SKOPJE 1 November 2021 – The second round of North Macedonia’s local elections was competitive and the election administration took efforts to address some procedural shortcomings from the first round. However, negative rhetoric and allegations of pressure on voters and candidates continued to affect the elections, international observers from the OSCE Office for Democratic Institutions and Human Rights (ODIHR) said in a statement today.
Election officials carried out the technical preparations for the run-offs within legal deadlines. Following some efforts to address technical issues from the first round, the second-round election day proceeded smoothly, although some shortcomings persisted. The inadequate handling of complaints undermined effective remedy and deprived some people of the opportunity to vote.
While financial reports were required of contestants in the second round, they were not published prior to voting. This, along with the limited public information on and accountability for campaign finances in the first round, reduced transparency.
Broadcasters monitored by ODIHR provided voters with ample information about contestants and the tone of news programmes was generally neutral. The largest parliamentary parties enjoyed systemic advantages in the distribution of public resources for campaigning and coverage and advertising in the media, significantly disadvantaging independent candidates and those from smaller parties.
“More can be done to make elections in North Macedonia more inclusive, both of independent candidates and those representing smaller parties,” said Tana de Zulueta, head of ODIHR’s election observation mission. “Improvements to the election framework could create a more level playing field by addressing systemic disparities in campaign opportunities, as well as focusing on ways of improving the participation of women in political life.”
ODIHR’s Election Observation Mission to North Macedonia commenced its work on 7 September with a team of 16 experts based in Skopje. In this second round, the mission included 23 observers from 13 countries. A final report with recommendations for improving the election process will be available in about two months.
For further information, please contact:
Katya Andrusz, ODIHR: +48 609 522 266 or katya.andrusz@odihr.pl
Au moment où le pays traverse l’une de ses pires crises, le secteur de l’Éducation a été gagné par une grève cyclique annoncée par le CNAPESTE. Dans le même cadre, et un peu pour les mêmes raisons, les travailleurs de la Santé, sous l’étendard du SNPSP, annonce une journée nationale de contestation.
En effet, et à l’issue d’un conseil qui a réuni le SNPSP, le SNECHU, ainsi que le SAP, une décision a finalement vu le jour. Il s’agit d’aller vers l’organisation d’une journée nationale de contestation programmée pour le mercredi 3 novembre 2021.
Pour les syndicats des travailleurs de la Santé, la lutte seule pourrait arracher leurs droits. Ils ont toutefois décidé d’entamer cette contestation tout en garantissant le service minimum dans les établissements de santé publique, comme cela a été indiqué dans leur communiqué.
Le pouvoir d’achat au cœur de la contestationAu centre des revendications mises en avant par les syndicalistes et les travailleurs du secteur de la santé, le pouvoir d’achat se distingue. Dans son communiqué rendu public, le SNPSP indique qu’il dénonce « la détérioration inédite du pouvoir d’achat » et qu’il réclame « l’amélioration des conditions de travail ».
Il est à rappeler que le corps soignant fait face depuis près de deux ans à la pandémie. Plusieurs médecins et infirmiers ont été touchés par le virus, certains ont payé leur abnégation au prix de leurs vies. Le communiqué n’a pas manqué de réclamer « la prime covid », qui est attendue depuis le mois de mars 2021.
Les travailleurs de la santé revendiquent également « une assurance à 100 % » pour tous les employés du secteur, ainsi qu’une « bonification de retraite » pour les travailleurs qui ont fait face à la pandémie. Toujours concernant la pandémie, le communiqué du SNPSP réclame que la Covid-19 « doit être enregistrée sur la liste des risques du métier de la Santé ».
Pour finir, le communiqué n’a pas omis de dénoncer la pression exercée sur les syndicalistes. Le SNPSP estime que la contestation et l’exercice du syndicalisme sont des droits garantis par la constitution.
