La société publique Algérie Telecom a annoncé que de nouvelles expérimentations techniques seront effectuées dans certaines wilayas pour augmenter la vitesse du débit internet. En effet, depuis jeudi 24 juin, au soir, Algérie Télécom s’est lancée dans des nouvelles séries d’expérimentations techniques, destinées à augmenter le débit Internet pour les abonnés du service de 4 mégaoctets […]
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Du lundi 28 juin au vendredi 02 juillet 2021, environ 20 agents des services météorologiques de huit pays d'Afrique de l'Ouest seront formés à Dakar (Sénégal), sur la production de données climatiques robustes à partir des données satellitaires combinées avec les données des stations météorologiques collectées, au profit des agriculteurs. C'est une initiative conjointe du Conseil ouest et centre africain pour la recherche et le développement agricoles (CORAF) et de World Agroforestry (ICRAF).
L'agriculture, fortement dépendante des systèmes de production pluviale, subit les affres des changements climatiques. Cette situation compromet la sécurité alimentaire et nutritionnelle ainsi que le bien-être des populations en Afrique de l'Ouest. Selon Dr Caroline Makamto Sobgui, experte en mise à l'echelle des technologies et innovations au CORAF « le changement climatique a un sévère impact sur l'agriculture et pour les agriculteurs, il est plus que jamais essentiel de s'adapter, voire d'anticiper afin de réduire leur impact sur la qualité de vie des producteurs ».
Grace à une initiative conjointe du CORAF et de l'ICRAF, une vingtaine agents des services météorologiques prendront part du 28 juin au 02 juillet 2021 à une formation de renforcement de capacités. Ils seront dotés des techniques et outils pour contrôler la qualité des données climatologiques, acquérir les produits climatiques par satellite, cartographier des données des réseaux climatologiques avec un accent particulier sur la quantification des incertitudes d'interpolation, combiner des données satellitaires et celles des réseaux pluviométriques et enfin élaborer des produits climatiques d'aide à la décision. L'atelier s'inscrit dans le cadre de l'initiative “Enhancing National Climate Services (ENACTS)”, une approche mise au point par l'IRI (l'International Research Institute for Climate and Society) et ses partenaires, pour fournir des données climatiques robustes, fiables et facilement accessibles aux décideurs et aux producteurs en Afrique.
« Cette formation sur le module « Merging » de ENACTS permet de remédier à la faible densité du réseau météorologique en Afrique sub-Saharienne. Elle permet d'établir une corrélation entre le peu de données observées qui existent et celles des images satellitaires, et à partir de cette corrélation, d'extrapoler pour générer des données avec des qualités acceptables pour les sites qui n'en disposent pas. La formation ENACTS-Merging est une composante très utile pour la mise à l'échelle de l'approche “Services climatiques participatifs intégrés pour l'agriculture (PICSA)” » renseigne l'organisation sous régionale CORAF dans un communiqué de presse.
Les résultats attendus
Pour Dr Makamto Sogbui « l'information climatique constitue un puissant outil d'aide à la décision, qui aide les agriculteurs à prendre des décisions éclairées pour mieux faire face au changement climatique ». Il est donc attendu à la fin de cette formation, une maîtrise des outils et des techniques de contrôle de qualité, de spatialisation des données climatologiques ; une maîtrise des outils et des techniques de combinaison des données satellitaires et celles des réseaux au sol ; la production des grilles de pluie et des cartes de référence contribuant au renforcement des services climatiques ; la production des produits opérationnels pour le suivi de la campagne agricole sur la base de la combinaison des données satellitaires et celles des réseaux au sol et le renforcement de la maîtrise du logiciel R ( logiciel dédié aux statistiques et aux bases de données).
La formation sera assurée par des partenaires d'AGRHYMET basés au Niger et de IRI, basés aux Etats-Unis. Les participants viendront des six (06) pays couverts par le programme de Partenariat pour la recherche, l'éducation et le développement agricoles en Afrique de l'Ouest (PAIRED) que sont le Bénin, le Mali, le Niger, le Nigéria, le Ghana et le Sénégal, et de deux pays additionnels à savoir le Burkina Faso et la Côte d'Ivoire. Le CORAF et World Agroforestry (ICRAF) collaborent avec divers partenaires, notamment Agrhymet, l'International Research Institute for Climate and Society (IRI) et bien d'autres.
À propos du CORAF
Le CORAF, une organisation sous régionale constituée des systèmes nationaux de recherche agricole de vingt-trois pays d'Afrique de l'Ouest et du Centre, a pour mandat de coordonner la mise en œuvre des politiques sous-régionales de recherche agricole telles que définies par les gouvernements. Créé en 1987 avec son Secrétariat Exécutif à Dakar, Sénégal, le principal objectif du CORAF est d'améliorer les moyens de subsistance en Afrique de l'Ouest et du Centre, à travers des augmentations durables de la production et de la productivité agricoles et de promouvoir la compétitivité et les marchés.
À propos de l'ICRAF
Le World Agroforestry (ICRAF) est un centre d'excellence scientifique et de développement qui exploite les multiples avantages que les arbres procurent à l'agriculture, aux moyens de subsistance, à la résilience et à l'avenir de notre planète, à partir des champs des agriculteurs à l'échelle continentale des paysages. Avec son siège basé à Nairobi, Kenya, il s'est donné pour vision, un monde équitable où tous les peuples ont des moyens de subsistance viables soutenus par des paysages sains et productifs.
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Le président directeur général de la société Sonimex Séraphin Yéto et huit autres personnes ont été déposés en prison ce vendredi 25 juin 2021 pour trafic de drogue et corruption.
