökkenhet. Maros megyében idén 3575 diák végez a középiskolával, és háromezer fölötti érettségizőre biztosan számítanak.
Tegnap délelőtt egy nyolcadik és két tizenkettedik osztálynak szerveztek kicsengetési ünnepséget a marosvásárhelyi II. Rákóczi Ferenc Római Katolikus Teológia Gimnáziumban. Az esemény nemcsak azért volt történelmi jelentőségű, mert az iskola újraindulása utáni első ballagás volt ez, hanem azért is, mert az intézmény azoktól a diákoktól vett búcsút, akik 2015-ben, a katolikus iskola indulásakor ide felvételiztek, és akik négy évi tanulmányuk során végigélték a megpróbáltatásokat, illetve az újraindulást is. Az iskola udvarán a végzősök, szülők, hozzátartozók és tanárok mellett a tanfelügyelőség, a politikum képviselői, de még a katolikus iskola egyszerű szimpatizánsai is jelen voltak.
L'Udbn de Claudine Prudencio n'entend pas rester distante de la main tendue du chef de l'État. Le parti a officiellement accepté le dialogue tout en invitant les autres à accepter cette main tendue pour continuer à valoir cette richesse du Bénin qu'est la paix.
Contrairement à l'opposition, le parti de Claudine Pudencio accepte la main tendue du chef de l'État. C'est au cours d'une conférence de presse que l'information est rendue publique. Selon la présidente de l'Udbn, "Les élections législatives du 28 avril 2019 ainsi que les évènements qui s'en sont suivis les 1er et 2 mai 2019, nous ont convaincus de ce que la paix et la stabilité restent des denrées fragiles qu'il faut veiller à entretenir au quotidien pour éviter à notre vivre ensemble des secousses graves". Elle souligne que " Les prises de positions des différentes composantes de la classe politique et des autres corps constitués de notre Nation sur la situation, témoignent, à n'en point douter, de l'engagement des uns à éviter au peuple béninois un vide juridique préjudiciable, et de la ténacité des autres à contribuer à élargir le cercle du débat démocratique dans notre pays et particulièrement à l'Assemblée nationale". Claudine Prudencio fait savoir qu' "il n'est point superflu de rappeler qu'à l'issue du processus de mise en conformité des partis politiques avec le nouvel arsenal juridique qui gouverne les opérations électorales dans notre pays, seules deux formations politiques ont été retenues par la Commission Electorale Nationale Autonome (CENA)".
Pour elle, " l'Union Démocratique pour un Bénin Nouveau, n'a pas manqué de saisir toutes les occasions appropriées pour exprimer ses récriminations relatives aux couacs qui ont caractérisé le processus. Au niveau d'autres partis recalés, notamment ceux de l'opposition au régime en place, la contestation n'a cessé d'enfler". C'est pour cela dira-t-elle que "Notre pays était ainsi rentré dans une série de situations tendues qui ont, des semaines durant, troublé le paysage politique béninois jusqu'au lendemain du scrutin du 28 avril 2019 où la tension est encore montée d'un cran, avec des conséquences que nous avons tous déplorées et continuons de déplorer".
Tout en notifiant sa pensée pieuse pour les victimes, elle souligne que " nos cœurs ont saigné, particulièrement ceux des femmes mères de familles, face à un tel tableau inquiétant auquel notre pays n'était pas habitué ; en tout cas depuis l'historique Conférence des Forces Vives de la Nation de février 1990".
Ayant très tôt perçu les signes précurseurs, d'une situation potentiellement critique, l'Udbn a appelé à la retenue et à la culture de la paix. "J'ai particulièrement lancé des cris de cœur de mère de famille et de femme politique que je suis pour que ce pays, le seul que nous avons, puisse être épargné des violences post-électorales ; des situations fâcheuses dont on connaît souvent le commencement mais jamais jusqu'où cela peut conduire", informe l'ancienne élue de la sixième circonscription électorale.
"Même après le scrutin du 28 avril 2019, j'ai lancé, au nom de l'UDBN, un nouvel appel à la paix et au dialogue. Dans notre adresse, nous élevions le dialogue entre toutes les composantes de l'arène politique béninoise au rang d'impératif et d'urgence majeure pour que notre pays puisse rapidement reprendre sa place de havre de paix. Nous avions demandé que cette dynamique soit activée avant même l'installation de la 8ème législature", a rappelé Mme Prudencio.