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The OSCE, together with the German Corporation for International Cooperation (GIZ), supported the third Annual General Meeting of the Balkan Asset Management Interagency Network (BAMIN) held from 27 to 29 October 2021 in Tirana, Albania. This was the network’s first in-person meeting since 2019, convening 40 participants from asset management agencies of ten jurisdictions, representatives of the BAMIN Secretariat, the OSCE, GIZ and Europol, with 20 participants from six jurisdictions also participating online.
This year’s annual general meeting served as a platform for information exchange about specific cases related to asset management from the previous year.
Participants discussed challenges and best practices and had an opportunity to network with asset management agencies from different jurisdictions. During a field visit to Shkodra, they were introduced to an example of social re-use of confiscated assets: a mobile library built on a 4x4 SUV vehicle, which provides books to children living in remote villages.
Elena Pici, General Secretary and Head of the Inter-Institutional Committee on Measures against Organized Crime, opened the second day of the meeting by welcoming participants and stressing the BAMIN network’s role in fostering collaboration among jurisdictions. The welcoming remarks were followed by short presentations from representatives of asset management agencies, as well as keynote speakers from the U.S. Marshals Service from the United States Department of Justice, the Criminal Assets Bureau in Dublin, the National Police Chiefs’ Council in London, and Europol.
Denise Mazzolani, Head of the OSCE’s Strategic Police Matters Unit and the co-manager of the project support BAMIN, emphasized the importance of the BAMIN network and highlighted how it is continuously expanding and providing opportunities for further cooperation and information exchange among asset management agencies.
The OSCE supports BAMIN through its extra-budgetary project, Strengthening the fight against transnational organized crime in South-Eastern Europe through improved regional co-operation in asset seizure, confiscation, management and re-use. This regional initiative is jointly implemented by the OSCE Transnational Threats Department and the Office of the Co-ordinator of OSCE Economic and Environmental Activities (OCEEA). It is financially supported by the United States Department of State, Italy, Germany and the United Kingdom.
Depuis la baisse des cas de contamination à la Covid-19 enregistrée dernièrement, les bonnes nouvelles ne cessent de s’annoncer à la diaspora, mais aussi aux amoureux de voyage.
En effet, les autorités du pays avaient déjà annoncé un nouveau programme de vols internationaux desservant sept pays, avec un nombre de plus de 60 dessertes hebdomadaires, depuis et vers l’Algérie.
Face à la forte demande de la diaspora, voulant à tout prix rejoindre le territoire de son pays, ce nombre de vols demeurait insuffisant.
À cet effet, les mêmes autorités ont augmenté les vols opérés chaque semaine, et ont même ajouté des nouvelles destinations, et ce, afin de satisfaire la communauté algérienne désirant rejoindre le sol national, ainsi qu’à répondre à la forte demande des voyageurs.
Aujourd’hui, une autre bonne nouvelle vient de s’ajouter au menu. Il s’agit de la relance des dessertes commerciales entre Dubaï et Alger, après près de 19 mois de fermeture des frontières aériennes nationales.
Emirates Airlines reprend ses vols avec AlgérieCe lundi 1e novembre, la compagnie aérienne émiratie confirme, via un communiqué de presse, la reprise de ses vols internationaux avec l’Algérie.
Ladite reprise aura lieu, selon la même source, à partir du mardi 09 novembre. La compagnie aérienne a également indiqué que les dessertes se feront à raison de deux vols allers-retours par semaine, et ce, entre Dubaï et Alger. Ces derniers seront opérés tous les mardis et jeudis. Sachant que le vol retour Alger – Dubaï se fera via une escale à Tunis.
Dans le même sillage, le vol EK 757 Dubaï – Alger devrait être effectué deux fois par semaine, le mardi et le jeudi, par un départ de Dubaï à 9 h 30, et une arrivée à Alger à 14 h 00.
