A lett fővárosban tartott kétnapos tanácskozót lezárva, Stoltenberg hangsúlyozta: az orosz vezetés továbbra is folytatja agresszív és destabilizáló akcióit szomszédjai ellen, és nagymértékű katonai csapatösszevonásokat hajt végre az ukrán határon. Mint mondta, a lehetőségek széles skálája áll a NATO rendelkezésére – többek között gazdasági és pénzügyi szankciók, politikai korlátozások -, hogy fellépjen Oroszországgal szemben, ha még egyszer erőszakot alkalmaz, egy független szuverén állam, Ukrajna ellen.
“2014-ben Moszkva törvénytelenül annektálta a Krím-félszigetet, és ezzel kollektív védelmünk hidegháború óta legmagasabb fokú megerősítését aktiválta” – tette hozzá. Stoltenberg a Reuters brit hírügynökségnek adott sajtónyilatkozatában ugyanakkor elmondta: Oroszországnak megvan a lehetősége, hogy párbeszédet folytasson.
A főtitkár visszautasította azokat a vádakat, amelyek szerint a NATO a Fekete-tengeren folytatott hadgyakorlataival provokálja Oroszországot, a moszkvai vezetést viszont azzal vádolta meg, hogy a hadgyakorlatokat ürügyként használja fel más országok megtámadására.
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Les talentueux footballeurs d’origine algérienne se trouvent partout ! Notamment dans le continent européen, où le monde du ballon rond est apprécié à sa juste valeur.
Ces derniers et grâce à leur excellente performance présentée sur le terrain, ne cessent de briller et d’être sous le feu des projecteurs, mais aussi visés par de grands clubs européens.
Après le capitaine des Verts Riyad Mahrez, vient désormais le tour du joueur franco-algérien, Rayan Aït-Nouri, d’être dans le viseur du grand club Parisien, le Paris Saint-Germain.
En effet, le jeune footballeur de 20 ans évolue actuellement au poste d’arrière gauche dans un club anglais, Wolverhampton Wanderers en l’occurrence, et est visé par le club de la capitale française, rapporte le magazine anglais The Sun.
40 millions d’euros pour bénéficier des services de Aït-Nouri ?Selon les informations de la même source, Rayan Aït-Nouri pourrait être le futur arrière latéral du Paris Saint-Germain, vu que ce dernier s’était fait prêter le Portugais Nuno Mendes avec option d’achat dans les derniers instants du mercato estival.
Ainsi, ledit magazine a mentionné que le club Parisien devrait débourser près de 40 millions d’euros, soit un montant semblable à l’option d’achat assortie au prêt de Mendes, pour en bénéficier des services du vingtenaire.
Par ailleurs, il convient de préciser que le jeune footballeur franco-algérien est arrivé chez les Wolves en provenance d’Angers contre un peu plus de 11 millions d’euros à l’été 2020. Sachant qu’il avait d’abord remplacé Lyonnais Marçal.
Rayan Aït-Nouri ne s’est pas contenté de son poste de remplaçant, où il s’est progressivement imposé comme un titulaire sous les ordres de Nuno Espirito Santo puis Bruno Lage, et ce, grâce à ses grandes compétences ainsi que sa haute performance.
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Ne dit-on pas que le pire n’est pas de commettre une erreur, mais de ne pas la reconnaître ! C’est le cas de cet Algérien qui avait blessé, en 2017 à Levallois, six soldats français en fonçant sur eux au volant de sa voiture. Son procès débute aujourd’hui à Paris.
Aujourd’hui « en fauteuil roulant » depuis sa blessure à la colonne vertébrale lors de son arrestation, le mis en cause s’obstine à nier les faits qui lui sont reprochés. L’Algérien campe toujours sur sa position soulignant qu’il « avait été victime d’un malaise et avait perdu le contrôle de son véhicule », selon le journal français Le Figaro.
Un motif qui ne convainc point la chambre d’accusation. Aujourd’hui il est poursuivi pour «tentative d’assassinats sur personnes dépositaires de l’autorité publique en relation avec une entreprise terroriste». L’acte accusation est appuyé d’autant que les faits se sont produits « en pleine vague d’attentats djihadistes en France ».
Un projet « terroriste » et un intérêt pour L’EIPour le parquet national antiterroriste (Pnat) les faits reprochés à l’accusé présentaient «non seulement un caractère intentionnel avéré» mais également «associés à la volonté de tuer, et ce dans le cadre d’un projet terroriste» du fait qu’il avait effectué des repérages sur les lieux trois jours avant l’attentat.
Bien que l’accusé n’était pas connu pour « radicalisation religieuse », mais lors d’un examen de contenus effectués sur ses deux téléphones, il s’est avéré, selon la même source, que l’Algérien avait un vif intérêt l’EI et des velléités de départ pour la Syrie.
« dénégations pas crédibles »!Prenant la fuite après les faits, toutes les dénégations avancés par cet Algérien ne sont pas crédibles, selon la partie civile.
Sans casier judiciaire au moment de son arrestation, le quadragénaire a depuis fait l’objet de « deux condamnations » pour « agressions contre des surveillants pendant sa détention », selon la même source.
Endossant aujourd’hui une lourde accusation, le mis en cause comparaitra devant la cour d’assises spécialement composée en attendant son jugement final.
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La France, dans sa lutte contre la Covid-19, semble être envahie par la crainte d’un nouveau variant qui remettrait à zéro tous les efforts vaccinaux entrepris depuis le début de la pandémie.