Aussi dira-t-elle que "L'autre souhait majeur pour nous à l'Udbn, c'était la sollicitation personnelle du Chef de l'Etat visant à le voir s'impliquer dans ce processus de dialogue. Nous avons multiplié des consultations, souvent loin des caméras, avec aussi bien des acteurs politiques que des acteurs de la société civile, y compris les autorités religieuses en vue de pourparlers inclusifs et efficaces". C'est dans ce sens que "Nous venons ici exprimer notre début de satisfaction face à la démarche des autorités religieuses, notamment le clergé catholique à travers l'offre insistante de médiation de la Conférence Episcopale".
Elle se réjouit de cette démarche en citant le président de la République : « Conscient que nul ne devra manquer au chantier de construction de notre pays, j'inviterai très prochainement toute la classe politique pour des échanges directs, francs et constructifs au profit de notre bien commun, le Bénin. ».
A l'en croire, " S'étant très tôt engagée comme artisan de la paix, au prix même du sacrifice de nos revendications politiques du moment, eh bien ! l'UDBN ne peut qu'apprécier à sa juste valeur, cette nouvelle dynamique en accueillant favorablement cette annonce". Aussi pense-t-elle que "Le Bénin n'a d'autre choix que d'aller au dialogue pour que les valeurs de tolérance, de coexistence pacifique et de consensus qui caractérisent notre label démocratique continuent à prévaloir. Des valeurs martelées, en des circonstances les plus solennelles, par de grandes figures de l'œuvre de paix à l'image du feu Prélat Monseigneur Isidore de Souza de regrettée mémoire".
C'est tout ce qui fonde l'acceptation de la main tendue de Patrice Talon.
"L'UDBN accepte donc officiellement de prendre activement part, le moment venu, aux échanges annoncés par le Président Patrice Talon et insiste pour que très vite, les actes soient joints à la parole", annonce Claudine Prudencio. Elle profite donc de son choix pour lancer "un vibrant appel à toutes les forces politiques, toutes sensibilités confondues, à toutes les organisations sociales, afin qu'un dialogue franc et sincère, s'instaure et se poursuive en vue d'une décrispation définitive du climat sociopolitique au Bénin".
G.A.
Le gouvernement dans sa vision de renforcer le système éducatif en personnel enseignant a organisé une évaluation diagnostique le samedi 11 mai 2019 au profit des aspirants au métier de l'enseignant. Afin de donner la chance à d'autres qui n'ont pas pu composer, une nouvelle vague d'inscriptions est lancée à leur profit du 27 mai au 21 juin 2019.
Un appel a été lancé à l'endroit de ceux qui ambitionnent d'enseigner mais qui n'ont pu participer aux dernières évaluations. Ils ont la chance d'aller une fois de plus s'inscrire dans les directions départementales des enseignements maternel, primaire et secondaire de leur choix.
Sont concernés, les détenteurs d'un baccalauréat au moins pour les instituteurs et d'une licence dans une matière enseignée au moins pour les professeurs du premier cycle et d'une maîtrise pour ceux du second cycle de l'enseignement général. Les détenteurs des diplômes professionnels sont aussi autorisés à s'inscrire pour prendre part à ce test diagnostic.
Le ministre Mahougnon KAKPO indique aussi que les retraités valides physiquement et intellectuellement peuvent prendre part à cette évaluation.
Cette évaluation vise à constituer une base de données fiables afin faire face aux besoins en personnel qualifié des établissements d'enseignement public.
G.A.
Norbert Ahivohozin, c'est le nouveau élu qui siège à la place de Georges Bada. Le maire de la commune d'Abomey-Calavi renonce de siéger à l'Assemblée nationale pour le compte de la huitième législature.
Élu dans la sixième circonscription électorale pour le compte du parti Union Progressiste, Georges Bada préfère s'occuper des populations à la base. Il repart dans son fauteuil de maire jusqu'aux prochaines élections communales de 2020. Son suppléant Norbert Ahivohozin sera investi, vendredi 31 mai prochain, à l'Assemblée nationale.
Au cours de la septième législature, Georges Bada, alors candidat aux élections communales de 2015 sur la liste de la Renaissance du Bénin, avait déjà choisi la gestion à la base bien qu'étant deuxième questeur à cette législature. C'est ainsi qu'il a envoyé son suppléant, Norbert Ahivohozin le remplacer à l'hémicycle.
Réélu cette fois-ci sur la liste de l'Union Progressiste, toujours dans la 6è circonscription électorale, il envoie son suppléant historique siéger à sa place.