Quant au vol EK 758 Alger – Dubaï, il est programmé également tous les mardis et jeudis, pour un départ de l’aéroport d’Alger Houari Boumediene à 17 h, et arrivée à Tunis à 18 h 20, pour démarrer de la capitale tunisienne à 19 h 20 et arrivée le lendemain à Dubaï à 03 h 55.
Par ailleurs, la compagnie Emirates Airlines précise dans son communiqué : » les billets peuvent être réservés sur le site internet emirates.com, l’application Emirates, les bureaux de vente Emirates et par l’intermédiaire d’agents de voyages agréés, ainsi que d’agents de voyages en ligne « .
Il convient également d’indiquer que ces nouveaux vols viennent de s’ajouter au programme de la compagnie aérienne nationale Air Algérie. Celle-ci opère des vols depuis octobre vers les Emirates arabes unis, selon un programme de vols desservant deux lignes, à savoir, Alger – Dubaï tous les dimanches et jeudis et Dubaï – Alger tous les lundis et vendredis.
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Deux électriciens d'un réseau de trafiquants du système de la Sbee ont été arrêtés à Dogbo, commune du département du Couffo.
Pour ne pas payer les factures, des électriciens trafiquent le système de la Sbee depuis les poteaux électriques. Selon Frissons Radio, ils offrent aussi leurs services aux organisateurs de cérémonies. Les enquêtes de la police ont permis de mettre la main sur deux techniciens prestataires de la Sbee âgés de 23 et 24 ans. Lors de la perquisition à leur domicile, la police a retrouvé des lampadaires, des compteurs, des câbles, des disjoncteurs et du matériel de bricolage.
A.A.A
Découverte de six fusils dans un conteneur au Port Autonome de Cotonou.
Selon Frissons Radio, les six fusils ont été découverts dans un conteneur du PAC, il y a quelques jours. La même source informe que le transitaire et le représentant du propriétaire du conteneur ont été arrêtés par la police. L'expéditeur serait un béninois vivant aux États-Unis.
Akpédjé Ayosso
Treize millions de doses de vaccins contre la covid-19 ont été acquis par l’Algérie, sans compter la production nationale. Au moment où le spectre de la péremption rode sur les vaccins, le spécialiste le Pr Riad Mahiaoui, chef de service réanimation au CNMS et membre du Comité scientifique de suivi et de lutte contre le Covid-19, a tenu à apporter des précisions.
Selon le Pr Riad Mahiaoui, invité de la chaine 3 de la radio nationale, la dose de vaccin anti-covid-19 n’est certes pas impérissable, mais si les appels fusent pour pousser les citoyens à la vaccination, ce n’est pas pour faire écouler les stocks de vaccin, mais pour sauver des vies.
Le spécialiste martèle qu’il « faut faire confiance au système de santé ». Pour lui, « on peut interpréter comme on veut toutes les actions, et les expliquer de façon négative, mais il nous faudra rester positifs ».
Il explique que « si on fait la 3e dose ce n’est pas uniquement pour écouler les stocks ». D’ailleurs, ajoute-t-il, « on ne peut pas écouler tous les vaccins avec la troisième dose ». Selon Le Pr Mahiaoui, « le plus important et notre objectif principal, c’est d’aller se faire vacciner ».
« Il ne faut pas aller chercher des explications complètement sordides« , indique le professeur, qui s’interroge sur les lendemains de la pandémie en Algérie. « Ou sont les 70 % des vaccinés, s’exclame-t-il, où sont les 20 millions de vaccinés ».
La quatrième vague, « il suffit d’une étincelle »Toujours selon le même intervenant, la quatrième vague reste un risque réel, et ce, malgré la baisse des contaminations. Selon le Pr Mahiaoui, Il y a « près de 29 wilayas avec zéro contamination. Moins de 10 malades en réanimation. Moins de 130 malades sous oxygène et 5 à 6 décès par jour ». Cela ne l’empêche pas d’affirmer que «Un seul cas peut être une étincelle pour une flambée épidémique».
