Discussions on a victim-centred approach and multi-agency co-operation in combating trafficking in human beings were held during an OSCE-organized online seminar on 22 and 23 November 2021.
The seminar was led by Oleksandr Kyrylenko, Programme Officer, and Tetiana Rudenko, Senior Co-ordination Officer from the Office of the OSCE Special Representative and Co-ordination for Combating Trafficking in Human Beings. International and national experts from Kazakhstan, Kyrgyzstan and Turkmenistan presented steps to strengthen the interagency response to human trafficking in light of current national and international challenges. They also discussed practices and approaches to comprehensive assistance to victims of human trafficking in the OSCE region.
Representatives from the Mejlis (lower chamber) of the Milli Gengesh (Parliament) of Turkmenistan, Ministry of Justice, Prosecutor General's Office, Ministry of Interior, Ministry of Labour and Social Affairs, State Migration and Border Services, Supreme Court, Ombudsperson's Office, Bar Association, and Institute of State, Law and Democracy, Women’s Union and Youth Organizations of Turkmenistan attended the event.
In his opening address, John MacGregor, Head of the OSCE Centre in Ashgabat said: “Trafficking in human beings is a complex, multi-faceted crime and a severe violation of human rights, which concerns all OSCE participating States. It intersects with issues of fundamental rights and the rule of law; law enforcement and crime control; inequality and discrimination; corruption, economic deprivation and migration.”
He noted that, for a number of years, the OSCE Centre in Ashgabat has been assisting the government of Turkmenistan in building the capacity of government agencies and civil society organizations in preventing human trafficking, strengthening prosecution efforts by training law enforcement and other agencies, and assisting victims.
The OSCE is the largest regional organization that engages in a broad range of security issues, where human rights issues, including the protection of the legitimate rights of the victims of human trafficking, are instrumental.
Pour les amoureux des voyages, mais aussi pour la diaspora algérienne, les bonnes nouvelles sont fortement présentes, notamment ces derniers temps.
En effet, et après 19 mois de fermeture de tous les espaces du pays, à savoir aériennes, maritimes et terrestres, les autorités compétentes ont enfin pris la décision d’une réouverture imminente.
Une occasion pour la communauté algérienne à l’étranger de rejoindre le territoire national et pour les amoureux des voyages de se rendre en vacances, même un peu en retard.
Pour les ressortissants, les voyageurs, même les touristes qui trouvent leur plaisir en voyageant via la mer, les autorités ont également permis cela, et ce, à la fin du mois d’octobre passé.
L’Entreprise Nationale de Transport Maritime de Voyageurs a d’abord autorisé la reprise des traversées maritimes entre l’Algérie et l’Espagne, le 21 octobre, avant de se lancer vers la France, le 1er novembre.
137 euros pour un aller simple sans voitureEn fait, la compagnie française privée de navigation maritime, Corsica Linea en l’occurrence, opère quant à elle, depuis le 09 novembre dernier, des traversées vers l’Algérie, et ce, en vertu de la réciprocité. Sachant que cette dernière programme une seule traversée par semaine, tous les mardis.
Ce lundi 22 novembre, ladite compagnie a annoncé, sur son site officiel, l’ouverture de la vente des billets du mois de janvier prochain, où l’aller simple sans voiture est proposé à partir de 137 euros. En outre, pour un tarif d’un aller simple avec voiture, la même compagnie exige au minimum 228 euros.
Il est à noter que la compagnie française a proposé ses tarifs, quelques jours seulement après qu’Algérie Ferries a dévoilé son programme des traversées, ainsi que ses prix, pour la période de décembre et janvier, ce qui engendre une certaine concurrence entre les deux compagnies susmentionnées, notamment avec l’approche de la fin d’année, une période assez connue par les voyages.
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The OSCE Programme Office in Dushanbe organized a three-day online workshop for officers of Tajikistan’s Drugs Control Agency (DCA) on countering trafficking in illicit drugs via the internet and specifics of initial investigations. The event took place in Dushanbe from 15 to 17 November. Fifteen officers from operational and investigation departments of DCA attended the workshop. Participants improved their knowledge on the basics and initial actions in the fight against drug trafficking on the internet.
The OSCE Secretariat’s Transnational Threats Department and the Permanent Mission of the Russian Federation to the OSCE facilitated the workshop and trainers from the Siberian Law Institute under the Russian Interior Ministry conducted it. Participants explored general concepts related to hidden networks, including the Darkweb, addressed the misuse of cryptocurrencies and official payment systems through which illicit drugs can be purchased. Among other topics, they also learned how to apply special investigation techniques aimed at seizing and inspecting electronic documents and ICT devices, making audio, photo and video recordings and their entries into the crime scene protocol.
“It is important for our officers to receive more information about new trends and approaches in identifying and investigating cases related to trafficking in illicit drugs on internet networks,” said Tojiddin Ismoiliyon, Head of DCA’s Training Centre. Ismoiliyon stressed that DCA is interested in continuing joint co-operation with the OSCE to further improve theoretical and practical capacities of DCA officers.
Les partisans de la Badissia-Novembria ne lâchent pas le morceau. Malgré la mise au point faite par Salah Goujil, le président du Sénat, les défenseurs de ce courant né quelques mois après le Hirak repartent à l’attaque. Cette fois ci c’est Abderezak Makri, le président du MSP, qui en remet une couche.
En effet, aujourd’hui le 23 novembre 2021, dans le cadre de la campagne électorale de son parti, Abderrezak Makri a affirmé, depuis la wilaya de Chlef, que si le MSP est candidat aux élections locales, c’est pour faire de l’Algérie une nation obéissant aux préceptes de « la Badissiya-Novembria ».
Makri, on ne peut plus populiste, joue avec les mots, et fait de la crise avec la France son thème de prédilection pour gagner l’oreille des citoyens.
Après une interminable logorrhée, ou le successeur de Mahfoud Nahnah avait rappelé que le MSP fait de la politique afin de prendre soin du pays et pour tenir une promesse faite aux martyres, il use de subtilité pour sauter au sujet des élections.
Sur la voie de « Badis », et non de « Paris »Sans présenter de lignes claires, Makri fait dans le vague. Il affirme que son parti est candidat à ces élections afin de faire de l’Algérie un pays « prospère et développé ». Il précise toutefois que son parti est venu participer à ces élections « pour que l’état algérien soit inscrit dans le cadre des préceptes islamiques, pour que l’Algérie soit Badissiya pour de vrai, et novembriya pour de vrai, et non un mirage, non une déclaration, et non une diversion ».
Makri ajoute que l’Algérie dont rêve son parti est celle « qui sera sur la voie de Badis (Abdelhamid Ibn Badis), et non sur la voie de Paris (la capitale Française) ». Un jeu de mot que l’homme politique a répété trois fois, rappelant les discours emphatiques du président déchu, pour enfin conclure en disant l’Algérie doit être « fidèle à la promesse de novembre ».
Il est à rappeler que le président du Sénat, Salah Goujil, âgé de 91 ans, a déclaré en octobre dernier que « quand on dit novembre est badissi, on ment à l’histoire. Novembre c’est novembre, il n’appartient à personne. Les gens sont libres de dire ce qu’ils veulent, mais on ne doit pas enseigner cela à nos enfants. Ce n’est pas la vérité ».
Goujil, visant sans ambiguïté aucune les partis islamistes, a rappelé qu’au tout début de la révolution du premier novembre, il a été convenu que « seul le sang des Algériennes et des Algériens coulera pour l’Algérie ». Il a enfin expliqué que « des jeunes du monde arabe et de pays islamiques ont demandé à venir participer à la lutte, mais on a dit non ».
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