On the morning of 21 December, the armed formations in Luhansk region once denied the Mission’s passage to non-government-controlled areas and once delayed its passage to government-controlled areas.
The denial occurred at 09:10 at about 350m north of the southern edge of the disengagement area near Zolote, where a member of the armed formations cited “the SMM’s safety”. The delay occurred at 10:07 at the checkpoint of the armed formations south of the Stanytsia Luhanska bridge, where a member of the armed formations only allowed the Mission’s passage after about 37 minutes of waiting, citing “a need to wait for a decision from superiors”.
Additionally, earlier in the morning, at 09:06, at a checkpoint near the southern edge of the disengagement area near Zolote, members of the armed formations denied another SMM patrol passage inside the disengagement area citing “the SMM’s safety”. The patrol was to assist the SMM patrol crossing to non-government-controlled areas mentioned above.
In all instances, the SMM had preannounced its passage as a temporary, COVID-19 related courtesy.
For recent freedom of movement restrictions faced by the Mission, see previous SMM Spot Reports.
The Mission again notes that such denials and delays not only restrict the SMM’s freedom of movement across the contact line, but also prevent the SMM’s logistical operations, which are essential for the effective functioning of the Mission.
The OSCE Permanent Council Decision No. 1117 specifies that the SMM shall have safe and secure access throughout Ukraine. Unrestricted and unconditional access to all areas is essential to ensure effective monitoring and reporting of the security situation, as well as other mandated tasks. The mandate also tasks the Mission to report on any restrictions of its freedom of movement or other impediments to fulfilment of its mandate.
Benjamin Stora, l’auteur du rapport commandé par le Président français Emmanuel Macron sur « les questions mémorielles portant sur la colonisation et la guerre d’Algérie » est revenu sur les dires du chef de l’Etat français, qui ont suscité une indignation algérienne et surtout des tensions, des désaccords et une crise diplomatique entre les deux pays.
A ce sujet, l’historien qualifie sur la chaîne Arte dans l’émission « 28 minutes », les propos de Macron de discours à caractère « politique » et non pas « historique » , rappelant qu’il faut regarder « de tous les cotés » afin de créer un équilibre dans cette réconciliation mémorielle tout aussi importante pour la France que pour l’Algérie.
En réponse à une question sur le rejet des autorités algériennes du fameux rapport qu’il a réalisé, le professeur aux origines algériennes explique que la presse était à l’origine de « ce rejet », excluant le pouvoir algérien pour ne pas l’accabler, au vu de l’inexistence d’un refus officiel.
« Presse très hostile »Selon ses dires, la presse algérienne s’est montrée « hostile » à l’égard de ce rapport, à l’exception de certains médias à l’exemple de trois journaux francophones qu’il a cités.
Soulignant, dans le même sillage, qu’il existe des médias en Algérie qui œuvrent pour garder un canal de communication et de dialogue constructif algéro-français ou encore « pour garder un fil d’une discussion dans des situations extrêmement compliquées et difficiles », et ce, autour des sujets épineux et sensibles qui concernent les deux parties.
Le natif de Constantine a également salué l’élite algérienne, faisant allusion au soutien qu’il a reçu de la part d’écrivains algériens à l’instar de Yasmina Khadra et Kamel Daoud.
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