Le PDG de la société Sonimex n'est plus libre de ses mouvements. Selon Frissons Radio, Séraphin Yéto a été placé en détention provisoire par la Cour de répression des infractions économiques et du terrorisme (CRIET). Il est poursuivi pour des faits présumés de trafic de drogue et corruption. Huit autres personnes ont été également déposées en prison. Le patron de l'Office central de répression du trafic illicite des drogues et des précurseurs (Ocertid) est en arrêt de rigueur.
A.A.A
L'universitaire français, Pierre Hillard, combat le mondialisme qui prône la fin des nations au profit d'une gouvernance mondiale sous-tendue par le transhumanisme qui veut refondre l'humain. Ses références savantes donnent le sentiment qu'il a lu tous les ouvrages traitant du sujet de son aversion. Sur un plateau de télévision en juin 2021, il fait état de ce que la revue « The Economist », mondialiste et transhumaniste, dans son numéro de septembre 1990, ait laissé tomber deux parties du monde sur le nouvel atlas qui se prépare : « Il y a deux choses qui m'étonnent sur cette carte : il n'y a pas l'Australie, et la partie subsaharienne de l'Afrique. Pourquoi ? Je ne peux pas vous répondre. » Or, il existe des esquisses de l'effacement de l'Afrique noire. Quelques références les révèlent à souhait.
En septembre 1907 se tint à Lyon le synode pour structurer les Eglises catholiques romaines en train de naître en Afrique noire. Le vocabulaire fut « les Africains » et « les Noirs ». Au chapitre « Clergé indigène », il fut décidé, entre autres : « Quand enfin l'épreuve aura été suffisante et que les signes de vocation se présenteront à l'état de certitude morale, on les préparera directement au sacerdoce. Ce seront des prêtres libres […], ils sortiront le moins possible de leur pays et jamais n'iront en Europe. » Dédain et prise de distance
Le plus grand collège catholique du Bénin porte le nom du père Francis Aupiais (1877-1945). Ce missionnaire dévoué avait les Dahoméens en estime. Un autre missionnaire dévoué s'en émut et dénonça à leur supérieur les « apologies outrancières de la race noire », dont son confrère se rendait coupable. Reçu en audience par le Pape Pie XI, le père Aupiais s'entendit dire par son hôte : « Quand vous retournerez chez vos Africains, vous leur direz que je les aime pour ce qu'ils sont. » Comme il venait de les comparer aux « populations primitives » rencontrées chez lui dans son enfance, le « pour ce qu'ils sont » ne prêtait pas à confusion. Reçu à nouveau en audience par Pie XII, le père Aupiais s'entendit dire par son hôte : « Dites à vos Noirs que je les aime pour ce qu'ils sont. » Sauf confusion de la part des historiens, on pense que Pie XII aura préparé l'entretien en lisant le verbatim de la première audience accordée au missionnaire venu du Dahomey. Le 26 janvier 1944, le même Pie XII envoya son secrétaire d'Etat porter un message urgent à l'ambassadeur de Grande-Bretagne : « Le Pape espère qu'il n'y aura pas de soldats de couleur au sein des troupes alliées qui seront déployées à Rome après la libération. » Etc. Le Noir suscite chez eux dédain et prise de distance, chemins subliminaux vers l'effacement du Noir dédaigné et non-désiré.
Ces références n'ont pris aucune ride. En septembre 1990 « The Economist » efface l'Afrique noire. Le 26 juillet 2007 à Dakar, Nicolas Sarkozy fait la leçon et conclut : « Alors seulement […] l'enfant noir […] comprendra qu'il peut lever la tête et regarder avec confiance l'avenir. […] Et il se sentira enfin un homme comme tous les autres hommes de l'humanité. » A Minneapolis le 25 mai 2020, George Floyd fut empêché de « lever la tête » et mourut étouffé car, noir, il n'était pas « un homme comme tous les autres hommes de l'humanité ». On ne l'effaça pas que de l'histoire, on l'effaça de la vie. « Solution finale ».
Voilà pourquoi l'Africain noir, en habit vert d'académicien, en pourpre cardinalice, à la tête des Nations Unies, etc., n'est qu'objet de bonne conscience pour occulter la vérité. Le mondialisme et le transhumanisme, en gestation dans les officines agréés, écartent l'Afrique noire analphabète, aux langues et religions officielles empruntées à autrui, aux ressources abandonnées à autrui. Le double projet prométhéen de refonte de la planète et des hommes se fait sans l'Afrique noire. « The Economist » de septembre 1990 a donc devancé l'histoire qui avance sans l'Afrique noire, bientôt oripeau de l'ancienne histoire des hommes.
Au Bénin, l'importation de riz semi-blanchi a atteint un niveau record au premier trimestre de l'année 2021, selon le Bulletin des statistiques du commerce extérieur du mois de juin publié par l'Institut national de la statistique et de l'analyse économique (INSAE).
356 000 tonnes de riz semi-blanchi dont 60% provenant de l'Inde ont été importés au Bénin au premier trimestre de 2021. Ce qui revient à un coût total de 90 milliards de FCFA soit 23 % de la valeur totale des importations de marchandises de la période sous revue, selon le Bulletin des statistiques du commerce extérieur du mois de juin publié par l'Institut national de la statistique et de l'analyse économique (INSAE). Une grande partie du riz importé est destiné au marché du Nigéria.
Au Bénin, la production de riz locale a augmenté ces dernières années. Environ 700 000 tonnes de riz sont produits chaque année.
Pour la campagne 2019-2020, 400 000 tonnes de céréales ont été produits soit un taux d'autosuffisance d'environ 54 %. Une capacité de production que le gouvernement entend porter à 1 millions de tonnes à l'horizon 2023.
M. M.
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