Norbert Ahivohozin sera reçu et installé le 31 mai prochain à l'instar de Sanni Mama, suppléant du maire de Bohicon Luc Atrokpo.
Et ce, à l'ouverture de la plénière, qui sera consacrée à la désignation des représentants de l'Assemblée nationale dans les parlements régionaux.
G.A.
Européennes 2019 : les droites conservatrices partout en tête dans les Balkans
Européennes, régionales, municipales : Syriza à la reconquête des déçus de la gauche
Européennes 2019 : scrutin test pour une Grèce en sortie de crise
Grèce : le gouvernement annonce la reprise, la population ne voit pas la fin de la crise
Cet article (B2 Pro) Carnet (29.05.2019). Confidentiels (Afghanistan, Stratégie globale). Opérations (pays tiers EUTM Rca et EUAM Iraq). Défense (Finlande économies, Pologne F-35. France Guépard et 3D. Pays-Bas budget. Belgique transparence). Diplomatie (UE-Asie centrale, Khirghizstan Droits Homme). Pouvoirs (Espagne Affaires étrangères. Autriche Premier ministre. Roumanie prison. Grèce législatives. Lituanie présidentielles). Commission/Parlement 2019 (Majorité. Députés AFET et LIBE réélus). est apparu en premier sur B2 Bruxelles2.
DIW-ForscherInnen berechnen, was ein niedrigeres Rentenniveau für die Altersarmut und den Bezug von Grundsicherung bedeuten würde – Deutlich mehr RentnerInnen als bisher stünden finanziell schlecht da, wenn nicht gegengesteuert wird – Langfristig sollten unter anderem die private und betriebliche Altersvorsorge ausgebaut werden
Sinkt das Rentenniveau wie erwartet von heute 48 Prozent auf etwa 43 Prozent im Jahr 2045, steigt die Armutsrisikoquote bei Älteren – wenn sich an den derzeitigen Rahmenbedingungen nichts ändert – um bis zu 20 Prozent. Auch der Anteil derer, die Grundsicherung im Alter beziehen, nähme deutlich zu – es sei denn, die Renten wachsen schneller als der Grundsicherungsbedarf. Das sind die zentralen Befunde einer neuen Studie des Deutschen Instituts für Wirtschaftsforschung (DIW Berlin) im Auftrag des Deutschen Gewerkschaftsbundes (DGB).
A Központi Választási Iroda tegnap este közzétett részleges adatai szerint a vasárnapi európai parlamenti választásokon a Nemzeti Liberális Pártra a szavazók 26,8 százaléka, a Szociáldemokrata Pártra 22,89 százaléka, az USR PLUS 2020 Szövetségre 21,78 százaléka adta voksát. A sorban a Pro Románia következik 6,57 százalékkal, a Népi Mozgalom Párt 5,75 százalékkal, majd a Romániai Magyar Demokrata Szövetség 5,42 százalékkal. A Központi Választási Iroda tegnap estig a leadott voksok 96 százalékát, 8 millió 984 ezer 207 szavazatot dolgozott fel.
A Hargita megyei törvényszék tegnapi, jogerős ítéletében érvénytelenítette azt a bírságot, amelyet Hargita megye prefektusa szabott ki Székelyudvarhely polgármesterére a tavaly március 15-ei nemzeti ünnep alkalmából városdíszítésként használt piros-fehér-zöld jelképek miatt. “A szalagok és a kokárdák nem minősülnek semmilyen ország nemzeti zászlójának. Mondtam én, hogy lehet, csak akarni kell… Hajrá Székelyudvarhely!” – írta a Facebook közösségi oldalon Gálfi Árpád polgármester, miután tudomást szerzett az ítéletről. tavaly a Hargita megyei prefektus 5000 lejes bírságot szabott ki Székelyudvarhely polgármesterére a nemzeti ünnep tiszteletére kitűzött magyar jelképek miatt, de ugyanígy járt el a Kovászna megyei kormánymegbízott is Kézdivásárhely és Sepsiszentgyörgy elöljárójával szemben. A büntetések heves tiltakozást váltottak ki az erdélyi magyarok körében, és a budapesti kormány is súlyos támadásnak nevezte az intézkedést. A bírságolási jegyzőkönyv érvénytelenítésére indított pert Székelyudvarhely és Kézdivásárhely polgármestere első fokon elvesztette, Sepsiszentgyörgy polgármestere első fokon megnyerte. Az egymásnak ellentmondó ítéletek ellenére a prefektusok idén március 15-én is hasonló bírságokat szabtak ki székelyföldi városok polgármestereire.