L’expert affirme que « le virus circule encore et des sous-variants seraient plus dangereux que le variant Delta ». Le Pr s’inquiète et indique « que l’on ne sait pas ce qui nous réservent les nouveaux variant ».
Selon lui cela peut être « qu’un nouveau variant nous réserve une augmentation de la transfusion sanguine, ou d’un tel ou tel médicament ». Il rappelle aussi que « personne ne savait que le variant Delta allait bouffer toutes nos réserves d’oxygène ».
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A two-day training on International Standards and Best Practices on the Adjudication of Corruption Offences organized by the OSCE Presence in Albania concluded on 29 October 2021.
The training was designed to reflect issues of interest expressed by the Judges of the Special Court against Corruption and Organized Crime in Albania, who were the main beneficiaries of the activity. Considering, however, the importance of the topic and its multidimensional applicability, the training also included judges from the Special Court of Appeals against Corruption and Organized Crime in Albania, the Criminal Chamber of the High Court, and Special Anticorruption Prosecution Office Prosecutors.
The training covered topics such as the UN Convention against Corruption, the Criminal Convention against Corruption and Additional Protocols of the Council of Europe (CoE), CoE’s Committee of Experts on the Evaluation of Anti-Money Laundering Measures and the Financing of Terrorism (MONEYVAL) and Anti-money Laundering (AML) standards, European Standards on Whistle-blower Protection, and best practices of foreign corruption courts. In addition, the training focused on the unique challenges in delivering justice for judges specialized in anti-corruption.
The OSCE Presence in Albania has been a long-standing partner of the judiciary, providing them with continuous support in their professional development. This training is expected to be part of an ongoing process towards the Presence’s further engagement in judiciary’s support for a more efficient fight against corruption.
Le gouvernement algérien avait annoncé, que le pays va produire le vaccin anti-covid russe, Sputnik V en l’occurrence, et ce, au sein des laboratoires algériens.
La concrétisation dudit projet a mis beaucoup plus de temps que prévu. À cet effet, le ministre de l’Industrie Pharmaceutique, Abderrahmane Djamel Lotfi Benbahmed avait rassuré et affirmé que le projet de fabrication du Sputnik V est toujours en cours de réalisation.
» La coopération avec la partie russe se poursuit toujours dans le domaine pharmaceutique, et pas seulement pour la production du vaccin Spoutnik V « , avait précisé le même responsable.
Le ministre explique les raisons du retardEn effet, le premier responsable du secteur de l’industrie pharmaceutique en Algérie a récemment réaffirmé la pleine disponibilité du pays à renforcer ses relations avec la Russie dans le domaine de l’industrie pharmaceutique et à les développer en un véritable partenariat industriel sur le long terme, à commencer par la production du Sputnik V localement, à la production d’autres matériaux pharmaceutiques qui seront destinés à la consommation locale, voire à l’exportation.
Dans le même sillage, Abderrahmane Djamel Lotfi Benbahmed a révélé à l’agence russe Sputnik : » comme vous le savez, il existe un protocole d’accord signé entre le Groupe Saidal et le Fonds d’investissement direct russe, où une plate-forme numérique a été mise en place contenant toutes les informations relatives au vaccin russe, et ce, afin de permettre le processus de transfert de technologies qui permettront à l’Algérie de produire le Sputnik V localement « .
Le ministre a souligné que » le processus de transfert de technologies pour la production de vaccins ou de tout autre médicament prend beaucoup de temps « .
Sur les raisons de ne pas encore commencer à produire localement le vaccin russe, le même responsable a expliqué : » les réunions, échanges et ateliers de formation avec le partenaire russe se poursuivent, alors que le principal problème reste le processus de transfert de technologies « .
Il convient également d’indiquer que le ministre a précisé : » la partie russe n’a pas encore pu envoyer des équipes pour inspecter nos installations de production, et l’accord avec le partenaire russe était de réaliser un processus de production complet, c’est-à-dire de la biotechnologie à la production de masse « .
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