Le verdict de l’affaire de Chérif Mellal est enfin tombé. Ce jeudi 9 décembre, le tribunal de Sidi M’Hamed à Alger a tranché sur le conflit et a condamné l’ancien président de la JS Kabylie à une peine de six mois de prison ferme, assortie d’une amende de 100 000 dinars.
Cette condamnation intervient à la suite d’une plainte déposée par Rachid Azouaou, actionnaire dans le club Kabyle, contre l’ancien président de l’équipe, Chérif Mellal, où il l’a accusé de diffamation.
Ainsi, ledit accusé est en conflit avec Yazid Yarichène, président de la JS Kabylie, depuis bien des mois, précisément depuis mars dernier, pour la présidence dudit club.
Un conflit qui a engendré une série de problèmes, d’affaires, mais aussi de jugements, qui ont été conclus par une décision de la part des autorités judiciaires compétentes.
La justice tranche sur l’affaire de la présidence de la JSKLa décision de justice quant à cette affaire a été rendue dernièrement par le tribunal de la wilaya de Tizi-Ouzou. Ce dernier a tranché sur ce conflit, en désignant officiellement que le nouveau président des Canaris est bel et bien Yazid Yarichène.
C’est ainsi que les trois années de règne de Chérif Mellal sont terminées, et le club Kabyle a commencé un nouvel épisode avec son nouveau président, Yarichène.
Il convient également de rappeler que cette affaire et ce conflit entre l’ancien dirigeant de la JS Kabylie Chérif Mellal et le président entrant Yazid Yarichène, a créé un climat de tension et de malaise au sein du club des Canaris.
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Dans l’imaginaire de tout un chacun, la simple évocation du Sahara nous fait perdre dans un interminable univers de mythes et de fantasmes. L’endroit subjugue, envoûte et l’esprit s’épanche d’une manière spectaculaire à une léthargie quasi hypnotique.
La magie du « Sahara » est perpétuelle, et la sonorité du mot lui-même nous fait penser au sable virevoltant de cet immense endroit. Un plaisir indéfini quasi indescriptible pour tout esprit fouineur amoureux de ce coin somptueux qui continue à receler des merveilles parfois toujours méconnues.
Ain Taiba où le paradis oublié!Parmi les merveilleux coins que recèle notre pays figure Ain Taiba, l’une des centaines d’endroits perdus dans l’immense Sahara que l’homme a rarement visité. Perdu au fin fond du grand désert à environ 190 km au sud de Ouargla où de l’eau s’engouffre depuis des millénaires dans les entrailles du sable infini offrant un joli décor qui invite les visiteurs à un véritable régal.
Au coeur de cet Oasis, les visiteurs pourront trouver en cette merveille tout ce que la nature peut offrir de plus beau à l’humain. Pour les aventuriers épris du Sahara, Ain Taiba pourra assouvir leur soif de nouvelles découvertes. L’accès n’est toutefois chose aisée. Il faut donc se munir d’une belle énergie pour savourer chaque difficulté d’accès à ce gouffre.
Entouré de roseaux secs qui se haussent vers le soleil écrasant qui trahit, on ne peu plus clair, l’aridité du Sahara, Ain Taiba demeure particulière. Car traversant un long chemin dans les entrailles obscures de cet oasis, le visiteur pourra enfin s’offrir un joli décor.
Une eau douce vient subtilement déconstruire cette austérité. Une harmonie particulière dans une région où règne la paix car l’homme n’y est pas. De quoi bien se ressourcer après un long voyage au cœur de notre grand fascinant désert.
Une bonne adresse pour ceux qui choisissent le Sahara comme destination à visiter pour célébrer le nouvel an. Un bon plan également pour ceux en manque d’idées idem pour ceux qui veulent oublier, un tant soit peu, leur quotidien « urbanisé »
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La candidate recalée à l'élection présidentielle du 11 avril dernier sera devant les juges de la Cour de répression des infractions économiques et du terrorisme (CRIET) ce vendredi 10 décembre 2021. En détention depuis plusieurs mois, Reckya Madougou sera fixée sur son sort au terme de ce procès qui retient toutes les attentions.
Reckya Madougou pourra-t-elle recouvrer sa liberté au terme du procès de ce vendredi 10 décembre 2021 à la CRIET ? La sentence des juges de la juridiction spéciale est très attendue au regard du chef d'accusation qui pèse sur elle : ‘'Association de malfaiteurs et financement de terrorisme''.
En détention depuis bientôt 10 mois, la candidate du parti Les Démocrates aura un collège d'une dizaine avocats pour sa défense. Parmi ses conseils, il y a l'ancien bâtonnier Robert Dossou, Maîtres Renaud Agbodjo, Nadine Sakponou, Théodore Zinflou, et Victorien Fadé. Le Français Me Antoine Vey sera aussi de la partie.
F. A. A.
On the eve of International Human Rights Day, on 9 December 2021 the OSCE Presence in Albania organized a regional roundtable discussion for equality bodies and independent human rights institutions. Representatives from the Western Balkans discussed, in the hybrid-format meeting, their role and interactions with respect to judicial proceedings.
The event gave participants the opportunity to exchange best practices and experiences, and to strengthen regional co-operation. It served as a momentum to raise awareness about respective governments’ obligations towards protection from discrimination and promotion of human right institutions’ work.
“Independent human rights institutions are essential synapses to ensure the effective implementation of international human rights standards at the national level, to act as a bridge between the citizens and the State, protect those in need, and hold governments accountable for their human rights obligations,” said Vincenzo Del Monaco, Head of OSCE Presence in Albania, at the opening of the event.
Albania’s People’s Advocate Erinda Ballanca said: “We, human rights institutions, should be a success story, because failure to succeed damages not only the authority and stability of our institutions, but also the very cause of human rights in general”.
“Today’s meeting is very important to know the competences of each other, to see what competences we have consolidated and how we can implement new ones in our realities”, said Robert Gajda, Albania’s Commissioner for Protection from Discrimination.
The Presence has been supporting independent human rights institutions in Albania since their establishment, and recently facilitated the signing of a co-operation agreement among them.
A l’étranger, les personnes présentes sur le territoire en situation irrégulière tentent de trouver refuge et de s’abriter à l’aide des associations et grâce au soutien des habitants. Parfois, certains prennent les choses en main de la mauvaise manière, choisissant de survivre en empruntant le chemin de la criminalité et la délinquance.
Aux Yvelines dans la grande couronne de la région Île-de-France, un propriétaire s’est rendu à son domicile pour découvrir que ce dernier est squatté par deux personnes. Il ne s’agit pas de deux personnes « anodines », mais plutôt de voleurs. Le propriétaire a informé la police le 1er décembre dernier que des inconnus occupaient illégalement son domicile.
Les services de la police ont, à leur tour, découvert suite à l’interpellation de ces individus, qu’il s’agit de deux jeunes algériens de 17 et 25 ans. Ce duo a transformé le domicile du monsieur en une véritable cachette dans laquelle les deux jeunes dissimulaient leurs butins illicites, autrement dit, les objets qu’ils avaient volés.
Auteurs de 17 volsL’enquête de la police a révélé que les deux algériens sont en situation irrégulière, ils ont commis 17 vols différents qui ont même touchés les voisins habitant pas loin du domicile dans lequel ils squattaient. Après un inventaire effectué par les enquêteurs de la sûreté urbaine, on a pu faire le lien entre les délinquants et des vols commis dans les villes limitrophes.
Suite à quoi, l’algérien âgé de 25 ans a pris 18 mois de prison avec incarcération immédiate et son « associé » âgé de 17 ans a été mis en examen puis a été libéré.
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