Après le Variant Omicron, découvert en Afrique du Sud, les autorités sanitaires françaises s’inquiètent à propos d’un autre variant d’origine africaine.
En effet, le variant congolais a été détecté pour la première fois au mois d’octobre dernier en France, et depuis, il a gagné du terrain en contaminant plus de 50 patients, principalement en région Paca, en Auvergne-Rhône-Alpes, en Aquitaine et en Île-de-France.
Un variant sans lettre grecqueBien que le variant congolais, sobrement baptisé B.1.640, n’ait pas eu droit à sa lettre grecque, comme ce fut le cas avec le variant Omicron, il n’en demeure pas moins inquiétant aux yeux du ministère de la Santé en France, qui affirme le surveiller de prés.
Ce variant, détecté pour la première fois fin septembre, en République démocratique du Congo, n’est pas considéré comme un « variant préoccupant ou d’intérêt » par l’OMS. En France pourtant, on dit ne pas encore connaitre son impact réel, ce qui fait de lui un variant « en cours d’évaluation ».
« On le surveille à fond », confie le virologue Français Bruno Lina à propos de ce variant détecté chez un Nantais en provenance du Congo. Ce patient a toutefois contaminé toute une famille lors d’une soirée dans le Finistère. Quelques jours plus tard, le virus est détecté chez 24 autres personnes, dont 18 élèves dans une école primaire, ce qui a causé la fermeture de plusieurs classes.
Une « souche anormale »Après ce coming-out assez spectaculaire, le variant congolais est évoqué par le ministre Français de la Santé. Olivier Véran déclare, en novembre dernier : « vous avez peut-être entendu parler d’un variant congolais. Huit cas ont été identifiés en République du Congo et on a découvert fin septembre un cluster familial chez des personnes qui en revenaient ».
Le ministre affirme toutefois qu’il « ne dit pas ça pour inquiéter, rien n’indique que ce variant soit particulièrement dangereux, mais pour souligner que notre capacité à traquer les variants est très forte ».
Le variant congolais est doté cependant « d’un profil de mutations particulier, il a été retrouvé chez des enfants et des personnes vaccinées à peu près partout », indique le professeur Bruno Lina qui affirme qu’il s’agit d’une « souche anormale » et « très particulière ».
Le même intervenant précise que plus de 50 cas ont été déjà recensé en France, ce qui fait d’après lui de ce variant un centre de préoccupation. Le professeur confie que ce variant « est en train de se répandre et circule en même temps que le Delta, poursuit-il. On est le pays qui en rapporte le plus« .
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Entre la décrue du nombre de cas de contaminations du Covid-19 et le nouveau variant « Omicron » récemment découvert, les autorités se précipitent partout dans le monde pour mettre en place les mesure préventives nécessaires afin d’éviter les vagues mortifères de cette pandémie.
L’Algérie, à titre d’exemple, tente de se protéger de ce nouveau variant et de reprendre la stabilité et la décrue qui a été enregistrée durant les mois précédents, et ce, en veillant sur l’application d’un protocole sanitaire stricte dont la tête de gondole n’est autre que la vaccination.
En effet, le ministère des Transports a annoncé le 1er décembre à travers un communiqué, la vaccination obligatoire pour les voyageurs par voie maritime ainsi que le test PCR et le test antigénique à l’arrivé, en partance ou en provenance de l’étranger vers l’Algérie à partir d’aujourd’hui, 6 décembre 2021.
Une décision « boudée » aussi bien par les voyageurs que par la classe politique, en raison de manque d’informations et de précisions et surtout, les tests imposés pour les vaccinés et les non-vaccinés à titre égal .
Une protestation parlementaireCette décision a déplu a plusieurs personnes, ainsi que la manière dont elle a été annoncée. Le député de l’émigration Abdelouahab Yagoubi a déploré une telle façon d’annoncer une information aussi importante, il décide donc d’agir avec d’autres députés suite à l’incompréhension que cette décision a suscitée.
« Suite à la décision improvisée prise hier par le ministère des Transports d’imposer arbitrairement l’obligation de vaccination aux citoyens, je me suis déplacé, cet après-midi, avec une délégation de députés de l’Assemblée Populaire Nationale aujourd’hui au siège du ministère des Transports pour faire part de notre protestation contre cette décision anti-constitutionnelle, qui a été prise d’une manière absolument inacceptable » a t-il publié sur sa page Facebook.
Le député de l’émigration a ajouté « indépendamment du devoir de chacun d’inciter les citoyens à se faire vacciner, il est hors de question qu’une instruction administrative impose cette contrainte aux citoyens, comme l’a souligné le Président de la République« .
« Nous demandons l’annulation de cette mesure »Tewfiq Khedim, un député de l’émigration a également exprimé son mécontentement, rappelant que la vaccination n’est pas une mesure à imposer du jour au lendemain notamment pour les voyageurs ayant déjà réservés, et ce, sans consultation aucune des parlementaires.
Raison pour laquelle, une délégation de 6 députés dont Abdelouahab Yagoubi s’est déplacée au siège du ministère des Transports pour leur faire part de leur protestation contre cette décision « anti-constitutionnelle« . Yagoubi a souligné « le protocole efficace reste l’exigence d’un test PCR négatif à l’embarquement et d’un examen antigénique à l’arrivée pour les vaccinés et les non vaccinés« , ainsi, ils espèrent l’annulation de cette mesure.
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